Political participation as public pedagogy : The Educational Situation in Young People´s Political Conversations in Social Media

In this article we argue that young people’s political participation in the social media can be considered ‘public pedagogy’. The argument builds on a previous empirical analysis of a Swedish net community called Black Heart. Theoretically, the article is based on a particular notion of public pedagogy, education and Hannah Arendt’s expressive agonism. The political participation that takes place in the net community builds up an educational situation that involves central characteristics: communication, community building, a strong content focus and content production, argumentation and rule following. These characteristics pave the way for young people’s public voicing, experiencing, preferences and political interests that guide their everyday political life and learning – a phenomenon that we understand as a form of public pedagogy. 

Speak Good English Movement in Singapore : Reactions in Social and Traditional Media

The first Speak Good English Movement, SGEM, took place in 2000, and has been organized annually ever since. Speaking a “standard” form of English is considered to bring increased personal power. However, the SGEM wants the Singaporeans to use “standard” English in their private life as well. A decade after the beginning of the campaign, a Speak Good Singlish Movement was started. Based on studies of language and identity, it is understandable why some Singaporeans might feel the SGEM threatens their identity. However, the reactions towards the campaign are mainly positive. For the purposes of this analysis, Twitter messages, Facebook pages, and newspaper articles from The Straits Times were collected. The SGEM has hailed both direct and indirect praise and criticism in both social and traditional media: Five newspaper articles praise the campaign while five criticize it; the results are nine and seven respectively for social media. This thesis looks at reactions towards the SGEM in both social and traditional media, analyzes how these reactions might relate to the ideas of the power of language, its variety and the relation of language and identity.

L’image comme outil didactique dans l’enseignement du français dans des collèges et des lycées en Suède

Le travail actuel a été rédigé dans le but d’éclaircir en quoi consiste le rôle de l’image comme outil didactique aux cours de français aux collèges et aux lycées suédois. Nous avons abordé notre thème sous des perspectives différentes : d’un côté, nous avons analysé les images dans deux livres, puisque les manuels font souvent partie de chaque leçon de français ; de l’autre côté, nous avons fait un questionnaire que nous avons distribué aux professeurs à travers les médias sociaux et par email. Nous avons également étudié les données récoltées aux cours des entretiens avec trois professeurs de français au lycée suédois, pour savoir comment les professeurs intègrent des images dans la pratique. Selon les résultats de notre étude, il nous a été possible d’affirmer que l’image est un outil qui n’est pas omniprésent, mais qui est parfois utilisé afin de rendre les leçons plus variées. La photographie est le type d’image le plus répandu dans la pratique des professeurs et dans les manuels ; le format numérique est le plus fréquent en tenant en compte de la révolution technologique et de l’habitude des jeunes à travailler avec les ordinateurs. Cependant, l’image n’est pas un outil indépendant. Elle est très souvent complétée par d’autres outils didactiques et sert principalement à accompagner la lecture, à développer l’expression orale et le vocabulaire et aussi à illustrer des phénomènes culturels. En conclusion, il ressort de notre mémoire, qu’il est important que le professeur accompagne le travail avec des images avec des instructions et des commentaires, afin de rendre l’apprentissage plus efficace.