17 resultados para Substance abuse--Rehabilitation

em Université de Montréal, Canada


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The objective of this research is to evaluate the outcomes of a treatment for addicts. 123 subjects were tested before treatment and at 5, 8 and 11 months follow-up periods with a French version of the Addiction Severity Index (ASI). Exposure to treatment was based on the number of clientsâ contact-hours with a therapist. The sample was divided into three groups according to the number of hours spent in treatment. The data was analysed using MANOVA on the seven scales of the ASI for the three groups and the four time periods. Results showed that all groups improved significantly but that this improvement was not related to the number of hours spent in treatment.

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Contexte Autant dans une population schizophrène que non schizophrène, lâ˜abus de substance a pour conséquence la manifestation de symptômes psychiatriques et neurologiques. Dans les présentes études cas-témoins, nous avons examiné les différences initiales ainsi que les changements suite au traitement de 12 semaines à la quetiapine au niveau de la sévérité de la toxicomanie et des symptômes psychiatriques et neurologiques chez 3 groupes distincts. Ces 3 groupes sont: des patients schizophrènes avec une toxicomanie (double diagnostic: DD), des patients schizophrènes sans toxicomanie concomittante (SCZ) et finalement, des toxicomanes non schizophrènes (SUD). Parallèlement, afin de nous aider à interpréter nos résultats, nous avons mené deux revues systématiques: la première regardait lâ˜effet dâ˜antipsychotiques dans le traitement de troubles dâ˜abus/dépendance chez des personnes atteintes ou non de psychoses, la deuxième comparait lâ˜efficacité de la quetiapine et sa relation dose-réponse parmi différents désordres psychiatriques. Méthodes Pour nos études cas-témoins, lâ˜ensemble des symptômes psychiatriques et neurologiques ont été évalués via lâ˜Ãchelle du syndrome positif et négatif (PANSS), lâ˜Ãchelle de dépression de Calgary, lâ˜Ãchelle des symptômes extrapyramidaux (ESRS) ainsi quâ˜avec lâ˜Ãchelle dâ˜akathisie de Barnes. Résultats à la suite du traitement de 12 semaines avec la quetiapine, les groupes SCZ et DD recevaient des doses de quetiapine significativement plus élevées (moyenne = 554 et 478 mg par jour, respectivement) par rapport au groupe SUD (moyenne = 150 mg par jour). Aussi, nous avons observé chez ces mêmes patients SUD une plus importante baisse du montant dâ˜argent dépensé par semaine en alcool et autres drogues, ainsi quâ˜une nette amélioration de la sévérité de la toxicomanie comparativement aux patients DD. Par conséquent, à la fin de lâ˜essai de 12 semaines, il nâ˜y avait pas de différence significative dans lâ˜argent dépensé en alcool et drogues entre les deux groupes de toxicomanes iv or, les patients DD présentait, comme au point de départ, un score de toxicomanie plus sévère que les SUD. Ãtonnamment, aux points initial et final de lâ˜Ã©tude, le groupe DD souffrait de plus de symptômes parkinsoniens et de dépression que le groupe SCZ. Par ailleurs, nous avons trouvé quâ˜initiallement, les patients SUD présentaient significativement plus dâ˜akathisie, mais quâ˜en cours de traitement, cette akathisie reliée à lâ˜abus/dépendance de cannabis sâ˜est nettement améliorée en comparaison aux patients SCZ. Enfin, les patients SUD ont bénéficié dâ˜une plus grande diminution de leurs symptômes positifs que les 2 groupes atteints de schizophrénie. Conclusions Bref, lâ˜ensemble de nos résultats fait montre dâ˜une vulnérabilité accentuée par les effets négatifs de lâ˜alcool et autres drogues dans une population de patients schizophrènes. Ãgalement, ces résultats suggèrent que lâ˜abus de substance en combinaison avec les états de manque miment certains symptômes retrouvés en schizophrénie. De futures études seront nécessaires afin de déterminer le rôle spécifique quâ˜a joué la quetiapine dans ces améliorations.

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Objectifs : Ce mémoire propose de répertorier par une revue systématique les instruments de mesure clinique des conduites addictives établies et émergentes; de les comparer au moyen dâune grille dâanalyse afin de de déterminer si ces conduites sont cohésives au plan conceptuel. Méthode : La stratégie analytique employée sâest déroulée en trois étapes : 1) Via les moteurs de recherche Pubmed, Psychinfo, HAPI et Embase, nous avons cherché, pour lâensemble des conduites addictives, les questionnaires ayant fait lâobjet dâune étude de validation interne au plan psychométrique. 2) Une grille dâanalyse a été développée et validée, couvrant 21 paramètres tirés de 4 catégories conceptuelles : les critères diagnostiques de dépendance (DSM-IVTR), le tempérament (Cloninger et Zuckerman), le processus de production du handicap social (Fougeyrollas) et une grille dâanalyse cognitivo-comportementale (Beck). 3) tous les instruments ont été analysés et comparés au moyen de cette grille qui a été développée est validée par un accord inter-juge élevé. Résultats : Nous avons répertorié 191 questionnaires répartis sur 21 conduites addictives. On constate que les conduites les plus prévalentes sont également celles pour lesquelles on retrouve le plus grand nombre de questionnaires. Les catégories que les questionnaires évaluent le plus sont celles des critères de la dépendance et lâanalyse cognitivo-comportementale, les catégories beaucoup moins bien représentées étant celles du tempérament et du processus de production du handicap social. On note des tendances semblables pour les paramètres entre les questionnaires portant sur la toxicomanie et ceux portant sur les addictions sans drogues. Conclusion : Ce mémoire confirme une cohésion clinique dans la mesure des addictions, tel que déterminé par une grille validée appliquée sur un ensemble exhaustif de questionnaires répertoriés par une revue systématique.

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Contexte : Une tentative de suicide antérieure et les troubles mentaux constituent dâimportants facteurs de risque de suicide. Les services de santé ont un rôle important à jouer en matière de prévention. Objectif : Analyser les patrons de recours aux services à des fins de santé mentale avant et après une hospitalisation pour tentative de suicide chez les résidents montréalais qui ont reçu un diagnostic de schizophrénie ou de dépression. Méthode : Les données proviennent de la banque médico administrative jumelée de lâAgence de Montréal. Les caractéristiques des patients et les taux de contacts avec les services trois mois avant et après lâhospitalisation index furent comparées. Lâéchantillon représentatif compte 525 Montréalais hospitalisés à la suite dâune tentative de suicide (avr. 2003-déc. 2004) qui ont reçu un diagnostic de schizophrénie ou de dépression. Résultats : Le recours aux services a augmenté de manière significative suivant lâhospitalisation index. Les patients déjà en contact avec les services et les hommes avec comorbidité en termes dâabus de substances semblent en contact avec les services au cours des trois mois suivant leur hospitalisation contrairement aux femmes avec comorbidité. Le profil « urgence » de recours aux services semble prédire une absence de recours aux services. Conclusions : Les services de santé répondent aux tentatives de suicide, particulièrement chez les hommes avec troubles dâabus de substances. Cependant, des interventions sont requises en vue dâaméliorer la coordination des services, principalement pour les personnes qui se présentent lâurgence, les femmes avec troubles dâabus de substances et les patients en marge du système avant leur hospitalisation.

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Contexte: Lâanhédonie, un état caractérisé par une capacité réduite dâéprouver du plaisir. Des études cliniques récentes montrent quâun médicament antipsychotique atypique, la quétiapine, est bénéfique pour le traitement de la toxicomanie qui est supposé dâatténuer les symptômes de sevrage associés à lâusage abusif des drogues psychotropes. Le but de la présente étude était dâétudier les effets de l'administration aiguë de quétiapine sur la récompense chez des animaux en état de sevrage après un traitement chronique avec lâamphétamine. Notre hypothese est que la quetiapine va diminuer lâanhedonie causer par le sevrage. Méthodes: Les expériences ont été effectuées avec des rats mâles de la souche Sprague-Dawley entraînés à produire une réponse opérante pour obtenir une courte stimulation électrique au niveau de l'hypothalamus latéral. Des mesures du seuil de récompense ont été déterminées chez différents groupes de rats avant et pendant quatre jours après le traitement avec des doses croissantes (1 à 10 mg/kg, ip toutes les 8 heures) de d-amphétamine sulfate, ou de son véhicule, au moyen de la méthode du déplacement de la courbe. Lâeffet de deux doses de quétiapine a été testé 24 h après le sevrage chez des animaux traités avec lâamphétamine ou le véhicule. Résultats: Les animaux traités avec lâamphétamine ont montré une augmentation de 25% du seuil de récompense 24 h après la dernière injection, un effet qui a diminué progressivement entre le jour 1 et le jour 4, mais qui est resté significativement plus élevé en comparaison de celui du groupe contrôle. La quétiapine administrée à 2 et 10 mg/kg pendant la phase de sevrage (à 24 h) a produit une augmentation respective de 10 % et 25 % du seuil de recompense; le meme augmentation du seuil a été observe chez les animaux traitées avec le véhicule. Un augmentation de 25 % du seuil de recompense a aussi été observés chez les animaux en état de sevrage à l'amphétamine. Un test avec une faible dose dâamphétamine (1 mg/kg) avant et après le sevrage a révélé une légère tolérance à lâeffet amplificateur de cette drogue sur la récompense, un phénomène qui pourrait expliquer lâeffet différent de la quétiapine chez les animaux traités avec le véhicule et ceux traités avec lâamphétamine. Conclusions: Ces résultats reproduisent ceux des études précédentes montrant que la quétiapine produit une légère atténuation de la récompense. Ils montrent également que le sevrage à lâamphétamine engendre un léger état d'anhédonie et que dans cet état, une dose élevée de quetiapine et non pas une dose faible accentue lâétat émotionnel négatif. Ils suggèrent quâun traitement à faibles doses de quétiapine des symptômes de sevrage chez le toxicomane devrait ni aggraver ni améliorer son état émotionnel.

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Il est possible quâune personne qui consulte pour un problème dâutilisation de substances souffre également dâun problème associé à un état de stress post-traumatique ( ESPT ). Plusieurs auteurs croient quâil existe un lien expliquant cette co-morbidité. Voilà pourquoi plusieurs hypothèses ont été formulées pour expliquer le lien entre un trouble tel que celui lié à lâutilisation de substance (TUS) pouvant exister avant lâESPT, la vulnérabilité suite au TUS, ainsi que lâautomédication. Plusieurs recherches proposent deux types dâinterventions afin dâaider les personnes aux prises avec cette double problématique. La première consiste à traiter les deux problèmes séparément alors que la seconde, préconise une approche intégrée et simultanée. Puisque les écrits conseillent davantage un traitement intégré, il y aura une présentation dâune de ces formes de traitement nommé « à la recherche de la sécurité ». Le volet académique visait à comprendre le lien existant entre le TUS, les traumas psychologiques et lâESPT ainsi que les différentes formes dâinterventions pour aider les personnes ayant cette co-morbidité. Nous avons utilisé un module du programme « à la recherche de la sécurité » récemment traduit en français afin de vérifier sa mise en application et lâappréciation quâen ont fait cinq usagers du Centre Dollar-Cormier-Institut universitaire sur les dépendances (CDC-IUD) ayant vécu un traumatisme au cours de leur vie. En conclusion, il sera démontré dans nos résultats que les hypothèses quant au lien de comorbidité sont effectivement présentes dans la réalité des personnes ayant un ESPT et un TUS, et quâune intervention intégrée offre des points positifs autant pour lâusager que pour lâintervenant.

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Cette thèse pose un premier regard sur lâexpérience subjective de la violence manifestée par les individus atteints dâun trouble de santé mentale grave et persistant et dâun trouble lié à une substance. à partir dâune recension des écrits, elle présente, dans le premier chapitre, une adaptation des volets psychopharmacologique et économico-compulsif du modèle tripartite de Goldstein (1985), à la population aux prises avec une telle comorbidité. Dans les deuxième et troisième chapitres, elle présente lâanalyse qualitative dâune série dâentrevues effectuées auprès de détenus incarcérés dans une unité de santé mentale dâun pénitencier canadien pour cause de délits violents. Elle explore, dans ces chapitres, les représentations de lâinfluence de la consommation sur les différentes sphères de la vie de ces détenus ainsi que lâimportance quâils attribuent à celles-ci quant au passage à lâacte responsable de leur incarcération. Lâanalyse démontre que presque la moitié des personnes interrogées attribue la responsabilité du délit violent aux effets directs de la substance sur les symptômes liés à la maladie mentale ou aux effets directs de celle-ci sur leur comportement et leurs cognitions. Les autres attribuent plutôt la responsabilité de leur acte violent à la détérioration de leur fonctionnement psychosocial (câestà- dire à leur incapacité graduelle à maintenir un emploi, à se nourrir, se loger et à entretenir des relations sociales, amoureuses ou familiales), qui résulte des conséquences sociales et économiques associées à lâusage répétitif et/ou excessif de substances intoxicantes. à la lumière de ces résultats, le deuxième chapitre vérifie lâapplicabilité du volet psychopharmacologique à cette population, et le troisième, celle du volet économico-compulsif. Les trois chapitres de cette thèse sont présentés sous forme dâarticles scientifiques.

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Les problèmes de toxicomanie sont très communs chez les schizophrènes. Lâadministration chronique dâantipsychotiques pourrait être impliquée dans cette cooccurrence en induisant une hypersensibilisation du système dopaminergique. Précédemment, nous avons démontré chez le rat quâun traitement continu (via une mini-pompe osmotique sous-cutanée), et non pas intermittent (via des injections journalières sous-cutanées), avec lâhalopéridol a augmenté la capacité de lâamphétamine à potentialiser un comportement de recherche de récompense. Dans cette étude, nous avons étudié les effets dâun antipsychotique atypique soit lâolanzapine comparé à lâhalopéridol. Un traitement continu avec lâhalopéridol, et non pas lâolanzapine, a augmenté la capacité de lâamphétamine de potentialiser la poursuite dâune récompense conditionnée (lumière/son préalablement associés à lâeau). De plus, un traitement continu avec lâhalopéridol a augmenté lâinduction par lâamphétamine de lâactivité locomotrice et lâexpression dâARNm pour le c-fos (marqueur fonctionnel dâactivité cellulaire) dans le caudé-putamen. Donc, un traitement continu avec un antipsychotique typique, et non pas atypique, a augmenté les caractéristiques motivationnelles attribuées à un stimulus neutre. Ceci est potentiellement lié à au développement dâun état de sensibilisation comportementale aux effets de lâamphétamine et à une augmentation de la capacité de lâamphétamine de susciter la modulation de lâactivité du caudé-putamen. Ainsi, un antipsychotique typique tel que lâhalopéridol semble modifier les circuits de la récompense de façon à contribuer à des comportements caractérisés par une recherche et une consommation de drogues dâabus alors quâun antipsychotique atypique tel que lâolanzapine aurait moins tendance à le faire. Nous suggérons que les antipsychotiques atypiques pourraient être une meilleure option chez les patients schizophrènes à risque dâavoir un trouble de consommation de drogues dâabus ou de toxicomanie.

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La dopamine (DA) est un neurotransmetteur impliqué dans la modulation de fonctions essentielles du cerveau telles que le contrôle des mouvements volontaires, le système de récompense et certains aspects de la cognition. Depuis sa découverte, la DA a attiré énormément d'attention scientifique en partie à cause des pathologies majeures associées aux dysfonctions du système DAergique, comme la maladie de Parkinson, la schizophrénie et la toxicomanie. On retrouve la majorité des neurones qui synthétisent la DA au niveau du mésencéphale ventral, dans les noyaux de la substance noire compacte (SNc) et de l'aire tegmentaire ventrale (ATV). Ces neurones projettent leurs axones dans un très dense réseau de fibres qui s'organisent en trois voies DAergiques classiques: la voie nigrostriée, la voie mésolimbique et la voie mésocorticale. La transmission DAergique s'effectue par l'activation de récepteurs de la DA qui font partie de la grande famille des récepteurs couplés aux protéines G (RCPGs). Les récepteurs de la DA sont abondamment exprimés aussi bien par les neurones DAergiques que par les neurones des régions cibles, ce qui implique que la compréhension de la signalisation et des fonctions particulières des récepteurs de la DA pré- et postsynaptiques représente un enjeu crucial dans l'étude du système DAergique. Cette thèse de doctorat se sépare donc en deux volets distincts: le premier s'intéresse à la régulation du récepteur D2 présynaptique par la neurotensine (NT), un neuropeptide intimement lié à la modulation du système DAergique; le deuxième s'intéresse au côté postsynaptique du système DAergique, plus particulièrement à la ségrégation de l'expression des récepteurs de la DA dans le striatum et aux fonctions de ces récepteurs dans l'établissement des circuits neuronaux excitateurs prenant place dans cette région. Dans la première partie de cette thèse, nous démontrons que l'activation du récepteur à haute affinité de la NT, le NTR1, provoque une internalisation hétérologue du récepteur D2, avec une amplitude et une cinétique différente selon l'isoforme D2 observé. Cette internalisation hétérologue dépend de la protéine kinase C (PKC), et nous montrons que la surexpression d'un récepteur D2 muté sur des sites de phosphorylation par la PKC ii ainsi que l'inhibition de l'expression de β-arrestine1 par ARNs interférents dans des neurones DAergiques bloquent complètement l'interaction fonctionnelle entre le NTR1 et le D2. Dans la deuxième partie de cette thèse, nous démontrons d'abord que la ségrégation de l'expression des récepteurs D1 et D2 dans le striatum est déjà bien établie dès le 18e jour embryonnaire, bien qu'elle progresse encore significativement aux jours 0 et 14 postnataux. Nos résultats témoignent aussi d'un maintien complet de cette ségrégation lorsque les neurones striataux sont mis en culture aussi bien en présence ou en absence de neurones corticaux et/ou mésencéphaliques. Ensuite, nous montrons que la présence de neurones mésencéphaliques stimule la formation dâépines et de synapses excitatrices sur les neurones striataux épineux exprimant le récepteur D2 (MSN-D2). Le co-phénotype glutamatergique des neurones dopaminergiques semble nécessaire à une grande partie de cet effet. Par ailleurs, le nombre total de terminaisons excitatrices formées sur les MSN-D2 par les neurones corticaux et mésencéphaliques apparaît être régit par un équilibre dynamique. Finalement, nous démontrons que le blocage de la signalisation des récepteurs D1 et D2 de la DA n'est pas nécessaire pour la formation des synapses excitatrices des MSN-D2, alors que l'antagonisme des récepteurs glutamatergiques ionotropes diminue la densité d'épines dendritiques et contrôle de façon opposée le nombre de terminaisons excitatrices corticales et mésencéphaliques. Globalement, ce travail représente une contribution significative pour une meilleure compréhension du fonctionnement normal du système DAergique. Ces découvertes sont susceptibles dâêtre utiles pour mieux comprendre les dysfonctions de ce système dans le cadre de pathologies du cerveau comme la maladie de Parkinson.

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Essai présenté à la Faculté des arts et des sciences en vue de l'obtention du grade de Maîtrise en service social

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Rapport de stage présenté à la Faculté des arts et des sciences en vue de l'obtention du grade de Maîtrise en criminologie

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Rapport académique présenté à la Faculté des arts et des sciences en vue de lâobtention du grade de M. Sc. en criminologie, option intervention

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The aim of this study was to investigate service utilization by students and staff in the 18 months following the September 13, 2006, shooting at Dawson College, Montreal, as well as the determinants of this utilization within the context of Canadaâs publicly managed healthcare system. Methods A sample of 948 from among the collegeâs 10,091 students and staff agreed to complete an adapted computer or web-based standardized questionnaire drawn from the Statistics Canada 2002 Canadian Community Health Survey cycle 1.2 on mental health and well-being. Results In the 18 months following the shooting, there was a greater incidence and prevalence not only of PTSD, but also of other anxiety disorders, depression, and substance abuse. Staff and students were as likely to consult a health professional when presenting a mental or substance use disorder, with females more likely to do so than males. Results also indicated that there was relatively high internet use for mental health reasons by students and staff (14% overall). Conclusions Following a major crisis event causing potential mass trauma, even in a society characterized by easy access to public, school and health services and when the population involved is generally well educated, the acceptability of consulting health professionals for mental health or substance use problems represents a barrier. However, safe internet access is one way male and female students and staff can access information and support and it may be useful to further exploit the possibilities afforded by web-based interviews in anonymous environments.

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Rapport de stage présenté en vue de lâobtention du grade de Maître ès sciences (M.Sc.) En criminologie option stage â profil intervention clinique

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Driving while impaired (DWI) is a grave and persistent high-risk behavior. Previous work demonstrated that DWI recidivists had attenuated cortisol reactivity compared to non-DWI drivers. This suggests that cortisol is a neurobiological marker of high-risk driving. The present study tested the hypothesis that this initial finding would extend to first-time DWI (fDWI) offenders compared to non-DWI drivers. Male fDWI offenders (n = 139) and non-DWI drivers (n = 31) were exposed to a stress task, and their salivary cortisol activity (total output and reactivity) was measured. Participants also completed questionnaires on sensation seeking, impulsivity, substance use, and engagement in risky and criminal behaviors. As hypothesized, fDWI offenders, compared to non-DWI drivers, had lower cortisol reactivity; fDWI offenders also showed lower total output. In addition, cortisol activity was the most important predictor of group membership, after accounting for alcohol misuse patterns and consequences and other personality and problem behavior characteristics. The findings indicate that attenuated cortisol activity is an independent factor associated with DWI offending risk at an earlier stage in the DWI trajectory than previously detected.