8 resultados para Howel, Welsh king, d. 950.

em Université de Montréal, Canada


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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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"Thèse présentée à la Faculté des études supérieures en vue de l'obtention du grade de Docteur en droit (LL.D.)"

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Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de ce mémoire a été ©pouillée de ses documents visuels et audio-visuels. La version intégrale du mémoire a été ©posée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal

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Entre 1378 et 1417, l’Église est €™abord divisée entre deux, puis entre trois papes concurrents. Alors qu’Urbain VI et ses successeurs s’installent à Rome, Clément VII et son successeur rentrent en Avignon. Cette thèse répertorie et analyse les différentes expériences normandes en réponse au Grand Schisme €™Occident. Les engagements normands pour résoudre le schisme sont pluriels et s’expriment différemment selon les milieux. S’appuyant sur des sources diverses telles que le Registre des suppliques des archives du Vatican, les archives de l’Université de Paris et les archives locales, elle met en évidence les différents courants qui ont coexisté en Normandie en réaction au Grand Schisme €™Occident. Alors que la noblesse normande était généralement favorable aux papes €™Avignon, reconnus officiellement par le roi de France, €™importants courants de résistance envers cette papauté se sont aussi manifestés dans les milieux universitaires et au sein du clergé normand, poussant même certains à choisir l’exil en terre urbaniste. Ces exilés normands, bien que peu nombreux, ont exercé une influence consi©rable et ont été peu étudiés en tant que groupe auparavant. Parmi l’importante majorité de ceux qui restèrent dans l’obédience avignonnaise, plusieurs intellectuels normands furent pourtant reconnus comme étant €™acerbes critiques, voire des ennemis de Clément VII et de Benoît XIII. Les liens qu’ont maintenus les exilés normands avec leurs collègues restés en terre clémentiste ont joué un rôle appréciable dans le rapprochement des obédiences opposées au ©but du XVe siècle. La présente thèse permet de mettre en lumière les multiples attitudes normandes en réponse au schisme, €™approfondir la connaissance portant sur les milieux normands touchés par la crise, ainsi que sur les ©bats qui l’ont entourée, et de poursuivre la réflexion sur la question de l’obéissance et des réseaux normands à l’œuvre pendant cette période.

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Comme son titre l’indique, ce mémoire a pour objet une réflexion sur la mise en récit €™un personnage historique. Afin €™explorer l’évolution des points de vue sur un personnage historique (Maurice Duplessis) et l’époque à laquelle il est rattaché dans la mémoire collective (la Grande noirceur), ce travail s’appuiera sur la théorie de la biographie de François Dosse (Le pari biographique) ainsi que sur les mises en récit et le discours de trois auteurs différents. La première biographie analysée sera Maurice Duplessis et son temps, récit historique romancé et admiratif €™une figure quasi royale, écrit par Robert Rumilly, historien royaliste et disciple de Charles Maurras. La seconde biographie analysée sera Duplessis, le grand récit épique €™un conservateur illustre, écrit par Conrad Black, homme €™affaires et historien de sensibilité conservatrice. Finalement, la troisième biographie analysée sera la série télévisée Duplessis, écrite par Denys Arcand, présentant Duplessis comme l’incarnation tragique et séguiniste de la nation canadienne-française, lucide et ©sabusé par rapport à l’impasse historico-politique de son peuple. Pour compléter l’analyse, ce mémoire s’appuiera aussi sur la théorie de l’identité narrative de Paul RicÅ“ur dans Soi-même comme un autre, Temps et récit et La mémoire, l’histoire, l’oubli, et sur la mise en récit et l’écriture même de l’histoire étudiée par Michel de Certeau dans L’écriture de l’histoire. À travers l’analyse de ces trois biographies, ce mémoire tentera de montrer l’évolution du rapport à la mémoire collective et les distinctions entre l’Histoire et la fiction.

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Comment comprendre la volonté d'appartenir à la nation américaine des Afro-Américains en ©pit d'une mémoire faite d'humiliation et d'une accumulation de revers? À plusieurs reprises durant l'histoire américaine, des élites ont proposé à la communauté noire des solutions dites « radicales » qui remettent en question le paradigme dominant de l'intégration à la nation américaine. Ce mémoire tente d'identifier les raisons qui expliquent pourquoi, au cours du mouvement pour les droits civiques, les Noirs font le choix de l'intégration ©fendu par Martin Luther King et rejettent le séparatisme ©fendu par Malcolm X. La spécificité du mémoire réside dans l'utilisation de la littérature sur la formation des nations qui me permet d'étudier le choix des Afro-Américains. La nation est vue comme le produit d'une construction qui fait interagir les élites et les masses. J'étudie « par le haut » la façon dont les entrepreneurs ethniques, King et Malcolm X, re©finissent l'américanité. J'étudie également « par le bas » comment les masses reçoivent les discours de ces élites. Ma première hypothèse se consacre à la formation de l'alliance stratégique entre King et l'exécutif américain qui permet à King de ©finir l'agenda législatif et d'appuyer son discours sur les gains qu'il réalise. La deuxième hypothèse se penche sur la structure des opportunités s'offrant aux Afro-Américains qui orientent le choix qu'ils font.

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Travail dirigé présenté à la Faculté des sciences infirmières en vue de l'obtention du grade de maître ès Sciences (M.Sc.)

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Les manifestations de crise, en Côte d'Ivoire, ont été extrêmement violentes. Au cours des quinze dernières années, plus de 400 personnes sont mortes, tuées dans des affrontements avec les forces de sécurités ou des contre-manifestants. Malgré la gravité du problème, peu €™Ã©tudes scientifiques y sont consacrées et les rares analyses et enquêtes existantes portent, de façon unilatérale, sur l’identité et la responsabilité pénale des auteurs et commanditaires putatifs de cette violence. La présente étude s’élève contre le moralisme inhérent à ces approches pour aborder la question sous l’angle de l’interaction : cette thèse a pour objectif de comprendre les processus et logiques qui sous-tendent l’usage de la violence au cours des manifestations. Le cadre théorique utilisé dans cette étude qualitative est l’interactionnisme symbolique. Le matériel €™analyse est composé €™entrevues et de divers documents. Trente-trois (33) entrevues semi-dirigées ont été réalisées avec des policiers et des manifestants, cooptés selon la technique de la boule de neige, entre le 3 janvier et le 15 mai 2013, à Abidjan. Les rapports €™enquête, de l’ONG Human Rights Watch, sur les manifestations de crise, les manuels de formation de la police et divers autres matériaux périphériques ont également été consultés. Les données ont été analysées suivant les principes et techniques de la théorisation ancrée (Paillée, 1994). Trois principaux résultats ont été obtenus. Premièrement, le système ivoirien de maintien de l'ordre est conçu selon le mo¨le €™une « police du prince ». Les forces de sécurité dans leur ensemble y occupent une fonction subalterne €™exécutant. Elles sont placées sous autorité politique avec pour mandat la ©fense inconditionnelle des institutions. Le style standard de gestion des foules, qui en ©coule, est légaliste et répressif, correspondant au style €™escalade de la force (McPhail, Schweingruber, & Carthy, 1998). Cette « police du prince » dispose toutefois de marges de manÅ“uvre sur le terrain, qui lui permettent de moduler son style en fonction de la conception qu’elle se fait de l’attitude des manifestants : paternaliste avec les foules dites calmes, elle devient répressive ou ©viante avec les foules qu’elle ©finit comme étant hostiles. Deuxièmement, à rebours €™une conception victimaire de la foule, la violence est une transaction situationnelle dynamique entre forces de sécurité et manifestants. La violence suit un processus ascendant dont les séquences et les règles €™enchainement sont ©crites. Ainsi, le premier niveau auquel s’arrête la majorité des manifestations est celui €™une force non létale bilatérale dans lequel les deux acteurs, protestataires et policiers, ont recours à des armes non incapacitantes, où les cailloux des premiers répondent au gaz lacrymogène des seconds. Le deuxième niveau correspond à la létalité unilatérale : la police ouvre le feu lorsque les manifestants se rapprochent de trop près. Le troisième et dernier niveau est atteint lorsque les manifestants utilisent à leur tour des armes à feu, la létalité est alors bilatérale. Troisièmement, enfin, le concept de « l’indignité républicaine » rend compte de la logique de la violence dans les manifestations. La violence se ©clenche et s’intensifie lorsqu’une des parties, manifestants ou policiers, interprète l’acte posé par l’adversaire comme étant en rupture avec le rôle attendu du statut qu’il revendique dans la manifestation. Cet acte jugé indigne a pour conséquence de le priver de la ©férence rattachée à son statut et de justifier à son encontre l’usage de la force. Ces actes €™indignités, du point de vue des policiers, sont symbolisés par la figure du manifestant hostile. Pour les manifestants, l’indignité des forces de sécurité se reconnait par des actes qui les assimilent à une milice privée. Le degré €™indignité perçu de l’acte explique le niveau €™allocation de la violence.