218 resultados para accès aux soins
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Travail dirig prsent la Facult des tudes suprieures et postdoctorales en vue de lobtention du grade de Matrise s sciences (M. Sc.) en sciences infirmires, option expertise-conseil
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Travail dirig prsent la Facult des tudes suprieures et postdoctorales en vue de lobtention du grade de Matre s sciences (M. Sc.) en sciences infirmires Option Expertise-Conseil
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Contexte : Trois audits de lAVC ont t mens en Catalogne en 2005, 2007 et 2010. Ces audits valuent un nombre limit des recommandations laide dindicateurs. Le but de ltude est de dcrire le suivi des recommandations spcifiques aux soins infirmiers en 2010, danalyser lvolution du suivi en 2005, 2007 et 2010 et didentifier des facteurs relis ce suivi. Mthode : Il sagit dune tude descriptive/corrlationnelle. Six indicateurs spcifiques aux soins infirmiers ont t mesurs. Les donnes ont t collectes partir des dossiers mdicaux des patients admis dans 46 hpitaux publics. Lvolution du suivi a t analyse laide des chi-carrs et des modles de rgression ont t utiliss afin didentifier les facteurs relis ce suivi. Rsultats : Au total 2190 cas ont t valus. Trois des six indicateurs valus montrent un suivi >70% : mobilisation prcoce (78,6%), ralisation dun ECG basal (97%) et ralisation dune glycmie basale (97,7%). Le dpistage de la dysphagie amliore au cours des trois audits (p<0,001). Lvaluation de lhumeur, sest dtriore par rapport 2007 (p=0,002). Les analyses ajustes pour les caractristiques et la gravidit des patients montrent un majeur suivi du dpistage de la dysphagie parmi les cas admis en neurologie (OR : 5,28, IC 95%, 1,35 20,6) et/ou dans les centres de plus de 300 admissions/anne par AVC (OR : 4,31, IC 95%, 1,04 17,8) ainsi que de lducation au patient/famille quand le patient est admis en fin de semaine (OR : 1,62 IC 95%, 1,03 2,54). Discussion : Lvolution dans le suivi des recommandations montre que la qualit des soins infirmires aux personnes ayant subi un AVC samliore progressivement en Catalogne. Toutefois, une amlioration de certaines recommandations est possible. Ainsi, il savre ncessaire de renforcer et promouvoir des interventions plus cibles et spcifiques.
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Le travail dquipe et la collaboration interprofessionnelle aux soins intensifs sont essentiels pour prodiguer des soins de qualit aux patients et pour leur scurit. Cependant, les multiples interactions que ncessite une collaboration dans un contexte de soins aigus sont susceptibles de causer des tensions, des conflits et un travail inefficace dans lquipe. Les dterminants de cette collaboration en soins intensifs ne sont pas encore bien identifis. L'objectif de cette recherche est d'identifier et d'valuer limportance relative des dterminants susceptibles dinfluencer la collaboration interprofessionnelle dans une quipe de soins intensifs. Un questionnaire valuant ces dterminants a t labor et rempli par des professionnels de la sant travaillant dans quatre units de soins intensifs dun hpital universitaire de Montral. Un total de 312 professionnels, dont 46 mdecins, 187 infirmires et 62 inhalothrapeutes, ont rempli le questionnaire. Des modles d'analyses de rgression multiple par hirarchisation ont permis de dterminer que la clart du travail et des processus , la confiance et le respect , mais tout particulirement la participation aux dcisions sont des dterminants statistiquement significatifs pour prdire la collaboration dans une quipe de soins intensifs. Une analyse de sous-groupe suggre des diffrences entre les mdecins et les infirmires sur la perception de ces dterminants. Ces rsultats apportent de nouveaux lments dans la comprhension de la pratique de la collaboration et du travail dquipe dans une quipe de soins intensifs, en prcisant mieux ses dterminants. Sur le plan pratique, cela implique qu'il faille : i) favoriser un dveloppement de la comptence de collaboration des professionnels travaillant dans le milieu des soins intensifs ; ii) cibler lapprentissage auprs de ces professionnels en tenant compte des dterminants de la collaboration identifis dans la prsente tude.
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Au cours des dernires annes, le dveloppement des connaissances au niveau de ltiologie de la maladie ainsi que larrive de nouveaux mdicaments et de lignes directrices guidant la pratique clinique sont susceptibles davoir entran une meilleure gestion de la polyarthrite rhumatode (PAR) et de lostoporose, une comorbidit frquente chez ces patients. Dans cette thse, trois questions de recherche sont tudies laide des banques de donnes administratives qubcoises (RAMQ, MED-CHO). Une premire tude documente lutilisation des mdicaments pour la PAR au Qubec. ce jour, il sagit de la seule tude canadienne rapporter les tendances dutilisation des DMARD (disease-modifying antirheumatic drug) biologiques depuis leur introduction dans la pratique clinique. Au cours de la priode ltude (2002-2008), lutilisation de DMARD (synthtiques et biologiques) a augment lgrement dans la population atteinte de PAR (1,9%, 95% CI : 1,1 - 2,8). Cependant, malgr la prsence de recommandations cliniques soulignant limportance de commencer un traitement rapidement, et la couverture de ces traitements par le rgime gnral dassurance mdicaments, les rsultats dmontrent une initiation sous-optimale des DMARD chez les patients nouvellement diagnostiqus (probabilit dinitiation 12 mois : 38,5%). Linitiation de DMARD tait beaucoup plus frquente lorsquun rhumatologue tait impliqu dans la provision des soins (OR : 4,31, 95% CI : 3,73 - 4,97). Concernant les DMARD biologiques, le facteur le plus fortement associ avec leur initiation tait lanne calendrier. Chez les sujets diagnostiqus en 2002, 1,2 sur 1 000 ont initi un DMARD biologique moins dun an aprs leur diagnostic. Pour ceux qui ont t diagnostiqus en 2007, le taux tait de 13 sur 1 000. Les rsultats dmontrent que si la gestion pharmacologique de la PAR sest amliore au cours de la priode ltude, elle demeure tout de mme sous-optimale. Assurer un meilleur accès aux rhumatologues pourrait, semble-t-il, tre une stratgie efficace pour amliorer la qualit des soins chez les patients atteints de PAR. Dans une deuxime tude, lassociation entre lutilisation des DMARD biologiques et le risque de fractures ostoporotiques non vertbrales chez des patients PAR gs de 50 ans et plus a t rapporte. Puisque linflammation chronique rsultant de la PAR interfre avec le remodelage osseux et que les DMARD biologiques, en plus de leur effet anti-inflammatoire et immunosuppresseur, sont des modulateurs de lactivit cellulaire des ostoclastes et des ostoblastes pouvant possiblement mener la prvention des pertes de densit minrale osseuse (DMO), il tait attendu que leur utilisation rduirait le risque de fracture. Une tude de cas-tmoin intra-cohorte a t conduite. Bien quaucune rduction du risque de fracture suivant lutilisation de DMARD biologiques nait pu tre dmontre (OR : 1,03, 95% CI : 0,42 - 2,53), ltude tablit le taux dincidence de fractures ostoporotiques non vertbrales dans une population canadienne atteinte de PAR (11/1 000 personnes - annes) et souligne le rle dimportants facteurs de risque. La prvalence leve de lostoporose dans la population atteinte de PAR justifie que lon accorde plus dattention la prvention des fractures. Finalement, une troisime tude explore limpact de la dissmination massive, en 2002, des lignes directrices du traitement de lostoporose au Canada sur la gestion pharmacologique de lostoporose et sur les taux dincidence de fractures ostoporotiques non vertbrales chez une population de patients PAR gs de 50 ans et plus entre 1998 et 2008. tant donn la disponibilit des traitements efficaces pour lostoporose depuis le milieu des annes 1990 et lvolution des lignes directrices de traitement, une rduction du taux de fractures tait attendue. Quelques tudes canadiennes ont dmontr une rduction des fractures suivant une utilisation tendue des mdicaments contre lostoporose et de lostodensitomtrie dans une population gnrale, mais aucune ne sest attarde plus particulirement sur une population adulte atteinte de PAR. Dans cette tude observationnelle utilisant une approche de srie chronologique, aucune rduction du taux de fracture aprs 2002 (priode suivant la dissmination des lignes directrices) na pu tre dmontre. Cependant, lutilisation des mdicaments pour lostoporose, le passage dostodensitomtrie, ainsi que la provision de soins pour lostoporose en post-fracture ont augment. Cette tude dmontre que malgr des annes de disponibilit de traitements efficaces et dinvestissement dans le dveloppement et la promotion de lignes directrices de traitement, leffet bnfique au niveau de la rduction des fractures ne sest toujours pas concrtis dans la population atteinte de PAR, au cours de la priode ltude. Ces travaux sont les premiers examiner, laide dune banque de donnes administratives, des sujets atteints de PAR sur une priode stalant sur 11 ans, permettant non seulement ltude des changements de pratique clinique suivant lapparition de nouveaux traitements ou bien de nouvelles lignes directrices, mais galement de leur impact sur la sant. De plus, via ltude des dterminants de traitement, les rsultats offrent des pistes de solution afin de combler lcart entre la pratique observe et les recommandations cliniques. Enfin, les rsultats de ces tudes bonifient la littrature concernant la qualit des soins pharmacologiques chez les patients PAR et de la prvention des fractures.
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Laccessibilit des soins de sant pour une population habitant une rgion loigne au Qubec reprsente un dfi de taille pour le Ministre de la sant et des services sociaux. Des solutions, telles que la tlsant, ont t prsentes afin de pallier ce problme. Le RUIS McGill a ainsi dvelopp un programme de tlobsttrique afin de desservir une population de femmes inuites grossesse risque lev (GARE) habitant le Nunavik. Lobjectif de ce mmoire fut de comprendre limpact du service de tlobsttrique du RUIS McGill sur la sant des femmes et de leur nouveau-n ainsi que sur les cots de sant et lutilisation des services suite son implantation au Centre de sant et de services sociaux Inuulitsivik sur la cte de la baie dHudson. Les femmes inuites grossesse risque lev et leurs enfants de la rgion de la baie dHudson du Nunavik, loigns des services obsttriques spcialiss, sont viss. Le service de tlobsttrique permet un accès aux obsttriciens du RUIS McGill localiss Montral. Un devis quasi-exprimental est utilis pour examiner trois hypothses portant sur ltat de sant des mres et des enfants, sur lutilisation des services de sant et sur leurs cots. Le service de tlobsttrique est devenu fonctionnel en 2006, offrant la possibilit de constituer une tude avant-aprs deux groupes de femmes, soit celles ayant accouch avant 2006 (prtest) et celle ayant accouch aprs 2012 (post-test). La collecte de donne se fit, dans son intgralit, par lentremise des dossiers mdicaux papier des participantes permettant lanalyse de 47 dossiers pour le prtest et de 81 dossiers pour le post-test. Lexcution danalyse de covariance, de rgression logistique et du test non paramtrique de Mann-Witney permit de conclure que le prtest et le post-test ne diffrent que sur deux variables, soient le poids la naissance, plus faible dans le post-test et la pression artrielle de la mre la naissance, plus leve dans le post-test. Pour lensemble des autres variables portant sur les trois hypothses ltude, les rsultats de ce mmoire ne dmontrent aucune diffrence significative entre les deux groupes dmontrant ainsi quune mme qualit de soins a t conserve suite limplantation du programme de tlobsttrique. Sur la base des rsultats, ce mmoire recommande de revoir et modifier les objectifs du programme; de partager les bornes de communication de tlsant avec dautres spcialits; dentreprendre une valuation du programme axe sur les cots; de suivre rigoureusement lutilisation du programme pour en maximiser lefficacit et le potentiel; dtablir un tableau de bord; et dentreprendre une tude valuative comparative dans un service de tlobsttrique comparable.
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"Mmoire prsent la Facult des tudes suprieures en vue de l'obtention du grade de LL.M. en droit option recherche"
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"Mmoire prsent la Facult des tudes suprieures en vue de l'obtention du grade de Matrise en Droit (LL.M.)"
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The privileges arising from patent protection on pharmaceutical products often prevent the full realization of the right to health, especially in developing countries with scarce resources. This thesis first identifies the international agreements that have established the right to health in international law, obligations and violations associated with it, the problems encountered in the implementation of human rights on the field, compared with the implementation and sanctions associated with economic rights from the World Trade Organization regulatory framework. A comparative study of the legislative frameworks of both developed and developing countries will reveal to what extent Canada, the United States, the European Union, Brazil, India, and South Africa conformed with patent protection exceptions arising from international patent law to protect public health. Finally, the author identifies the crucial indicators that need to be considered in order to assess the conformity of a given approach with the right to health, before he underscores the temporary character of the relevant WTO measures, and the future stakes concerning an increased access to essential medicines.
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"Mmoire prsent la Facult des tudes suprieures en vue de l'obtention du grade de LL.M. en droit option droit des affaires"
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La technologie est une manire pour la science dexprimer son ct pratique en plus dtre un moyen de traduire les connaissances lors de vraies applications scientifiques, mais ce processus peut engendrer une varit de dfis moraux et thiques. Le champ des biotechnologies laisse entrevoir de grandes ralisations pour les socits, y compris des traitements mdicaux rvolutionnaires et des aliments modifis gntiquement, lesquels seraient scuritaires, accessibles et largement disponibles. Mais peu de produits ont russi le saut dans le panier du consommateur. Dans un des domaines d'application les plus prometteurs, tel celui des biotechnologies agricoles, certaines technologies nont pas encore entirement merg des laboratoires et ces produits, qui sont lheure actuelle sur le march, ont t la source de polmiques significatives. Ltude prsente se concentre sur le cas des vaccins faits partir de plantes transgniques qui, au cours des 15 dernires annes, a peine passer outre ltape de la preuve de conception. Ces vaccins stagnent l o ils auraient d accomplir la promesse d'or de fournir bas cot une inoculation efficace pour les populations pauvres des pays en voie de dveloppement. La question examine dans cet essai est pourquoi, au-del du processus de la dcouverte et de la conceptualisation, de telles technologies prouvent des difficults atteindre leur maturit et ainsi retarde limplantation dans les socits contemporaines ? Quels facteurs particuliers, sous langle de la biothique, auront besoin dune reconsidration dans le cas chant dune mise en application de ces technologies pour tre acceptes par les consommateurs, et avoir ainsi un impact positif sur la sant globale et laccès quitable aux soins de sant ?
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Problmatique : La collaboration entre infirmires et mdecins est un lment crucial lorsque la condition des patients est instable. Une bonne collaboration entre les professionnels permet damliorer la qualit des soins par lidentification des patients risques et llaboration de priorits dans le but de travailler un objectif commun. Selon la vision des patients et de leur famille, une bonne communication avec les professionnels de la sant est lun des premiers critres dvaluation de la qualit des soins. Objectif : Cette recherche qualitative a pour objectif la comprhension des mcanismes de collaboration interprofessionnelle entre mdecins et infirmires aux soins intensifs. Ltude tente galement de comprendre linfluence de cette collaboration sur la communication entre professionnels/ patients et famille lors dun pisode de soins. Mthode : La collecte de donnes est ralise par le biais de 18 entrevues, qui ont t enregistres puis retranscrites. Parmi les entrevues effectues deux gestionnaires, six mdecins et infirmires, et enfin dix patients et proches ont t rencontrs. Ces entrevues ont t codifies puis analyses laide du modle de collaboration interprofessionnelle de DAmour (1997), afin de dterminer les tendances de collaboration. Pour terminer, limpact des diffrentes dimensions de la collaboration sur la communication entre les professionnels/ patient et famille a t analys. Rsultats : Mdecins et infirmires doivent travailler conjointement tant avec les autres professionnels, que les patients et leur famille afin de dvelopper une relation de confiance et une communication efficace dans le but dtablir des objectifs communs. Les patients et les familles dsirent rencontrer des professionnels ouverts qui possdent des talents de communicateur ainsi que des qualits interpersonnelles. Les professionnels doivent faire preuve de transparence, prendre le temps de donner des explications vulgarises, et proposer aux patients et aux familles de poser leurs questions.
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La transplantation hpatique est le seul traitement dfinitif des enfants ayant une hpatite fulminante sans rsolution spontane. Lvolution de cette maladie dans la population pdiatrique diffre de celle adulte, particulirement en regard de lencphalopathie. Pour dfinir les indications de transplantation hpatique, plusieurs indicateurs prcoces de pronostic furent tudis chez les adultes. Ces indicateurs nont pu tre transposs la population pdiatrique. Objectif primaire : Dterminer les marqueurs de risque de mortalit des enfants recevant une transplantation hpatique pour une hpatite fulminante, se dfinissant par une insuffisance hpatique svre sans antcdent au cours des huit semaines prcdentes. Mthode : Il sagit dune tude rtrospective incluant tous les enfants ayant reu une transplantation hpatique pour une hpatite fulminante lhpital Sainte-Justine entre 1985 et 2005. Le score PELOD (Pediatric Logistic Organ Dysfunction) est une mesure de svrit clinique dun enfant aux soins intensifs. Il fut calcul ladmission et avant la transplantation hpatique. Rsultats : Quatorze enfants (cinq mois seize ans) reurent une transplantation hpatique pour une hpatite fulminante. Neuf enfants (64%) survcurent et cinq (36%) dcdrent. Lutilisation de la ventilation mcanique fut associe un mauvais pronostic (p = 0,027). Entre ladmission et la transplantation hpatique, 88% des enfants ayant eu une variation du score PELOD infrieure cinq survcurent. Tous ceux ayant eu une variation suprieure cinq dcdrent. (p = 0,027) Conclusion : La variation du score PELOD pourrait aider dfinir un indicateur prcoce de lvolution dun enfant aprs une transplantation hpatique pour une hpatite fulminante.
Synthse totale de la lpadine B : plate-forme pour la dcouverte de nouvelles tranformations chimiques
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Dans ce document, serons dtailles les rsultats de mes travaux de recherche dtudes doctorales. Tout dabord, nous discuterons de la synthse totale de la lpadine B, la plus courte paratre dans la littrature ce jour. Cette synthse, en plus de valoriser la synthse asymtrique de pipridines poly-substitues dveloppe par lquipe du professeur Charette, mettra profit une utilisation originale dune squence de fermeture-ouverture de cycle par la raction de mtathse dalcnes. De plus, nous dtaillerons une brve tude mcanistique de cette dernire nous ayant permis la proposition dun mcanisme peu commun de ce type de squence ractionnel et dont les consquences exprimentales sont impressionnantes. Au cours de cette synthse, nous avons identifi un synthon dune grande valeur synthtique. En effet, ne comportant pas moins que quatre centres chiraux, ce synthon pouvait tre obtenu nantiopure en seulement trois tapes partir de la pyridine. Ainsi, nous avons effectu une analyse structurale de ce synthon et avons envisag une valorisation supplmentaire par une utilisation originale de la fragmentation de Grob. Dans ce contexte, nous avons dvelopp une toute nouvelle synthse de pipridines 2,3,6-trisubstitues hautement rgio- et diastroslective. Afin de pouvoir raliser la prcdente mthodologie, nous avons d tudier la rduction dune amide en prsence de groupements fonctionnels sensibles dans les conditions usuelles. Heureusement, lanne prcdente nous avions dveloppe une raction hautement chimioslective damides tertaires. Cette nouvelle raction, qui a t fondamentalement inspir par une mthodologie du professeur Charette sur lactivation damides, a permis la rduction damides tertiaires en prsence de fonctions telles les ctone, ester, nitrile, poxyde, insaturations, etc. Enfin, lensemble des connaissances acquises au cours de ces projets a permis llaboration dune toute nouvelle stratgie de synthse pour la prparation dindolizidines et quinolizidines. Plus spcifiquement, nous avons dvelopp la premire squence dactivation intramolculaire et daromatization asymtrique de la pyridine. Ceci permet davoir un accès aux squelettes indolizidine et quinolizidine avec des stroslectivits leves, la nature insature de ces derniers laissant galement place une grande flexibilit synthtique. Dans ce contexte, nous allons dtailler une trs courte synthse de trans-indolizidines.