349 resultados para Détresse psychologique au travail


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Cette thèse de doctorat a été réalisée grâce à l'appui financier des fonds québécois de la recherche sur la société et la culture.

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La Charte des droits et libertés de la personne (CDLP) interdit de harceler sur la base dâun motif prohibé. Depuis juin 2004, la Loi sur les normes du travail (LNT) interdit le harcèlement psychologique au travail. Par cette disposition, le législateur a voulu augmenter lâaccessibilité aux recours pour les salariés. Désormais, la personne salariée victime de harcèlement discriminatoire en milieu de travail a accès aux deux recours. Les victimes se prévalent maintenant presquâexclusivement du recours fondé sur la LNT. En effet, le Tribunal des droits de la personne (TDP) nâa rendu quâune seule décision en la matière après 2004. Ce nouveau recours a aussi modifié le traitement juridique du harcèlement discriminatoire en milieu de travail. Notre objet dâétude aborde la question de lâincidence dâune loi du travail sur la protection des salariés ainsi que le concept de constitutionnalisation du droit du travail. Nous nous intéressons à la continuité dans le temps de la notion de harcèlement discriminatoire en milieu de travail non syndiqué (de 1990 à 2010). Notre étude repose sur des méthodes qualitatives variées: comparaison des recours existants; revue de la doctrine et étude comparative de soixante-dix (70) décisions jurisprudentielle du TDP et de la Commission des relations du travail (CRT). Nos résultats ont déterminé quâil y a rupture dans la façon de traiter les plaintes de harcèlement discriminatoire au travail depuis lâentrée des dispositions de la LNT. Outre la juridiction saisie, des ruptures sont constatées au plan des éléments constitutifs du harcèlement et des sources de droit utilisées. Cette recherche permet de fournir une évaluation essentielle à la compréhension de lâefficience des recours récents mis à la disposition des personnes salariées victimes de harcèlement discriminatoire.

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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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Ce mémoire porte sur les déterminants sociaux de la détresse psychologique des étudiants universitaires canadiens. Nous avons utilisé comme cadre théorique la théorie sociologique du stress (Pearlin et al. 1981). Lâobjectif de ce mémoire est, en premier lieu, dâexaminer si lâexpérience de la vie universitaire, en terme de stresseurs et de ressources, a une influence sur la prévalence de la détresse psychologique en tenant compte des différences selon le sexe. En second lieu, nous examinerons si la transition vers lâuniversité augmente le risque du taux de morbidité psychiatrique et si les étudiants québécois qui ont fréquenté le Cégep sont moins vulnérables à cette transition. Lâétude a été réalisée à partir des données de lâenquête sur les campus canadiens (2004), menée auprès dâun échantillon représentatif dâétudiants dans 40 universités canadiennes. Lâutilisation de données secondaires impose des limites importantes notamment en ce qui concerne les mesures de stresseurs et de ressources. Il ressort de notre étude que les stresseurs liés à lâexpérience de la vie universitaire (programme dâétudes, performance académique, insertion dans la vie para-académique, modalité résidentielle) contribuent de façon marginale à lâexplication de la variation des symptômes de détresse psychologique. Les ressources protectrices (sentiment de contrôle et soutien social), pour leur part, expliquent une portion significative de ces variations. La transition vers lâuniversité nâa pas dâeffet sur la détresse psychologique sauf dans le cas des femmes québécoises, celles-ci étant plus vulnérables que celles plus avancées dans leur cursus académique. Les résultats soulignent également que certains processus de prolifération du stress sont spécifiques au genre.

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Depuis que le concept dâhabilitation (empowerment) a été introduit dans le monde du travail, il est rapidement devenu à la mode dû à ses bénéfices anticipés à la fois pour les organisations et pour les travailleurs. Toutefois, bien que lâétat dâhabilitation psychologique des travailleurs ainsi que ses déterminants soient bien documentés (Seibert, Wang, & Courtright, 2011), il existe peu dâoutils pour évaluer de façon comportementale lâhabilitation des travailleurs (Boudrias & Savoie, 2006). Cette réalité nuit aux organisations qui tentent de mettre en place des programmes dâhabilitation des employés et qui souhaitent en mesurer leurs effets comportementaux. En 2006, Boudrias et Savoie ont amorcé le travail pour pallier cette lacune en créant un cadre conceptuel de lâhabilitation comportementale au travail composé de deux approches distinctes, soit lâapproche émergente (comportements discrétionnaires) et lâapproche structurelle (implication dans la gestion du travail) et en validant un premier questionnaire permettant de mesurer lâapproche émergente. La présente thèse vise à poursuivre le travail amorcé, en instrumentant la seconde approche et en poursuivant la validation du concept dâhabilitation comportementale. Plus spécifiquement, la thèse vise à : a) valider un questionnaire qui mesure lâimplication des employés dans la gestion de leur travail, en deux versions, à savoir une version auto-rapportée ainsi quâune version destinée au supérieur hiérarchique; b) établir la structure factorielle de lâhabilitation comportementale à lâaide des deux approches opérationnalisées; c) vérifier la spécificité du construit dâhabilitation comportementale par rapport à dâautres mesures connexes (p.ex. comportements de citoyenneté organisationnelle, comportements dâinnovation, comportements dâauto-leadership et dâautogestion), et d) vérifier un modèle structurel incluant trois déterminants de lâenvironnement de travail, à savoir le style de supervision, le soutien des collègues et la latitude décisionnelle, comme prédicteur de lâhabilitation individuelle au travail, évaluée à lâaide dâune mesure dâhabilitation psychologique et des mesures des deux approches dâhabilitation comportementale. Pour ce faire, trois études distinctes ont été réalisées auprès de travailleurs variés et quatre échantillons ont été constitués dont trois comprenant uniquement des données auto-rapportées (N = 274, 104, 249) et un quatrième incluant aussi des données rapportées par le supérieur (N = 151). Les résultats des analyses factorielles confirmatoires démontrent que la structure de lâinstrument dâimplication dans la gestion ainsi que celle de lâhabilitation comportementale composée des deux approches sont constantes dâun échantillon à lâautre et dans ses deux versions. De plus, les propriétés métriques du questionnaire validé sont satisfaisantes. Dâautre part, les résultats des analyses corrélationnelles indiquent que les mesures dâhabilitation comportementale présentent une validité discriminante par rapport à des mesures dâautres construits connexes. Enfin, les analyses acheminatoires pour vérifier le modèle structurel anticipé indiquent que lâhabilitation psychologique agit comme variable médiatrice dans les relations entre, dâune part, la latitude décisionnelle et les pratiques de gestion des supérieurs, et, dâautre part, les deux approches dâhabilitation comportementale. Le soutien des collègues, de son côté, nâest pas relié à lâhabilitation des travailleurs.

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Ce mémoire a pour objectif dâétudier la relation entre la culture organisationnelle et la violence au travail. Plus spécifiquement, les résultats permettent de déterminer comment la perception des cultures organisationnelles de type groupal, développemental, hiérarchique et rationnel de lâapproche des valeurs concurrentes de Cameron et Quinn (1999) sâassocient aux conflits interpersonnels et au harcèlement physique et sexuel dans les organisations. Les données proviennent de lâÃtude SALVEO, menée par lâÃquipe de recherche sur le travail et la santé mentale de lâUniversité de Montréal. à notre connaissance, aucune étude nâa étudié les perceptions des cultures organisationnelles globales des entreprises. Les études antérieures se sont intéressées à certains traits spécifiques des cultures, telles que lâacceptation, la tolérance et la banalisation de la violence, sans considérer intégralement la culture organisationnelle. Il est possible dâutiliser le modèle de Cameron et Quinn (1999) avec lâéchelle de Marchand, Haines et Dextras-Gauthier (2013) pour mesurer la perception que les travailleurs se font de leur culture organisationnelle pour pouvoir les associer avec les niveaux de conflits interpersonnels et de harcèlement physique et sexuel par la suite. Les analyses multiniveaux de cette recherche ont révélé que la culture groupale sâassocie à des niveaux plus bas de conflits interpersonnels et la culture développementale à des niveaux plus élevés. Bien que les résultats ne soient pas significatifs pour tous les types de culture organisationnelle, les entreprises qui adoptent des caractéristiques de la culture groupale, telles que le soutien social, la participation des travailleurs et la justice organisationnelle, semblent mieux prévenir le phénomène de la violence au travail. Dâautre part, lâintégration dâun grand nombre de variables contrôles a permis de déterminer que les facteurs individuels et organisationnels les plus associés à la violence sont : le fait dâêtre une femme, dâêtre jeune, dâêtre syndiqué, lâeffort au travail et lâinjustice organisationnelle.

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Les résultats ont été analysés à l'aide du logiciel SPSS

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Rapport de recherche

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