13 resultados para Langue Portugaise
em Portal do Conhecimento - Ministerio do Ensino Superior Ciencia e Inovacao, Cape Verde
Resumo:
Cette étude linguistique porte sur les parlers de Santiago et de São Vicente, les deux variétés les plus représentatives du créole du Cap-Vert. Elle traite aussi bien des niveaux phonétique et phonologique que morphologique et syntaxique. Une approche contrastive inclut également la langue portugaise, d’où le créole capverdien tire l’essentiel de son origine. Elle s’interroge sur l’autonomisation du créole par rapport à sa langue source et pose des hypothèses sur les aspects socio-historiques qui auraient influencé son auto-régulation structurale. L’ouvrage s’adresse aux étudiants et chercheurs capverdiens ainsi qu’aux chercheurs spécialistes de la créolistique.
Resumo:
De successifs Gouvernements du Portugal, Organisations du Gouvernement Portugais et ses représentants légitimes, non mal de fois, s’affolent à associer la Langue Portugaise non seulement à l’identité Nationale mais aussi comme un moyen de reconnaissance internationale du pays, liée à une vision plus élargie reliée au concept géolinguistique et géopolitique de Lusophonie. Un concept particulièrement important et opératif qu’il est assimilé à l’image d’autres langues de présence globale ou, du moins, comme des langues de communication international intercontinental – comme les pays Anglophones, Spanophones et Francophones -. Le but, est celui de promouvoir l’usage international de la langue portugaise aussi que le développement économique et social des huit pays rassemblés à la Communauté des Pays de Langue Portugaise (CPLP). Cette étude, essaye de trouver les relations entre le discours officiel diffusé et les programmes de chaque Gouvernement depuis 1974. Une recherche sur la promotion, diffusion et/ou défense de la langue portugaise soit en temps que PLE (Portugais Langue Étrangère), soit en temps que dans le domaine de l’usage de la Langue Portugaise dans les différents Forums Internationaux dont le Portugal et les autres pays de langue portugaise font partie. Les discours et les documents officiels nous présentent toujours la promotion et diffusion de la langue comme une priorité, un impératif national, il est donc aussi impératif de confronter tous ces mots, dits et écrits, avec la réalité de l’action politique, voir, la politique de la langue effectivement mise en place, par les successifs gouvernements.
Resumo:
Em S.Tomé e Príncipe a língua portuguesa foi instituída como língua oficial após a proclamação da Independência a 12 de Julho de 1975. Esta língua, porém, vive em regime de coabitação com outros sistemas nacionais: o Forro, o Lunga Ngola, o Lunguyé e o Crioulo de Cabo Verde. Do contacto resultam as inevitáveis interferências que têm conferido à situação linguística são-tomense uma especificidade muito particular: é que a grande maioria da população estudantil tem como língua materna um sistema que se situa num continuum linguístico entre o Crioulo e o Português cuja norma é a do europeu e que à falta de uma designação mais adequada, à semelhança de Fernanda Pontífice, apelidaremos de falar são-tomense. Tal facto tem constituído um sério problema no processo de ensino/aprendizagem da língua portuguesa no país. Dada esta situação, por imperativos pedagógicos, a implementação de métodos e técnicas de ensino adequados se tornam indispensáveis. Impõem-se, pois, a premência e a necessidade de estudos e pesquisas sobre este falar para que se possa encontrar um quadro de intervenção pedagógica que melhor se adeque a essa especificidade. Impõe-se um estudo sobre as interferências, impõe-se que os professores possam dispor de informação e formação que lhes permitam distinguir nas produções dos seus alunos o que são desvios, portanto o que é tolerável, e como tal pode ser aceite como marca específica da identidade linguística do sujeito falante e o que são erros e enquanto tais, têm de ser corrigidos. Conscientes da necessidade e da importância do estudo desta problemática, desenvolvemos o presente trabalho com o objectivo de sensibilizar os diversos sectores e entidades para a necessidade de se desenvolver a investigação e trabalhos de pesquisa linguística e se dotarem os professores e agentes educativos de formação adequada. Só assim estes estarão em condições de responder às exigências que nestas circunstâncias o ensino-aprendizagem da língua oficial impõe.
Resumo:
Sucessivos Governos, Organizações Governamentais e responsáveis desses Governos e Organizações têm apresentado até ao presente e de forma veemente e repetida uma sistemática ligação da língua portuguesa não só à identidade nacional como também a uma forma de reconhecimento internacional ligada a uma visão mais ampla, geolinguística e geopolítica de uma Lusofonia, capaz de agir de forma concertada conforme ao exemplo de outros blocos político-linguísticos, como o Francófono, o Espanófono ou o Anglófono, por forma a promover o uso alargado da língua portuguesa como língua internacional e o desenvolvimento económico e social dos países membros da Comunidade de Países de Língua Portuguesa (CPLP). Este trabalho é um estudo sobre a indissociável relação entre as reiteradas afirmações constantes no discurso oficial e nos documentos legais que as suportam no que respeita à promoção e difusão do uso da Língua Portuguesa quer como Língua Estrangeira (PLE), quer na promoção do seu uso nas Organizações Internacionais de que Portugal, os Países de Língua Portuguesa ou de Língua Oficial Portuguesa fazem parte. Este discurso oficial sobre a língua e a documentação legal que a suporta, que surge sempre apresentado como uma prioridade política e como desígnio nacional, impõe a necessária confrontação entre a afirmação daqueles propósitos e a realidade da política de língua implementada de facto, ou seja, a forma como esse desígnio nacional é levado à prática pelo Estado e, logo, pelos governantes que agem em seu nome e definem esta política de língua externa ao longo de um período de cerca de 30 anos de democracia em que este estudo se centra.
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Université De Bretagne Occidentale
Resumo:
Nous voulons, avec ce mémoire, défendre une nouvelle idée pour promouvoir la langue française au Cap-Vert plus précisément auprès des enfants. Pour cela, dans la première partie nous définissons la promotion d’une langue et l’enseignement de base intégré. Egalement dans cette partie, nous abordons les théories sur l’acquisition d’une langue étrangère chez les enfants et aussi les rapports entre la promotion de la langue et la spécificité de son acquisition chez le public cible. Ces points vont nous permettre de mettre en contexte le thème que nous défendons et ils seront la source d’inspiration aux activités que nous proposons pour la promotion du français dans les classes terminales de l’enseignement de base intégré. Dans la deuxième partie, nous faisons l’abordage historique du français dans le primaire, avant et après l’indépendance. Nous focalisons nos recherches sur la période qui va de 1968 à nos jours. L’objectif est de déterminer sur la base de recherches sur le terrain : la date de l’introduction du français dans le primaire, le profil des enseignants, les enseignements dispensés dans les écoles primaires et les méthodes utilisées. Dans cette partie, l’objectif est également de montrer les principales structures étrangères et nationales chargées de divulguer la langue française au Cap-Vert. C’est dans cette perspective, que nous essayons d’identifier les actions développées par ces structures et voir leur adéquation avec notre public cible.Et pour compléter cette deuxième partie, nous proposons deux projets qui ont été mis en place dans certaines écoles primaires : dans un premier temps, il s’agit du projet de réintroduction du français à l’école primaire mené par le centre d’appui pour l’enseignement du français « CAPEF » avec l’aval du Ministère de l’Education et, dans un autre contexte, il y a le projet « opération théâtres et chansons » élaboré et mis en oeuvre par le professeur José Rui Rodrigues Soares1 avec la collaboration de quelques élèves de la septième année du lycée Cónego Jacinto.Dans la troisième partie de notre travail, nous proposons deux projets pour promouvoir la langue française dans les classes terminales de l’enseignement de base intégré : « les écoliers en action » et « une soirée culturelle ».
Resumo:
Ce mémoire est l’occasion de partager le résultat de la mise en place de ce dispositif de formation à distance que nous avons mené dans l’université du Cap-Vert. Dans la première partie, nous décrirons la nature de la politique éducative au Cap-Vert. Nous contextualiserons les principes de l’installation de l’université publique dans ce pays, ainsi que les intentions d’innovation pédagogique de cette université. La deuxième partie portera un regard complémentaire sur l’utilisation des TIC et de l’internet dans l’enseignement/apprentissage d’une langue, cas du français langue étrangère, et nous nous inspirerons des théories constructiviste et socio-constructiviste. Finalement, la troisième partie détaillera toutes les étapes de la conception et de la mise en place du dispositif de formation à distance. Dans cette troisième partie, nous aborderons dans un premier temps la question des enjeux et des risques du e-Learning et nous présenterons notre mission dans le projet « e-Learning.cv » mené par l’université. Puis, dans un deuxième temps nous analyserons quelques cours que nous avons mis en ligne, en sachant qu’un cours en ligne n’est pas la simple reproduction d’un support pédagogique imprimé mais il offre à l’apprenant un environnement multimédia et interactif. Finalement dans un troisième temps nous essayerons de prendre un peu de recul pour faire une analyse critique de ce que nous avons réalisé et essayer par là même de dégager les perspectives pour améliorer le travail effectué.