4 resultados para Octave

em Université de Lausanne, Switzerland


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Omapatrilat belongs to the vasopeptidase inhibitors, ie, drugs that possess the ability to inhibit simultaneously the membrane-bound zinc metalloproteases, angiotensin-converting enzyme (ACE), and the neutral endopeptidase EC 3.4.24.11 (NEP). Omapatrilat was targeted to treat patients with hypertension and congestive heart failure. The preclinical and early clinical studies conducted with omapatrilat were very promising. Indeed, omapatrilat appeared to be a very potent antihypertensive agent with very favorable effects on cardiac function in heart failure patients. In contrast to these early studies, the large clinical trials were more disappointing. The results of the OCTAVE trial confirmed the antihypertensive efficacy of omapatrilat, but at the price of an angioedema rate more than threefold higher than that of an ACE inhibitor in the overall population (2.17% vs 0.68%), and close to fourfold higher in the black population. In OVERTURE, a large randomized control trial in heart failure, angioedema was also more common with omapatrilat, but the incidence was much lower (0.8% with omapatrilat vs 0.5% with enalapril). However, omapatrilat was not convincingly superior to the ACE inhibitor. Because angioedema is probably a class side effect of vasopeptidase inhibitors, the higher incidence of this potentially life-threatening complication with omapatrilat has likely stopped the development of this new class of agents. The future of vasopeptidase inhibitors will depend on the ability to improve the risk/benefit ratio either by developing agents that produce less angioedema, or by defining more precisely a high-risk population that could take advantage of dual ACE/NEP inhibition.

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Pitch is a fundamental musical factor; however, findings about its contribution to the elicitation of emotions are contradictory. The purpose of this work was to assess the effect of systematic pitch variations on self-reports of felt valence and arousal. In a within-subject design, 49 subjects listened to four 1-minute classical piano excerpts, each presented at three different pitch levels (one octave lower than the original version, the original version and one octave higher than the original version). Compared to excerpts both without octave modification and in the +1 octave variant, pleasantness of excerpts in the -1 octave variant was significantly lower. This main effect was stronger for women than men and, importantly, was modulated by the specific characteristics of the stimuli. There was also a significant, yet smaller, negative relationship between pitch level and arousal, moderated by gender: Compared to higher pitch, lower pitch was associated with higher arousal in men only. Regarding the complex outcomes of this study, future studies should investigate to which extent our findings can be generalized to other musical works. The ultimate goal might be to demonstrate how pitch level interacts with other musical features and listeners' characteristics in eliciting diverse affective experiences.

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The potential of the Internet as a medium through which to teach basic and applied immunology lies in the ability to illustrate complex concepts in new ways for audiences that are diverse and often geographically dispersed. This article explores two collaborative Internet-based learning projects (also known as e-learning projects) that are under development: Immunology Online, which will present an Internet-based curriculum in basic and clinical immunology to Swiss undergraduate and graduate students across five campuses; and the OCTAVE project, which will offer online training to an international cadre of new investigators, the members of which are carrying out clinical trials of vaccines against HIV infection.

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RESUME : Cette étude est une analyse métrique et stylistique de La Pulcella d'Orléans de Vincenzo Monti - traduction-réécriture de l'homonyme poème de Voltaire, La Pucelle d'Orléans - commencée à Milan en 1798 et terminée à Chambéry, en Savoie, en 1799. Le texte italien a été considéré comme une version autonome par rapport au texte français, étant donné le particulier choix de réduire la composante philosophique et idéologique d'origine, et de mettre en relation le modèle avec une littérature italienne spécifique, principalement par l'adoption d'une grille strophique fortement marquée. La Pulcella est traduite en octaves, un mètre chevaleresque qui possède au moins depuis trois siècles sa propre "grammaire" ainsi qu'une formidable tradition de référence. De plus, avec sa traduction, l'auteur a voulu mettre l'accent sur les aspects de l'histoire les plus amusantes et provocatrices de Jeanne d'Arc - déjà narrée par Voltaire avec un ton ironique et irrévérencieux - dans le but d'une grande expérimentation au niveau de la langue, de la métrique et de la syntaxe. La traduction de la Pucelle est en effet liée à une dimension hédonistique et livresque: elle n'est pas un prétexte pour connaitre une oeuvre étrangère, ni un texte conçu pour être publiée; il s'agit plutôt d'un exercice personnel, un divertissement privé, demeuré dans le tiroir de l'auteur. Alors que pour Voltaire le but principal du poème est la polémique idéologique du fond, exprimée par un registre fort satirique, pour Monti la réécriture est un jeu stylistique, une complaisance littéraire, qui repose autant sur les composantes désacralisantes et provocatrices que sur les éléments poétiques et idylliques. Le modèle français est donc retravaillé, en premier lieu, au niveau du ton: d'un côté la traduction réduit l'horizon idéologique et la perspective historique des événements; de l'autre elle accroît les aspects les plus hédonistiques et ludiques de Voltaire, par la mise en évidence de l'élément comique, plus coloré et ouvert. En raison de la dimension intime de cette traduction, de nos jours la tradition de la Pulcella italienne se fonde sur trois témoins manuscrits seulement, dont un retrouvé en 1984 et qui a rouvert le débat philologique. Pour ma thèse j'ai utilisé l'édition critique qu'on possède à présent, imprimée en 1982 sous la direction de M. Mari et G. Barbarisi, qui se fonde seulement sur deux témoins du texte; de toute façon mon travail a essayé de considérer aussi en compte le nouvel autographe découvert. Ce travail de thèse sur la Pulcella est organisé en plusieurs chapitres qui reflètent la structure de l'analyse, basée sur les différents niveaux d'élaboration du texte. Au début il y a une introduction générale, où j'ai encadré les deux versions, la française et l'italienne, dans l'histoire littéraire, tout en donnant des indications sur la question philologique relative au texte de Monti. Ensuite, les chapitres analysent quatre aspects différents de la traduction: d'abord, les hendécasyllabes du poème: c'est à dire le rythme des vers, la prosodie et la distribution des différents modules rythmiques par rapport aux positions de l'octave. La Pucelle de Voltaire est en effet écrite en décasyllabes, un vers traditionnellement assez rigide à cause de son rythme coupé par la césure; dans la traduction le vers français est rendu par la plus célèbre mesure de la tradition littéraire italienne, l'endécasyllabe, un vers qui correspond au décasyllabe seulement pour le nombre de syllabes, mais qui présente une majeure liberté rythmique pour la disposition des accents. Le deuxième chapitre considère le mètre de l'octave, en mettant l'accent sur l'organisation syntaxique interne des strophes et sur les liens entre elles ; il résulte que les strophes sont traitées de manière différente par rapport à Voltaire. En effet, au contraire des octaves de Monti, la narration française se développe dans chaque chant en une succession ininterrompue de vers, sans solutions de continuité, en délinéant donc des structures textuelles très unitaires et linéaires. Le troisième chapitre analyse les enjambements de la Pulcella dans le but de dévoiler les liaisons syntactiques entre les verses et les octaves, liaisons presque toujours absentes en Voltaire. Pour finir, j'ai étudié le vocabulaire du poème, en observant de près les mots les plus expressives quant à leur côté comique et parodique. En effet, Monti semble exaspérer le texte français en utilisant un vocabulaire très varié, qui embrasse tous les registres de la langue italienne: de la dimension la plus basse, triviale, populaire, jusqu'au niveau (moins exploité par Voltaire) lyrique et littéraire, en vue d'effets de pastiche comique et burlesque. D'après cette analyse stylistique de la traduction, surgit un aspect très intéressant et unique de la réécriture de Monti, qui concerne l'utilisation soit de l'endécasyllabe, soit de l'octave, soit du vocabulaire du texte. Il s'agit d'un jeu constant sur la voix - ou bien sur une variation continue des différents plans intonatives - et sur la parole, qui devient plus expressive, plus dense. En effet, la lecture du texte suppose une variation mélodique incessante entre la voix de l'auteur (sous forme de la narration et du commentaire) et la voix de personnages, qu'on entend dans les nombreux dialogues; mais aussi une variation de ton entre la dimension lexical littéraire et les registres les plus baissés de la langue populaire. Du point de vue de la syntaxe, par rapport au modèle français (qui est assez monotone et linéaire, basé sur un ordre syntactique normal, sur le rythme régulier du decasyllabe et sur un langage plutôt ordinaire), Monti varie et ennoblit le ton du discours à travers des mouvements syntaxiques raffinés, des constructions de la période plus ou moins réguliers et l'introduction de propositions à cheval des vers. Le discours italien est en effet compliquée par des interruptions continues (qui ne se réalisent pas dans des lieux canoniques, mais plutôt dans la première partie du vers ou en proximité de la pointe) qui marquent des changements de vitesse dans le texte (dialogues, narration, commentaires): ils se vérifient, en somme, des accélérations et des décélérations continues du récit ainsi qu'un jeu sur les ouvertures et fermetures de chaque verse. Tout se fait à travers une recherche d'expressivité qui, en travaillant sur la combinaison et le choc des différents niveaux, déstabilise la parole et rend l'écriture imprévisible.