6 resultados para Fortification.

em Université de Lausanne, Switzerland


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There are suggestions of an inverse association between folate intake and serum folate levels and the risk of oral cavity and pharyngeal cancers (OPCs), but most studies are limited in sample size, with only few reporting information on the source of dietary folate. Our study aims to investigate the association between folate intake and the risk of OPC within the International Head and Neck Cancer Epidemiology (INHANCE) Consortium. We analyzed pooled individual-level data from ten case-control studies participating in the INHANCE consortium, including 5,127 cases and 13,249 controls. Odds ratios (ORs) and the corresponding 95% confidence intervals (CIs) were estimated for the associations between total folate intake (natural, fortification and supplementation) and natural folate only, and OPC risk. We found an inverse association between total folate intake and overall OPC risk (the adjusted OR for the highest vs. the lowest quintile was 0.65, 95% CI: 0.43-0.99), with a stronger association for oral cavity (OR = 0.57, 95% CI: 0.43-0.75). A similar inverse association, though somewhat weaker, was observed for folate intake from natural sources only in oral cavity cancer (OR = 0.64, 95% CI: 0.45-0.91). The highest OPC risk was observed in heavy alcohol drinkers with low folate intake as compared to never/light drinkers with high folate (OR = 4.05, 95% CI: 3.43-4.79); the attributable proportion (AP) owing to interaction was 11.1% (95% CI: 1.4-20.8%). Lastly, we reported an OR of 2.73 (95% CI:2.34-3.19) for those ever tobacco users with low folate intake, compared with nevere tobacco users and high folate intake (AP of interaction =10.6%, 95% CI: 0.41-20.8%). Our project of a large pool of case-control studies supports a protective effect of total folate intake on OPC risk.

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OBJECTIVES: To examine trends in the prevalence of congenital heart defects (CHDs) in Europe and to compare these trends with the recent decrease in the prevalence of CHDs in Canada (Quebec) that was attributed to the policy of mandatory folic acid fortification. STUDY DESIGN: We used data for the period 1990-2007 for 47 508 cases of CHD not associated with a chromosomal anomaly from 29 population-based European Surveillance of Congenital Anomalies registries in 16 countries covering 7.3 million births. We estimated trends for all CHDs combined and separately for 3 severity groups using random-effects Poisson regression models with splines. RESULTS: We found that the total prevalence of CHDs increased during the 1990s and the early 2000s until 2004 and decreased thereafter. We found essentially no trend in total prevalence of the most severe group (group I), whereas the prevalence of severity group II increased until about 2000 and decreased thereafter. Trends for severity group III (the most prevalent group) paralleled those for all CHDs combined. CONCLUSIONS: The prevalence of CHDs decreased in recent years in Europe in the absence of a policy for mandatory folic acid fortification. One possible explanation for this decrease may be an as-yet-undocumented increase in folic acid intake of women in Europe following recommendations for folic acid supplementation and/or voluntary fortification. However, alternative hypotheses, including reductions in risk factors of CHDs (eg, maternal smoking) and improved management of maternal chronic health conditions (eg, diabetes), must also be considered for explaining the observed decrease in the prevalence of CHDs in Europe or elsewhere.

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La présente thèse se propose d'étudier les fortifications connues dans le territoire d'Erétrie (île d'Eubée, Grèce), essentiellement aux époques classique et hellénistique (Ve-IIe siècles av. J.-C.). La plupart de ces constructions (forteresses de grand appareil, habitats fortifiés, enceintes de pierres sèches et tours) sont connues depuis le 19e siècle, mais ce travail constitue la première étude archéologique et historique d'ensemble qui leur est consacrée exclusivement. Bien que décrites depuis longtemps, les fortifications des campagnes grecques ont surtout été étudiées d'un point de vue architectural et historique. Cette approche a privilégié une interprétation militaire et stratégique, reliant les fortifications au sein de réseaux défensifs conçus à grande échelle et destinés à bloquer les accès et les frontières du territoire. Notre perspective est différente, puisqu'elle s'efforce de replacer chaque fortification dans la géographie antique en étudiant son interaction avec les plaines et les reliefs, les frontières, l'habitat, les voies de communication, les terres cultivables et la répartition de la population. Pour ce faire, nous avons établi une carte archéologique de l'Erétriade, conduit des prospections extensives autour des fortifications, ainsi que dans de nombreuses régions du territoire. Cette méthode permet d'aborder l'étude des fortifications rurales en adoptant des angles d'analyse différents : le premier, macro-géographique, met ainsi en valeur des caractéristiques générales, telles que la relation entre les fortifications et la capitale d'une part, les fortifications et les terres cultivables de l'autre ; au plan régional, ou micro-géographique, elle analyse la répartition des fortifications au sein de chaque district de l'Erétriade, voire des vallées ou des cantons, mettant en évidence le rôle local des ouvrages fortifiés. Au terme de cette recherche, il est apparu qu'une approche purement stratégique ou militaire ne permettait pas d'expliquer la répartition géographique des fortifications, puisque ces dernières se trouvent pour la plupart à l'intérieur du territoire et non à ses frontières. Elles ne sont pas non plus disposées de manière à pouvoir exercer une surveillance étroite sur les routes pénétrant dans la chôra ; aussi leur fonctionnement au sein d'un «réseau défensif frontalier ne peut pas être démontré. Dans l'Erétriade, la colonne vertébrale de la sécurité publique est formée par les habitats fortifiés, dèmes et kômai, complétée par l'existence de deux forteresses militaires ayant accueilli des garnisons. Placés toujours à bonne distance de la ville, puis à intervalles plus ou moins réguliers au sein du territoire, les habitats fortifiés jouent sur le plan régional le rôle de la ville : en cas d'invasion ou de danger, la population du dème ou des dèmes environnants pouvait y trouver refuge, mettant ainsi à l'abri récoltes, biens et animaux. L'apparition des fortifications territoriales correspond à l'extension maximale de l'occupation humaine, agricole et économique du territoire. Les communautés rurales qui en avaient la possibilité se dotèrent alors de fortifications, souvent sommaires, pour faire face à des menaces variées, mais surtout pour assurer leur propre sécurité et protéger un équilibre autarcique fragile. Il ne faut donc pas nécessairement attribuer la construction de fortifications à un événement historique précis, interprétation abusive courante dans l'étude des fortifications, en Grèce comme ailleurs. La fortification des habitats ruraux s'est réalisée de manière progressive, en réponse aux sentiments d'insécurité d'une population rurale toujours plus nombreuse. Faute de références littéraires et d'inscriptions, en particulier de décrets honorifiques, les forteresses et les habitats fortifiés de l'Erétriade constituent les derniers témoins de l'insécurité publique et des violences auxquelles fut confronté le territoire d'Erétrie aux époques classique et hellénistique.

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La première partie de cette étude est consacrée à l'étude des vestiges découverts entre 1990 et 1994 à Yverdon-les-Bains (VD) en quatre points de la rue des Philosophes (n°s 7, 13, 21 et 27). L'étude des secteurs fouillés permet de retracer l'histoire d'une zone périphérique de l'agglomération depuis la fin du IVe s. av. J.-C. jusqu'au haut Moyen Age, où une nécropole s'est développée sur trois des parcelles étudiées {cf. CAR 75). L'accès oriental de l'agglomération est barré dès la fin du IVe s. par une palissade peut-être associée à un fossé. Le secteur sud n'a pas livré de vestige contemporain de cet aménagement, mais a été fréquenté depuis le début du IIe s. av. notre ère. Par la suite, un réseau de fossés de petites dimensions a été mis en place, qui d'un point de vue topographique se situe en aval du cordon littoral III, dans une zone anciennement marécageuse. Une fonction drainante a ainsi été postulée pour ces aménagements, qui ont peut-être été réalisés en vue de la construction du rempart. Celui-ci a été dégagé sur trois des parcelles fouillées. Un niveau de démolition repéré au n° 7 de la rue des Philosophes indique qu'il se prolongeait probablement en direction du lac, de l'autre côté de la voie d'accès conduisant à Voppidum partiellement dégagée en 1982 .Le rempart d'Yverdon se rattache au groupe des remparts à poteaux frontaux (Pfostenschlitzmauer) caractérisé par un parement en pierres sèches interrompu à intervalles réguliers (en moyenne 1.40 m) par des pieux de grandes dimensions (section: 50/60 x 30/40 cm) qui étaient reliés à une seconde rangée de pieux, distante d'environ 4 m du front de l'ouvrage; une rampe située à l'arrière de ce dispositif devait assurer la stabilité de l'ensemble. L'excellente conservation de plusieurs dizaines de ces pieux a permis de dater de manière absolue la construction de l'ouvrage vers 80 av. J.-C. Le rempart yverdonnois présente une particularité technique inédite des plus intéressante du point de vue constructif : les pieux des deux rangées ne sont pas implantés verticalement comme cela est généralement le cas, mais de manière oblique. Ce mode opératoire présente un progrès important, car il améliore notablement le comportement statique de l'ouvrage tout en facilitant sa mise en oeuvre (étude du Prof. L. Pflug). La fortification est précédée, dans le secteur sud, par plusieurs aménagements en bois, dont une palissade construite quelques années avant le rempart lui-même et une série de pieux qui pourrait appartenir à une ligne de défense avancée. Trois fossés précèdent le rempart dans le secteur oriental. Le premier, situé à moins d'un mètre de la base de la fortification, est probablement antérieur à cette dernière. Hormis les structures à caractère défensif, plusieurs aménagements de La Tène finale ont été dégagés sur les différentes parcelles, dont une cabane semi-enterrée de plan rectangulaire au n° 7 de la rue des Philosophes. En raison de sa situation extra muros et de son plan, une vocation artisanale a été proposée pour ce bâtiment. Une tombe datée de La Tène D1 par ses offrandes a été découverte au nord du chantier des Philosophes 21 parmi un groupe de sépultures de la nécropole tardo-antique du Pré de la Cure. La transgression lacustre mise en évidence au Parc Piguet paraît également avoir affecté la partie orientale de l'oppidum. Cet événement est survenu avant la démolition de la fortification, qui est datée vers le milieu du Ier s. avant notre ère. Les vestiges du vicus d'époque romaine, dégagés uniquement sur de petites surfaces, comprennent plusieurs constructions en terre et bois, une cave et un bâtiment maçonnés ainsi que plusieurs puits. L'étude du mobilier associé aux aménagements les plus récents situe l'abandon de l'agglomération dans la seconde moitié du IIIe s. ap. J.-C. pour trois des parcelles fouillées, alors que la zone des Philosophes 27 était peut-être encore occupée au siècle suivant.Les fouilles ont livré un abondant mobilier dont la majeure partie remonte à La Tène finale. La céramique de cette époque a été classée en fonction de critères technologique, formel et esthétique précis afin de mettre en évidence des marqueurs significatifs en termes chronologiques. Six horizons principaux ont été distingués, qui s'échelonnent entre le IIe s. av. J.-C. et le début de l'époque tibérienne. On retiendra pour la fin de l'âge du Fer que la première partie de La Tène finale est caractérisée par un vaisselier comprenant une majorité de formes basses en pâte sombre fine, alors que la période suivante voit une nette augmentation des récipients en pâte grossière, dont la plupart sont des pots à cuire à large lèvre déversée. Le registre décoratif évolue également: certains motifs ne sont attestés que durant une période, alors que d'autres se distinguent uniquement par leur fréquence. D'un point de vue économique, Yverdon, à l'image des sites du Plateau suisse, se situe durant la première partie de La Tène finale en dehors des voies commerciales. Les produits méditerranéens sont en effet extrêmement rares durant cette période, alors que leur nombre augmente sensiblement vers la fin de l'âge du Fer. La seconde partie de cette étude est dévolue à l'étude du murus gallicus de Sermuz (Ph. Curdy) et à la comparaison des divers modes constructifs mis en oeuvre pour les fortifications de la région des Trois-Lacs. La partie conclusive récapitule de manière chronologique l'évolution des occupations à Yverdon-les-Bains depuis l'âge du Bronze jusqu'au haut Moyen Âge et propose d'intégrer les nouveaux résultats dans une perspective historique. Diverses hypothèses évoquent les raisons qui conduirent les Yverdonnois à se retrancher vers 80 av. J.-C. et les relations qu'ils entretenaient avec le site voisin de Sermuz. Pour terminer, la fonction de ce dernier est discutée dans ce cadre, notamment l'hypothèse d'une occupation du territoire helvète par des troupes romaines antérieure à l'Alpenfeldzug .

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OBJECTIVE: To assess the iodine status of Swiss population groups and to evaluate the influence of iodized salt as a vector for iodine fortification. DESIGN: The relationship between 24 h urinary iodine and Na excretions was assessed in the general population after correcting for confounders. Single-day intakes were estimated assuming that 92 % of dietary iodine was excreted in 24 h urine. Usual intake distributions were derived for male and female population groups after adjustment for within-subject variability. The estimated average requirement (EAR) cut-point method was applied as guidance to assess the inadequacy of the iodine supply. SETTING: Public health strategies to reduce the dietary salt intake in the general population may affect its iodine supply. SUBJECTS: The study population (1481 volunteers, aged ≥15 years) was randomly selected from three different linguistic regions of Switzerland. RESULTS: The 24 h urine samples from 1420 participants were determined to be properly collected. Mean iodine intakes obtained for men (n 705) and women (n 715) were 179 (sd 68.1) µg/d and 138 (sd 57.8) µg/d, respectively. Urinary Na and Ca, and BMI were significantly and positively associated with higher iodine intake, as were men and non-smokers. Fifty-four per cent of the total iodine intake originated from iodized salt. The prevalence of inadequate iodine intake as estimated by the EAR cut-point method was 2 % for men and 14 % for women. CONCLUSIONS: The estimated prevalence of inadequate iodine intake was within the optimal target range of 2-3 % for men, but not for women.

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STUDY QUESTION: What are the long term trends in the total (live births, fetal deaths, and terminations of pregnancy for fetal anomaly) and live birth prevalence of neural tube defects (NTD) in Europe, where many countries have issued recommendations for folic acid supplementation but a policy for mandatory folic acid fortification of food does not exist? METHODS: This was a population based, observational study using data on 11 353 cases of NTD not associated with chromosomal anomalies, including 4162 cases of anencephaly and 5776 cases of spina bifida from 28 EUROCAT (European Surveillance of Congenital Anomalies) registries covering approximately 12.5 million births in 19 countries between 1991 and 2011. The main outcome measures were total and live birth prevalence of NTD, as well as anencephaly and spina bifida, with time trends analysed using random effects Poisson regression models to account for heterogeneities across registries and splines to model non-linear time trends. SUMMARY ANSWER AND LIMITATIONS: Overall, the pooled total prevalence of NTD during the study period was 9.1 per 10 000 births. Prevalence of NTD fluctuated slightly but without an obvious downward trend, with the final estimate of the pooled total prevalence of NTD in 2011 similar to that in 1991. Estimates from Poisson models that took registry heterogeneities into account showed an annual increase of 4% (prevalence ratio 1.04, 95% confidence interval 1.01 to 1.07) in 1995-99 and a decrease of 3% per year in 1999-2003 (0.97, 0.95 to 0.99), with stable rates thereafter. The trend patterns for anencephaly and spina bifida were similar, but neither anomaly decreased substantially over time. The live birth prevalence of NTD generally decreased, especially for anencephaly. Registration problems or other data artefacts cannot be excluded as a partial explanation of the observed trends (or lack thereof) in the prevalence of NTD. WHAT THIS STUDY ADDS: In the absence of mandatory fortification, the prevalence of NTD has not decreased in Europe despite longstanding recommendations aimed at promoting peri-conceptional folic acid supplementation and existence of voluntary folic acid fortification. FUNDING, COMPETING INTERESTS, DATA SHARING: The study was funded by the European Public Health Commission, EUROCAT Joint Action 2011-2013. HD and ML received support from the European Commission DG Sanco during the conduct of this study. No additional data available.