8 resultados para Exception
em Université de Lausanne, Switzerland
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Intraspecific variation in social organization is common, yet the underlying causes are rarely known. An exception is the fire ant Solenopsis invicta in which the existence of two distinct forms of social colony organization is under the control of the two variants of a pair of social chromosomes, SB and Sb. Colonies containing exclusively SB/SB workers accept only one single queen and she must be SB/SB. By contrast, when colonies contain more than 10% of SB/Sb workers, they accept several queens but only SB/Sb queens. The variants of the social chromosome are associated with several additional important phenotypic differences, including the size, fecundity and dispersal strategies of queens, aggressiveness of workers, and sperm count in males. However, little is known about whether social chromosome variants affect fitness in other life stages. Here, we perform experiments to determine whether differential selection occurs during development and in adult workers. We find evidence that the Sb variant of the social chromosome increases the likelihood of female brood to develop into queens and that adult SB/Sb workers, the workers that cull SB/SB queens, are overrepresented in comparison to SB/SB workers. This demonstrates that supergenes such as the social chromosome can have complex effects on phenotypes at various stages of development.
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From 1993 to 2008, criminal investigations were conducted in the western part of Switzerland with special attention to blowfly and flesh fly species in order to estimate the post-mortem interval when requested by the police authorities. Flesh flies were found in only 33 cases out of 160. Five species of the genus Sarcophaga were identified (S. africa, S. argyrostoma, S. caerulescens, S. similis and S. sp.). The main species found on corpses (larval stage) was S. argyrostoma. The thermal constant (K) calculated for this species in Switzerland is 380.6 ± 16.3 (mean ± S.D.) degree-days. With the exception of S. caerulescens, found three times in the larval stage on corpses, the three other species are of minor forensic importance. S. argyrostoma is found during summer and indoors. This species colonises dead bodies, usually the same day as blowfly species, and it could be used to estimate the post-mortem interval. Other species are discussed in the light of current knowledge on their biology and ecology. It is recommended that voucher material be deposited in a museum, allowing further studies by relevant specialists, thereby helping investigators and avoiding misidentifications.
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β-Arrestin2 (ARRB2) is a component of the G-protein-coupled receptor complex and is involved in μ-opioid and dopamine D(2) receptor signaling, two central processes in methadone signal transduction. We analyzed 238 patients in methadone maintenance treatment (MMT) and identified a haplotype block (rs34230287, rs3786047, rs1045280 and rs2036657) spanning almost the entire ARRB2 locus. Although none of these single nucleotide polymorphisms (SNPs) leads to a change in amino-acid sequence, we found that for all the SNPs analyzed, with exception of rs34230287, homozygosity for the variant allele confers a nonresponding phenotype (n=73; rs1045280C and rs2036657G: OR=3.1, 95% CI=1.5-6.3, P=0.004; rs3786047A: OR=2.5, 95% CI=1.2-5.1, P=0.02) also illustrated by a 12-fold shorter period of negative urine screening (P=0.01). The ARRB2 genotype may thus contribute to the interindividual variability in the response to MMT and help to predict response to treatment.
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Considérations méthodologiques Nous avons limité aux précisions indispensables à la compréhension de notre propos les considérations sur la gigantomachie en général. Nous renvoyons aux études signalées plus haut (supra, p. 7, n. 2), principalement pour ce qui concerne les géants avant leur transformation en anguipèdes à partir de l'époque hellénistique. Notre recherche de parallèles reposera sur quelques oeuvres d'art encore existantes : les sculptures décorant les plus importantes d'entre elles feront dès lors figure d'archétype, même si, bien sûr, rien ne permet d'exclure qu'il en ait existé de plus significatives. Parmi les nombreux monuments aujourd'hui disparus, respectivement parmi ceux qui seraient encore à découvrir, il s'en trouvait sans doute qui auraient été susceptibles de servir de modèle pour les sculptures ornant le fanum de Lousonna, duquel bien peu de restes nous sont parvenus. A l'exception de quelques renvois ponctuels, notre démarche s'est appuyée exclusivement sur du matériel et des informations déjà publiés. Pour la reconstitution des bas-reliefs de Lousonna, nous nous sommes inspiré généralement de sculptures hellénistiques et romaines dont l'ornementation présentait des similitudes avec les fragments à notre disposition ; la plupart des parallèles sont mentionnés dans le Lexicon Iconographicum Mythologiae Classicae. L'examen des volumes du Corpus Signorum Imperii Romani et de quelques autres recueils nous a permis de faire des propositions pour les cas restés en suspens. A une exception près, l'échantillonnage aéré formé à partir d'ensembles sculptés qui devaient avoir les mêmes caractéristiques que le matériel que nous tenterons d'identifier : ils comportaient des monstres anguipèdes avec les jambes se terminant par la tête du serpent, remontant au plus tard à la fin de la période romaine et produits dans un atelier gréco-romain. Afin de recréer avec le plus de vraisemblance possible l'environnement du fanum de Lousonna, nous avons recherché des édifices de caractéristiques semblables dans les catalogues de temples gallo-romains dressés par P. D. HORNE et A. C. KING (1980), respectivement I. FAUDUET et P. ARCELIN (1993). Tant l'absence presque complète de restes architecturaux susceptibles d'être rapportés à l'édifice religieux que la nature somme toute modeste du vicus lémanique nous ont fait opter pour une variante minimaliste, se limitant finalement à la structure supportant la gigantomachie devant un temple sans aucune décoration. Pour tenter de préciser les modalités de la transmission du thème des géants, nous envisagerons trois cheminements possibles : la tradition orale, la transmission littéraire et, enfin, la représentation iconographique, qu'il s'agisse de monuments, d'objets mobiliers ou même des quelques rares illustrations de textes antiques. Sauf indication contraire, les textes anciens sont cités dans les traductions des Belles-Lettres, des Sources chrétiennes ou de la Loeb Classical Library dont la liste figure à la page 161. La version française des textes dont aucune traduction n'était disponible est généralement due à François Mottas (traduction F.M.). Nous ne reportons les dates de naissance des auteurs ou des artistes mentionnés que lorsqu'elles sont utiles à la compréhension de notre exposé. En plus du rôle qu'ont pu jouer les oeuvres d'art disparues au cours des deux derniers millénaires, divers facteurs ont dû assurer la constitution et la mise au point d'un imaginaire de plus en plus élaboré des gigantomachies. La mémoire a certes sa part dans l'inspiration des artistes qui réalisèrent les sculptures de la cité lémanique; mais si un mythe ou le récit d'un événement peuvent s'être transmis de bouche à oreille au cours des siècles, certaines ressemblances dans l'attitude des personnages sont trop frappantes, même en tenant compte de ces gestes qu'il n'existe qu'une seule façon de représenter: il n'est dès lors pas possible d'imaginer que la transmission des détails des scènes se serait pratiquée uniquement par voie orale. Si le voyage touristique; tel que nous l'entendons de nos jours, n'a pas existé, les personnes susceptibles d'avoir ramené des informations de leurs déplacements à travers l'Empire sont plus nombreuses qu'on ne le croirait au premier abord. Fonctionnaires allant prendre leur charge ou en mission dans une contrée voisine; soldats, parmi lesquels des mercenaires gaulois; pèlerins ayant visité de grands sanctuaires, comme celui d'Esculape à Pergame, emplacement de la gigantomachie la plus impressionnante, ou d'autres lieux de culte; jeunes fortunés ayant étudié à Athènes; commerçants accompagnés par des muletiers ou des portefaix acheminant leurs marchandises; membres de corporations ou artisans exerçant des métiers itinérants; esclaves, dont l'exportation devait représenter une source de revenus intéressante pour les commerçants romains; en dernier lieu, sans parler des artistes eux-mêmes, ces arpenteurs-géomètres chargés de toutes sortes de relevés qui accompagnaient les empereurs lors de leurs déplacements (infra, p. 36). Il faudra cependant rester prudent quant à l'affirmation d'une connaissance visuelle directe que les sculpteurs de Lousonna auraient eue des réalisations antiques avec lesquelles nous mettrons la gigantomachie en parallèle. Même si elle n'a toujours pas pu être prouvée, la circulation de cahiers de modèles semble bel et bien assurée: dans un atelier, les maîtres ont forcément passé leurs croquis à leurs successeurs et ceci s'est peut-être répété pour plusieurs générations d'artisans. Sans parler des monnaies, d'autres moyens de transmission peuvent encore être mentionnés : éventuelles éditions illustrées de textes antiques, motifs gravés sur des gemmes ou représentés sur des récipients décorés... Une observation s'impose ici : la plupart des monuments que nous utiliserons pour notre reconstitution existaient encore lors de l'érection de notre gigantomachie. Une fois les bas-reliefs de Lousonna reconstitués, restait donc à combler l'absence de toute étude sur la survie de la gigantomachie à travers les âges et à préciser l'emploi qui en serait fait à la Renaissance. Divers recueils d'ouvrages consacrés à la mythologie et remontant à cette période nous ont permis de décrire les modalités de la reprise du récit de la guerre des géants; en l'absence de toute synthèse sur ceux-ci dans la peinture de la Renaissance, c'est en partant de l'examen des nombreux travaux consacrés au Palazzo del Te à Mantoue que nous avons pu établir un lien entre les représentations de géants peintes durant la première moitié du 16ème siècle, au cours duquel la gigantomachie était redevenue un sujet d'actualité. Le monument de la bourgade lémanique comporte encore neuf personnages et constitue, avec celui d'Yzeures-sur-Creuse, l'exemplaire le plus complet découvert dans la partie occidentale de l'Empire romain : il méritait bien d'être à l'origine d'une telle démarche.
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PURPOSE: Several studies observed a female advantage in the prognosis of cutaneous melanoma, for which behavioral factors or an underlying biologic mechanism might be responsible. Using complete and reliable follow-up data from four phase III trials of the European Organisation for Research and Treatment of Cancer (EORTC) Melanoma Group, we explored the female advantage across multiple end points and in relation to other important prognostic indicators. PATIENTS AND METHODS: Patients diagnosed with localized melanoma were included in EORTC adjuvant treatment trials 18832, 18871, 18952, and 18961 and randomly assigned during the period of 1984 to 2005. Cox proportional hazard models were used to calculate hazard ratios (HRs) and 95% CIs for women compared with men, adjusted for age, Breslow thickness, body site, ulceration, performed lymph node dissection, and treatment. RESULTS: A total of 2,672 patients with stage I/II melanoma were included. Women had a highly consistent and independent advantage in overall survival (adjusted HR, 0.70; 95% CI, 0.59 to 0.83), disease-specific survival (adjusted HR, 0.74; 95% CI, 0.62 to 0.88), time to lymph node metastasis (adjusted HR, 0.70; 95% CI, 0.51 to 0.96), and time to distant metastasis (adjusted HR, 0.69; 95% CI, 0.59 to 0.81). Subgroup analysis showed that the female advantage was consistent across all prognostic subgroups (with the possible exception of head and neck melanomas) and in pre- and postmenopausal age groups. CONCLUSION: Women have a consistent and independent relative advantage in all aspects of the progression of localized melanoma of approximately 30%, most likely caused by an underlying biologic sex difference.
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Pediatric follicular lymphoma is a rare disease that differs genetically and clinically from its adult counterpart. With the exception of pediatric follicular lymphoma with IRF4-translocation, the genetic events associated with these lymphomas have not yet been defined. We applied array-comparative genomic hybridization and molecular inversion probe assay analyses to formalin-fixed paraffin-embedded tissues from 18 patients aged 18 years and under with IRF4 translocation negative follicular lymphoma. All evaluable cases lacked t(14;18). Only 6 of 16 evaluable cases displayed chromosomal imbalances with gains or amplifications of 6pter-p24.3 (including IRF4) and deletion and copy number neutral-loss of heterozygosity in 1p36 (including TNFRSF14) being most frequent. Sequencing of TNFRSF14 located in the minimal region of loss in 1p36.32 showed nine mutations in 7 cases from our series. Two subsets of pediatric follicular lymphoma were delineated according to the presence of molecular alterations, one with genomic aberrations associated with higher grade and/or diffuse large B-cell lymphoma component and more widespread disease, and another one lacking genetic alterations associated with more limited disease.
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This article introduces the Dyadic Coping Inventory (DCI; Bodenmann, 2008) and aims (1) to investigate the reliability and aspects of the validity of the Italian and French versions of the DCI, and (2) to replicate its factor structure and reliabilities using a new Swiss German sample. Based on 216 German-, 378 Italian-, and 198 French-speaking participants, the factor structure of the original German inventory was able to be replicated by using principal components analysis in all three groups after excluding two items in the Italian and French versions. The latter were shown to be as reliable as the German version with the exception of the low reliabilities of negative dyadic coping in the French group. Confirmatory factor analyses provided additional support for delegated dyadic coping and evaluation of dyadic coping. Intercorrelations among scales were similar across all three languages groups with a few exceptions. Previous findings could be replicated in all three groups, showing that aspects of dyadic coping were more strongly related to marital quality than to dyadic communication. The use of the dyadic coping scales in the actor-partner interdependence model, the common fate model, and the mutual influence model is discussed.