4 resultados para 1:12 Phosphomolybdic
em Université de Lausanne, Switzerland
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Background: Leptin is produced primarily by adipocytes. Although originally associated with the central regulation of satiety and energy metabolism, increasing evidence indicates that leptin may be an important factor for congestive heart faire (CHF). In the study, we aimed to test the hypothesis that leptin may influence CHF pathophysiology via a pathway of increasing body mass index (BMI). Methods: We studied 2,389 elderly participants aged 70 and older (M; 1161, F: 1228) without CHF and with serum leptin measures at the Health Aging, and Body Composition study. We analyzed the association between serum leptin level and risk of incident CHF using Cox hazard proportional regression models. Elevated leptin level was defined as more than the highest quartile (Q4) of leptin distribution in the total sample for each gender. Adjusted-covariates included demographic, behavior, lipid and inflammation variables (partially-adjusted models), and further included BMI (fully-adjusted models). Results: In a mean 9-year follow-up, 316 participants (13.2%) developed CHF. The partially-adjusted models indicated that men and women with elevated serum leptin levels (>=9.89 ng/ml in men and >=25 ng/ml in women) had significantly higher risks of developing CHF than those with leptin level of less than Q4. The adjusted hazard ratios (95%CI) for incident CHF was 1.49 (1.04 -2.13) in men and 1.71 (1.12 -2.58) in women. However, these associations became non-significant after adjustment for including BMI for each gender. The fully-adjusted hazard ratios (95%CI) were 1.43 (0.94 -2.18) in men and 1.24 (0.77-1.99) in women. Conclusion: Subjects with elevated leptin levels have a higher risk of CHF. The study supports the hypothesis that the influence of leptin level on risk of CHF may be through a pathway related to increasing BMI.
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L'hypertrophie ventriculaire pathologique chez les nouveau-nés des mères diabétiques une étude rétrospective RESUME Objectif L'incidence du diabète chez les femmes enceintes ne cesse de croître, de même que les complications chez leurs nouveau-nés. C'est pourquoi, nous avons étudié la population de mères diabétiques suivies dans notre établissement entre les années 2003-2005 dans le but d'analyser spécifiquement le problème d'hypertrophie ventriculaire pathologique (HVP) chez les nouveau-nés de cette population. Méthode et résultats Dans notre étude rétrospective comprenant 87 grossesses de femmes diabétiques (92 nouveau-nés), 16 présentaient un diabète de type 1, 17 de type 2 et 54 ont développé un diabète gestationnel (DG). Le médian des hémoglobines glycquées (HbAlc) pour cette population est de 5.8% (5.3-6.5) : 17 avaient une HbAlc au-dessus de la norme, dont 2 souffrant d'une cardiomyopathie congénitale (CMC) et six d'une HVP. Un total de 75 nouveaux-nés étaient normaux, cinq avaient une CMC et 12 une HVP (1/12 décédé post-natalement, 1/12 mort-né, 2/12 nécessitant un accouchement prématuré, 8/12 normaux). Les 16 mères avec un diabète de type 1 accouchèrent de trois nouveau-nés avec une CMC et de 50% avec une HVP, comprenant un enfant décédé et un prématuré né par césarienne à cause d'une HVP. Dans le groupe des 17 nouveau-nés issus d'une mère connue pour un diabète de type 2, un cas présentait une CMC et 25% des cas une HVP. Parmi les 54 grossesses avec un DG, on dénombre un cas de CMC et un cas de HVP. Conclusion Les grossesses de mères souffrant d'un diabète de type 1 et de type 2 comportent toutes deux un risque augmenté de développement d'une HVP comparées à celles de mères ayant développé un diabète gestationnel. Les contrôles glycémiques sont insuffisants pour éviter la survenue d'une HVP. Comme aucun autre paramètre prédictif n'a pu été défini jusqu'alors, nous concluons qu'un suivi échographique rapproché de ces grossesses peut prévenir des complications périnatales sévères.
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To identify previously unknown genetic loci associated with fasting glucose concentrations, we examined the leading association signals in ten genome-wide association scans involving a total of 36,610 individuals of European descent. Variants in the gene encoding melatonin receptor 1B (MTNR1B) were consistently associated with fasting glucose across all ten studies. The strongest signal was observed at rs10830963, where each G allele (frequency 0.30 in HapMap CEU) was associated with an increase of 0.07 (95% CI = 0.06-0.08) mmol/l in fasting glucose levels (P = 3.2 x 10(-50)) and reduced beta-cell function as measured by homeostasis model assessment (HOMA-B, P = 1.1 x 10(-15)). The same allele was associated with an increased risk of type 2 diabetes (odds ratio = 1.09 (1.05-1.12), per G allele P = 3.3 x 10(-7)) in a meta-analysis of 13 case-control studies totaling 18,236 cases and 64,453 controls. Our analyses also confirm previous associations of fasting glucose with variants at the G6PC2 (rs560887, P = 1.1 x 10(-57)) and GCK (rs4607517, P = 1.0 x 10(-25)) loci.