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Introduction: Increased respiratory pattern variability is associated with improved oxygenation. Pressure support (PS) is a widely used partial-assist mechanical ventilation (MV) mode, in which each breathing cycle is initiated by flow or pressure variation at the airway due to patient inspiratory effort. Neurally adjusted ventilatory assist (NAVA) is relatively new and uses the electrical activity of the diaphragm (Eadi) to deliver ventilatory support proportional to the patient's inspiratory demand. We hypothesize that respiratory variability should be greater with NAVA compared with PS.Methods: Twenty-two patients underwent 20 minutes of PS followed by 20 minutes of NAVA. Flow and Eadi curves were used to obtain tidal volume (Vt) and ∫Eadi for 300 to 400 breaths in each patient. Patient-specific cumulative distribution functions (CDF) show the percentage Vt and ∫Eadi within a clinically defined (±10%) variability band for each patient. Values are normalized to patient-specific medians for direct comparison. Variability in Vt (outcome) is thus expressed in terms of variability in ∫Eadi (demand) on the same plot.Results: Variability in Vt relative to variability in ∫Eadi is significantly greater for NAVA than PS (P = 0.00012). Hence, greater variability in outcome Vt is obtained for a given demand in ∫Eadi, under NAVA, as illustrated in Figure 1 for a typical patient. A Fisher 2 × 2 contingency analysis showed that 45% of patients under NAVA had a Vt variability in equal proportion to ∫Eadi variability, versus 0% for PS (P < 0.05).Conclusions: NAVA yields greater variability in tidal volume, relative to ∫Eadi demand, and a better match between Vt and ∫Eadi. These results indicate that NAVA could achieve improved oxygenation compared with PS when sufficient underlying variability in ∫Eadi is present, due to its ability to achieve higher tidal volume variability from a given variability in ∫Eadi.
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Depuis une trentaine d'années, les représentations de la figure de Jésus se sont multipliées en photographie. De la séquence narrative du photographe américain Duane Michals (Christ in New York, 1981) au chemin de croix de Wim Delvoye (Viae Crucis, 2006), en passant par la série I.N.R.I. (1997-98) de Bettina Rheims, les Photographies apocryphes (1994-98) d'Olivier Christinat, les Seven Bible Scenes (1998) de Rauf Mamedov, Ecce homo (1996-98) d'Elisabeth Ohlson, Jesus is my Homeboy (2003) de David LaChapelle ou encore South Soudan (2006) de Vanessa Beecroft, l'intérêt pour la figure christique dans le champ profane est incontestable. Le phénomène dépasse d'ailleurs les frontières géographiques, culturelles et confessionnelles.¦Cette thèse de doctorat réunit un important fonds iconographique qui démontre l'intérêt actuel pour la figure du Christ et la grande diversité des démarches et des profils des artistes. Cet important corpus est analysé selon trois perspectives. La première partie est consacrée au médium photographique, à ses liens étroits avec la sainte Face depuis le cliché du suaire de Turin en 1898, et depuis l'ambitieux projet photographique (1898) de Fred Holland Day qui incame le Christ dans ses nombreuses réinterprétations de la vie de Jésus.¦La deuxième partie de ce travail interroge l'emploi des formules iconographiques chrétiennes archétypales et questionne les références christiques utilisées par les artistes au travers de poses, d'attitudes, de gestes repris de chefs-d'oeuvre de l'art religieux, tant dans le domaine de la photographie d'art que dans la publicité ou la photographie de presse. L'usage du texte, la place des Ecritures dans les projets actuels sont aussi abordés, notamment autour de la question de la possibilité de raconter la vie de Jésus et des stratégies de mises en scène employées pour traduire les récits en images.¦Enfin, la dernière partie porte plus particulièrement sur les usages de la figure de Jésus, souvent alter ego de l'artiste, mais surtout porte-parole. À la suite des luttes socio- politiques des années 1970, la figure de Jésus est réinvestie par les minorités et Jésus incarne alors les combats d'artistes qui se réapproprient la représentation du Christ pour qu'elle corresponde à l'image qu'ils voient dans leur propre miroir (ex. Renee Cox, Yo Mama's Last Supper, 1996). Cet usage revendicateur, souvent doublé d'un goût non dissimulé pour la provocation (ex. Andres Serrano, Piss Christ, 1987), a souvent suscité la polémique. La question de la réception des oeuvres constitue un point essentiel de cette recherche qui tâche d'analyser la figure christique au miroir de la photographie contemporaine et qui conclut que le Christ est en réalité miroir des artistes eux-mêmes.
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The prevalence of food allergy in children is increasing, in particular in its most severe presentation, i.e. anaphylaxis. Food allergy has an important impact on children's and their parent's quality of life, because of the fear of accidental ingestion and limitations of social activities. Quality of life questionnaires adapted to food allergy are now available, as well as new diagnostic procedures using recombinant technology. Their interpretation and their clinical correlation remain difficult, especially in children, in the absence of references values. Various oral and subcutaneous immunotherapy strategies are currently under evaluation, using modified or native allergens.
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Avec Cendrars, la vie et l'oeuvre se confondent en formant ce que Henry Miller a nommé « une masse poétique étincelante, dédiée à l'archipel de l'insomnie ». Voilà ce qui, aux yeux de son ami américain, faisait de lui rien de moins que l'écrivain du siècle. Un écrivain trop « distraitement reconnu », au dire de Malraux, qui déplorait que le poète ait été souvent négligé au profit du bourlingueur, dont Cendrars lui-même a largement contribué à sculpter la figure. Au miroir déformant de la légende, le romancier, le mémorialiste, le cinéaste ou encore l'homme de radio et le reporter se sont effacés, ne laissant trop longtemps persister de Cendrars qu'un cliché, celui de l'aventurier au visage buriné prêt à raconter ses voyages : sans doute la meilleure façon pour lui de prendre le large. Dès 1912 avec le poème Les Pâques et jusqu'en 1956 avec le roman baroque Emmène-moi au bout du monde !..., chaque publication ressemble à l'une des pièces d'un vaste puzzle où se dessine la modernité du XXe siècle. C'est peu dire que Cendrars fut un novateur de formes et de genres : son oeuvre, élaborée dans l'effervescence et le tumulte est hétiques, offre aujourd'hui plus que jamais des échos puissants à nos questionnements contemporains : elle ne cesse de commencer. Ce volume rassemble les contributions au colloque international « Aujourd'hui Cendrars. 1961-2011 » organisé, à l'occasion du cinquantenaire du décès de Blaise Cendrars, par l'Université de Lausanne, l'Université Paris Ouest Nanterre La Défense, le Centre d'Études Blaise Cendrars (CEBC) et l'Association internationale Blaise Cendrars (AIBC), qui s'est déroulé à Dorigny-Lausanne du 4 au 6 mai 2011.
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Introduction: Les services d'urgences sont régulièrement confrontés à des intoxications par ingestion de champignons. Ces situations, souvent banales, peuvent nécessiter une prise en charge intensive et comporter un risque réel de morbi-mortalité, en particulier lors de cytolyse hépatique aiguë. La prévalence, ainsi que la fréquence réelle des complications liées à l'ingestion de champignons sont mal connues. Méthodes: Etude rétrospective dans un service d'urgence universitaire entre décembre 2004 et octobre 2011. Les codes diagnostics «intoxication aux champignons», ainsi que les termes «amanite» ou «champignons» ont été extraits de la base de données des urgences. Les caractéristiques des patients, leurs présentations cliniques, durées de séjour et complications ont été analysées. Résultats: 72 cas ont été répertoriés et revus, âge 44,3 ± 2,0 ans (moy ± SE, 95%CI 40,2-48,4), ratio H:F 1:1,2 (33H, 39F). 81% des cas sont survenus entre août et décembre. 14 cas sont arrivés sous forme de clusters familiaux (35 patients, moyenne = 2,6 cas/cluster, min: 2, max: 7). Un spécialiste en mycologie a été contacté dans 25 cas pour identifier les champignons. 69 patients (96%) sont rentrés à domicile depuis les urgences (séjour de 10,8 ± 1,3 heures, 95%CI 8,2-13,4 h). Lorsque les symptômes survenaient <= 4 heures après l'ingestion, les patients restaient moins longtemps (N = 57, durée séjour médiane 6,1 h, P25-P75 3,2-11,8 h) que les cas avec des symptômes plus tardifs (N = 15, durée séjour médiane 13,3 h, P25-P75 10,2-36,2) (p = 0,0001 selon Mann-Whitney). Une patiente a nécessité un transfert dans un centre spécialisé (intoxication par amanite phalloïde, avec dosage positif de l'alpha-amanitine). Elle a bénéficié de silibinine et d'une hospitalisation (9 jours), avec une évolution favorable sans nécessité de transplantation. Les symptômes étaient apparus tardivement (7 h). Conclusions: Sur les 72 cas, un seul (1,4%) a nécessité une prise en charge spécialisée. Les autres patients ont pu rentrer à domicile dans les heures qui ont suivi leur admission. Une grande partie des cas est survenue entre août et décembre, période favorable pour la récolte ou la consommation de champignons. Cette analyse confirme que la plupart des cas sont bénins et que les patients peuvent rentrer rapidement à domicile une fois les symptômes passés. Le seul cas potentiellement grave a présenté des symptômes tardifs et une longue hospitalisation, ce qui réaffirme les données de la littérature.
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La tesi di Dottorato, condotta in accordo di colutela tra l'Università di Roma Tor Vergata e l'UNIL di Losanna, ha affrontato l'analisi di un gruppo di undici disegni custodia presso la National Gallery of Scotland di Edimburgo, copie di alcuni dei più significativi mosaici medioevali delle chiese di Roma, ricostruendone la genesi, quindi le vicende legate alla committenza, e il percorso collezionistico. I disegni scozzesi, oggetto di un importante articolo di Julian Gardner pubblicato sul Burlington Magatine nel 1973, furono commissionati intorno agli anni Settanta del XVII secolo dall'antiquario romano Giovanni Giustino Ciampini (1633-1698) in connessione alla stesura della sua opera di erudizione più avvertita e famosa: i Vetera Mommenta in' quibus praecipue Musiva Opera, sacrarum, profanan,mque, Aedìum structura, ac nonnulli antiqui ritus dissertationibus iconìbusque illustrantur. La composizione dei Vetera Mommenta - un'opera riccamente illustrata che nasce per rispondere alle esigenze della ideologia della Chiesa di Roma in un momento di rinnovata crisi del sistema - impone a Ciampini di porsi da un lato nella prospettiva della più alta tradizione antiquaria cinque e seicentesca, di cui recupera i metodi di lettura e di analisi applicati allo studio delle monete e dei monumenti antichi interpretati quali prove per la ricostruzione storica, e dall'altra, come è emerso dalle mie ricerche, lo pone immediatamente in contatto con gli avamposti del più moderno metodo di indagine storica e filologica applicato alle fonti e ai documenti della storia ecclesiastica, inaugurato dall'ambiente bollandista e inaurino. I monumenti paleocristiani e medioevali assumono in quest'ottica lo status di 'fatti incontestabili', le fonti primarie attraverso le quali Ciampini ricuce le tappe salienti della storia della Chiesa, da Costantino fino al XV secolo. Nel 1700 le copie di Edimburgo arrivano nelle mani del mercante e connoisseur milanese il padre oratoriano Sebastiano Resta (1635-1714), di stanza a Roma presso la Chiesa Nuova della Vallicella dal 1660, che decide di rilegarle tutte insieme in un volume da donare al suo maggiore acquirente e patrono, il vescovo di Arezzo Giovanni Matteo Marchetti. Come spiega Resta in alcune sue lettere, il presente avrebbe dovuto costituire insieme una curiosità ed offrire un confronto: infatti «le copie delli mosaici di Roma che erano di Monsignor Ciampini» - afferma Resta - avrebbero mostrato al Marchetti «le maniere di que' tempi gottici, barbari e divoti de cristiani e [fatto] spiccare i secoli seguenti». Questa indagine infatti ha fatto riemergere aspetti della precoce attenzione di Sebastiano Resta per l'arte dei "secoli bassi", mai debitamente affrontata dagli studi. E' infatti sulla scorta di una profonda conoscenza dei testi della letteratura artistica, e in connessione alla esplosione vivacissima della controversia Malvasia/Baldinucci sul primato del risorgere delle arti in Toscana, che Sebastiano a partire dagli anni Ottanta del Seicento comincia a meditare sul Medioevo artistico con il fine di spiegare l'evoluzione del linguaggio tecnico e formale che ha condotto alla perfezione dell'atte moderna. In questa prospettiva ι disegni del XIV e XV secolo che egli riuscì ad intercettare sul mercato valgono quali testimonianze delle maniere degli artefici più antichi e sono imbastiti nei molteplici album che Resta compone nel rispetto della successione cronologica dei presunti autori, e ordinati in base alle scuole pittoriche di pertinenza. La tesi permette perciò di descrivere nelle loro diverse specificità: da un lato il modo dei conoscitori come Resta, interessati nell'opera al dato stilistico, con immediate e sensibili ricadute sul mercato, e disposti anche con passione a ricercare i documenti relativi all'opera in quanto pressati dall'urgenza di collocarla nella sequenza cronologica dello sviluppo del linguaggio formale e tecnico; dall'altro gli antiquari come Ciampini e come Bianchini, per i quali le opere del passato valgono come prove irrefutabili della ricostruzione storica, e divengono quindi esse stesse, anche nel loro statuto di copia, documento della stona. Sono due approcci che si manifestano nel Seicento, e talvolta in una medesima persona, come mostra il caso anche per questo cruciale di Giovati Pietro Bellori, ma che hanno radici cinquecentesche, di cui i protagonisti di queste vicende sono ben consapevoli: e se dietro Resta c'è palesemente Vasari, dietro Ciampini e soprattutto Bianchini c'è la più alta tradizione antiquaria del XVI secolo, da Antonio Augustin a Fulvio Orsini.