53 resultados para ASA


Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

BACKGROUND: Physicians traditionally treat ulcerative colitis (UC) using a step-up approach. Given the paucity of data, we aimed to assess the cumulative probability of UC-related need for step-up therapy and to identify escalation-associated risk factors. METHODS: Patients with UC enrolled into the Swiss IBD Cohort Study were analyzed. The following steps from the bottom to the top of the therapeutic pyramid were examined: (1) 5-aminosalicylic acid and/or rectal corticosteroids, (2) systemic corticosteroids, (3) immunomodulators (IM) (azathioprine, 6-mercaptopurine, methotrexate), (4) TNF antagonists, (5) calcineurin inhibitors, and (6) colectomy. RESULTS: Data on 996 patients with UC with a median disease duration of 9 years were examined. The point estimates of cumulative use of different treatments at years 1, 5, 10, and 20 after UC diagnosis were 91%, 96%, 96%, and 97%, respectively, for 5-ASA and/or rectal corticosteroids, 63%, 69%, 72%, and 79%, respectively, for systemic corticosteroids, 43%, 57%, 59%, and 64%, respectively, for IM, 15%, 28%, and 35% (up to year 10 only), respectively, for TNF antagonists, 5%, 9%, 11%, and 12%, respectively, for calcineurin inhibitors, 1%, 5%, 9%, and 18%, respectively, for colectomy. The presence of extraintestinal manifestations and extended disease location (at least left-sided colitis) were identified as risk factors for step-up in therapy with systemic corticosteroids, IM, TNF antagonists, calcineurin inhibitors, and surgery. Cigarette smoking at diagnosis was protective against surgery. CONCLUSIONS: The presence of extraintestinal manifestations, left-sided colitis, and extensive colitis/pancolitis at the time of diagnosis were associated with use of systemic corticosteroids, IM, TNF antagonists, calcineurin inhibitors, and colectomy during the disease course.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Objectifs La chirurgie pancréatique reste associée à une morbidité postopératoire importante. Les efforts sont concentrés la plupart du temps sur la diminution de cette morbidité, mais la détection précoce de patients à risque de complications pourrait être une autre stratégie valable. Un score simple de prédiction des complications après duodénopancréatectomie céphalique a récemment été publié par Braga et al. La présente étude a pour but de valider ce score et de discuter de ses possibles implications cliniques. Méthodes De 2000 à 2015, 245 patients ont bénéficié d'une duodénopancréatectomie céphalique dans notre service. Les complications postopératoires ont été recensées selon la classification de Dindo et Clavien. Le score de Braga se base sur quatre paramètres : le score ASA (American Society of Anesthesiologists), la texture du pancréas, le diamètre du canal de Wirsung (canal pancréatique principal) et les pertes sanguines intra-opératoires. Un score de risque global de 0 à 15 peut être calculé pour chaque patient. La puissance de discrimination du score a été calculée en utilisant une courbe ROC (receiver operating characteristic). Résultats Des complications majeures sont apparues chez 31% des patients, alors que 17% des patients ont eu des complications majeures dans l'article de Braga. La texture du pancréas et les pertes sanguines étaient statistiquement significativement corrélées à une morbidité accrue. Les aires sous la courbe étaient respectivement de 0.95 et 0.99 pour les scores classés en quatre catégories de risques (de 0 à 3, 4 à 7, 8 à 11 et 12 à 15) et pour les scores individuels (de 0 à 15). Conclusions Le score de Braga permet donc une bonne discrimination entre les complications mineures et majeures. Notre étude de validation suggère que ce score peut être utilisé comme un outil pronostique de complications majeures après duodénopancréatectomie céphalique. Les implications cliniques, c'est-à-dire si les stratégies de prise en charge postopératoire doivent être adaptées en fonction du risque individuel du patient, restent cependant à élucider. -- Objectives Pancreatic surgery remains associated with important morbidity. Efforts are most commonly concentrated on decreasing postoperative morbidity, but early detection of patients at risk could be another valuable strategy. A simple prognostic score has recently been published. This study aimed to validate this score and discuss possible clinical implications. Methods From 2000 to 2012, 245 patients underwent pancreaticoduodenectomy. Complications were graded according to the Dindo-Clavien classification. The Braga score is based on American Society of Anesthesiologists score, pancreatic texture, Wirsung duct diameter, and blood loss. An overall risk score (from 0 to 15) can be calculated for each patient. Score discriminant power was calculated using a receiver operating characteristic curve. Results Major complications occurred in 31% of patients compared to 17% in Braga's data. Pancreatic texture and blood loss were independently statistically significant for increased morbidity. The areas under curve were 0.95 and 0.99 for 4-risk categories and for individual scores, respectively. Conclusions The Braga score discriminates well between minor and major complications. Our validation suggests that it can be used as prognostic tool for major complications after pancreaticoduodenectomy. The clinical implications, i.e., whether postoperative treatment strategies should be adapted according to the patient's individual risk, remain to be elucidated.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

La fracture périprothétique du fémur (FPF) représente une complication sérieuse des arthroplasties de hanche. Différents matériels d'ostéosynthèse ont été utilisés pour l'ostéosynthèse des FPFs. Toutefois, aucune étude n'a rapporté les résultats obtenus avec une plaque anatomique non-verrouillée avec des trous excentrés. Les buts de ce travail étaient de présenter 1) le taux de consolidation des FPF traitées par cet implant, 2) les caractéristiques péri-opératoires 3) le taux de complications, et 4) les résultats en terme d'autonomie obtenus après le traitement des FPF du groupe B selon Vancouver avec une plaque anatomique à trous excentrés. Hypothèse L'utilisation de cette plaque permet d'obtenir un taux élevé de consolidation avec un minimum de complications mécaniques. Matériels et Méthodes Quarante-trois patients, d'âge moyen 79 ans ± 13 (41 - 98), qui ont été traités pour une ostéosynthèse d'une FPF de type B selon Vancouver avec cette plaque entre 2002 et 2007 ont été inclus. Les patients ont été classifiées selon les scores ASA et de Charnley. Le temps opératoire, les pertes sanguines chirurgicales, le nombre de transfusion, la durée d'hospitalisation, le délai de consolidation, le lieu de vie ainsi que l'autonomie (score de Parker) ont été évalués. Le taux de survie sans révision a été calculé par la méthode de Kaplan-Meier. Le recul moyen est de 42 mois ± 20 (min - max : 16 - 90). Résultats La consolidation a été obtenue chez tous les patients avec un délai moyen de 2,4 mois ± 0,6 (2-4). 1 patient avec un cal vicieux en varus était à déplorer. Le score de Parker a diminué de 5,93 ± 1,94 (2-9) à 4,93 ± 1,8 (1- 9) (p = 0.01). 2 révisions chirurgicales ont été nécessaires sur la série. Le taux de survie à 5 ans des prothèses après ostéosynthèse de la FPF était de 83,3 % ± 12,6 %. Conclusion Cette plaque anatomique avec trous excentrés permet le traitement des FPF du type B et garantit une consolidation de la fracture avec un faible taux de complications liés à l'ostéosynthèse. Toutefois, les FPF représentent une complication sérieuse des arthroplasties de hanche assortie d'un fort taux de morbidités et de mortalité.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

La contribution examine le rôle joué par les principes régissant la TVA dans la mise en oeuvre de cet impôt. Ces principes, aussi appelés « principes directeurs », sont immanents à la TVA et déploient leurs effets depuis l'apparition de la TVA en Suisse, indépendamment de leur codification dans la loi. L'article examine donc la portée de ces principes qui jouent avant tout un rôle de guide à l'interprétation, censé garantir l'application de la TVA conformément à sa nature d'impôt à la consommation finale. Or, par le passé, malgré l'énoncé des principes directeurs dans la loi depuis 2001, ils ne suffirent pas à assurer la mise en place d'une TVA neutre pour les entreprises. La contribution montre comment la Loi fédérale régissant la taxe sur la valeur ajoutée (LTVA) entrée en vigueur en 2010 a repris les principes directeurs, mais les a également concrétisés dans de nombreuses règles techniques qui devraient permettre d'en assurer effectivement une mise en pratique plus efficace.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

BACKGROUND: Hemidiaphragmatic paresis after ultrasound-guided interscalene brachial plexus block is reported to occur in up to 100% of patients. We tested the hypothesis that an injection lateral to the brachial plexus sheath reduces the incidence of hemidiaphragmatic paresis compared with a conventional intrafascial injection, while providing similar analgesia. METHODS: Forty ASA I-III patients undergoing elective shoulder and clavicle surgery under general anaesthesia were randomized to receive an ultrasound-guided interscalene brachial plexus block for analgesia, using 20 ml bupivacaine 0.5% with epinephrine 1:200 000 injected either between C5 and C6 within the interscalene groove (conventional intrafascial injection), or 4 mm lateral to the brachial plexus sheath (extrafascial injection). The primary outcome was incidence of hemidiaphragmatic paresis (diaphragmatic excursion reduction >75%), measured by M-mode ultrasonography, before and 30 min after the procedure. Secondary outcomes were forced vital capacity, forced expiratory volume in 1 s, and peak expiratory flow. Additional outcomes included time to first opioid request and pain scores at 24 h postoperatively (numeric rating scale, 0-10). RESULTS: The incidences of hemidiaphragmatic paresis were 90% (95% CI: 68-99%) and 21% (95% CI: 6-46%) in the conventional and extrafascial injection groups, respectively (P<0.0001). Other respiratory outcomes were significantly better preserved in the extrafascial injection group. The mean time to first opioid request was similar between groups (conventional: 802 min [95% CI: 620-984 min]; extrafascial: 973 min [95% CI: 791-1155 min]; P=0.19) as were pain scores at 24 h postoperatively (conventional: 1.6 [95% CI: 0.9-2.2]; extrafascial: 1.6 [95% CI: 0.8-2.4]; P=0.97). CONCLUSIONS: Ultrasound-guided interscalene brachial plexus block with an extrafascial injection reduces the incidence of hemidiaphragmatic paresis and impact on respiratory function while providing similar analgesia, when compared with a conventional injection. CLINICAL TRIAL REGISTRATION: NCT02074397.