40 resultados para beta(1 -> 6)-D-glucans


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Short- and long-term effect of oxytocin on Na+ transport and Na-K-ATPase biosynthesis in the toad bladder, and the potential interaction of this hormone with aldosterone have been studied, leading to the following observations. An early Na+ transport response (oxytocin, 50 mU/ml) peaked at 10-15 min of hormone addition. At maximal stimulation a three- to fourfold increase in Na+ transport was observed, a sustained Na+ transport response (about two-fold control base line) was observed as long as the hormone was present in the medium and for up to 20 h of incubation. Pretreatment for 30 min with actinomycin D (2 micrograms/ml) did not inhibit the early response, but significantly impaired the sustained response, suggesting that de novo protein synthesis was required. The simultaneous addition of the two hormones led within 60 min to a marked potentiation of the action on Na+ transport. This synergism could be mimicked by exogenous cyclic adenosine monophosphate (cAMP). Oxytocin alone (18 h exposure, 50 mU/ml) increased the relative rate of synthesis of both alpha and beta subunits of Na-K-ATPase (1.9- and 1.6-fold, respectively; P less than 0.05), whereas aldosterone (80 nM) increased the relative rate of synthesis of the same subunits (2.6- and 2.2-fold, respectively; P less than 0.02). Finally, in contrast to what was observed at the physiological level, the interaction of oxytocin and aldosterone did not lead to a similar potentiation at the biochemical level, i.e., induction of Na-K-ATPase biosynthesis (2.7- and 2.9-fold, for alpha and beta subunits, respectively; P less than 0.025).

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Background a nd A ims: D ilation of stenosing EosinophilicEsophagitis (EoE) is considered a high-risk procedure asperforation rates o f up to 9% of patients h ave been reported.Goal: To systematically e valuate the dilation-associatedperforation risk in stenosing EoE.Methods: A systematic review of the literature was performedusing pubmed and Embase. Keywords used were "eosinophilicesophagitis", "dilation", "perforation", and "complications".Results: F rom 2002 to 2007 7 case s eries including 85patients r eported perforations i n 5 patients ( perforation r ate6%). The highest perforation rate was reported in a series of 36patients d ocumenting 3 perforations ( 9%). In 2 010 and 2011three large studies r eporting o n a total o f 404 patientsdocumented a perforation in 3 patients (0.74%). The perforationrate reported in small case series before 2010 was significantlyhigher compared to the r ates since 2 010 ( P <0.001). Theoverall p erforation frequency is 8 /489 patients (1.6%). Amedian of 3 endoscopic sessions with dilations were performedper patient, thereby leading to a perforation rate of 0.53% perendoscopy. Follow-up information on EoE p atients w ithperforation was available in 6 s tudies, all patients c ould bemanaged conservatively, dilation-associated mortality waszero.Conclusions: D ilation of stenosing EoE h as a m uch lowerperforation risk as r eported in e arlier c ase series. Theperforation rate per endoscopy (0.53%) is much lower than theone reported for d ilation of achalasia ( 2-4%). T aking intoaccount t he latest data, dilation of stenosing EoE c an beregarded as a safe procedure.

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Introduction: L'efficacité d'une séance de VNI est habituellement évaluée selon la réponse clinique, l'amélioration de l'acidose respiratoire et de l'hypercapnie. Le but de cette étude était d'évaluer l'intérêt de la mesure du CO2 en fin d'expiration (PETCO2) pour estimer la PaCO2 et son évolution dans le temps. Patients et Méthodes: Des patients de réanimation souffrant d'une insuffisance respiratoire aiguë hypercapnique (PaCO2 >45 mmHg) ont été inclus dans cette étude prospective. La PETCO2était mesurée à l'aide d'un capteur nasobuccal (SmartLine®, Oridion) au cours d'une séance de VNI de 60 minutes. Une gazométrie artérielle et la valeur de PETCO2 étaient enregistrées au début de la séance puis chaque 15 minutes. Des manoeuvres d'expiration complète passives et actives étaient effectuées à 30 et 60 minutes. Le gradient de CO2 (PaCO2- PETCO2) a été calculé pour l'ensemble des mesures, spécifiquement pour chaque manoeuvre d'expiration complète, ainsi qu'individuellement pour chaque patient. Ces grandeurs sont exprimées en moyenne et écart-type pour évaluer le biais et la dispersion observés entre PaCO2 et PETCO2. La différence entre chaque valeurs consécutives de gradient de CO2 (delta gradient de CO2) a été calculées par patient. Cette mesure quantifie la variation au cours du temps du gradient de CO2 pour un patient donné. Résultats: 11 patients ont été inclus (7 BPCO, 1 restrictif et 1 syndrome d'apnée du sommeil). Sur l'ensemble des mesures, le gradient de CO2 était de 14.7 + 10.6 mmHg, lors des manoeuvres d'expiration complètes active il était de 8.1 + 13.0 mmHg, et de 8.8 + 11.9 mmHg lors des expirations passives. Conclusion: Chez les patients présentant une insuffisance respiratoire aiguë hypercanique traitée par VNI, la mesure de la PETCO2 par capteur nasobuccal ne permet de prédire ni la valeur de PaCO2, ni son évolution dans le temps. Les manoeuvres d'expiration complète n'apportent aucune plus value.

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B cells can either differentiate in germinal centers or in extrafollicular compartments of secondary lymphoid organs. Here we show the migration properties of B cells after differentiation in murine peripheral lymph node infected with mouse mammary tumor virus. Naive B cells become activated, infected, and carry integrated retroviral DNA sequences. After production of a retroviral superantigen, the infected B cells receive cognate T cell help and differentiate along the two main differentiation pathways analogous to classical Ag responses. The extrafollicular differentiation peaks on day 6 of mouse mammary tumor virus infection, and the follicular one becomes detectable after day 10. B cells participating in this immune response carry a retroviral DNA marker that can be detected by using semiquantitative PCR. We determined the migration patterns of B cells having taken part in the T cell-B cell interaction from the draining lymph node to different tissues. Waves of immigration and retention of infected cells in secondary lymphoid organs, mammary gland, salivary gland, skin, lung, and liver were observed correlating with the two peaks of B cell differentiation in the draining lymph node. Other organs revealed immigration of infected cells at later time points. The migration properties were correlated with a strong up-regulation of alpha(4)beta(1) integrin expression. These results show the migration properties of B cells during an immune response and demonstrate that a large proportion of extrafolliculary differentiating plasmablasts can escape local cell death and carry the retroviral infection to peripheral organs.

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[Table des matières] 1. Méthodes d'évaluation. 2. Le Passage et le Point d'eau. 2.1. Historique et objectifs. 2.2. Etapes de la mise en route. 3.1. Professionnels salariés. 3.2. Bénévoles professionnels. 3.3. Bénévoles d'accueil. 4.1. Activités de la structure. 4.2. Accueil (animations, repas, collations). 4.3. L'offre socio-éducative. 4.4. L'offre sanitaire. 4.5. La distribution du matériel stérile. 5.1. Prestations d'hygiène. 5.2. Soins somatiques. 5.3. Activité sportive. 6.1. Profil des usagers. 6.2. Indicateurs socio-démographiques et d'intégration sociale. 6.3. Etat de santé perçu. 6.4. Fréquentation du réseau (dispositif bas seuil et autre) et de Point d'eau. 7. Consommation de drogues illégales. 8. Fréquentation de la structure. 9.1. Méthodes d'évaluation utilisées. 9.2. Evaluation du Passage et du Point d'eau.

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Introduction: Les études GVvA (Genome-wide association ,-studies) ont identifié et confirmé plus de 20 gènes de susceptibilité au DT2 et ont contribué à mieux comprendre sa physiopathologie. L'hyperglycémie à jeun (GJ), et 2 heures après une HGPO (G2h) sont les deux mesures cliniques du diagnostic du DT2. Nous avons identifié récemment la G6P du pancréas (G6PC2) comme déterminant de la variabilité physiologique de la GJ puis Ie récepteur à la mélatonine (MTNRIB) qui de plus lie la régulation du rythme circadien au DT2. Dans ce travail nous avons étudié la génétique de la G2h à l'aide de l'approche GWA. Résultats: Nous avons réalisé une méta-analyse GWA dans le cadre de MAGIC (Meta-Analysis of Glucose and Insulin related traits Consortium) qui a inclus 9 études GWA (N=15'234). La réplication de 29 loci (N=6958-30 121, P < 10-5 ) a confirmé 5 nouveaux loci; 2 étant connus comme associés avec Ie DT2 (TCF7L2, P = 1,6 X 10-10 ) et la GJ (GCKR, p = 5,6 X 10-10 ); alors que GIPR (p= 5,2 X 10-12), VSP13C (p= 3,9 X 10-8) et ADCY5 (p = 1,11 X 10-15 ) sont inédits. GIPR code Ie récepteur au GIP (gastric inhibitory polypeptide) qui est sécrété par les ceIlules intestinales pour stimuler la sécrétion de l'insuline en réponse au glucose (l'effet incrétine). Les porteurs du variant GIPR qui augmente la G2h ont également un indice insulinogénique plus bas, (p= 1,0 X 10-17) mais ils ne présentent aucune modification de leur glycémie suite à une hyperglycémie provoquée par voie veineuse (p= 0,21). Ces résultats soutiennent un effet incrétine du locus GIPR qui expliquerait ~9,6 % de la variance total de ce trait. La biologie de ADCY5 et VPS13C et son lien avec l'homéostasie du glucose restent à élucider. GIPR n'est pas associé avec le risque de DT2 indiquant qu'il influence la variabilité physiologique de la G2h alors que le locus ADCY5 est associé avec le DT2 (OR = 1,11, P = 1,5 X 10-15). Conclusion: Notre étude démontre que l'étude de la G2h est une approche efficace d'une part pour la compréhension de la base génétique de la physiologie de ce trait clinique important et d'autre part pour identifier de nouveaux gènes de susceptibilité au DT2.

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ButsDans la littérature actuelle, peu d'études existent sur la relation entre la consommation d'alcool et le syndrome métabolique. Les quelques données disponibles sont contradictoires et très limitées chez les buveurs à haut risque. Quant au diabète, une association est connue entre la consommation à bas risque d'alcool et une prévalence diminuée de la maladie. Là encore, les données sur la consommation à haut risque sont très limitées. Par conséquent, notre but était d'étudier la relation entre la consommation d'alcool, le syndrome métabolique et le diabète dans la cohorte lausannoise (CoLaus), où la consommation moyenne d'alcool est nettement plus élevée que dans la plupart des études disponibles, notamment celles des États-Unis.MéthodesNous avons analysé les données de 6172 hommes et femmes, âgés de 35 à 75 ans. La consommation d'alcool a été catégorisée en 0,1-6, 7-13, 14-20, 21-27, 28-34 et >35 boissons par semaine ou comme non-buveurs (0), buveurs à bas risque (1-13), à risque moyen à élevé (14-34) et à très haut risque (>35). Nous avons confirmé la consommation d'alcool par la y- glutamyl transferase et la transferrine déficiente en hydrates de carbone (CDT). Après l'analyse des caractéristiques des groupes de consommateurs, nous avons utilisé des régressions multivariées pour évaluer la relation entre la consommation d'alcool, la prévalence du syndrome métabolique et du diabète ainsi que la résistance à l'insuline, déterminée par le modèle d'homéostasie de la résistance à l'insuline (HOMA-IR). Dans le modèle d'ajustement, nous avons inclus l'âge, le genre, le status tabagique, l'activité physique et le niveau de formation. Nous avons aussi comparé la relation du type d'alcool (vin, bière et spiritueux) avec le syndrome métabolique, le diabète et le HOMA-IR en testant l'hypothèse d'égalité de leurs coefficients de régression, après ajustement.RésultatsParmi les participants, 73% buvaient de l'alcool, 16% étant buveurs à risque moyen à élevé et 2% à risque très élevé. En analyse multivariée, la prévalence du syndrome métabolique et du diabète ainsi que le HOMA-IR moyen diminuaient avec la consommation d'alcool à bas risque et augmentaient avec la consommation à très haut risque, montrant une relation en U. La prévalence ajustée du syndrome métabolique était de 24% chez les non-buveurs, 19% chez les buveurs à bas risque (p<0.001 vs. non-buveurs), 20% chez ceux à risque moyen à élevé et 29% chez ceux à très haut risque (p=0.005 vs. bas risque). La prévalence ajustée du diabète était de 6.0% chez les non-buveurs, 3.6% chez les buveurs à bas risque (p<0.001 vs. non-buveurs), 3.8% chez ceux à risque moyen à élevé et 6.7% chez ceux à très haut risque (p=0.046 vs. bas risque). Le HOMA-IR moyen ajusté était de 2.47 chez les non-buveurs, 2.14 chez ceux à bas risque (pcO.OOl vs. non-buveurs), 2.27 chez ceux à risque moyen à élevé et 2.53 chez ceux à très haut risque (p=0.04 vs. bas risque). Ces relations ne différaient pas selon les types de boissons.ConclusionsLa prévalence du syndrome métabolique, du diabète et le HOMA-IR baissent pour les faibles consommations d'alcool, mais augmentent à nouveau avec les plus fortes consommations, sans différence entre les types de boissons.

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Transmission of drug-resistant pathogens presents an almost-universal challenge for fighting infectious diseases. Transmitted drug resistance mutations (TDRM) can persist in the absence of drugs for considerable time. It is generally believed that differential TDRM-persistence is caused, at least partially, by variations in TDRM-fitness-costs. However, in vivo epidemiological evidence for the impact of fitness costs on TDRM-persistence is rare. Here, we studied the persistence of TDRM in HIV-1 using longitudinally-sampled nucleotide sequences from the Swiss-HIV-Cohort-Study (SHCS). All treatment-naïve individuals with TDRM at baseline were included. Persistence of TDRM was quantified via reversion rates (RR) determined with interval-censored survival models. Fitness costs of TDRM were estimated in the genetic background in which they occurred using a previously published and validated machine-learning algorithm (based on in vitro replicative capacities) and were included in the survival models as explanatory variables. In 857 sequential samples from 168 treatment-naïve patients, 17 TDRM were analyzed. RR varied substantially and ranged from 174.0/100-person-years;CI=[51.4, 588.8] (for 184V) to 2.7/100-person-years;[0.7, 10.9] (for 215D). RR increased significantly with fitness cost (increase by 1.6[1.3,2.0] per standard deviation of fitness costs). When subdividing fitness costs into the average fitness cost of a given mutation and the deviation from the average fitness cost of a mutation in a given genetic background, we found that both components were significantly associated with reversion-rates. Our results show that the substantial variations of TDRM persistence in the absence of drugs are associated with fitness-cost differences both among mutations and among different genetic backgrounds for the same mutation.

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Nitric oxide (NO) has been shown to exert cytotoxic effects on tumor cells. We have reported that EC219 cells, a rat-brain-microvessel-derived endothelial cell line, produced NO through cytokine-inducible NO synthase (iNOS), the induction of which was significantly decreased by (a) soluble factor(s) secreted by DHD/PROb, an invasive sub-clone of a rat colon-carcinoma cell line. In this study, the DHD/PROb cell-derived NO-inhibitory factor was characterized. Northern-blot analysis demonstrated that the induction of iNOS mRNA in cytokine-activated EC219 cells was decreased by PROb-cell-conditioned medium. When DHD/PROb cell supernatant was fractionated by affinity chromatography using Con A-Sepharose or heparin-Sepharose, the NO-inhibitory activity was found only in Con A-unbound or heparin-unbound fractions, respectively, indicating that the PROb-derived inhibitory factor was likely to be a non-glycosylated and non-heparin-binding molecule. Pre-incubation of DHD/PROb-cell supernatant with anti-TGF-beta neutralizing antibody completely blocked the DHD/PROb-derived inhibition of NO production by EC219 cells. Addition of exogenous TGF-beta 1 dose-dependently inhibited NO release by EC219 cells. The presence of active TGF-beta in the DHD/PROb cell supernatant was demonstrated using a growth-inhibition assay. Moreover, heat treatment of medium conditioned by the less invasive DHD/REGb cells, which constitutively secreted very low levels of active TGF-beta, increased both TGF-beta activity and the ability to inhibit NO production in EC219 cells. Thus, DHD/PROb colon-carcinoma cells inhibited NO production in EC219 cells by secreting a factor identical or very similar to TGF-beta.