56 resultados para Femtosecond-pulse


Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Rapport de synthèseLe syndrome d'apnées obstructives du sommeil (SAOS) est une pathologie respiratoire fréquente. Sa prévalence est estimée entre 2 et 5% de la population adulte générale. Ses conséquences sont importantes. Notamment, une somnolence diurne, des troubles de la concentration, des troubles de la mémoire et une augmentation du risque d'accident de la route et du travail. Il représente également un facteur de risque cardiovasculaire indépendant.Ce syndrome est caractérisé par la survenue durant le sommeil d'obstructions répétées des voies aériennes supérieures. L'arrêt ou la diminution d'apport en oxygène vers les poumons entraîne des épisodes de diminution de la saturation en oxygène de l'hémoglobine. Les efforts ventilatoires visant à lever l'obstacle présent sur les voies aériennes causent de fréquents réveils à l'origine d'une fragmentation du sommeil.La polysomnographie (PSG) représente le moyen diagnostic de choix. Il consiste en l'enregistrement dans un laboratoire du sommeil et en présence d'un technicien diplômé, du tracé électroencéphalographique (EEG), de l'électrooculogramme (EOG), de l'électromyogramme mentonnier (EMG), du flux respiratoire nasal, de l'oxymétrie de pouls, de la fréquence cardiaque, de l'électrocardiogramme (ECG), des mouvements thoraciques et abdominaux, de la position du corps et des mouvements des jambes. L'examen est filmé par caméra infrarouge et les sons sont enregistrés.Cet examen permet entre autres mesures, de déterminer les événements respiratoires obstructifs nécessaires au diagnostic de syndrome d'apnée du sommeil. On définit une apnée lors d'arrêt complet du débit aérien durant au moins 10 secondes et une hypopnée en cas, soit de diminution franche de l'amplitude du flux respiratoire supérieure à 50% durant au moins 10 secondes, soit de diminution significative (20%) de l'amplitude du flux respiratoire pendant au minimum 10 secondes associée à un micro-éveil ou à une désaturation d'au moins 3% par rapport à la ligne de base. La détection des micro-éveils se fait en utilisant les dérivations électroencéphalographiques, électromyographiques et électrooculographiques. Il existe des critères visuels de reconnaissance de ces éveils transitoire: apparition de rythme alpha (8.1 à 12.0 Hz) ou beta (16 à 30 Hz) d'une durée supérieure à 3 secondes [20-21].Le diagnostic de S AOS est retenu si l'on retrouve plus de 5 événements respiratoires obstructifs par heure de sommeil associés soit à une somnolence diurne évaluée selon le score d'Epworth ou à au moins 2 symptômes parmi les suivants: sommeil non réparateur, étouffements nocturne, éveils multiples, fatigue, troubles de la concentration. Le S AOS est gradué en fonction du nombre d'événements obstructifs par heure de sommeil en léger (5 à 15), modéré (15 à 30) et sévère (>30).La polysomnographie (PSG) comporte plusieurs inconvénients pratiques. En effet, elle doit être réalisée dans un laboratoire du sommeil avec la présence permanente d'un technicien, limitant ainsi son accessibilité et entraînant des délais diagnostiques et thérapeutiques. Pour ces mêmes raisons, il s'agit d'un examen onéreux.La polygraphie respiratoire (PG) représente l'alternative diagnostique au gold standard qu'est l'examen polysomnographique. Cet examen consiste en l'enregistrement en ambulatoire, à savoir au domicile du patient, du flux nasalrespiratoire, de l'oxymétrie de pouls, de la fréquence cardiaque, de la position du corps et du ronflement (par mesure de pression).En raison de sa sensibilité et sa spécificité moindre, la PG reste recommandée uniquement en cas de forte probabilité de SAOS. Il existe deux raisons principales à l'origine de la moindre sensibilité de l'examen polygraphique. D'une part, du fait que l'état de veille ou de sommeil n'est pas déterminé avec précision, il y a dilution des événements respiratoires sur l'ensemble de l'enregistrement et non sur la période de sommeil uniquement. D'autre part, en l'absence de tracé EEG, la quantification des micro-éveils est impossible. Il n'est donc pas possible dans l'examen poly graphique, de reconnaître une hypopnée en cas de diminution de flux respiratoire de 20 à 50% non associée à un épisode de désaturation de l'hémoglobine de 3% au moins. Alors que dans l'examen polysomnographique, une telle diminution du flux respiratoire pourrait être associée à un micro-éveil et ainsi comptabilisée en tant qu'hypopnée.De ce constat est né la volonté de trouver un équivalent de micro-éveil en polygraphie, en utilisant les signaux à disposition, afin d'augmenter la sensibilité de l'examen polygraphique.Or plusieurs études ont démontrés que les micro-éveils sont associés à des réactions du système nerveux autonome. Lors des micro-éveils, on met en évidence la survenue d'une vasoconstriction périphérique. La variation du tonus sympathique associée aux micro-éveils peut être mesurée par différentes méthodes. Les variations de l'amplitude de l'onde de pouls mesurée par pulsoxymétrie représentant un marqueur fiable de la vasoconstriction périphérique associée aux micro-réveils, il paraît donc opportun d'utiliser ce marqueur autonomique disponible sur le tracé des polygraphies ambulatoires afin de renforcer la sensibilité de cet examen.Le but de l'étude est d'évaluer la sensibilité des variations de l'amplitude de l'onde de pouls pour détecter des micro-réveils corticaux afin de trouver un moyen d'augmenter la sensibilité de l'examen polygraphique et de renforcer ainsi sont pouvoir diagnostic.L'objectif est de démontrer qu'une diminution significative de l'amplitude de l'onde pouls est concomitante à une activation corticale correspondant à un micro¬réveil. Cette constatation pourrait permettre de déterminer une hypopnée, en polygraphie, par une diminution de 20 à 50% du flux respiratoire sans désaturation de 3% mais associée à une baisse significative de l'amplitude de pouls en postulant que l'événement respiratoire a entraîné un micro-réveil. On retrouve par cette méthode les mêmes critères de scoring d'événements respiratoires en polygraphie et en polysomnographie, et l'on renforce la sensibilité de la polygraphie par rapport au gold standard polysomnographique.La méthode consiste à montrer en polysomnographie qu'une diminution significative de l'amplitude de l'onde de pouls mesurée par pulsoxymétrie est associée à une activation du signal électroencéphalographique, en réalisant une analyse spectrale du tracé EEG lors des baisses d'amplitude du signal d'onde de pouls.Pour ce faire nous avons réalisé une étude rétrospective sur plus de 1000 diminutions de l'amplitude de l'onde de pouls sur les tracés de 10 sujets choisis de manière aléatoire parmi les patients référés dans notre centre du sommeil (CIRS) pour suspicion de trouble respiratoire du sommeil avec somnolence ou symptomatologie diurne.Les enregistrements nocturnes ont été effectués de manière standard dans des chambres individuelles en utilisant le système d'acquisition Embla avec l'ensemble des capteurs habituels. Les données ont été par la suite visuellement analysées et mesurées en utilisant le software Somnologica version 5.1, qui fournit un signal de l'amplitude de l'onde de pouls (puise wave amplitude - PWA).Dans un premier temps, un technicien du sommeil a réalisé une analyse visuelle du tracé EEG, en l'absence des données du signal d'amplitude d'onde de pouls. Il a déterminé les phases d'éveil et de sommeil, les stades du sommeil et les micro¬éveils selon les critères standards. Les micro-éveils sont définis lors d'un changement abrupt dans la fréquence de l'EEG avec un pattern d'ondes thêta-alpha et/ou une fréquence supérieure à 16 Hz (en l'absence de fuseau) d'une durée d'au minimum trois secondes. Si cette durée excède quinze secondes, l'événement correspond à un réveil.Puis, deux investigateurs ont analysé le signal d'amplitude d'onde de pouls, en masquant les données du tracé EEG qui inclut les micro-éveils. L'amplitude d'onde de pouls est calculée comme la différence de valeur entre le zénith et le nadir de l'onde pour chaque cycle cardiaque. Pour chaque baisse de l'amplitude d'onde de pouls, la plus grande et la plus petite amplitude sont déterminées et le pourcentage de baisse est calculé comme le rapport entre ces deux amplitudes. On retient de manière arbitraire une baisse d'au moins 20% comme étant significative. Cette limite a été choisie pour des raisons pratiques et cliniques, dès lors qu'elle représentait, à notre sens, la baisse minimale identifiable à l'inspection visuelle. Chaque baisse de PWA retenue est divisée en 5 périodes contiguës de cinq secondes chacune. Deux avant, une pendant et deux après la baisse de PWA.Pour chaque période de cinq secondes, on a pratiqué une analyse spectrale du tracé EEG correspondant. Le canal EEG C4-A1 est analysé en utilisant la transformée rapide de Fourier (FFT) pour chaque baisse de PWA et pour chaque période de cinq secondes avec une résolution de 0.2 Hz. La distribution spectrale est catégorisée dans chaque bande de fréquence: delta (0.5 à 4.0 Hz); thêta (4.1 à 8.0Hz); alpha (8.1 à 12.0 Hz); sigma (12.1 à 16 Hz) et beta (16.1 à 30.0 Hz). La densité de puissance (power density, en μΥ2 ) pour chaque bande de fréquence a été calculée et normalisée en tant que pourcentage de la puissance totale. On a déterminé, ensuite, la différence de densité de puissance entre les 5 périodes par ANOVA on the rank. Un test post hoc Tukey est été utilisé pour déterminer si les différences de densité de puissance étaient significatives. Les calculs ont été effectués à l'aide du software Sigmastat version 3.0 (Systat Software San Jose, California, USA).Le principal résultat obtenu dans cette étude est d'avoir montré une augmentation significative de la densité de puissance de l'EEG pour toutes les bandes de fréquence durant la baisse de l'amplitude de l'onde de pouls par rapport à la période avant et après la baisse. Cette augmentation est par ailleurs retrouvée dans la plupart des bande de fréquence en l'absence de micro-réveil visuellement identifié.Ce résultat témoigné donc d'une activation corticale significative associée à la diminution de l'onde de pouls. Ce résulat pourrait permettre d'utiliser les variations de l'onde de pouls dans les tracés de polygraphie comme marqueur d'une activation corticale. Cependant on peut dire que ce marqueur est plus sensible que l'analyse visuelle du tracé EEG par un technicien puisque qu'on notait une augmentation de lactivité corticale y compris en l'absence de micro-réveil visuellement identifié. L'application pratique de ces résultats nécessite donc une étude prospective complémentaire.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

J Clin Hypertens (Greenwich). 2012;14:773-778. ©2012 Wiley Periodicals, Inc. Postmenopausal women are at greater risk for hypertension-related cardiovascular disease. Antihypertensive therapy may help alleviate arterial stiffness that represents a potential modifiable risk factor of hypertension. This randomized controlled study investigated the difference between an angiotensin receptor blocker and a calcium channel blocker in reducing arterial stiffness. Overall, 125 postmenopausal hypertensive women (age, 61.4±6 years; systolic blood pressure/diastolic blood pressure [SBP/DBP], 158±11/92±9 mm Hg) were randomized to valsartan 320 mg±hydrochlorothiazide (HCTZ) (n=63) or amlodipine 10 mg±HCTZ (n=62). The primary outcome was carotid-to-femoral pulse wave velocity (PWV) changes after 38 weeks of treatment. Both treatments lowered peripheral blood pressure (BP) (-22.9/-10.9 mm Hg for valsartan and -25.2/-11.7 mm Hg for amlodipine, P=not significant) and central BP (-15.7/-7.6 mm Hg for valsartan and -19.2/-10.3 mm Hg for amlodipine, P<.05 for central DBP). Both treatments similarly reduced the carotid-femoral PWV (-1.9 vs -1.7 m/s; P=not significant). Amlodipine was associated with a higher incidence of peripheral edema compared with the valsartan group (77% vs 14%, P<.001). BP lowering in postmenopausal women led to a reduction in arterial stiffness as assessed by PWV measurement. Both regimens reduced PWV to a similar degree after 38 weeks of treatment despite differences in central BP lowering, suggesting that the effect of valsartan on PWV is mediated through nonhemodynamic effects.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Flood effectiveness observations imply that two families of processes describe the formation of debris flow volume. One is related to the rainfall?erosion relationship, and can be seen as a gradual process, and one is related to additional geological/geotechnical events, those named hereafter extraordinary events. In order to discuss the hypothesis of coexistence of two modes of volume formation, some methodologies are applied. Firstly, classical approaches consisting in relating volume to catchments characteristics are considered. These approaches raise questions about the quality of the data rather than providing answers concerning the controlling processes. Secondly, we consider statistical approaches (cumulative number of events distribution and cluster analysis) and these suggest the possibility of having two distinct families of processes. However the quantitative evaluation of the threshold differs from the one that could be obtained from the first approach, but they all agree in the sense of the coexistence of two families of events. Thirdly, a conceptual model is built exploring how and why debris flow volume in alpine catchments changes with time. Depending on the initial condition (sediment production), the model shows that large debris flows (i.e. with important volume) are observed in the beginning period, before a steady-state is reached. During this second period debris flow volume such as is observed in the beginning period is not observed again. Integrating the results of the three approaches, two case studies are presented showing: (1) the possibility to observe in a catchment large volumes that will never happen again due to a drastic decrease in the sediment availability, supporting its difference from gradual erosion processes; (2) that following a rejuvenation of the sediment storage (by a rock avalanche) the magnitude?frequency relationship of a torrent can be differentiated into two phases, the beginning one with large and frequent debris flow and a later one with debris flow less intense and frequent, supporting the results of the conceptual model. Although the results obtained cannot identify a clear threshold between the two families of processes, they show that some debris flows can be seen as pulse of sediment differing from that expected from gradual erosion.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Purpose: Adiponectin, arterial stiffness, as well components of the renin-angiotensin system are associated with cardiovascular risk. This study was aimed to investigate whether plasma adiponectin was directly linked with pulse pressure (PP), as a marker for arterial stiffness, and the renin-angiotensin system (RAS). Methods and materials: A family-based study in subjects of African descent enriched with hypertensive patients was carried out in the Seychelles. Fasting plasma adiponectin was determined by ELISA, plasma renin activity according to the antibody-trapping principle and plasma aldosterone by radioimmunoassay. Daytime ambulatory blood pressure (BP) was measured using Diasys Integra devices. PP was calculated as the difference between systolic and diastolic BP. The association of adiponectin with PP, plasma renin activity and plasma aldosterone were analyzed using generalized estimating equations with a gaussian family link and an exchangeable correlation structure to account for familial aggregation. Results: Data from 335 subjects from 73 families (152 men, 183 women) were available. Men and women had mean (SD) age of 45.4 ± 11.1 and 47.3 ± 12.4 years, BMI of 26.3 ± 4.4 and 27.8 ± 5.1 kg/m2, daytime systolic/diastolic BP of 132.6 ± 15.4 / 86.1 ± 10.9 and 130 ± 17.6 / 83.4 ± 11.1 mmHg, and daytime PP of 46.5 ± 9.9 and 46.7 ± 10.7 mmHg, respectively. Plasma adiponectin was 4.4± 3.04 ng/ml in men and 7.39 ± 5.44 ng/ml in women (P <0.001). After adjustment for age, sex and BMI, log-transformed adiponectin was negatively associated with daytime PP (-0.009 ± 0.003, P = 0.004), plasma renin activity (-0.248 ± 0.080, P = 0.002) and plasma aldosterone (-0.004 ± 0.002, P = 0.014). Conclusion: Low adiponectin is associated with increased ambulatory PP and RAS activation in subjects of African descent. Our data are consistent with the observation that angiotensin II receptor blockers increase adiponectin in humans.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Diffusion magnetic resonance studies of the brain are typically performed using volume coils. Although in human brain this leads to a near optimal filling factor, studies of rodent brain must contend with the fact that only a fraction of the head volume can be ascribed to the brain. The use of surface coil as transceiver increases Signal-to-Noise Ratio (SNR), reduces radiofrequency power requirements and opens the possibility of parallel transmit schemes, likely to allow efficient acquisition schemes, of critical importance for reducing the long scan times implicated in diffusion tensor imaging. This study demonstrates the implementation of a semiadiabatic echo planar imaging sequence (echo time=40 ms, four interleaves) at 14.1T using a quadrature surface coil as transceiver. It resulted in artifact free images with excellent SNR throughout the brain. Diffusion tensor derived parameters obtained within the rat brain were in excellent agreement with reported values.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Objective: To compare effects of a non-renin-angiotensin system (RAS) blocker, using a CCB, or a RAS blocker, using an ARB regimen on the arterial stiffness reduction in postmenopausal hypertensive women. Methods: In this prospective study, a total of 125 hypertensive women (age: 61.4_6 yrs; 98% Caucasian; BW: 71.9_14 kg; BMI: 27.3_5 kg/m2; SBP/ DBP: 158_11/92_9 mmHg) were randomized between ARB (valsartan 320mg_HCTZ) and CCB (amlodipine 10mg _ HCTZ). The primary outcome was carotid-femoral pulse wave velocity (PWV) changes after 38 weeks of treatment. Results: There were no significant differences in baseline demographic data between the two groups. Both treatments effectively lowered BP at the end of the study with similar (p>0.05) reductions in the valsartan (_22.9/_10.9 mmHg) and amlodipine based (_25.2/_11.7 mmHg) treatment groups. Despite a lower (p<0.05 for DBP) central SBP/DBP in the CCB group (_19.2/_10.3 mmHg) compared to the valsartan group (_15.7/_7.6 mmHg) at week 38, a similar reduction in carotid-femoral PWV (_1.7 vs _1.9 m/sec; p>0.05) was observed between both groups. The numerically larger BP reduction observed in the CCB group was associated with a much higher incidence of peripheral edema (77% vs 14%) than the valsartan group. Conclusion: In summary, BP lowering in postmenopausal women led to a reduction in arterial stiffness assessed by PWV measurement. Both regimens reduced PWV at 38 weeks of treatment to a similar degree, despite differences in BP lowering suggesting that the effect of RAS blockade to influence PWV may partly be independent of BP.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Numerous genetic loci have been associated with systolic blood pressure (SBP) and diastolic blood pressure (DBP) in Europeans. We now report genome-wide association studies of pulse pressure (PP) and mean arterial pressure (MAP). In discovery (N = 74,064) and follow-up studies (N = 48,607), we identified at genome-wide significance (P = 2.7 × 10(-8) to P = 2.3 × 10(-13)) four new PP loci (at 4q12 near CHIC2, 7q22.3 near PIK3CG, 8q24.12 in NOV and 11q24.3 near ADAMTS8), two new MAP loci (3p21.31 in MAP4 and 10q25.3 near ADRB1) and one locus associated with both of these traits (2q24.3 near FIGN) that has also recently been associated with SBP in east Asians. For three of the new PP loci, the estimated effect for SBP was opposite of that for DBP, in contrast to the majority of common SBP- and DBP-associated variants, which show concordant effects on both traits. These findings suggest new genetic pathways underlying blood pressure variation, some of which may differentially influence SBP and DBP.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

We investigated a new procedure for gene transfer into the stroma of pig cornea for the delivery of therapeutic factors. A delimited space was created at 110 mum depth with a LDV femtosecond laser in pig corneas, and a HIV1-derived lentiviral vector expressing green fluorescent protein (GFP) (LV-CMV-GFP) was injected into the pocket. Corneas were subsequently dissected and kept in culture as explants. After 5 days, histological analysis of the explants revealed that the corneal pockets had closed and that the gene transfer procedure was efficient over the whole pocket area. Almost all the keratocytes were transduced in this area. Vector diffusion at right angles to the pocket's plane encompasses four (endothelium side) to 10 (epithelium side) layers of keratocytes. After 21 days, the level of transduction was similar to the results obtained after 5 days. The femtosecond laser technique allows a reliable injection and diffusion of lentiviral vectors to efficiently transduce stromal cells in a delimited area. Showing the efficacy of this procedure in vivo could represent an important step toward treatment or prevention of recurrent angiogenesis of the corneal stroma.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Pulse oximetry represents a major advance in patient monitoring, but measurement below 70 to 80% saturation has important limitations. Several authors have tested pulse oximetry at low saturations with conflicting results. A review of these data indicates that every patient with a pulse oximeter value below 75 to 80% SaO2 should have one or more invasive measurements of the arterial SaO2 in order to avoid undetected severe hypoxemia.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

OBJECTIVES: To investigate the effect of a change in second-hand smoke (SHS) exposure on heart rate variability (HRV) and pulse wave velocity (PWV), this study utilized a quasi-experimental setting when a smoking ban was introduced. METHODS: HRV, a quantitative marker of autonomic activity of the nervous system, and PWV, a marker of arterial stiffness, were measured in 55 non-smoking hospitality workers before and 3-12 months after a smoking ban and compared to a control group that did not experience an exposure change. SHS exposure was determined with a nicotine-specific badge and expressed as inhaled cigarette equivalents per day (CE/d). RESULTS: PWV and HRV parameters significantly changed in a dose-dependent manner in the intervention group as compared to the control group. A one CE/d decrease was associated with a 2.3 % (95 % CI 0.2-4.4; p = 0.031) higher root mean square of successive differences (RMSSD), a 5.7 % (95 % CI 0.9-10.2; p = 0.02) higher high-frequency component and a 0.72 % (95 % CI 0.40-1.05; p < 0.001) lower PWV. CONCLUSIONS: PWV and HRV significantly improved after introducing smoke-free workplaces indicating a decreased cardiovascular risk.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

We tested the performance of transcutaneous oxygen monitoring (TcPO2) and pulse oximetry (tcSaO2) in detecting hypoxia in critically ill neonatal and pediatric patients. In 54 patients (178 data sets) with a mean age of 2.4 years (range 1 to 19 years), arterial saturation (SaO2) ranged from 9.5 to 100%, and arterial oxygen tension (PaO2) from 16.4 to 128 mmHg. Linear correlation analysis of pulse oximetry vs measured SaO2 revealed an r value of 0.95 (p less than 0.001) with an equation of y = 21.1 + 0.749x, while PaO2 vs tcPO2 showed a correlation coefficient of r = 0.95 (p less than 0.001) with an equation of y = -1.04 + 0.876x. The mean difference between measured SaO2 and tcSaO2 was -2.74 +/- 7.69% (range +14 to - 29%) and the mean difference between PaO2 and tcPO2 was +7.43 +/- 8.57 mmHg (range -14 to +49 mmHg). Pulse oximetry was reliable at values above 65%, but was inaccurate and overestimated the arterial SaO2 at lower values. TcPO2 tended to underestimate the arterial value with increasing PaO2. Pulse oximetry had the best sensitivity to specificity ratio for hypoxia between 65 and 90% SaO2; for tcPO2 the best results were obtained between 35 and 55 mmHg PaO2.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

RESUME : La ghrelin est un peptide sécrété par l'estomac jouant un rôle important dans le maintien de l'homéostasie énergétique. Ses taux plasmatiques sont augmentés durant des périodes prolongées de déficit nutritionnel. Une carence énergétique étant souvent associée à une inhibition de l'axe hypothalamo-hypophyso-ovarien, nous avons postulé que l'augmentation des taux circulant de ghrelin pourrait diminuer l'activité du générateur hypothalamique de pulsations de GnRH. Le protocole expérimental impliquait des singes rhésus adultes ovariectomisés (n=6) qui dans un premier temps recevaient durant 3 heures une perfusion de solution saline physiologique afin de mesurer la sécrétion pulsatile de LH à l'état basai. L'expérience se poursuivait alors durant 5 heures par une perfusion intraveineuse de ghrelin humaine (un bolus de 100-150µg suivi par 100-150µg/h) ou le maintien de la perfusion de solution saline physiologique. Des échantillons de sang étaient prélevés toutes les 15 minutes. La perfusion de ghrelin a augmenté ses taux plasmatiques de 2.9 fois par rapport aux valeurs de base. L'administration de ghrelin a significativement diminué la fréquence des pulsations de LH (de 0.89±0.07/h à l'état basai à 0.57±0.10/h durant la perfusion de ghrelin; p<0.05, moyenne±SEM), alors que la fréquence des pulsations de LH est restée inchangée durant la perfusion de solution physiologique. L'amplitude des pulsations de LH n'a pas été modifiée. La ghrelin a également stimulé de manière significative la sécrétion de cortisol et d'hormone de croissance, mais n'a toutefois pas eu d'effet sur la sécrétion de leptin. En conclusion, la ghrelin peut inhiber l'activité du générateur de pulsations de GnRH et pourrait ainsi contribuer à l'inhibition de l'axe de la reproduction observée durant des périodes de carence nutritionnelle, comme notamment chez les patientes souffrant d'anorexie mentale. La ghrelin peut également activer l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien. Le lien dans cette situation entre l'activation de l'axe surrénalien et l'inhibition de l'axe de la reproduction reste à démontrer. ABSTRACT: Ghrelin, a nutrition-related peptide secreted by the stomach, is elevated during prolonged food deprivation. Because undernutrition is often associated with a suppressed reproductive axis, we have postulated that increasing peripheral ghrelin levels will decrease the activity of the GnRH pulse generator. Adult ovariectomized rhesus monkeys (n = 6) were subjected to a 5-h iv human ghrelin (100- to 150µg bolus followed by 100-150 µg/h) or saline infusion, preceded by a 3-h saline infusion to establish baseline pulsatile LH release. Blood samples were collected at 15-min intervals throughout the experiment. Ghrelin infusion increased plasma ghrelin levels 2.9-fold of baseline. Ghrelin significantly decreased LH pulse frequency (from 0.89 ± 0.07/h in baseline to 0.57 ± 0.10/h during ghrelin infusion; P<0.05, mean ± SEM), whereas LH pulse frequency remained unchanged during saline treatment. LH pulse amplitude was not affected. Ghrelin also significantly stimulated both Cortisol and GH release, but had no effect on leptin. We conclude that ghrelin can inhibit GnRH pulse activity and may thereby mediate the suppression of the reproductive system observed in conditions of undernutrition, such as in anorexia nervosa. Ghrelin also activates the adrenal axis, but the relevance of this to the inhibition of GnRH pulse frequency remains to be established.