364 resultados para Administration publique


Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

In the first part of this paper, we present the various academic debates and, where applicable, questions that remain open in the literature, particularly regarding the nature of trust, the distinction between trust and trustworthiness, its role in specific relationships and its relationship to control. We then propose a way of demarcating and operationalizing the concepts of trust and trustworthiness. In the second part, on the basis of the conceptual clarifications we present, we put forward a number of "anchor points" regarding how trust is apprehended in the public sector with regard to the various relations hips that can be studied. Schematically, we distinguish between two types of relations hips in the conceptual approach to trust: on one hand, the trust that citizens, or third parties, place in the State or in various public sector authorities or entities, and on the other hand, trust within the State or the public sector, between its various authorities, entities, and actors. While studies have traditionally focused on citizens' trust in their institutions, the findings, limitations and problems observed in public - sector coordination following the reforms associated with New Public Management have also elicited growing interest in the study of trust in the relationships between the various actors within the public sector. Both the theoretical debates we present and our propositions have been extracted and adapted from an empirical comparative study of coordination between various Swiss public - service organizations and their politico - administrative authority. Using the analysis model developed for this specific relationship, between various actors within the public service, and in the light of theoretical elements on which development of this model was based, we propose some avenues for further study - questions that remain open - regarding the consideration and understanding of citizens' trust in the public sector.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

La presse a donné un large écho à une récente publication émanant du Centre international de recherche sur le cancer, une agence spécialisée de l'Organisation mondiale de la santé. Cette publication présente la reclassification de certains aliments carnés comme agents cancérigènes. Comme institution universitaire de santé publique, l'IUMSP souhaite apporter des précisions

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Suite aux graves crises bancaires et financières qui ont secoué la plupart de sociétés occidentales au début des années 1930, on assiste à un foisonnement de réglementations publiques sur les activités bancaires. Parmi les très nombreux pays qui mettent en place des législations bancaires, l'on compte notamment la Suisse et la Belgique. Plus précisément, la loi fédérale suisse sur les banques de novembre 1934 précède de quelques mois l'arrêté royal belge no 185 de juillet 1935. Alors que le contexte historique et l'élaboration respective de chacune de ces réglementations ont déjà fait l'objet de plusieurs analyses, la comparaison et la question des éventuels liens entre ces deux régimes de surveillance bancaire très proches sont encore largement inexplorées. Une analyse détaillée du processus d'élaboration de la réglementation bancaire belge révèle que la loi suisse a joué un rôle de modèle mis en avant en premier chef par les représentants du monde bancaire. Cette influence helvétique a contribué à façonner la régulation bancaire dans une perspective libérale ; elle répondait ainsi à deux besoins essentiels: limiter l'interventionnisme étatique au minimum, et court-circuiter le pouvoir de la banque centrale. Cette parenté de naissance entre les deux lois bancaires trouve son pendant dans les activités clés deux organismes de surveillance créés pour l'occasion, la Commission fédérale des banques à Berne et la Commission bancaire à Bruxelles. Disposant toutes deux de moyens d'actions limités, ces deux instances ont connu des parcours analogues au cours de leurs premières années d'activité.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

L'Office fédéral de la santé publique (OFSP) a mandaté la Fédération romande des consommateurs (FRC) et l'Institut universitaire de médecine sociale et préventive (IUMSP) pour réaliser une cartographie du marché des préservatifs et analyser les données disponibles pour estimer le nombre de préservatifs écoulés sur le marché suisse en une année. Les données disponibles identifiées sont les suivantes : 1. Données Verein : l'Association pour le label de qualité des préservatifs possède des données sur le nombre de préservatifs testés chaque année pour l'obtention du label OK. Ces données constituent une estimation du nombre de préservatifs ayant suivi la procédure de certification du label OK. Ces dernières années, des entreprises auraient renoncé à leur collaboration avec l'association pour le label de qualité, ce qui réduit la fiabilité de cette méthode pour suivre l'évolution du marché des préservatifs en Suisse. 2. Données douanes : l'Administration fédérale des douanes établit une statistique du commerce extérieur et met à disposition une base de données qui donne accès aux données statistiques d'importation et d'exportation de préservatifs. Etant donné que cette statistique se base sur les données indiquées par les importateurs et les exportateurs, des erreurs de déclaration peuvent être commises. 3. Données IUMSP : entre 1986 et 2011, l'IUMSP a reçu des producteurs/importateurs des données de mises sur le marché de préservatifs. Ces données, fiables car provenant directement des producteurs/importateurs, ne sont malheureusement plus complètes depuis 2012, en raison d'une difficulté croissante à obtenir de telles informations. 4. Données Nielsen et IMS Health : Nielsen et IMS HEalth sont des entreprises privées qui recensent les données de vente des préservatifs en Suisse réalisées dans les commerces de détail, ainsi que dans les drogueries et pharmacies. Ces données constituent des données de vente réelles obtenues grâce à l'enregistrement des mouvements de la marchandise lors du passage en caisse dans les magasins. La couverture des points de vente est élevée (près de 80% pour les données Nielsen) et stable dans le temps.