18 resultados para Calendario-Francia-S. XVIII


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« Reconnaissons-le comme un fait, soulignait François Hollande lors du lancement des commémorations du centenaire en novembre 2013, lorsque la mobilisation générale fut proclamée, il n'y eut plus qu'un seul pays, une seule Nation, une seule armée ». A l'heure où les commémorations officielles du premier conflit mondial battent leur plein, il est plus que jamais impossible de s'abstraire du rapport dialectique qui s'instaure entre « usages publics et politiques de l'histoire » et construction de l'histoire savante. Aujourd'hui, le monde ouvrier, les vaincus, semblent ainsi être invoqués pour souligner substantiellement leur « adhésion » substantielle à « leur » nation en guerre. Les mondes et les mouvements ouvriers, dans toute leur complexité sociale et politique s'estompent de la recherche historique comme ont disparu ou presque les questions liées aux rapports de force sociopolitiques. Cette contribution se propose de revenir sur l'un des noeuds historiographiques concernant les socialismes en guerre, soit celui de leur « entrée » dans le conflit. Il s'agit de comprendre comment « la guerre fait irruption » dans les débats du socialisme international, en envisageant les divers positionnements par rapport au "choix" de l'intervention, notamment la question du "revirement" d'une social-démocratie hostile à la guerre qui entre néanmoins en guerre en usant parfois d'une rhétorique patriotique voire nationaliste. Pour ce faire, deux cas d'études ont été choisis partant de deux réalités sociopolitiques différentes qui, chacune à leur manière, offrent une palette des manières qu'a eues la socialdémocratie de se positionner face à la guerre. D'un côté, l'« exception » italienne, de l'autre le « revirement » patriotique français. En point de mire : comprendre si et dans quelle mesure la guerre constitue un tournant, une rupture dans l'histoire des sociétés considérées, et quelles en sont les limites.

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Si ritiene comunemente che le spinte emancipatrici femminili si siano imposte con maggior vigore nei luoghi contraddistinti da mercati lavorativi più sviluppati e da maggiori opportunità di impiego retribuito, mentre nei contesti periferici, caratterizzati da marginalità economica, queste spinte sarebbero state più flebili. Il ritardo della modernizzazione di molte regioni di montagna sarebbe quindi responsabile del perdurare di una realtà femminile segnata da dipendenza e "arretratezza" sociale e culturale. Il volume si propone di analizzare in modo critico il nesso tra marginalità (economica, culturale, geografica) e discriminazione femminile, ampliando le prospettive di genere e contribuendo così al dibattito in corso da diversi anni sulle società di montagna del passato e sul loro divenire all'interno della realtà europea. I contributi abbracciano diversi contesti montani europei e prendono in esame alcuni nodi tematici quali i profili dei ruoli femminili, il loro inserimento nel mercato lavorativo e le rappresentazioni che scaturiscono dalle loro attività, delineando molteplici prospettive per lo studio del binomio genere-montagna.