3 resultados para Rythme poétique

em ReCiL - Repositório Científico Lusófona - Grupo Lusófona, Portugal


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Dans cette communication, nous nous proposons d’examiner la traduction de Candide de Voltaire en hongrois afin de démontrer l’effet modificateur des procédés utilisés au cours de la traduction de l’ironie. Nous allons montrer que les signaux textuels de l’ironie (alliance des termes paradoxaux, système binaire, rythme accéléré ou ellipse des causes) sont adaptés aux particularités de la langue cible par le moyen des procédés tels que complémentation, remplacement et ajout des morphèmes.

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Le thème proposé “ Musées et Société “ n’est pas nouveau. Il a déjà été traité ad noseam en d’innombrables circonstances, sauf, peut-être, sous l’angle explicite de l’engagement :Quelles actions ? L’ambition de “ saisir la mudance “ répond à une nécessité de tous les moments dans un monde où tout et rien évoluent à un rythme diabolique. Comment donc, dans ces circonstances, ajuster l’action du musée, une institution culturelle relativement lourde, si on la compare aux autres medias de communication, très attachée encore à ses traditions séculaires dont elle s’enorgueillit, soumise, par ailleurs aux changements qui bouleversent tous les aspects de son fonctionnement , voire de sa mission, fortement attirée qu’elle est par la société du spectacle, tentée, par ailleurs, d’y réagir en se rapprochant de la vie quotidienne des populations par l’action communautaire fondue dans le travail muséologique ? Le MINOM, dont la vocation est de questionner tout en agissant, est à la recherché du point de vue à partir duquel il peut interroger et agir. Quel est exactement son champ d’action, le dénominateur commun qui rassemble, mobilise, attire ses adhérents, issus de cultures, d’origines et d’idéologies diverses ? On a souvent campé l’organisation dans les alternatives, soit dans des positions qui puissant faire contrepoids aux systèmes dominants, étouffant la créativité, la maîtrise d’oeuvre individuelle: La liberté d’être et d’exprimer par soi-même. Serait-ce donc que, globalement, le MINOM aurait rejoint, sans tout à fait s’en rendre compte, la plateforme altermondiste, dans tout ce qu’elle représente d’expérimentations sociaux et d’utopies, d’ un nouvel humanisme fondé sur le partage, le dialogue ? Le XIIe Atelier devrait nous amener à préciser, par l´échange et la prospectrice (ambition partagée par le dernier Atelier ) , là où nous nous situons, comme groupe ( noyau central et périphérique ) à l’intérieur de la mouvance, à l’échelle locale et mondiale. Les actions les plus appropriées pour traduire, dans le cadre de l’action muséologique nos représentations de l’être humain se débattant à ‘intérieur de la biosphère, seront nécessairement, il faut l’espérer, à l’ordre du jour de nos résolutions. Le MUSÉE – FORUM –SOCIAL ns serait-il pas, en fin de compte, le modèle à partager, dans les prochaines années, par l’ensemble de la communauté Minomienne? Lieu d’appropriation continue de la mouvance, il est, croyons-nous, le laboratoire de l’expérimentation citoyenne, un lieu de représentations interdisciplinaires résultant de la convivialité et des interactions globales des inter-changes sociétaires.

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Whilst the title of this essay suggests more than one “new museology”, it was rather a licence poétique to emphasize the two major theoretical movements that have evolved in the second half of the 20th Century[1]. As a result of the place(s)/contexts where they originated, and for clarity purposes, they have been labelled in this essay as the “Latin new museology” and the “Anglo-Saxon new museology”; however they both identify themselves by just the name of “New Museology”. Even though they both shared similar ideas on participation and inclusion, the language barriers were probably the cause for many ideas not to be fully shared by both groups. The “Latin New museology” was the outcome of a specific context that started in the 1960s (de Varine 1996); being a product of the “Second Museum Revolution”(1970s)[2], it provided new perceptions of heritage, such as “common heritage”. In 1972 ICOM organized the Santiago Round Table, which advocated for museums to engage with the communities they serve, assigning them a role of “problem solvers” within the community (Primo 1999:66). These ideas lead to the concept of the Integral Museum. The Quebec Declaration in 1984 declared that a museum’s aim should be community development and not only “the preservation of past civilisations’ material artefacts”, followed by the Oaxtepec Declaration that claimed for the relationship between territory-heritage-community to be indissoluble (Primo 1999: 69). Finally, in 1992, the Caracas Declaration argued for the museum to “take the responsibility as a social manager reflecting the community’s interests”(Primo 1999: 71). [1] There have been at least three different applications of the term ( Peter van Mensch cited in Mason: 23) [2] According to Santos Primo, this Second Museum Revolution was the result of the Santiago Round Table in Chile, 1972, and furthered by the 1st New Museology International Workshop (Quebec, 1984), Oaxtepec Meeting (Mexico, 1984) and the Caracas Meeting (Venezuela, 1992) (Santos Primo : 63-64)