2 resultados para Rebeldes
em Universidad de Alicante
Resumo:
Tras resumirse "Los elementos esenciales de la trama urbana de Orihuela", se estudian los principales hechos históricos durante el período islámico de la ciudad de Orihuela "s. VIII-XIII) en que hay noticia de ataques militares a la ciudad y destrucciones : El ataque de los normandos a Orihuela en 245 H ./859 e.C.; Aceifa del califa ‘Abd al-Raḥmān III al-Nāṣir contra Orihuela y sus rebeldes; La "fitnat al-barbar" o guerra civil que acabó con el califato andalusí; El terremoto posterior a 440 H/1048-9 e.C. que asoló toda la vega del río Segura y finalmente la conquista cristiana de Orihuela. Como conclusiones para el estudio del urbanismo musulmán de Orihuela se demuestra que solo hubo destrucciones en el trazado urbano de importancia como resultado del mencionado terremoto que asoló y destruyó las ciudades de Murcia, Orihuela y toda la Vega Baja del río Segura.
Resumo:
Ce texte a pour objectif d’attirer l’attention sur un fait numismatique qui ne nous semble pas avoir été très souvent traité, celui des monnaies émises par des chefs politiques « rebelles » à une autorité normalement reconnue, dans un cas les Aghlabides de Kairouan, et dans l’autre les émirs omeyyades de Cordoue. L’étude de ce genre de monnaies devrait pouvoir aider à étudier, à partir des frappes réalisées en temps de crise politique, la question très importante de la légitimité du pouvoir dans l’Islam, et peut-être aussi celle des rapports de la frappe de monnaie avec les activités économiques. On n’attendra cependant pas de révélations des données très partielles et limitées qui vont suivre. Elles ne concernent en effet que deux frappes de dirhams correspondant chronologiquement au troisième siècle de l’Hégire qui, de 815 à 912, couvre pour l’essentiel le IXème siècle de l’ère chrétienne. L’une des monnaies date de son début (209 H/824-825), l’autre de sa fin (293 H/905-906). La première est Ifriqiyenne, la seconde andalouse; les deux, on l’a dit, sont frappées durant une époque de crise, et il peut être intéressant de les mettre en parallèle, sans prétendre en tirer de conclusions très nouvelles et de très grande portée, car il ne s’agit que de deux cas particuliers, auxquels la relative rareté de telles émissions, le fait qu’elles ont été peu étudiées et que les circonstances de la frappe des deux exemplaires présentés sont assez bien connues, incite tout de même à prêter quelque intérêt. La frappe andalouse pose par ailleurs un problème particulier, dans la mesure où elle correspond à un moment (entre les années 290/900 et 316/929) où le pouvoir omeyyade semble ne plus frapper de monnaies, ou pratiquement pas.