5 resultados para Active student participation
Resumo:
Traditional teaching methods in the classroom also limit opportunities for student engagement due to large class sizes and the desire to ensure students receive all of the material required in a particular session. It has been documented that the use of Information Technolgy (IT); in particular «clickers», can increase student participation, improve knowledge retention and assist in stimulating critical thinking in a classroom setting. However, the introduction of IT, on top of normal teaching demands, can be probelmatic as it requires changes to course planners, IT training, support staff and additional funding, all of wich have been documented in research. Wolski and Jackson (1999) have postulated that success is a function of the usefulness and the ease of use of a particular technology for faculty members. Research has shown that classroom technology is simply a tool to be used by educators as one of many. Those who tend to use it well are already innovative and technically adept (Zhao, Pugh, Sheldon & Bryers, 2002).||Résumé : Les méthodes d'enseignement traditionnelles en cour magistral ont aussi tendance à limiter l'engagement et la participation des étudiants dû à la taille souvent excessive des classes, mais aussi à cause du désire de l'enseignant de vouloir s'assurer de la transmission du contenu pédagogique complet. Il est bien documenté que l'usage des nouvelles technologies, en particulier les télévoteurs («clickers», peut accroître la participation des étudiants, améliorer la rétention de l'information mais aussi de stimuler, dans le contexte académique, la pensée critique. Malheureusement, tel que démontré par la recherche, l'introduction de ces nouvelles technologies pose problème lorsqu'additionné aux contraintes normales d'enseignement puisque qu'elle nécessite des changements à la planification des cours, requiert une formation spécifique, un support additionnel ainsi que le financement nécessaire. Wolski and Jackson (1999) ont postulé de plus que le succès de l'implantation d'une nouvelle technologie était en fonction de son utilité et de sa facilité d'utilisation par les membres de la faculté. Il a aussi été démontré que la technologie de l'enseignement en classe n'était en fait qu'un outil de plus à la disposition des enseignants, et que ceux qui avaient tendance à bien l'utiliser étaient de fait inoovateurs, possédant des capacités techniques (Zhao, Pugh, Sheldon et Bryers, 2002).
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Abstract: Active or participatory learning by the student within a classroom environment has been fairly recently recognized as an effective, efficient, and superior instructional technique yet few teachers in higher education have adopted this pedagogical strategy. This is especially true in Science where teachers primarily lecture to passively seated students while using static visual aids or multimedia projections. Teachers generally teach as they were taught and lecture formats have been the norm. Although student-learning theories as well as student learning styles, abilities, and understanding strategies have changed, traditional teaching techniques have not evolved past the “chalk and talk” instructional strategy. This research looked into student’s perceptions of cooperative learning or team-based active learning in order to gain insight and some understanding as to how students felt about this learning technique. Student’s attitudes were then compared to student grades to detennine whether cooperative learning impeded or ameliorated academic performance. The results revealed significant differences measured in all the survey questions pertaining to perception or attitudes. As a result of the cooperative learning activities, respondents indicated more agreement to the survey questions pertaining to the benefits of cooperative learning. The experimental group exposed to cooperative learning thus experienced more positive attitudes and perceptions than the groups exposed only to a lecture-based teaching and learning format. Each of the hypotheses tested demonstrated that students had more positive attitudes towards cooperative learning strategies. Recommendations as to future work were presented in order to gain a greater understanding into both student and teacher attitudes towards the cooperative learning model.||Résumé: Lapprentissage actif ou préparatoire par létudiant au sein d’une classe a été reconnu assez récemment comme une technique d’enseignement plus efficace. Cependant, peu d’enseignants ont adopté cette stratégie pedagogique pour l'éducation post-secondaire. Ceci est particulièrement le cas dans le domaine des sciences où les enseignants font surtout usage de cours magistraux avec des étudiants passifs tout en utilisant des aides visuelles statiques ou des projections multimédias. Les professeurs enseignent generalement comme on leur a eux-même enseigné et les cours magistraux ont été la norme par le passé. Les techniques traditionnelles d'enseignernent n'ont pas évolué au-delà de la craie et du tableau noir et ce même si les théories sur l’apprentissage par les étudiants ont changé, tout comme les styles, les habiletés et les stratégies de compréhension d’apprentissage des étudiants. Cette recherche se penche sur les perceptions des étudiants au sujet de l'apprentissage coopératif ou de l'apprentissage actif par équipe de telle sorte qu'on puisse avoir un aperçu et une certaine compréhension de comment les étudiants se sentent par rapport à ces techniques d'apprentissage. Les attitudes des étudiants ont par la suite été comparées aux notes de ceux-ci pour déterminer si l'apprentissage coopératif avait nui ou au contraire amélioré leurs performances académiques. Les résultats obtenus dans l'étude d'ensemble révèlent des différences significatives dans toutes les questions ayant trait à la perception et aux attitudes.
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Abstract: Students who are actively involved in the learning process tend to develop deeper knowledge than those in traditional lecture classrooms (Beatty, 2007; Crouch & Mazur, 2001; Hake, 1998; Richardson, 2003). An instructional strategy that promotes active involvement is Peer Instruction. This strategy encourages student engagement by asking them to respond to conceptual multiple-choice questions intermittently throughout the lecture. These questions can be responded to by using an electronic hand-held device commonly known as a clicker that enables students’ responses to be displayed on a screen. When clickers are not available, a show of hands or other means can be used. The literature suggests that the impact on student learning is the same, whether the teacher uses clickers or simply asks students to raise their hand or use flashcards when responding to the questions (Lasry, 2007). This critical analysis argues that using clickers to respond to these in-class conceptual multiple-choice questions as opposed to using a show of hands leads to deeper conceptual understanding, better performance on tests, and greater overall enjoyment during class.||Résumé: Les étudiants qui sont activement impliqués dans le processus d'apprentissage ont tendance à développer des connaissances plus approfondies que lors de cours traditionnels (Beatty, 2007; Crouch & Mazur, 2001; Hake, 1998; Richardson, 2003). Une stratégie d'enseignement qui favorise la participation active est l’apprentissage par les pairs. Cette stratégie d’enseignement encourage l'engagement des élèves en leur demandant de répondre à des questions à choix multiples conceptuelles à plusieurs reprises durant le déroulement du cours. Ces questions peuvent être répondues à l'aide d'un appareil portatif électronique (un « clicker ») qui permet d’afficher de façon anonyme les réponses des élèves sur un écran. Si les clickers ne sont pas disponibles, les étudiants peuvent aussi répondre aux questions en levant la main. La littérature suggère que la méthode utilisée n’a pas d’impact sur l'apprentissage des élèves, que l'enseignant utilise des clickers, des flashcards ou qu’il demande simplement aux élèves de lever la main pour répondre aux questions (Lasry, 2007). Cette analyse critique fait valoir que l'utilisation de clickers pour répondre à ces questions à choix multiples conceptuelles en classe, plutôt que de faire lever la main aux étudiants, résulte en une compréhension conceptuelle plus approfondie, une meilleure performance aux examens et plus de plaisir pendant les cours.
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Abstract : Providing high-quality clinical experiences to prepare students for the complexities of the current health-care system has become a challenge for nurse educators. Additionally, there are concerns that the current model of clinical practice is suboptimal. Consequently, nursing programs have explored the partial replacement of traditional in-hospital clinical experiences with a simulated clinical experience. Despite research demonstrating numerous benefits to students following participation in simulation activities, insufficient research conducted within Québec exists to convince the governing bodies (Ordre des infirmières et des infirmiers du Québec, OIIQ; Ministère de L’Éducation supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie) to fully embrace simulation as part of nurse training. The purpose of this study was to examine the use of a simulated clinical experience (SCE) as a viable, partial pedagogical substitute for traditional clinical experience by examining the effects of a SCE on CEGEP nursing students’ perceptions of self-efficacy (confidence), and their ability to achieve course objectives. The findings will contribute new information to the current body of research in simulation. The specific case of obstetrical practice was examined. Based on two sections of the Nursing III-Health and Illness (180-30K-AB) course, the sample was comprised of 65 students (thirty-one students from section 0001 and thirty-four students from section 0002) whose mean age was 24.8 years. With two sections of the course available, the opportunity for comparison was possible. A triangulation mixed method design was used. An adapted version of Ravert’s (2004) Nursing Skills for Evaluation tool was utilized to collect data regarding students’ perceptions of confidence related to the nursing skills required for care of mothers and their newborns. Students’ performance and achievement of course objectives was measured through an Objective Structured Clinical Examination (OSCE) consisting of three marked stations designed to test the theoretical and clinical aspects of course content. The OSCE was administered at the end of the semester following completion of the traditional clinical experience. Students’ qualitative comments on the post -test survey, along with journal entries served to support the quantitative scale evaluation. Two of the twelve days (15 hours) allocated for obstetrical clinical experience were replaced by a SCE (17%) over the course of the semester. Students participated in various simulation activities developed to address a range of cognitive, psychomotor and critical thinking skills. Scenarios incorporating the use of human patient simulators, and designed using the Jeffries Framework (2005), exposed students to the care of families and infants during the perinatal period to both reflect and build upon class and course content in achievement of course objectives and program competencies. Active participation in all simulation activities exposed students to Bandura’s four main sources of experience (mastery experiences, vicarious experiences, social persuasion, and physiologic/emotional responses) to enhance the development of students’ self-efficacy. Results of the pre-test and post-test summative scores revealed a statistically significant increase in student confidence in performing skills related to maternal and newborn care (p < .0001) following participation in the SCE. Confidence pre-test and post-test scores were not affected by the students’ section. Skills related to the care of the post-partum mother following vaginal or Caesarean section delivery showed the greatest change in confidence ratings. OSCE results showed a mean total class score (both sections) of 57.4 (70.0 %) with normal distribution. Mean scores were 56.5 (68.9%) for section 0001 and 58.3 (71.1%) for section 0002. Total scores were similar between sections (p =0.342) based on pairwise comparison. Analysis of OSCE scores as compared to students’ final course grade revealed similar distributions. Finally, qualitative analysis identified how students’ perceived the SCE. Students cited gains in knowledge, development of psychomotor skills and improved clinical judgement following participation in simulation activities. These were attributed to the « hands on » practice obtained from working in small groups, a safe and authentic learning environment and one in which students could make mistakes and correct errors as having the greatest impact on learning through simulation.
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L’objectif de cet essai est de proposer pour Montréal une stratégie de participation publique visant l’implantation de projets de piétonnisation porteurs d’acceptabilité sociale dans tous les secteurs de la métropole. En effet, malgré quelques initiatives en faveur des modes de déplacement actif, les intérêts des piétons sont souvent délaissés au profit de ceux des automobilistes qui s’imposent plus facilement. Ainsi, la motorisation en constante croissance sur l’île a pour effet de dégrader l’environnement résiduel disponible pour les personnes. Au contraire, le choix d’aménagements favorisant les modes de déplacement doux comme la marche s’avère profitable, dans toutes les sphères du développement durable, tant sur le plan personnel que collectif. L’étude des pratiques d’aménagement urbain à Montréal démontre que les mécanismes de participation des citoyens à la transformation de l’environnement bâti comportent plusieurs lacunes et participent à cette dévalorisation du piéton. L’organisme responsable de la participation publique, l’Office de consultation publique de Montréal, propose une approche inadéquate pour traiter une question aussi complexe que la piétonnisation. Par conséquent, il n’y a pas de trame cohérente et consensuelle de la piétonnisation en ville. Ainsi les aménagements sont de qualité très inégale d’un arrondissement à l’autre, voire d’une rue à l’autre. La définition des concepts démontre qu’une organisation de l’espace à échelle humaine, soit à échelle piétonne, est incontournable lorsqu’il est question de l’aménagement de collectivités viables. Mettre en place des conditions favorables à la marchabilité permet effectivement de développer une vision structurante, à la base d’un milieu de vie plus sain et d’aborder en amont les problématiques propres à l’urbanisation. Par ailleurs, l’emploi d’une approche participative en urbanisme se présente comme une réponse incontournable dans la conception de projets porteurs d’acceptabilité sociale. La stratégie proposée dans le cadre de cet essai vise la mise en place des conditions nécessaires au partage du pouvoir en accord avec les théories de la gouvernance participative. D’abord, la vision de la piétonnisation montréalaise doit être construite en collaboration avec les membres de la collectivité. Ensuite, les projets doivent être co-construits en partenariat avec les parties prenantes afin de bien s’harmoniser avec le milieu d’accueil. 10 recommandations accompagnent cette stratégie de participation en deux volets. Il est entre autres question de redéfinir la culture de la participation publique à Montréal vers la construction de l’acceptabilité sociale des projets, de favoriser une démarche de participation flexible et de communiquer de manière continue, proactive et mobilisatrice.