4 resultados para Nivelle de La Chaussee, Pierre Claude, 1692-1754
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Resumo:
Aux confluences historiques et conceptuelles de la modernité, de la technologie, et de l’« humain », les textes de notre corpus négocient et interrogent de façon critique les possibilités matérielles et symboliques de la prothèse, ses aspects phénoménologiques et spéculatifs : du côté subjectiviste et conceptualiste avec une philosophie de la conscience, avec Merleau-Ponty ; et de l’autre avec les épistémologues du corps et historiens de la connaissance Canguilhem et Foucault. Le trope prometteur de la prothèse impacte sur les formations discursives et non-discursives concernant la reconstruction des corps, là où la technologie devient le corrélat de l’identité. La technologie s’humanise au contact de l’homme, et, en révélant une hybridité supérieure, elle phagocyte l’humain du même coup. Ce travail de sociologie des sciences (Latour, 1989), ou encore d’anthropologie des sciences (Hakken, 2001) ou d’anthropologie bioculturelle (Andrieu, 1993; Andrieu, 2006; Andrieu, 2007a) se propose en tant qu’exemple de la contribution potentielle que l’anthropologie biologique et culturelle peut rendre à la médecine reconstructrice et que la médecine reconstructrice peut rendre à la plastique de l’homme ; l’anthropologie biologique nous concerne dans la transformation biologique du corps humain, par l’outil de la technologie, tant dans son histoire de la reconstruction mécanique et plastique, que dans son projet d’augmentation bionique. Nous établirons une continuité archéologique, d’une terminologie foucaldienne, entre les deux pratiques. Nous questionnons les postulats au sujet des relations nature/culture, biologie/contexte social, et nous présentons une approche définitionnelle de la technologie, pierre angulaire de notre travail théorique. Le trope de la technologie, en tant qu’outil adaptatif de la culture au service de la nature, opère un glissement sémantique en se plaçant au service d’une biologie à améliorer. Une des clés de notre recherche sur l’augmentation des fonctions et de l’esthétique du corps humain réside dans la redéfinition même de ces relations ; et dans l’impact de l’interpénétration entre réalité et imaginaire dans la construction de l’objet scientifique, dans la transformation du corps humain. Afin de cerner les enjeux du discours au sujet de l’« autoévolution » des corps, les théories évolutionnistes sont abordées, bien que ne représentant pas notre spécialité. Dans le cadre de l’autoévolution, et de l’augmentation bionique de l’homme, la somation culturelle du corps s’exerce par l’usage des biotechnologies, en rupture épistémologique de la pensée darwinienne, bien que l’acte d’hybridation évolutionnaire soit toujours inscrit dans un dessein de maximisation bionique/génétique du corps humain. Nous explorons les courants de la pensée cybernétique dans leurs actions de transformation biologique du corps humain, de la performativité des mutilations. Ainsi technologie et techniques apparaissent-elles indissociables de la science, et de son constructionnisme social.
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Photographic documentation of sculpture produces significant consequences for the way in which sculptural space is conceived. When viewed as discrete mediums the interaction of the photograph and its sculptural subject is always framed by notions of loss. However, when taken as a composite system, the sculpture-photograph proposes a new ontology of space. In place of the fixity of medium, we can observe a topology at play: a theory drawn from mathematics in which space is understood not as a static field but in terms of properties of connectedness, movement and differentiation. Refracted through the photographic medium, sculpture becomes not a field of fixed points in space, but rather as a fluid set of relations - a continuous sequence of multiple ‘surfaces’, a network of shifting views. This paper will develop a topological account of studio practice through an examination of the work of the contemporary Belgian sculptor Didier Vermeiren (b. 1951). Since the 1980s, Vermeiren has made extensive use of photography in his sculptural practice. By analysing a series of iterations of his work Cariatide à la Pierre (1997-1998), this paper proposes that Vermeiren’s use of photography reveals patterns of connection that expand and complicate the language of sculpture, while also emphasising the broader topology of the artist’s practice as a network of ‘backward glances’ to previous works from the artist’s oeuvre and the art-historical canon. In this context, photography is not simply a method of documentation, but rather a means of revealing the intrinsic condition of sculpture as medium shaped by dynamic patterns of connection and change. In Vermeiren’s work the sculpture-photograph, has a composite identity that exceeds straightforward categories of medium. In their place, we can observe a practice based upon the complex interactions of objects whose ontology is always underpinned by a certain contingency. It is in this fundamental mobility, that the topology of Vermeiren’s practice can be said to rest.
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Este texto hace un acercamiento sociológico al análisis de la raza y la lengua en la formación de programas de educación en idiomas. Este enfoque usa los modelos de Bourdieu de habitus y campo social, los cuales enmarcan la raza y la lengua como elementos variables en el cambio educativo y pedagógico, que están, a la vez, sujetos a la agenciamiento de profesores y estudiantes. El enfoque sugiere que una política de educación en lenguas para la justicia social puede concentrarse no sólo en el cambio y el desarrollo del sujeto humano, sino también en cambio sistemático de los campos sociales del currículo.
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What is the secret mesmerism that death possesses and under the operation of which a modern architect – strident, confident, resolute – becomes rueful, pessimistic, or melancholic?1 Five years before Le Corbusier’s death at sea in 1965, the architect reluctantly agreed to adopt the project for L’Église Saint-Pierre de Firminy in Firminy-Vert (1960–2006), following the death of its original architect, André Sive, from leukemia in 1958.2 Le Corbusier had already developed, in 1956, the plan for an enclave in the new “green” Firminy town, which included his youth and culture center and a stadium and swimming pool; the church and a “boîte à miracles” near the youth center were inserted into the plan in the ’60s. (Le Corbusier was also invited, in 1962, to produce another plan for three Unités d’Habitation outside Firminy-Vert.) The Saint-Pierre church should have been the zenith of the quartet (the largest urban concentration of works by Le Corbusier in Europe, and what the architect Henri Ciriani termed Le Corbusier’s “acropolis”3) but in the early course of the project, Le Corbusier would suffer the diocese’s serial objections to his vision for the church – not unlike the difficulties he experienced with Notre Dame du Haut at Ronchamp (1950–1954) and the resistance to his proposed monastery of Sainte-Marie de la Tourette (1957–1960). In 1964, the bishop of Saint-Étienne requested that Le Corbusier relocate the church to a new site, but Le Corbusier refused and the diocese subsequently withdrew from the project. (With neither the approval, funds, nor the participation of the bishop, by then the cardinal archbishop of Lyon, the first stone of the church was finally laid on the site in 1970.) Le Corbusier’s ambivalence toward the project, even prior to his quarrels with the bishop, reveals...