3 resultados para Apprentissage de la lecture

em Instituto Superior de Psicologia Aplicada - Lisboa


Relevância:

90.00% 90.00%

Publicador:

Resumo:

Il s’agit ici d’explorer le plaisir pris à la lecture des romans policiers, lecture qui implique la participation du lecteur à des représentations violentes et cruelles. Dans son récit autobiographique Les Mots, Jean-Paul Sartre déclare en conclusion d’un passage consacré à ce qu’il appelle les «vraies lectures de son enfance» – ces lectures lui sont données par les livres d’aventures et les magazines pour enfants, il les oppose aux lectures savantes –: «Cette double vie n’a jamais cessé: aujourd’hui encore, je lis plus volontiers les “Série Noire” que Wittgenstein».

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

Bien que la mondialisation ait anéanti les frontières favorisant le déplacement de populations qui deviennent citoyen du monde, les individus se disent volontiers souffrir de se sentir étranger. On se souvient comment la lecture du roman de Camus, L’étranger, saisit dès la première ligne par l’étrangeté du dénommé Meursault, au point de ne plus savoir si l’étrangeté participe d’une structure ou d’un état? Devient-on étranger en franchissant une limite territoriale, ou bien une certaine étrangeté rend-elle étranger? Ce signifiant embué d’imaginaire semble alors trouver un point de butée. Telles seront les questions que je poserai à partir de ce roman, en analysant les réponses qu’il propose puis, dans un second temps, en considérant en quoi elles peuvent intéresser la clinique.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Tout le monde sait que Balzac avait voulu au départ, vers 1831, qualifier Le Chef-d’œuvre inconnu1 de «conte fantastique» et qu’il avait choisi comme titre du premier chapitre «Maître Frenhofer», du nom du personnage singulier dont la présence devrait assurer à ce récit le mérite d’être baptisé «fantastique». Mais il a renoncé plus tard à son projet initial en le complétant (1836-37) par le développement de discours abondants sur les doctrines esthétiques et sur la technique picturale, pour l’intégrer dans la section «Études philosophiques» de La Comédie humaine. Selon Marc Eigeldinger, ce travail complémentaire l’a rendu deux fois plus long. On devine l’ambition de l’auteur de représenter un des secrets de la création en peinture.