Une lecture textanalytique du Chefd’oeuvre inconnu de Balzac
Data(s) |
31/08/2016
31/08/2016
2008
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Resumo |
Tout le monde sait que Balzac avait voulu au départ, vers 1831, qualifier Le Chef-d’œuvre inconnu1 de «conte fantastique» et qu’il avait choisi comme titre du premier chapitre «Maître Frenhofer», du nom du personnage singulier dont la présence devrait assurer à ce récit le mérite d’être baptisé «fantastique». Mais il a renoncé plus tard à son projet initial en le complétant (1836-37) par le développement de discours abondants sur les doctrines esthétiques et sur la technique picturale, pour l’intégrer dans la section «Études philosophiques» de La Comédie humaine. Selon Marc Eigeldinger, ce travail complémentaire l’a rendu deux fois plus long. On devine l’ambition de l’auteur de représenter un des secrets de la création en peinture. |
Identificador |
Gradiva, 11(1), 15-27 0873-2701 |
Idioma(s) |
fra |
Publicador |
ISPA — Instituto Superior de Psicologia de Aplicada |
Direitos |
openAccess |
Palavras-Chave | #Anthropologie littéraire |
Tipo |
article |