541 resultados para monozygotic twins


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Trabalho Final do Curso de Mestrado Integrado em Medicina, Faculdade de Medicina, Universidade de Lisboa, 2014

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Despite our detailed characterization of the human genome at the level of the primary DNA sequence, we are still far from understanding the molecular events underlying phenotypic variation. Epigenetic modifications to the DNA sequence and associated chromatin are known to regulate gene expression and, as such, are a significant contributor to phenotype. Studies of inbred mice and monozygotic twins show that variation in the epigenotype can be seen even between genetically identical individuals and that this, in some cases at least, is associated with phenotypic differences. Moreover, recent evidence suggests that the epigenome can be influenced by the environment and these changes can last a lifetime. However, we also know that epigenetic states in real-time are in continual flux and, as a result, the epigenome exhibits instability both within and across generations. We still do not understand the rules governing the establishment and maintenance of the epigenotype at any particular locus. The underlying DNA sequence itself and the sequence at unlinked loci (modifier loci) are certainly involved. Recent support for the existence of transgenerational epigenetic inheritance in mammals suggests that the epigenetic state of the locus in the previous generation may also play a role. Over the next decade, many of these processes will be better understood, heralding a greater capacity for us to correlate measurable molecular marks with phenotype and providing the opportunity for improved diagnosis and presymptomatic healthcare.

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L'hypothyroïdie congénitale par dysgénésie thyroïdienne (HCDT, ectopie dans plus de 80 %) a une prévalence de 1 cas sur 4000 naissances vivantes. L’HCDT est la conséquence d'une défaillance de la thyroïde embryonnaire à se différencier, à se maintenir ou à migrer vers sa localisation anatomique (partie antérieure du cou), qui aboutit à une absence totale de la thyroïde (athyréose) ou à une ectopie thyroïdienne (linguale ou sublinguale). Les HCDT sont principalement non-syndromiques (soit 98% des cas sont non-familiale), ont un taux de discordance de 92% chez les jumeaux monozygotes, et ont une prédominance féminine et ethnique (i.e., Caucasienne). La majorité des cas d’HCDT n’a pas de cause connue, mais est associée à un déficit sévère en hormones thyroïdiennes (hypothyroïdie). Des mutations germinales dans les facteurs de transcription liés à la thyroïde (NKX2.1, FOXE1, PAX8, NKX2.5) ont été identifiées dans seulement 3% des patients atteints d’HCDT sporadiques et l’analyse de liaisons exclue ces gènes dans les rares familles multiplex avec HCDT. Nous supposons que le manque de transmission familiale claire d’HCDT peut résulter de la nécessité d’au moins deux « hits » génétiques différents dans des gènes importants pour le développement thyroïdien. Pour répondre au mieux nos questions de recherche, nous avons utilisé deux approches différentes: 1) une approche gène candidat, FOXE1, seul gène impliqué dans l’ectopie dans le modèle murin et 2) une approche en utilisant les techniques de séquençage de nouvelle génération (NGS) afin de trouver des variants génétiques pouvant expliquer cette pathologie au sein d’une cohorte de patients avec HCDT. Pour la première approche, une étude cas-contrôles a été réalisée sur le promoteur de FOXE1. Il a récemment été découvert qu’une région du promoteur de FOXE1 est différentiellement méthylée au niveau de deux dinucléotides CpG consécutifs, définissant une zone cruciale de contrôle de l’expression de FOXE1. L’analyse d’association basée sur les haplotypes a révélé qu’un haplotype (Hap1: ACCCCCCdel1C) est associé avec le HCDT chez les Caucasiens (p = 5x10-03). Une réduction significative de l’activité luciférase est observée pour Hap1 (réduction de 68%, p<0.001) comparé au promoteur WT de FOXE1. Une réduction de 50% de l’expression de FOXE1 dans une lignée de cellules thyroïdienne humaine est suffisante pour réduire significativement la migration cellulaire (réduction de 55%, p<0.05). Un autre haplotype (Hap2: ACCCCCCC) est observé moins fréquemment chez les Afro-Américain comparés aux Caucasiens (p = 1.7x10-03) et Hap2 diminue l’activité luciférase (réduction de 26%, p<0.001). Deux haplotypes distincts sont trouvés fréquemment dans les contrôles Africains (Black-African descents). Le premier haplotype (Hap3: GTCCCAAC) est fréquent (30.2%) chez les contrôles Afro-Américains comparés aux contrôles Caucasiens (6.3%; p = 2.59 x 10-9) tandis que le second haplotype (Hap4: GTCCGCAC) est trouvé exclusivement chez les contrôles Afro-Américains (9.4%) et est absent chez les contrôles Caucasiens (P = 2.59 x 10-6). Pour la deuxième approche, le séquençage de l’exome de l’ADN leucocytaire entre les jumeaux MZ discordants n’a révélé aucune différence. D'où l'intérêt du projet de séquençage de l’ADN et l’ARN de thyroïdes ectopiques et orthotopiques dans lesquelles de l'expression monoallélique aléatoire dans a été observée, ce qui pourrait expliquer comment une mutation monoallélique peut avoir des conséquences pathogéniques. Finalement, le séquençage de l’exome d’une cohorte de 36 cas atteints d’HCDT a permis d’identifier de nouveaux variants probablement pathogéniques dans les gènes récurrents RYR3, SSPO, IKBKE et TNXB. Ces quatre gènes sont impliqués dans l’adhésion focale (jouant un rôle dans la migration cellulaire), suggérant un rôle direct dans les défauts de migration de la thyroïde. Les essais de migration montrent une forte diminution (au moins 60% à 5h) de la migration des cellules thyroïdiennes infectées par shRNA comparés au shCtrl dans 2 de ces gènes. Des zebrafish KO (-/- et +/-) pour ces nouveaux gènes seront réalisés afin d’évaluer leur impact sur l’embryologie de la thyroïde.

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L’ostéoporose est une maladie caractérisée par une faible masse osseuse et une détérioration du tissu osseux. Cette condition entraîne une plus grande fragilité osseuse et des risques de fractures. Plusieurs études ont associé l’ostéoporose à la faible densité osseuse des mandibules, à la perte d’attache parodontale, à l’augmentation de la hauteur de la crête alvéolaire et à la chute des dents. Cette étude vise à comprendre les mécanismes sous-jacents cette perte osseuse. En effet, au cours du développement des souris, PITX1 joue un rôle clé dans l'identité des membres postérieurs et dans le bon développement des mandibules et des dents. Son inactivation complète chez la souris mène à un phénotype squelettique sévère. Tandis que, son inactivation partielle provoque des symptômes apparentés à l'arthrose avec une augmentation de la masse osseuse au niveau de l’os cortical et de l’os trabéculaire. Inversement, une étude antérieure chez des jumelles monozygotiques discordantes pour l’ostéoporose, montrent une augmentation d’environ 8.6 fois du niveau d’expression du gène Pitx1 chez la jumelle ostéoporotique. Collectivement, ces données nous ont poussés à investiguer sur le rôle du facteur de transcription PITX1 dans le métabolisme osseux normal et pathologique. Dans ce contexte, des souris transgéniques Col1α1-Pitx1 sur-exprimant Pitx1 spécifiquement dans le tissu osseux sous le promoteur du collagène de type-I (fragment 2.1kpb) ont été générées et phénotypiquement caractérisées. Ces résultats ont révelé que les souris transgéniques Col1α1-Pitx1 présentaient un phénotype similaire à celui des patients ostéoporotiques accompagné d'une perte de dents et des problèmes dentaires et parodontaux. De plus, cette étude a révélé que la surexpression de Pitx1 induit une altération de l’homéostasie osseuse via l’inactivation de la voie de signalisation Wnt/β-caténine canonique. Cette hypothèse a été appuyée par le fait que le traitement des souris transgéniques Col1α1-Pitx1 avec du chlorure de lithium, un activateur de la voie Wnt canonique, prévient le phénotype ostéoporotique chez ces souris. Finalement, cette étude établit un rôle crucial de PITX1 dans la régulation de la masse osseuse et une implication possible dans l’ostéoporose et les maladies parodontales via l’inactivation de la voie de signalisation Wnt/β-caténine canonique.

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L'hypothyroïdie congénitale par dysgénésie thyroïdienne (HCDT, ectopie dans plus de 80 %) a une prévalence de 1 cas sur 4000 naissances vivantes. L’HCDT est la conséquence d'une défaillance de la thyroïde embryonnaire à se différencier, à se maintenir ou à migrer vers sa localisation anatomique (partie antérieure du cou), qui aboutit à une absence totale de la thyroïde (athyréose) ou à une ectopie thyroïdienne (linguale ou sublinguale). Les HCDT sont principalement non-syndromiques (soit 98% des cas sont non-familiale), ont un taux de discordance de 92% chez les jumeaux monozygotes, et ont une prédominance féminine et ethnique (i.e., Caucasienne). La majorité des cas d’HCDT n’a pas de cause connue, mais est associée à un déficit sévère en hormones thyroïdiennes (hypothyroïdie). Des mutations germinales dans les facteurs de transcription liés à la thyroïde (NKX2.1, FOXE1, PAX8, NKX2.5) ont été identifiées dans seulement 3% des patients atteints d’HCDT sporadiques et l’analyse de liaisons exclue ces gènes dans les rares familles multiplex avec HCDT. Nous supposons que le manque de transmission familiale claire d’HCDT peut résulter de la nécessité d’au moins deux « hits » génétiques différents dans des gènes importants pour le développement thyroïdien. Pour répondre au mieux nos questions de recherche, nous avons utilisé deux approches différentes: 1) une approche gène candidat, FOXE1, seul gène impliqué dans l’ectopie dans le modèle murin et 2) une approche en utilisant les techniques de séquençage de nouvelle génération (NGS) afin de trouver des variants génétiques pouvant expliquer cette pathologie au sein d’une cohorte de patients avec HCDT. Pour la première approche, une étude cas-contrôles a été réalisée sur le promoteur de FOXE1. Il a récemment été découvert qu’une région du promoteur de FOXE1 est différentiellement méthylée au niveau de deux dinucléotides CpG consécutifs, définissant une zone cruciale de contrôle de l’expression de FOXE1. L’analyse d’association basée sur les haplotypes a révélé qu’un haplotype (Hap1: ACCCCCCdel1C) est associé avec le HCDT chez les Caucasiens (p = 5x10-03). Une réduction significative de l’activité luciférase est observée pour Hap1 (réduction de 68%, p<0.001) comparé au promoteur WT de FOXE1. Une réduction de 50% de l’expression de FOXE1 dans une lignée de cellules thyroïdienne humaine est suffisante pour réduire significativement la migration cellulaire (réduction de 55%, p<0.05). Un autre haplotype (Hap2: ACCCCCCC) est observé moins fréquemment chez les Afro-Américain comparés aux Caucasiens (p = 1.7x10-03) et Hap2 diminue l’activité luciférase (réduction de 26%, p<0.001). Deux haplotypes distincts sont trouvés fréquemment dans les contrôles Africains (Black-African descents). Le premier haplotype (Hap3: GTCCCAAC) est fréquent (30.2%) chez les contrôles Afro-Américains comparés aux contrôles Caucasiens (6.3%; p = 2.59 x 10-9) tandis que le second haplotype (Hap4: GTCCGCAC) est trouvé exclusivement chez les contrôles Afro-Américains (9.4%) et est absent chez les contrôles Caucasiens (P = 2.59 x 10-6). Pour la deuxième approche, le séquençage de l’exome de l’ADN leucocytaire entre les jumeaux MZ discordants n’a révélé aucune différence. D'où l'intérêt du projet de séquençage de l’ADN et l’ARN de thyroïdes ectopiques et orthotopiques dans lesquelles de l'expression monoallélique aléatoire dans a été observée, ce qui pourrait expliquer comment une mutation monoallélique peut avoir des conséquences pathogéniques. Finalement, le séquençage de l’exome d’une cohorte de 36 cas atteints d’HCDT a permis d’identifier de nouveaux variants probablement pathogéniques dans les gènes récurrents RYR3, SSPO, IKBKE et TNXB. Ces quatre gènes sont impliqués dans l’adhésion focale (jouant un rôle dans la migration cellulaire), suggérant un rôle direct dans les défauts de migration de la thyroïde. Les essais de migration montrent une forte diminution (au moins 60% à 5h) de la migration des cellules thyroïdiennes infectées par shRNA comparés au shCtrl dans 2 de ces gènes. Des zebrafish KO (-/- et +/-) pour ces nouveaux gènes seront réalisés afin d’évaluer leur impact sur l’embryologie de la thyroïde.

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L’ostéoporose est une maladie caractérisée par une faible masse osseuse et une détérioration du tissu osseux. Cette condition entraîne une plus grande fragilité osseuse et des risques de fractures. Plusieurs études ont associé l’ostéoporose à la faible densité osseuse des mandibules, à la perte d’attache parodontale, à l’augmentation de la hauteur de la crête alvéolaire et à la chute des dents. Cette étude vise à comprendre les mécanismes sous-jacents cette perte osseuse. En effet, au cours du développement des souris, PITX1 joue un rôle clé dans l'identité des membres postérieurs et dans le bon développement des mandibules et des dents. Son inactivation complète chez la souris mène à un phénotype squelettique sévère. Tandis que, son inactivation partielle provoque des symptômes apparentés à l'arthrose avec une augmentation de la masse osseuse au niveau de l’os cortical et de l’os trabéculaire. Inversement, une étude antérieure chez des jumelles monozygotiques discordantes pour l’ostéoporose, montrent une augmentation d’environ 8.6 fois du niveau d’expression du gène Pitx1 chez la jumelle ostéoporotique. Collectivement, ces données nous ont poussés à investiguer sur le rôle du facteur de transcription PITX1 dans le métabolisme osseux normal et pathologique. Dans ce contexte, des souris transgéniques Col1α1-Pitx1 sur-exprimant Pitx1 spécifiquement dans le tissu osseux sous le promoteur du collagène de type-I (fragment 2.1kpb) ont été générées et phénotypiquement caractérisées. Ces résultats ont révelé que les souris transgéniques Col1α1-Pitx1 présentaient un phénotype similaire à celui des patients ostéoporotiques accompagné d'une perte de dents et des problèmes dentaires et parodontaux. De plus, cette étude a révélé que la surexpression de Pitx1 induit une altération de l’homéostasie osseuse via l’inactivation de la voie de signalisation Wnt/β-caténine canonique. Cette hypothèse a été appuyée par le fait que le traitement des souris transgéniques Col1α1-Pitx1 avec du chlorure de lithium, un activateur de la voie Wnt canonique, prévient le phénotype ostéoporotique chez ces souris. Finalement, cette étude établit un rôle crucial de PITX1 dans la régulation de la masse osseuse et une implication possible dans l’ostéoporose et les maladies parodontales via l’inactivation de la voie de signalisation Wnt/β-caténine canonique.

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We used diffusion tensor magnetic resonance imaging (DTI) to reveal the extent of genetic effects on brain fiber microstructure, based on tensor-derived measures, in 22 pairs of monozygotic (MZ) twins and 23 pairs of dizygotic (DZ) twins (90 scans). After Log-Euclidean denoising to remove rank-deficient tensors, DTI volumes were fluidly registered by high-dimensional mapping of co-registered MP-RAGE scans to a geometrically-centered mean neuroanatomical template. After tensor reorientation using the strain of the 3D fluid transformation, we computed two widely used scalar measures of fiber integrity: fractional anisotropy (FA), and geodesic anisotropy (GA), which measures the geodesic distance between tensors in the symmetric positive-definite tensor manifold. Spatial maps of intraclass correlations (r) between MZ and DZ twins were compared to compute maps of Falconer's heritability statistics, i.e. the proportion of population variance explainable by genetic differences among individuals. Cumulative distribution plots (CDF) of effect sizes showed that the manifold measure, GA, comparably the Euclidean measure, FA, in detecting genetic correlations. While maps were relatively noisy, the CDFs showed promise for detecting genetic influences on brain fiber integrity as the current sample expands.

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Despite substantial progress in measuring the anatomical and functional variability of the human brain, little is known about the genetic and environmental causes of these variations. Here we developed an automated system to visualize genetic and environmental effects on brain structure in large brain MRI databases. We applied our multi-template segmentation approach termed "Multi-Atlas Fluid Image Alignment" to fluidly propagate hand-labeled parameterized surface meshes, labeling the lateral ventricles, in 3D volumetric MRI scans of 76 identical (monozygotic, MZ) twins (38 pairs; mean age = 24.6 (SD = 1.7)); and 56 same-sex fraternal (dizygotic, DZ) twins (28 pairs; mean age = 23.0 (SD = 1.8)), scanned as part of a 5-year research study that will eventually study over 1000 subjects. Mesh surfaces were averaged within subjects to minimize segmentation error. We fitted quantitative genetic models at each of 30,000 surface points to measure the proportion of shape variance attributable to (1) genetic differences among subjects, (2) environmental influences unique to each individual, and (3) shared environmental effects. Surface-based statistical maps, derived from path analysis, revealed patterns of heritability, and their significance, in 3D. Path coefficients for the 'ACE' model that best fitted the data indicated significant contributions from genetic factors (A = 7.3%), common environment (C = 38.9%) and unique environment (E = 53.8%) to lateral ventricular volume. Earlier-maturing occipital horn regions may also be more genetically influenced than later-maturing frontal regions. Maps visualized spatially-varying profiles of environmental versus genetic influences. The approach shows promise for automatically measuring gene-environment effects in large image databases.

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Head motion (HM) is a critical confounding factor in functional MRI. Here we investigate whether HM during resting state functional MRI (RS-fMRI) is influenced by genetic factors in a sample of 462 twins (65% fema≤ 101 MZ (monozygotic) and 130 DZ (dizygotic) twin pairs; mean age: 21 (SD=3.16), range 16-29). Heritability estimates for three HM components-mean translation (MT), maximum translation (MAXT) and mean rotation (MR)-ranged from 37 to 51%. We detected a significant common genetic influence on HM variability, with about two-thirds (genetic correlations range 0.76-1.00) of the variance shared between MR, MT and MAXT. A composite metric (HM-PC1), which aggregated these three, was also moderately heritable (h2=42%). Using a sub-sample (N=35) of the twins we confirmed that mean and maximum translational and rotational motions were consistent "traits" over repeated scans (r=0.53-0.59); reliability was even higher for the composite metric (r=0.66). In addition, phenotypic and cross-trait cross-twin correlations between HM and resting state functional connectivities (RS-FCs) with Brodmann areas (BA) 44 and 45, in which RS-FCs were found to be moderately heritable (BA44: h2-=0.23 (sd=0.041), BA45: h2-=0.26 (sd=0.061)), indicated that HM might not represent a major bias in genetic studies using FCs. Even so, the HM effect on FC was not completely eliminated after regression. HM may be a valuable endophenotype whose relationship with brain disorders remains to be elucidated.

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Brain asymmetry, or the structural and functional specialization of each brain hemisphere, has fascinated neuroscientists for over a century. Even so, genetic and environmental factors that influence brain asymmetry are largely unknown. Diffusion tensor imaging (DTI) now allows asymmetry to be studied at a microscopic scale by examining differences in fiber characteristics across hemispheres rather than differences in structure shapes and volumes. Here we analyzed 4. Tesla DTI scans from 374 healthy adults, including 60 monozygotic twin pairs, 45 same-sex dizygotic pairs, and 164 mixed-sex DZ twins and their siblings; mean age: 24.4 years ± 1.9 SD). All DTI scans were nonlinearly aligned to a geometrically-symmetric, population-based image template. We computed voxel-wise maps of significant asymmetries (left/right differences) for common diffusion measures that reflect fiber integrity (fractional and geodesic anisotropy; FA, GA and mean diffusivity, MD). In quantitative genetic models computed from all same-sex twin pairs (N=210 subjects), genetic factors accounted for 33% of the variance in asymmetry for the inferior fronto-occipital fasciculus, 37% for the anterior thalamic radiation, and 20% for the forceps major and uncinate fasciculus (all L > R). Shared environmental factors accounted for around 15% of the variance in asymmetry for the cortico-spinal tract (R > L) and about 10% for the forceps minor (L > R). Sex differences in asymmetry (men > women) were significant, and were greatest in regions with prominent FA asymmetries. These maps identify heritable DTI-derived features, and may empower genome-wide searches for genetic polymorphisms that influence brain asymmetry.

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Aim: To examine the concordance rates of common medical conditions and neurocognitive performance in monozygotic (MZ) and dizygotic (DZ) older twins. Methods: Twins aged ≥65 years and living in the three Eastern states of Australia were recruited through the Australian Twin Registry and underwent detailed neuropsychological and medical assessment. Results: Assessments were conducted on 113 MZ and 96 DZ twin pairs, with a mean age of 70.5 years. MZ twins were more concordant than DZ twins for hypertension and asthma. MZ twins had higher correlations than DZ twins on most neuropsychological tests, with the exception of some tests related to processing speed. The concordance rate for mild cognitive impairment or dementia was 76.2% in MZ twins and 42.9% in DZ twins, a non-significant difference. Conclusions: Except for some aspects of processing speed, most cognitive functions in older individuals show significant heritability. The heritability of neurocognitive disorders is, however, low.

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The aim of this study was to deepen the understanding of eating disorders, body image dissatisfaction and related traits in males by examining the epidemiology and genetic epidemiology of these conditions in representative population-based twin samples. The sample of Study I included adolescent twins from FinnTwin12 cohorts born 1983 87 and assessed by a questionnaire at ages 14 y (N=2070 boys, N=2062 girls) and 17 y (N=1857 boys, N=1984 girls). Samples of Studies II-V consisted of young adult twins born 1974-79 from FinnTwin16 cohorts (Study II N=1245 men, Study III N=724 men, Study IV N=2122 men, Study V N=2426 women and N=1962 men), who were assessed by a questionnaire at the age 22-28 y. In addition, 49 men and 526 women were assessed by a diagnostic interview. The overall response rates for both twin cohorts in all studies were 80-90%. In boys, mainly genetic factors (82%, 95% confidence interval [CI] 72-92) explained the covariation of self-esteem between the ages 14 y and 17 y, whereas in girls, environmental factors (69%, 95% CI 43-93) were the largest contributors. Of young men, 30% experienced high muscle dissatisfaction, while 12% used or had used muscle building supplements and/or anabolic steroids on a regular basis. Muscle dissatisfaction exhibited a robust association with the indicators of mental distress and a genetic component (42%, 95% CI 23-59) for its liability in this population was found. The variation of muscle-building substance use was primarily explained by the environmental factors. The incidence rate of anorexia nervosa in males for the age of 10-24 y was 15.7 (95% CI 6.6-37.8) per 100 000 person-years, and its lifetime prevalence by the young adulthood was 0.24% (95% CI 0.03-0.44). All detected probands with anorexia nervosa had recovered from eating disorders, but suffered from substantial psychiatric comorbidity, which manifested also in their co-twins. Additionally, male co-twins of the probands displayed significant dissatisfaction with body musculature, a male-specific feature of body dysmorphic disorder. All probands were from twin pairs discordant for eating disorders. Of the five male probands with anorexia nervosa, only one was from an opposite-sex twin pair. Among women from the opposite-sex pairs, the prevalence of DSM-IV or broad anorexia nervosa was no significantly different compared to that of the women from monozygotic pairs or from dizygotic same-sex pairs. The prevalence of DSM-IV or broad bulimia nervosa did not differ in opposite- versus same-sex female twin individuals either. In both sexes, the overall profile of indicators on eating disorders was rather similar between individuals from opposite-sex and same-sex pairs. In adolescence, development of self-esteem was differently regulated in boys compared to girls: this finding may have far-reaching implications on the etiology of sex discrepancy of internalizing and externalizing disorders. In young men, muscle dissatisfaction and muscle building supplement/steroid use were relatively common. Muscle dissatisfaction was associated with marked psychological distress such as symptoms of depression and disordered eating. Both genetic and environmental factors explained muscle dissatisfaction in the population, but environmental factors appeared to best explain the use of muscle-building substances. In this study, anorexia nervosa in boys and young men from the general population was more common, transient and accompanied by more substantial co-morbidity than previously thought. Co-twins of the probands with anorexia nervosa displayed significant psychopathology such as male specific symptoms of body dysmorphic disorder, but none of them had had an eating disorder: taken together, these traits are suggestive for an endophenotype of anorexia nervosa in males. Little evidence was found on that the risk for anorexia nervosa, bulimia nervosa, disordered eating or body dissatisfaction were associated with twin zygosity. Thus, it is unlikely that in utero femininization, masculinization or postnatal socialization according to the sex of the co-twin have a major influence on the later development of eating disorders or related traits.

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Accurate determination of same-sex twin zygosity is important for medical, scientific and personal reasons. Determination may be based upon questionnaire data, blood group, enzyme isoforms and fetal membrane examination, but assignment of zygosity must ultimately be confirmed by genotypic data. Here methods are reviewed for calculating average probabilities of correctly concluding a twin pair is monozygotic, given they share the same genotypes across all loci for commonly utilized multiplex short tandem repeat (STR) kits.

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Zygosity determination is important for epidemiological, biological, obstetric, and prognostic studies in both human and nonhuman primates. In this study, microsatellite loci were used to screen a pair of chimpanzee (Pan troglodytes) twins and their parents. The twins share identical alleles at all loci tested. The probability of dizygotic origin is estimated to be 2.9 x 10(-11). Even after excluding linkage of loci on the same chromosome, the probability is still low enough (3.7 x 10(-9)) to exclude dizygotic origin. MHC typing was also done on Patr-DRB and Patr-DQB loci and the twins share identical alleles at both loci, consistent with the microsatellite results. Together these results demonstrate a monozygotic origin for the chimp twins. Our results suggest that microsatellite analysis is a powerful method for zygosity determination, which can be screened reliably and efficiently. Am. J. Primatol. 52:101-106, 2000. (C) 2000 Wiley-Liss, Inc.

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Interpersonal dependence is thought to be important in a number of physical and psychological disorders. There are several developmental theories that suggest environmental influences in childhood are important.