328 resultados para endoscopy


Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Résumé: Introduction : L'utilisation de méthodes endoscopiques peu invasives est en constante augmentation pour le traitement des lésions tumorales précoces de l'oesophage. Le but du traitement comprend l'éradication complète de tous les foyers de dysplasie ou de carcinome in situ, notamment dans les métaplasies intestinales de l'oesophage de Barrett, qui peuvent dégénérer en adénocarcinome. Plusieurs techniques d'ablation de la muqueuse oesophagienne (laser, argon plasma, electrocoagulation, photothérapie dynamique, résection endoscopique) ont été utilisées jusqu'à présent, mais aucune n'a vraiment donné entière satisfaction. Les techniques actuelles de résections endoscopiques par fibroscopie sont entre autres limitées par le grand nombre de séances nécessaires à l'éradication complète de la lésion et par la petite taille des fragments de muqueuse obtenus, ce qui rend l'analyse histologique difficile. Dans notre étude animale, nous avons évalué la faisabilité, l'efficacité et la sécurité d'une méthode de résection endoscopique à l'aide d'un nouvel oesophagoscope rigide. Matériel et méthode : Le résectoscope est formé d'un oesophagoscope rigide avec une fenêtre distale transparente à travers laquelle la muqueuse et une partie de la sous-muqueuse sont aspirées et ensuite réséquées avec une anse thermique. Les diverses fenêtres utilisées ont une taille comprise entre 2.2 et 4.4 cm. Le mouton a été choisi en raison de la ressemblance de son oesophage avec celui de l'humain en ce qui concerne l'épaisseur de son oesophage et sa structure histologique. Nous avons effectué 55 résections hémi-circonférentielles sur 21 animaux et 11 résections circonférentielles sur 11 autres. La Mitomycine-C, une substance qui inhibe la prolifération fibroblastique, a été utilisée dans 8 résections circonférentielles à différents intervalles de temps afin d'empêcher la survenue de sténoses oesophagiennes. Résultats : Toutes les résections hémi-circonférentielles ont permis d'obtenir des fragments compacts de tissu avec des bords nets, ce qui permet une excellente étude histologique. La surface du tissu prélevé était en corrélation avec la taille de la fenêtre du resectoscope. Nous avons ainsi pu obtenir des fragments avec des dimensions comprises entre 6 et 12 cm2. Pour les résections circonférentielles, les tissus étaient obtenus en 2 parties, en inversant de 180° la position de l'appareil. La profondeur de la résection a été optimale dans 58 cas sur 65 avec une découpe précise au niveau de la sous-muqueuse sans lésion de la couche musculaire sous- jacente. Il n'y a pas eu de complications après les résections hémi-circonférentielles. Les complications engendrées par les résections circonférentielles (sténose, perforation) n'ont plus été rencontrées après application locale de Mitomycine-C administrée à des intervalles de temps bien précis. Conclusion : Notre méthode de résection endoscopique de la muqueuse oesophagienne offre une nouvelle approche très prometteuse par rapport aux options déjà disponibles. Elle apparaît supérieure en ce qui concerne la taille de tissu prélevé, la précision et régularité de la profondeur de résection, ainsi que la facilité et sûreté du diagnostic histologique et des marges de sécurité. Les résections hémi-circonférentielles se sont révélées sûres chez le modèle animal. Cette nouvelle technique mérite de plus amples investigations pour les résections circonférentielles avant son utilisation chez l'humain. Abstract: Background and Study Aims: We undertook this retrospective study to evaluate the frequency and prognosis of endoscopic treatment of laterally spreading tumors (LSTs) in the rectum. The recurrence rate for lesions of the lower rectum was compared with that of the upper rectum. Patients and Methods: During the period from July 1989 to June 2002, a total of 1237 rectal tumors were detected. LSTs accounted for 6.9% (85/1237) of all rectal tumors. A total of 224 tumors of the lower rectum were detected among the 1237 rectal tumors. LSTs accounted for 16.1 % (36/224) of all the lower rectal tumors. From 85 LST lesions, 67 were evaluated for their prognosis after endoscopic mucosal resection (EMR). Patients whose LSTs had been resected were followed up by endoscopy at the following frequencies: once 15 (22.4%); twice (more than 1 year), 20 (29.9%); three times (more than 3 years), 21(31.3%); and four times or more (more than 5 years), 11 (16.4%). Results: A total of 67 patients with endoscopically treated LSTs were followed up by endoscopy. We observed recurrences in two lesions of the upper rectum (2/38, 5.3%) and five lesions of the lower rectum (5/29, 17.2%) (P = 0.2364); all seven lesions were resected piecemeal. LSTs whose horizontal margin reached the pectinate line frequently recurred in the lower rectum, at a rate of 80% (4/5). However, all patients were completely cured by additional endoscopic resections, the greatest number of treatments being four. Conclusion: For early detection of recurrence and successful endoscopic cure, further colonoscopic examination within a few months after the first treatment is necessary.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

AIM: To assess the role of Helicobacter pylori (H. pylori), gastroesophageal reflux disease (GERD), age, smoking and body weight on the development of intestinal metaplasia of the gastric cardia (IMC).¦METHODS: Two hundred and seventeen patients scheduled for esophagogastroduodenoscopy were enrolled in this study. Endoscopic biopsies from the esophagus, gastroesophageal junction and stomach were evaluated for inflammation, the presence of H. pylori and intestinal metaplasia. The correlation of these factors with the presence of IMC was assessed using logistic regression.¦RESULTS: IMC was observed in 42% of the patients. Patient age, smoking habit and body mass index (BMI) were found as potential contributors to IMC. The risk of developing IMC can be predicted in theory by combining these factors according to the following formula: Risk of IMC = a + s - 2B where a = 2,...6 decade of age, s = 0 for non-smokers or ex-smokers, 1 for < 10 cigarettes/d, 2 for > 10 cigarettes/d and B = 0 for BMI < 25 kg/m² (BMI < 27 kg/m² in females), 1 for BMI > 25 kg/m² (BMI > 27 kg/m² in females). Among potential factors associated with IMC, H. pylori had borderline significance (P = 0.07), while GERD showed no significance.¦CONCLUSION: Age, smoking and BMI are potential factors associated with IMC, while H. pylori and GERD show no significant association. IMC can be predicted in theory by logistic regression analysis.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

L’objectif de cette étude était de démontrer que le léchage excessif de surface (LES) chez le chien représente un signe clinique d’un trouble digestif sous-jacent plutôt qu’un trouble obsessionnel compulsif. Vingt chiens présentés pour LES (groupe L) ont été divisés en 2 sous-groupes de 10 chiens chacun : L0, sans, et LD, avec des signes cliniques digestifs concomitants. Dix chiens en santé ont été assignés à un groupe contrôle (groupe C). Une évaluation comportementale complète, un examen physique et neurologique ont été réalisés avant un bilan diagnostic gastro-intestinal (GI) complet (hématologie, biochimie, analyse urinaire, mesure des acides biliaires pré et post-prandiaux et de l’immunoréactivité spécifique de la lipase pancréatique canine, flottaison fécale au sulfate de zinc, culture de selles, échographie abdominale et endoscopie GI haute avec prise de biopsies). En fonction des résultats, un interniste recommandait un traitement approprié. Les chiens étaient suivis pendant 90 jours durant lesquels le comportement de léchage était enregistré. Des troubles GI ont été identifiés chez 14/20 chiens du groupe L. Ces troubles GI sous-jacents incluaient une infiltration éosinophilique du tractus GI, une infiltration lymphoplasmocytaire du tractus GI, un retard de vidange gastrique, un syndrome du côlon irritable, une pancréatite chronique, un corps étranger gastrique et une giardiose. Une amélioration >50% en fréquence ou en durée par rapport au comportement de léchage initial a été observée chez une majorité de chiens (56%). La moitié des chiens ont complètement cessé le LES. En dehors du LES, il n’y avait pas de différence significative de comportement (p.ex. anxiété), entre les chiens L et les chiens C. Les troubles GI doivent être considérés dans le diagnostic différentiel du LES chez le chien.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Introduction : La chronicité de la rhinosinusite, sa résistance aux antibiotiques, et ses exacerbations aiguës laissent croire que les biofilms sont impliqués dans la rhinosinusite chronique. Objectifs : Nous avons évalué la capacité des bactéries Pseudomonas aeruginosa, staphylocoques à coagulase négative et Staphylococcus aureus à former des biofilms par un essai in vitro, et si cette capacité de formation a un lien avec l’évolution de la maladie. Nous avons évalué in vitro l’effet de la moxifloxacine, un antibiotique utilisé dans le traitement de la rhinosinusite chronique sur des biofilms matures de Staphylococcus aureus. Méthodes : Trent et une souches bactériennes ont été isolées de 19 patients atteints de rhinosinusite chronique et qui ont subit au moins une chirurgie endoscopique des sinus. L’évolution de la maladie a été notée comme "bonne" ou "mauvaise" selon l’évaluation du clinicien. La production de biofilm a été évaluée grâce à la coloration au crystal violet. Nous avons évalué la viabilité du biofilm après traitement avec la moxifloxacine. Ces résultats ont été confirmés en microscopie confocale à balayage laser et par la coloration au LIVE/DEAD BacLight. Résultat et Conclusion : Vingt deux des 31 souches ont produit un biofilm. La production d’un biofilm plus importante chez Pseudomonas aeruginosa et Staphylococcus aureus était associée à une mauvaise évolution. Ceci suggère un rôle du biofilm dans la pathogenèse de la rhinosinusite chronique. Le traitement avec la moxifloxacine, à une concentration de 1000X la concentration minimale inhibitrice réduit le nombre des bactéries viables de 2 à 2.5 log. Ces concentrations (100 µg/ml - 200 µg/ml) sont faciles à atteindre dans des solutions topiques. Les résultats de notre étude suggèrent que l’utilisation de concentrations supérieure à la concentration minimale inhibitrice sous forme topique peut ouvrir des voies de recherche sur de nouveaux traitements qui peuvent être bénéfiques pour les patients atteints de forme sévère de rhinosinusite chronique surtout après une chirurgie endoscopique des sinus.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

La prevalencia de coledocolitiasis es de un 10 a 20%. 10-20% tienen coledocolitiasis gigante, es decir presencia de cálculos mayores de 15 mm, aumentando la morbimortalidad por complicaciones. El objetivo principal fue determinar la frecuencia de coledocolitiasis gigante, la presencia de factores predictores del éxito o fracaso del manejo endoscópico. El éxito en el manejo endoscópico está entre 80 y 90%, un 20% requieren cirugía de exploración biliar. Se realizó la búsqueda de las variables utilizando el instrumento para la recolección de la información. Se realizó un análisis univariado y bivariado de las variables medidas y se utilizo STATA versión 10. Como principal resultado, se encontró que la frecuencia de coledocolitiasis gigante en nuestra población fue del 10%, el éxito del manejo endoscopio fue del 89.23% y el factor predictor mas fuerte para el éxito fue el diámetro del cálculo, siendo mayor para cálculos de menos de 19.09 mm. Como conclusión, en nuestro estudio, la frecuencia de coledocolitiasis gigante es cercana a la conocida en la literatura mundial. El manejo endoscópico en nuestro estudio es el pilar en estos casos, teniendo probabilidad de éxito en el manejo que es igual a la publicada en los estudios mundiales, que existe la probabilidad que el tamaño del cálculo mayor a 19 mm de diámetro indique mayor tasa de fracaso y requerimiento de técnicas endoscópicas avanzadas para su éxito. Se requieren estudios, con mayor número de pacientes para determinar la validez estadística de estos resultados.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

La hemorragia de vías digestivas altas (HVDA) es una emergencia frecuente. La etiología más común es la úlcera péptica. La restauración del volumen intravascular y la presión arterial son la prioridad del manejo. La endoscopia (EGD) debe realizarse luego de la reanimación inicial y lograda la estabilización hemodinámica, tratar la lesión subyacente mediante hemostasia. Se realiza un estudio en un hospital de referencia de tercer nivel, Cundinamarca, Colombia Materiales y métodos: Estudio descriptivo retrospectivo, datos obtenidos de la historia clínica electrónica de pacientes adultos que consultaron por urgencias en el Hospital Universitario de la Samaritana (HUS) por HVDA, diagnosticada por hematemesis, melenas, hematoquezia y/o anemia; a quienes se les realizó EGD durante abril del 2010 - abril del 2011. Resultados: Se atendieron 385 pacientes en el período de estudio, 100 fueron excluidos debido a hemorragia secundaria a várices esofágicas, historia incompleta y hemorragia digestiva baja, para un total de 285 pacientes analizados. El 69.1% eran mayores de 60 años. El 73.3% presentaba hipertensión arterial, el 55.1% reportaba ingesta de Anti-inflamatorios no esteroideos (AINES) y Aspirina (ASA). El 19.6% reportaba episodios de sangrado previos y 17.9% presentó inestabilidad hemodinámica. Sesenta y tres pacientes (22,1%) requirieron hemostasia endoscópica, treinta y dos (11.2%) presentaron resangrado. La mortalidad reportada fue del 13.1%, del cual 55.3% correspondía a hombres. Discusión: La mayoría de la población atendida en el HUS por HVDA son adultos mayores de 60 años. La úlcera péptica, continúa siendo el diagnóstico más frecuente asociado al uso de AINES y ASA.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Objetivo: Determinar las lesiones laríngeas post-intubación endotraqueal en la unidad de cuidado intensivo (UCI) y cirugía ambulatoria y evaluar su asociación con respecto al tiempo de intubación y otras variables clínico-demográficas en un hospital universitario. Materiales y métodos: Estudio de cohorte analítico incluyendo 60 pacientes (30 de UCI y 30 de cirugía ambulatoria) a quienes se les realizó nasofibrolaringoscopia a las 24 horas post-extubación y a las 3 semanas de control y se registran las lesiones laríngeas encontradas. Resultados: En la primera endoscopia el 70% de los pacientes de cirugía ambulatoria presentaban al menos una lesión laríngea con un promedio de duración de intubación de 0.12 días DS±0.05 desapareciendo todas las lesiones en la segunda endoscopia. En el análisis del grupo de UCI se encontraron lesiones en el 76.6% de los pacientes con un promedio de duración de intubación de 6.0 días DS±3.3. La presencia de edema en pacientes con intubación prolongada por más de 6 días mostró diferencias estadísticamente significativa con respecto al grupo con menos días de intubación (RR 3.048, 95% IC 0.9-9.3, P=0.03) al igual que con antecedente de EPOC (P=0.032) y APACHE II mayor de 17 (RR 1.8, 95% IC 1.114-3.0, P=0.013). EPOC tiene una diferencia estadísticamente significativa con hiperemia (P=0.02) y granuloma (P=0.019). En la segunda endoscopia se encontró mayor frecuencia de hiperemia en los pacientes con intubación prolongada (>6 días) con una diferencia estadísticamente significativa (P=0.01). Conclusión: La intubación prolongada se encuentra asociada a la aparición edema e hiperemia en la laringe. EPOC y puntaje superior de APACHE II se relacionan con hiperemia y granulomas glóticos.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Los defectos herniarios inguinales son una condición con alta prevalencia en nuestra población. En los últimos años la introducción de la cirugía laparoscopia para la corrección de esta patología ha tomado fuerza gradualmente. El propósito del presente trabajo es describir la experiencia en el uso de esta técnica quirúrgica en una institución hospitalaria. Materiales y métodos: estudio descriptivo de corte trasversal en el cual se revisaron las historias clínica de cada uno de los sujetos llevados a herniorrafia inguinal laparoscópica, donde se evaluaron las características pre y postoperatorias de los casos, así como las complicaciones derivadas del procedimiento. Resultados: Se evaluaron un total de 250 pacientes para un total de 334 Herniorrafias. El promedio de edad fue 58,3 años. La relación hombre mujer fue 3,7: 1. Del total de procedimientos 168 correspondieron a defectos bilaterales. 32 pacientes tenían antecedentes de herniorrafia previa. Se presentaron un total de tres complicaciones. El promedio general de tiempo quirúrgico fue de 69,3 minutos. El seguimiento post operatorio evidencio al dolor inguinal agudo como el principal proceso patológico derivado. El promedio de tiempo de incapacidad en total fue 8,3 días. Se encontró reproducción de la hernia comprobado por ecografía en 10 pacientes. No se produjo ninguna mortalidad en los pacientes del estudio. Conclusiones: La corrección laparoscopia se ha convertido en una alternativa segura y eficiente en el tratamiento definitivo de los defectos herniarios inguinales y debe ser tenida en cuenta en el momento de seleccionar la vía de acceso.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Introducción: La obstrucción intestinal es una patología de alta prevalencia e impacto en los servicios de cirugía general a nivel mundial. El manejo de esta entidad puede ser médico o quirúrgico. Cuando se requiere intervención quirúrgica, se busca evitar el desarrollo de isquemia intestinal y resecciones intestinales; durante el postoperatorio, pueden existir complicaciones. El objetivo de este estudio es identificar los factores asociados al desarrollo de complicaciones post operatorias en un grupo de pacientes con obstrucción intestinal mecánica llevados a manejo quirúrgico. Metodología: Estudio analítico tipo casos y controles en un grupo de pacientes con diagnóstico de obstrucción intestinal mecánica llevados a manejo quirúrgico de su patología. Los casos corresponden a los pacientes con complicaciones postoperatorias y los controles aquellos que no presentaron complicaciones. Se identificaron factores asociados a complicación post operatoria mediante modelos estadísticos bivariados y multivariados de regresión logística para factores como edad, sexo, antecedente quirúrgico, presentación clínica, paraclínica y diagnóstico postoperatorio de malignidad, entre otras. Resultados: Se identificaron un total de 138 pacientes (54 casos y 129 controles). Los rangos de edad entre 55-66 años y mayor de 66 años fueron asociados con complicaciones postoperatorias (OR 3,87 IC95% 1,58-9,50 y OR 3,62 IC95% 1,45-9,08 respectivamente). El déficit de base inferior a 5 mEq/litro se relaciona con complicaciones postoperatorias (OR 2,64 IC95% 1.33-5,25) Otras pruebas de laboratorio, características radiológicas, hallazgos de malignidad en el postoperatorio y la evolución de los pacientes no fueron asociados con complicaciones. Conclusiones: Las disminución de las complicaciones durante el manejo quirúrgico de obstrucción intestinal mecánica continúa siendo un reto para la cirugía general. Factores no modificables como edad avanzada y modificables como el equilibrio ácido base deben ser tenidos en cuenta dada su correlación en el desarrollo de complicaciones postoperatorias.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Determinar el efecto de la cirugía laparoscópica versus cirugía abierta sobre la supervivencia en el manejo de pacientes del cáncer colorectal.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

The aim of this study was to verify and describe the presence of microorganisms in the single-use trocar after its use in surgical procedures, and after this device was submitted to cleaning, conditioning, and sterilization by physicochemical processes (formaldehyde, ethylene oxide, and hydrogen peroxide plasma). Twenty-eight trocars of the Ethicon, Auto-suture, and Aesculap brands, were randomly selected and analyzed after laparoscopic cholecystectomy. The results have shown that cultures grown of the material collected from the trocars, immediately after its use and before its sterilization process, showed the presence of bacteria and fungi in 46.5% (13). In 53.5% (15) of the trocars, the presence of microorganisms was not detected, very likely due to niche`s scarcity. In the cultures grown of the 28 trocars after being submitted to sterilization processes, the presence of microorganisms was not verified. We can therefore conclude that although trocars possess compartments not easily accessed for cleaning, these devices can be adequately cleaned and effectively sterilized, when well manipulated, in the institution where the study was carried out by the processes of steam sterilization at low temperature and formaldehyde, ethylene oxide, and hydrogen peroxide plasma.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Summary. There is little recent data of the seroprevalence of hepatitis B in Australia. We have surveyed a large cohort of endoscopy patients attending a teaching hospital in central Sydney, and related the presence of hepatitis B virus (HBV) markers with putative risk factors for exposure using the SAS statistical package. Of the 2115 patients tested: 2.1% (45/2115) were HBV surface antigen positive, 0.75% (14/2115) viraemic, 9.5% (200/2115) anti-HBs and anti-HBc positive, 20.1% (430/2115) vaccinated (anti-HBs only) and the remaining 70% were susceptible. The adjusted OR of HBV infection was significantly increased in patients who had been diagnosed with human immunodeficiency virus (36.3-fold), born in Asia or Pacific islands (12.4-fold), born in North Africa, Middle East & Mediterranean countries (6-fold) or born abroad elsewhere in the world (2.7-fold), had household contact with someone diagnosed with hepatitis between 1980 and 1990 (3.9-fold), injected drugs between 1980 and 1990 (4.4-fold), resided in a military establishment for 3 months (2.3-fold) or in a hospital for 3 months (2.2-fold), never been vaccinated for hepatitis B (2.8-fold), received blood transfusion due to an accident and/or a haemorrhage (1.92-fold) and finally been a male gender (1.59-fold). The prevalence of HBV in this hospital population was higher than predicted on the basis of notifications to the passive surveillance scheme. Most HBV patients had multiple risk factors for infection, but the hierarchy of odds ratios provides a rational basis for targeted programmes to identify asymptomatic HBV carriers who might benefit from treatment.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Esse trabalho teve como objetivo principal salientar o potencial da drenagem nasobiliar (DNB) como uma forma não cirúrgica de acesso à bile, utilizando como modelo uma téc- nica de DNB no estudo bacteriológico da bile em pesquisa. Para tal, foram estudados 17 pacientes portadores de coledo- colitíase submetidos eletivamente à colangiopancreatografia endoscópica retrógrada na Unidade de Endoscopia do Hospital de Clínicas de Porto Alegre. Foram realizadas DNB por até três dias com coletas seriadas de bile no momento do exame e a cada 24 horas, visando analisar os germes mais prevalentes e o perfil evolutivo da microbiota bacteriana. Correlacionou- se infecção biliar(IB), definida como 105 unidades formadoras de colônias (UFC)/ml de bile, com dados clínico-laboratori- ais obtidos dos prontuários (idade, sexo, presença ou não de febre, icterícia, leucocitose, elevação de fosfatase alca- lina, divertículos justapapilares, uso de antibióticos e co- lecistectomia prévia). A única intercorrência foi desconfor- to na retrofaringe em 28% dos casos. Foram tomadas medidas preventivas visando reduzir a contaminação do sistema. As enterobacteriácias (Klebsiella e E. coli) foram os germes mais encontrados. Ocorreu crescimento bacteriano em 71% dos casos na primeira coleta, embora 30% tivessem IB. Houve al- teração da microbiota biliar em 58% dos casos da primeira para a segunda coleta e em 81% dos casos desta para a terceira. Enquanto IB foi identificada em 30% dos casos na primeira coleta, esta atingiu 50% na segunda, 90% na terceira e 100% na última coleta, embora todos os pacientes tivessem evoluído satisfatóriamente. O perfil bacteriano qualitativo também se alterou, havendo predominância de Klebsiella e E. coli na primeira coleta, acréscimo de Streptococcus faecalis na segunda e apenas Pseudomonas na última. A associação entre IB e os dados clínico-laboratoriais não foi estatisticamente significativa. Concluiu-se que as enterobacteriácias Gram - foram os germes mais prevalentes nos pacientes com coledocolitíase, sendo que o perfil bacteriológico foi significativamente alterado com a DNB, embora sem implicação no quadro clínico. Além disto, não houve associação entre os dados clínico-laboratoriais estudados e a presença de IB.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

A infecção por Helicobacter pylori (Hp) é uma das infecções bacterianas mais comuns em todo o mundo. As maiores prevalências da infecção foram encontradas nos países em desenvolvimento, onde, em geral são altas já na infância. O método diagnóstico considerado mais acurado para a infecção por Hp, em crianças, é o exame endoscópico com biópsias gástricas. Alguns autores referem que o único aspecto macroscópico que pode predizer a infecção é o da presença de nodosidades na mucosa gástrica. Este aspecto é denominado de gastrite endoscópica nodular. A especificidade da gastrite endoscópica nodular para a infecção por Hp, entretanto, recentemente foi questionada por outros autores. Realizamos um estudo transversal em uma amostra de crianças (um a 12 anos) com dor abdominal crônica, que preenchiam os critérios para a realização de endoscopia digestiva alta, no Hospital da Criança Conceição e no Hospital de Clínicas de Porto Alegre, de setembro de 1997 a setembro de 1999. O objetivo principal foi verificar a associação entre a infecção por Hp e a gastrite endoscópica nodular nessas crianças. A amostra foi constituída de 185 crianças de ambos os sexos, com baixa renda familiar, cujos pais apresentavam baixo nível de escolaridade. Foi realizado estudo histológico das lâminas de biópsia gástrica (no mínimo cinco fragmentos, corados com H-E ou Giemsa), conforme o Sistema Sydney modificado. A infecção por Hp foi caracterizada pela presença de Hp na lâminas de biópsias gástricas dos pacientes e a gastrite folicular, pela presença de folículos linfóides bem formados, em mucosa gástrica inflamada. A prevalência da infecção por Hp nas crianças com dor abdominal crônica foi de 27% (IC 95%: 20,8-34,0). Foi demonstrada uma associação muito forte entre a infecção por Hp e a gastrite endoscópica nodular nessas crianças (P<0,001; RP = 29,7). Houve um aumento da prevalência tanto da infecção por Hp como da gastrite endoscópica nodular com a idade dos pacientes. A gastrite endoscópica nodular , embora tenha demostrado uma baixa sensibilidade (44,0%), apresentou um valor preditivo positivo de 91,7% para a infecção por Hp. Tanto o teste de urease, como a gastrite endoscópica nodular mostraram-se muito específicas, 94,5% e 98,5%, respectivamente, para o diagnóstico da infecção. Quando se combinou o teste de urease com o aspecto de gastrite endoscópica nodular, encontrou-se, uma sensibilidade muito baixa (34,7%), mas uma especificidade de 100% para a infecção por Hp. A sensibilidade do teste de urease, isolado, para a infecção foi de 60,4% e o seu valor preditivo positivo de 80,5%. O aspecto endoscópico (gastrite endoscópica nodular) teve associação com o microscópico (gastrite folicular) (P<0,001). Houve uma forte e significativa associação entre a infecção por Hp e a gastrite crônica ativa ( P<0,001; RP = 10,8). O mesmo foi demonstrado entre a gastrite nodular e a gastrite crônica ativa (P<0,001; RP = 8,6). Também foi verificado um nítido aumento das razões de prevalência da gastrite crônica ativa e da gastrite endoscópica nodular, com a acentuação dos graus de densidade de Hp. Finalmente, foi demonstrada a importante correlação entre o grau de intensidade da gastrite, verificado no exame histológico, e a gastrite endoscópica nodular (r = 0,97; P<0,001). A prevalência da infecção por Hp encontrada em Porto Alegre, nas crianças, foi menor do que a de outras cidades brasileiras e similar àquela registrada em algumas cidades do primeiro mundo. A presença de nodosidade na mucosa gástrica foi a alteração, à endoscopia, mais freqüentemente verificada nas crianças com infecção por Hp. Considerando a baixa prevalência da infecção encontrada na nossa amostra, a presença de gastrite endoscópica nodular significa uma elevada probabilidade de infecção por Hp, dado o alto valor preditivo verificado. O achado negativo para a gastrite endoscópica nodular, entretanto, não exclui a possibilidade da presença de infecção por Hp. Uma maior colonização bacteriana da mucosa gástrica estaria associada ao aparecimento da gastrite endoscópica nodular, já que a sua prevalência aumentou com os graus de densidade de Hp, assim como ocorreu com a gastrite crônica ativa. E quando ocorre, nas crianças, há maior probabilidade de se tratar de uma gastrite mais ativa e mais intensa.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

There is substantial evidence that infection with Helicobacter pylori plays a role in the development of gastric cancer and that it is rarely found in gastric biopsy of atrophic gastritis and gastric cancer. On advanced gastric tumors, the bacteria can be lost from the stomach. Aims - To analyze the hypothesis that the prevalence of H.pylori in operated advanced gastric carcinomas and adjacent non-tumor tissues is high, comparing intestinal and diffuse tumors according to Lauren’s classifi cation. Methods - A prospective controlled study enrolled 56 patients from “Hospital Universitário”, Federal University of Rio Grande do Norte, Natal, RN, Brazil, with advanced gastric cancer, treated from February 2000 to March 2003. Immediately after partial gastrectomy, the resected stomach was opened and several mucosal biopsy samples were taken from the gastric tumor and from the adjacent mucosa within 4 cm distance from the tumor margin. Tissue sections were stained with hematoxylin and eosin. Lauren‘s classifi cation for gastric cancer was used, to analyse the prevalence of H. pylori in intestinal or diffuse carcinomas assessed by the urease rapid test, IgG by ELISA and Giemsa staining. H. pylori infected patients were treated with omeprazole, clarithromycin and amoxicillin for 7 days. Follow-up endoscopy and serology were performed 6 months after treatment to determine successful eradication of H. pylori in non-tumor tissue. Thereafter, follow-up endoscopies were scheduled annually. Chi-square and MacNemar tests with 0.05 signifi cance were used. Results - Thirty-four tumors (60.7%) were intestinal-type and 22 (39.3%) diffuse type carcinomas. In adjacent non-tumor gastric mucosa, chronic gastritis were found in 53 cases (94.6%) and atrophic mucosa in 36 patients (64.3%). All the patients with atrophic mucosa were H. pylori positive. When examined by Giemsa and urease test, H. pylori positive rate in tumor tissue of intestinal type carcinomas was higher than that in diffuse carcinomas. In tumor tissues, 34 (60.7%) H. pylori-positive in gastric carcinomas were detected by Giemsa method. H. pylori was observed in 30 of 56 cases (53.5%) in tissues 4 cm adjacent to tumors. This difference was not signifi cant. Eradication of H. pylori in non-tumor tissue of gastric remnant led to a complete negativity on the 12th postoperative month. Conclusions - The data confi rmed the hypothesis of a high prevalence of H. pylori in tumor tissue of gastric advanced carcinomas and in adjacent non-tumor mucosa of operated stomachs. The presence of H. pylori was predominant in the intestinal-type carcinoma