220 resultados para forebrain


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Adult rats emit 22 kHz ultrasonic alann calls in aversive situations. This type of call IS a component of defensive behaviour and it functions predominantly to warn conspecifics about predators. Production of these calls is dependent on the central cholinergic system. The laterodorsal tegmental nucleus (LDT) and pedunculopontine tegmental nucleus (PPT) contain largely cholinergic neurons, which create a continuous column in the brainstem. The LDT projects to structures in the forebrain, and it has been implicated in the initiation of 22 kHz alarm calls. It was hypothesized that release of acetylcholine from the ascending LDT terminals in mesencephalic and diencephalic areas initiates 22 kHz alarm vocalization. Therefore, the tegmental cholinergic neurons should be more active during emission of alarm calls. The aim of this study was to demonstrate increased activity of LDT cholinergic neurons during emission of 22 kHz calls induced by air puff stimuli. Immunohistochemical staining of the enzyme choline acetyltransferase identified cell bodies of cholinergic neurons, and c-Fos immunolabeling identified active cells. Double labeled cells were regarded as active cholinergic cells. There were significantly more (p

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Ultrasonic vocalization plays an important role in intraspecies communication for rats. It has been well demonstrated that rats will emit 22kHz vocalization in stressfiil or threatening situations. Although the neural mechanism underlying vocahzation is not well understood, it is known that chohnergic input to the basal forebrain induces such alarm calls. A number of experiments have found that intracerebral injection of carbachol, a predominantly muscarinic agonist, into die anterior hypothalamic/preoptic area (AH/POA) rehably induces vocalization similar to naturally emitted ultrasonic calls. It has also been shown that carbachol has extensive inhibitory effects on neuronal firing in the same area. This result impUes that the inhibitory effects of carbachol in the AH/POA could trigger vocahzation, and that the GABAergic system could be involved. The purpose of this study is to investigate the effects ofGABA agonists and antagonists on flie production of carbachol induced 22kHz vocalization. The following hypotheses were examined: 1) apphcation ofGABA (a naturally occurring inhibitory neurotransmitter) will have a synergistic effect with carbachol, increasing vocalization; and 2) tiie apphcation ofGABA antagonists (picrotoxin or bicuculline) will reduce caibachol-induced vocalization. A total of sixty rats were implanted with stainless steel guide cannulae in the AH/POA area. After recovery, animals were locally pretreated with 1) GABA (l-40ng), 2) picrotoxin (1 .5^g) or bicuculhne (0.03ng), or 3) sahne; before injection with carbachol (1 .5^g). The resulting vocalization was measured and quantitated. The results indicate that pretreatment with GABA or GABA antagonists had no significant effect on vocalization. Local pretreatment with GABA did not potentiate the vocal response as measured by its duration, latraicy, and total number of calls. Similarly, pretreatment with picrotoxin or bicuculline had no effects on the same measures of vocalization. The results suggest tfiat chohnoceptive neurons involved in the production of alarm calls are not under direct GABAergic control.

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Introduction: Chez les mammifères, la naissance de nouveaux neurones se poursuit à l’âge adulte dans deux régions du cerveau: 1) l’hippocampe et 2) la zone sous-ventriculaire du prosencéphale. La neurogenèse adulte n’est pas un processus stable et peut être affectée par divers facteurs tels que l’âge et la maladie. De plus, les modifications de la neurogenèse peuvent être à l’origine des maladies de sorte que la régulation ainsi que le rétablissement de la neurogenèse adulte doivent être considérés comme d’importants objectifs thérapeutiques. Chez la souris saine ou malade, la neurogenèse hippocampale peut être fortement régulée par l’enrichissement environnemental ainsi que par l’activité physique. Cependant, lors même que l’activité physique et l’enrichissement environnemental pourraient contribuer au traitement de certaines maladies, très peu d’études porte sur les mécanismes moléculaires et physiologiques responsables des changements qui sont en lien avec ces stimuli. Objectifs et hypothèses: Les principaux objectifs de cette étude sont de caractériser les effets de stimuli externes sur la neurogenèse et, par le fait même, d’élucider les mécanismes sous-jacents aux changements observés. En utilisant le modèle d’activité physique volontaire sur roue, cette étude teste les deux hypothèses suivantes: tout d’abord 1) qu’une période prolongée d’activité physique peut influencer la neurogenèse adulte dans le prosencéphale et l’hippocampe, et 2) que l’activité volontaire sur roue peut favoriser la neurogenèse à travers des stimuli dépendants ou indépendants de la course. Méthodes: Afin de valider la première hypothèse, nous avons utilisé un paradigme incluant une activité physique volontaire prolongée sur une durée de six semaines, ainsi que des analyses immunohistochimiques permettant de caractériser l’activité de précurseurs neuronaux dans la zone sous-ventriculaire et l’hippocampe. Ensuite, pour valider la seconde hypothèse, nous avons utlisé une version modifiée du paradigme ci-dessous, en plaçant les animaux (souris) soit dans des cages traditionnelles, soit dans des cages munies d’une roue bloquée soit dans des cages munies d’une roue fonctionnelle. Résultats: En accord avec la première hypothèse, l’activité physique prolongée volontaire a augmenté la prolifération des précurseurs neuronaux ainsi que la neurogenèse dans le gyrus dentelé de l’hippocampe comparativement aux animaux témoins, confirmant les résultats d’études antérieures. Par ailleurs, dans ce paradigme, nous avons aussi observé de la prolifération acrue au sein de la zone sous-ventriculaire du prosencéphale. De plus, en accord avec la seconde hypothèse, les souris placées dans une cage à roue bloquée ont montré une augmentation de la prolifération des précurseurs neuronaux dans l’hippocampe comparable à celle observée chez les souris ayant accès à une roue fonctionnelle (coureurs). Cependant, seuls les animaux coureurs ont présenté une augmentation de la neurogenèse hippocampale. Conclusions: Ces résultats nous ont permis de tirer deux conclusions nouvelles concernant les effets de l’activité physique (course) sur la neurogenèse. Premièrement, en plus de la prolifération et de la neurogenèse dans le gyrus dentelé de l’hippocampe, la prolifération dans la zone sous-ventriculaire du prosencéphale peut être augmentée par l’activité physique sur roue. Deuxièmement, l’environnement dans lequel l’activité physique a lieu contient différents stimuli qui peuvent influencer certains aspects de la neurogenèse hippocampale en l’absence d’activité physique sur roue (course).

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La neurogenèse persiste à l’âge adulte dans deux régions du système nerveux central (SNC) des mammifères : la zone sous-ventriculaire (SVZ) du cerveau antérieur et la zone sous-granulaire (SGZ) de l’hippocampe. Cette neurogenèse est possible grâce à la capacité de prolifération des cellules souches présentes dans les niches de la SVZ et la SGZ, mais en vieillissant, le cerveau subit une diminution dramatique du nombre de cellules souches neurales adultes (CSNa), une diminution de la prolifération cellulaire et une altération des niches de neurogenèse. Cependant, une importante question reste sans réponse : comment la perte tardive des CSNa est temporellement reliée aux changements de l’activité de prolifération et de la structure de la principale niche de neurogenèse (la SVZ)? Afin d’avoir un aperçu sur les événements initiaux, nous avons examiné les changements des CSNa et de leur niche dans la SVZ entre le jeune âge et l’âge moyen. La niche de la SVZ des souris d’âge moyen (12 mois) subit une réduction de l’expression des marqueurs de plusieurs sous-populations de précurseurs neuraux en comparaison avec les souris jeunes adultes (2 mois). Anatomiquement, cela est associé avec des anomalies cytologiques, incluant une atrophie générale de la SVZ, une perte de la couche de cellules sousépendymaires par endroit et l’accumulation de gouttelettes lipidiques de grande taille dans l’épendyme. Fonctionnellement, ces changements sont corrélés avec une diminution de l’activité de la SVZ et une réduction du nombre de nouveaux neurones arrivant aux bulbes olfactifs. Pour déterminer si les CSNa de la SVZ ont subi des changements visibles, nous avons évalué les paramètres clés des CSNa in vivo et in vitro. La culture cellulaire montre qu’un nombre équivalent de CSNa ayant la capacité de former des neurosphères peut être isolé du cerveau du jeune adulte et d’âge moyen. Cependant, à l’âge moyen, les précurseurs neuraux semblent moins sensibles aux facteurs de croissance durant leur différenciation in vitro. Les CSNa donnent des signes de latence in vivo puisque leur capacité d’incorporation et de rétention du BrdU diminue. Ensemble, ces données démontrent que, tôt dans le processus du vieillissement, les CSNa et leur niche dans la SVZ subissent des changements significatifs, et suggèrent que la perte de CSNa liée au vieillissement est secondaire à ces événements.

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L’habenula, un noyau épithalamique, est située au centre de la voie dorsale diencéphalique. Cette voie relie les structures limbiques et les ganglions de la base aux cellules monoaminergiques du mésencéphale. En particulier, l’habenula latérale (HbL) projette directement aux cellules dopaminergiques et GABAergiques de l’aire tegmentale ventrale (ATV). L’ATV est le site d’origine de la voie mésolimbique dopaminergique, une voie impliquée de façon cruciale dans la manifestation des comportements dirigés. L’importance de cette projection habenulaire pour le comportement demeure encore méconnue. Ainsi, l’objectif de cette étude est d’approfondir notre compréhension du rôle de régulation de l’HbL sur les comportements dépendants de la neurotransmission dopaminergique. MATÉRIEL ET MÉTHODES: Des rats adultes mâles Sprague-Dawley ont été anesthésiés avec de l’isofluorane et installés sur un appareil stéréotaxique. L’acide iboténique, une neurotoxine agoniste des récepteurs glutamatergiques, était infusée bilatéralement dans l’HbL (0,25 μg/0,25 μl/côté). Les rats du groupe contrôle recevaient des infusions NaCl 0,9%. Les rats de l’expérience d’autostimulation intracérébrale (ASIC) étaient aussi implantés d’une électrode monopolaire dans le mésencéphale postérieur. Un groupe de rats était testé pour leur réponse de locomotion à l’amphétamine (0; 0,5 ou 1 mg/kg, intrapéritonéal), dix jours suivant la lésion de l’HbL. La locomotion était mesurée dans des chambres d’activité, chacune équipée de deux faisceaux parallèles infrarouges. Le jour du test, les rats étaient pesés et placés dans la chambre d’activité puis leur activité locomotrice de base était mesurée pendant une heure. Les rats recevaient ensuite une dose d’amphétamine ou le véhicule (NaCl 0,9%) par voie intrapéritonéale et l’activité locomotrice était mesurée pendant deux heures supplémentaires. Un groupe de rats distinct a été utilisé dans l’expérience d’ASIC. Commençant sept jours suivant la lésion, les rats étaient entraînés à appuyer sur un levier afin de s’autoadministrer des stimulations électriques, au cours de sessions quotidiennes. Nous avons ensuite mesuré chacun des taux de réponses d’une série de stimulations aux fréquences décroissantes. À partir d’une courbe réponses-fréquences, le seuil de récompense était inféré par la fréquence de la stimulation nécessaire pour produire une réponse semi-maximale. Les seuils de récompense étaient stabilisés à un niveau similaire pour l’ensemble des rats. Enfin, l’effet sur la récompense de l’amphétamine était testé aux mêmes doses employées pour l’expérience de locomotion. RÉSULTATS: Une lésion neurotoxique de l’HbL n’a pas altéré les niveaux de base de l’activité locomotrice dans chaque groupe. Cependant, une telle lésion a potentialisé l’effet de locomotion de l’amphétamine (1 mg/kg) pendant la première heure suivant son administration, et une tendance similaire était observable pendant la seconde heure. À l’inverse, nous n’avons observé aucune interaction entre une lésion à l’HbL et l’effet amplificateur sur la récompense de l’amphétamine. CONCLUSION: Nos résultats révèlent une importante contribution fonctionnelle de l’HbL à la locomotion induite par l’activation de la voie mésolimbique dopaminergique avec une dose de 1 mg/kg d’amphétamine. À l’opposé, aucun effet sur la récompense n’a été observé. Ces résultats suggèrent que l’activation psychomotrice et l’amplifiation de la récompense produite par l’amphétamine dépendent de substrats dissociables, chacun étant différentiellement sensible à la modulation provenant de l’HbL.

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Les cortices sensoriels sont des régions cérébrales essentielles pour la perception. En particulier, le cortex visuel traite l’information visuelle en provenance de la rétine qui transite par le thalamus. Les neurones sont les unités fonctionnelles qui transforment l'information sensorielle en signaux électriques, la transfèrent vers le cortex et l'intègrent. Les neurones du cortex visuel sont spécialisés et analysent différents aspects des stimuli visuels. La force des connections entre les neurones peut être modulée par la persistance de l'activité pré-synaptique et induit une augmentation ou une diminution du signal post-synaptique à long terme. Ces modifications de la connectivité synaptique peuvent induire la réorganisation de la carte corticale, c’est à dire la représentation de ce stimulus et la puissance de son traitement cortical. Cette réorganisation est connue sous le nom de plasticité corticale. Elle est particulièrement active durant la période de développement, mais elle s’observe aussi chez l’adulte, par exemple durant l’apprentissage. Le neurotransmetteur acétylcholine (ACh) est impliqué dans de nombreuses fonctions cognitives telles que l’apprentissage ou l’attention et il est important pour la plasticité corticale. En particulier, les récepteurs nicotiniques et muscariniques du sous-type M1 et M2 sont les récepteurs cholinergiques impliqués dans l’induction de la plasticité corticale. L’objectif principal de la présente thèse est de déterminer les mécanismes de plasticité corticale induits par la stimulation du système cholinergique au niveau du télencéphale basal et de définir les effets sur l’amélioration de la perception sensorielle. Afin d’induire la plasticité corticale, j’ai jumelé des stimulations visuelles à des injections intracorticales d’agoniste cholinergique (carbachol) ou à une stimulation du télencéphale basal (neurones cholinergiques qui innervent le cortex visuel primaire). J'ai analysé les potentiels évoqués visuels (PEVs) dans le cortex visuel primaire des rats pendant 4 à 8 heures après le couplage. Afin de préciser l’action de l’ACh sur l’activité des PEVs dans V1, j’ai injecté individuellement l’antagoniste des récepteurs muscariniques, nicotiniques, α7 ou NMDA avant l’infusion de carbachol. La stimulation du système cholinergique jumelée avec une stimulation visuelle augmente l’amplitude des PEVs durant plus de 8h. Le blocage des récepteurs muscarinique, nicotinique et NMDA abolit complètement cette amélioration, tandis que l’inhibition des récepteurs α7 a induit une augmentation instantanée des PEVs. Ces résultats suggèrent que l'ACh facilite à long terme la réponse aux stimuli visuels et que cette facilitation implique les récepteurs nicotiniques, muscariniques et une interaction avec les récepteur NMDA dans le cortex visuel. Ces mécanismes sont semblables à la potentiation à long-terme, évènement physiologique lié à l’apprentissage. L’étape suivante était d’évaluer si l’effet de l’amplification cholinergique de l’entrée de l’information visuelle résultait non seulement en une modification de l’activité corticale mais aussi de la perception visuelle. J’ai donc mesuré l’amélioration de l’acuité visuelle de rats adultes éveillés exposés durant 10 minutes par jour pendant deux semaines à un stimulus visuel de type «réseau sinusoïdal» couplé à une stimulation électrique du télencéphale basal. L’acuité visuelle a été mesurée avant et après le couplage des stimulations visuelle et cholinergique à l’aide d’une tâche de discrimination visuelle. L’acuité visuelle du rat pour le stimulus d’entrainement a été augmentée après la période d’entrainement. L’augmentation de l’acuité visuelle n’a pas été observée lorsque la stimulation visuelle seule ou celle du télencéphale basal seul, ni lorsque les fibres cholinergiques ont été lésées avant la stimulation visuelle. Une augmentation à long terme de la réactivité corticale du cortex visuel primaire des neurones pyramidaux et des interneurones GABAergiques a été montrée par l’immunoréactivité au c-Fos. Ainsi, lorsque couplé à un entrainement visuel, le système cholinergique améliore les performances visuelles pour l’orientation et ce probablement par l’optimisation du processus d’attention et de plasticité corticale dans l’aire V1. Afin d’étudier les mécanismes pharmacologiques impliqués dans l’amélioration de la perception visuelle, j’ai comparé les PEVs avant et après le couplage de la stimulation visuelle/cholinergique en présence d’agonistes/antagonistes sélectifs. Les injections intracorticales des différents agents pharmacologiques pendant le couplage ont montré que les récepteurs nicotiniques et M1 muscariniques amplifient la réponse corticale tandis que les récepteurs M2 muscariniques inhibent les neurones GABAergiques induisant un effet excitateur. L’infusion d’antagoniste du GABA corrobore l’hypothèse que le système inhibiteur est essentiel pour induire la plasticité corticale. Ces résultats démontrent que l’entrainement visuel jumelé avec la stimulation cholinergique améliore la plasticité corticale et qu’elle est contrôlée par les récepteurs nicotinique et muscariniques M1 et M2. Mes résultats suggèrent que le système cholinergique est un système neuromodulateur qui peut améliorer la perception sensorielle lors d’un apprentissage perceptuel. Les mécanismes d’amélioration perceptuelle induits par l’acétylcholine sont liés aux processus d’attention, de potentialisation à long-terme et de modulation de la balance d’influx excitateur/inhibiteur. En particulier, le couplage de l’activité cholinergique avec une stimulation visuelle augmente le ratio de signal / bruit et ainsi la détection de cibles. L’augmentation de la concentration cholinergique corticale potentialise l’afférence thalamocorticale, ce qui facilite le traitement d’un nouveau stimulus et diminue la signalisation cortico-corticale minimisant ainsi la modulation latérale. Ceci est contrôlé par différents sous-types de récepteurs cholinergiques situés sur les neurones GABAergiques ou glutamatergiques des différentes couches corticales. La présente thèse montre qu’une stimulation électrique dans le télencéphale basal a un effet similaire à l’infusion d’agoniste cholinergique et qu’un couplage de stimulations visuelle et cholinergique induit la plasticité corticale. Ce jumelage répété de stimulations visuelle/cholinergique augmente la capacité de discrimination visuelle et améliore la perception. Cette amélioration est corrélée à une amplification de l’activité neuronale démontrée par immunocytochimie du c-Fos. L’immunocytochimie montre aussi une différence entre l’activité des neurones glutamatergiques et GABAergiques dans les différentes couches corticales. L’injection pharmacologique pendant la stimulation visuelle/cholinergique suggère que les récepteurs nicotiniques, muscariniques M1 peuvent amplifier la réponse excitatrice tandis que les récepteurs M2 contrôlent l’activation GABAergique. Ainsi, le système cholinergique activé au cours du processus visuel induit des mécanismes de plasticité corticale et peut ainsi améliorer la capacité perceptive. De meilleures connaissances sur ces actions ouvrent la possibilité d’accélérer la restauration des fonctions visuelles lors d’un déficit ou d’amplifier la fonction cognitive.

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Les mutations du gène CACNA1A, encodant la sous-unité α du canal calcique voltage-dépendant CaV2.1, causent l’ataxie épisodique de type 2 (EA2) chez l’humain. Nous avons investigué une cohorte de 16 patients de quatre familles canadiennes-françaises porteurs de mutations induisant une perte de fonction du gène CACNA1A. Outre une ataxie épisodique et un risque élevé d’épilepsie, la majorité de ces patients présentait des symptômes neurocognitifs incluant de l’inattention, des troubles d’apprentissage et une rigidité cognitive. Nous avons récemment démontré qu’une délétion sélective de Cacna1a dans les interneurones (INs) GABAergiques corticaux induit une dysfonction synaptique des IN exprimant la parvalbumine (PV) et suffit à induire une épilepsie généralisée. Cependant, les mécanismes sous-tendant l’atteinte cognitive associée aux délétions du gène CACNA1A sont inconnus. Nous postulons que la perte sélective d’inhibition périsomatique corticale résultant de la dysfonction synaptique des IN PV contribue aux déficits cognitifs associés aux délétions de Cacna1a. Afin d’investiguer cette hypothèse, nous avons généré une lignée de souris mutantes portant une délétion hétérozygote conditionnelle de Cacna1a restreinte aux populations neuronales exprimant la PV (PVcre; Cacna1ac/+). En couplant optogénétique et électrophysiologie, nous avons démontré que cette mutation affecte significativement l’inhibition des cellules pyramidales du cortex orbitofrontal par les IN PV. Nous avons de plus démontré que les mutants PVcre; Cacna1ac/+ présentent des troubles d’impulsivité et de rigidité cognitive dans différents paradigmes comportementaux. En conclusion, nos travaux suggèrent qu’une haploinsuffisance de Cacna1a engendre des déficits cognitifs et comportementaux en partie imputables à une dysfonction de l’inhibition périsomatique au niveau des circuits orbitofrontaux.

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Dentro del estudio de la expresión de diferentes genes, el teleósteo Danio rerio (Pez cebra) ha sido modelo de estudio del desarrollo de los vertebrados. Esta especie es ventajosa para este fin por diferentes razones, entre- ellas están la producción de grandes camadas durante todo el año, son fácilmente mantenidos, sus embriones son transparentes y se desarrollan fuera de la madre, tienen un desarrollo rápido, ya que en las 24 horas post -fecundación ya están formados la mayor parte de tejidos y primordios de los órganos, se pueden generar mutantes que se pueden propagar y estudiar muy fácilmente. Este trabajo pretende mostrar la relación entre la expresión temprana del Factor de Crecimiento Fibroblástico tipo 8 (FGF8) y el desarrollo del Sistema Nervioso Central de esta especie.

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Background Riluzole is a neuroprotective drug used in the treatment of motor neurone disease. Recent evidence suggests that riluzole can up-regulate the expression and activity of the astrocyte glutamate transporter, GLT-1. Given that regulation of glutamate transport is predicted to be neuroprotective in Parkinson's disease, we tested the effect of riluzole in parkinsonian rats which had received a unilateral 6-hydroxydopamine injection into the median forebrain bundle. Results Rats were treated with intraperitoneal riluzole (4 mg/kg or 8 mg/kg), 1 hour before the lesion then once daily for seven days. Riluzole produced a modest but significant attenuation of dopamine neurone degeneration, assessed by suppression of amphetamine-induced rotations, preservation of tyrosine hydroxylase positive neuronal cell bodies in the substantia nigra pars compacta and attenuation of striatal tyrosine hydroxylase protein loss. Seven days after 6-hydroxydopamine lesion, reactive astrocytosis was observed in the striatum, as determined by increases in expression of glial fibrillary acidic protein, however the glutamate transporter, GLT-1, which is also expressed in astrocytes was not regulated by the lesion. Conclusions The results confirm that riluzole is a neuroprotective agent in a rodent model of parkinson’s disease. Riluzole administration did not regulate GLT-1 levels but significantly reduced GFAP levels, in the lesioned striatum. Riluzole suppression of reactive astrocytosis is an intriguing finding which might contribute to the neuroprotective effects of this drug.

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In the rodent forebrain GABAergic neurons are generated from progenitor cells that express the transcription factors Dlx1 and Dlx2. The Rap-1 guanine nucleotide exchange factor, MR-GEF, is turned on by many of these developing GABAergic neurons. Expression of both Dlx1/2 and MR-GEF is retained in both adult mouse and human forebrain where, in human, decreased Dlx1 expression has been associated with psychosis. Using in situ hybridization studies we show that MR-GEF expression is significantly down-regulated in the forebrain of Dlx1/2 double mutant mice suggesting that MR-GEF and Dlx1/2 form part of a common signalling pathway during GABAergic neuronal development. We therefore compared MR-GEF expression by in situ hybridization in individuals with major psychiatric disorders (schizophrenia, bipolar disorder, major depression) and control individuals. We observed a significant positive correlation between layers II and IV of the dorso-lateral prefrontal cortex (DLPFC) in the percentage of MR-GEF expressing neurons in individuals with bipolar disorder, but not in individuals with schizophrenia, major depressive disorder or in controls. Since MR-GEF encodes a Rap1 GEF able to activate G-protein signalling, we suggest that changes in MR-GEF expression could potentially influence neurotransmission.

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The hippocampus plays a pivotal role in the formation and consolidation of episodic memories, and in spatial orientation. Historically, the adult hippocampus has been viewed as a very static anatomical region of the mammalian brain. However, recent findings have demonstrated that the dentate gyrus of the hippocampus is an area of tremendous plasticity in adults, involving not only modifications of existing neuronal circuits, but also adult neurogenesis. This plasticity is regulated by complex transcriptional networks, in which the transcription factor NF-κB plays a prominent role. To study and manipulate adult neurogenesis, a transgenic mouse model for forebrain-specific neuronal inhibition of NF-κB activity can be used. In this study, methods are described for the analysis of NF-κB-dependent neurogenesis, including its structural aspects, neuronal apoptosis and progenitor proliferation, and cognitive significance, which was specifically assessed via a dentate gyrus (DG)-dependent behavioral test, the spatial pattern separation-Barnes maze (SPS-BM). The SPS-BM protocol could be simply adapted for use with other transgenic animal models designed to assess the influence of particular genes on adult hippocampal neurogenesis. Furthermore, SPS-BM could be used in other experimental settings aimed at investigating and manipulating DG-dependent learning, for example, using pharmacological agents.

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In spite of numerous, substantial advances in equine reproduction, many stages of embryonic and fetal morphological development are poorly understood, with no apparent single source of comprehensive information. Hence, the objective of the present study was to provide a complete macroscopic and microscopic description of the equine embryo/fetus at various gestational ages. Thirty-four embryos/fetuses were aged based on their crown rump length (CRL), and submitted to macroscopic description, biometry, light and scanning microscopy, as well as the alizarin technique. All observed developmental changes were chronologically ordered and described. As examples of the main observed features, an accentuated cervical curvature was observed upon macroscopic examination in all specimens. In the nervous system, the encephalic fourth ventricle and the encephalic vesicles forebrain, midbrain, and hindbrain, were visualized from Day 19 (ovulation = Day 0). The thoracic and pelvic limbs were also visualized; their extremities gave rise to the hoof during development from Day 27. Development of other structures such as pigmented optical vesicle, liver, tail, cardiac area, lungs, and dermal vascularization started on Days 25, 25, 19, 19, 34, and 35, respectively. Light and scanning microscopy facilitated detailed examinations of several organs, e.g., heart, kidneys, lungs, and intestine, whereas the alizarin technique enabled visualization of ossification. Observations in this study contributed to the knowledge regarding equine embryogenesis, and included much detailed data from many specimens collected over a long developmental interval. (C) 2011 Elsevier Inc. All rights reserved.

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Rats with unilateral lesion of the substantia nigra pars compacta (SNpc) have been used as a model of Parkinson`s disease. Depending on the lesion protocol and on the drug challenge, these rats rotate in opposite directions. The aim of the present study was to propose a model to explain how critical factors determine the direction of these turns. Unilateral lesion of the SNpc was induced with 6-hydroxydopamine (6-OHDA) or 1-methyl-4-phenyl-1,2,3,6-tetrahydropyridine (MPTP). Separate analysis showed that neither the type of neurotoxin nor the site of lesion along the nigrostriatal. pathway was able to predict the direction of the turns these rats made after they were challenged with apomorphine. However, the combination of these two factors determined the magnitude of the lesion estimated by tyrosine-hydroxylase immunohistochemistry and HPLC-ED measurement of striatal dopamine. Very small lesions did Dot cause turns, medium-size lesions caused ipsiversive turns, and large lesions caused contraversive turns. Large-size SNpc lesions resulted in an increased binding of [H-3] raclopride to D2 receptors, while medium-size lesions reduced the binding of [H-3]SCH-23390 D1 receptors in the ipsilateral striatum. These results are coherent with the model proposing that after challenged with a dopamine receptor agonist, unilaterally SNpc-lesioned rats rotate toward the side with the weaker activation of dopamine receptors. This activation is weaker on the lesioned side in animals with small SNpc lesions due to the loss of dopamine, but stronger in animals with large lesions due to dopamine receptor supersensitivity. (C) 2008 Elsevier B.V. All rights reserved.

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The lateral hypothalamic area (LHA) participates in the integration of sensory information and somatomotor responses associated with hunger and thirst. Although the LHA is neurochemically heterogeneous, a particularly high number of cells express melanin-concentrating hormone (MCH), which has been reported to play a role in energy homeostasis. Treatment with MCH increases food intake, and MCH mRNA is overexpressed in leptin-deficient (ob/ob) mice. Mice lacking both MCH and leptin present reduced body fat, mainly due to increased resting energy expenditure and locomotor activity. Dense MCH innervation of the cerebral motor cortex (MCx) and the pedunculopontine tegmental nucleus (PPT), both related to motor function, has been reported. Therefore, we postulated that a specific group of MCH neurons project to these areas. To investigate our hypothesis, we injected retrograde tracers into the MCx and the PPT of rats, combined with immunohistochemistry. We found that 25% of the LHA neurons projecting to the PPT were immunoreactive for MCH, and that 75% of the LHA neurons projecting to the MCx also contained MCH. Few MCH neurons were found to send collaterals to both areas. We also found that 15% of the incerto-hypothalamic neurons projecting to the PPT expressed MCH immunoreactivity. Those neurons preferentially innervated the rostral PPT. In addition, we observed that the MCH neurons express glutamic acid decarboxylase mRNA, a gamma-aminobutyric acid (GABA) synthesizing enzyme. We postulate that MCH/GABA neurons are involved in the inhibitory modulation of the innervated areas, decreasing motor activity in states of negative energy balance. (C) 2007 Published by Elsevier B.V.

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Pilocarpine (cholinergic muscarinic agonist) injected peripherally may act centrally to produce pressor responses; in the present study, using c-fos immunoreactive expression, we investigated the forebrain and brainstem areas activated by pressor doses of intravenous (i.v.) pilocarpine. In addition, the importance of vasopressin secretion and/or sympathetic activation and the effects of lesions in the anteroventral third ventricle (AV3V) region in awake rats were also investigated. In male Holtzman rats, pilocarpine (0.04 to 4 mu mol/kg b.w.) i.v. induced transitory hypotension followed by long lasting hypertension. Sympathetic blockade with prazosin (1 mg/kg b.w.) i.v. or AV3V lesions (1 day) almost abolished the pressor response to i. v. pilocarpine (2 mu mol/kg b.w.), whereas the vasopressin antagonist (10 mu g/kg b.w.) i.v. reduced the response to pilocarpine. Pilocarpine (2 and 4 mu mol/kg b.w.) i.v. increased the number of c-fos immunoreactive cells in the subfornical organ, paraventricular and supraoptic nuclei of the hypothalamus, organ vasculosum of the lamina terminalis, median preoptic nucleus, nucleus of the solitary tract and caudal and rostral ventrolateral medulla. These data suggest that i.v. pilocarpine activates specific forebrain and brainstem mechanisms increasing sympathetic activity and vasopressin secretion to induce pressor response. (C) 2011 Elsevier B.V. All rights reserved.