3 resultados para Gender and Science Education

em Université de Lausanne, Switzerland


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L'objectif de cette étude est de vérifier la validité interne de la version française du questionnaire d'impulsivité d'Eysenck (I7), traduite par Dupont et al., sur un échantillon d'étudiants suisses (n = 220). Dans leur questionnaire, Eysenck et Eysenck proposent trois échelles : les deux premières évaluant deux composantes distinctes de l'impulsivité (l'Impulsivité caractérisant les individus qui agissent sans penser, sans être conscients des risques associés à leurs actions, et la Recherche d'aventure caractérisant les individus qui agissent en étant conscients, et en tenant compte des risques associés à leurs actions), et la troisième servant de « distracteur » (l'Empathie caractérisant les individus qui ont la faculté de s'identifier à l'autre). La structure à trois facteurs de l'instrument a été confirmée par notre analyse factorielle en composantes principales. La solution factorielle retenue n'explique toutefois qu'une faible proportion de la variance (21.9 %). L'homogénéité interne des échelles, mesurée à l'aide d'alphas de Cronbach, est acceptable pour l'échelle d'Impulsivité (.78) et de Recherche d'aventure (.71), mais elle est, en revanche, faible pour l'échelle d'Empathie (.62). Les échelles de l'I7 d'Eysenck entretiennent des corrélations cohérentes avec les cinq grandes dimensions de la personnalité mesurées par le NEO PI-R. L'Impulsivité est associée négativement à la dimension Conscience (r = - .32), alors que la Recherche d'aventures est associée positivement à la dimension Extraversion (r = .33). Le sexe a un impact sur les échelles Recherche d'aventure et Empathie. Les qualités métrologiques de la version française du questionnaire d'impulsivité d'Eysenck (I7) sont satisfaisantes, mais l'estimation d'autres indices de validité, comme la fidélité test-retest et la validité convergente, devrait être réalisée.

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Weight gain is often associated with smoking cessation and may discourage smokers from quitting. This study estimated the weight gained one year after smoking cessation and examined the risk factors associated with weight gain in order to identify socio-demographic groups at higher risk of increased weight after quitting. We analyzed data from 750 adults in two randomized controlled studies that included smokers motivated to quit and found a gradient in weight gain according to the actual duration of abstinence during follow-up. Subjects who were abstinent for at least 40 weeks gained 4.6 kg (SD = 3.8) on average, compared to 1.2 kg (SD = 2.6) for those who were abstinent less than 20 weeks during the 1-year follow-up. Considering the duration of abstinence as an exposure variable, we found an age effect and a significant interaction between sex and the amount of smoking before quitting: younger subjects gained more weight than older subjects; among light smokers, men gained more weight on average than women one year after quitting, while the opposite was observed among heavy smokers. Young women smoking heavily at baseline had the highest risk of weight gain after quitting.