The Maori social science academy and evidence-based policy

This paper focuses on recent moves to forge stronger linkages between the Māori social science academy and the policy industry. A critical appraisal of this development is offered, with particular attention given to the desirability of enhancing the academy’s role in the policy process, given the policy industry’s continued privileging of Eurocentric theory and research methodologies within the developing evidence-based environment. The paper ends with a discussion of the possibilities and problems associated with engagement with the policy industry, particularly as these relate to the various roles members can (or are forced to) take; either as ‘insiders’ (such as policy workers and contract researchers), or independent, critical ‘outsiders’. The author concludes that the best that insiders can hope for are incremental, largely ineffective changes to Māori policy, while independent members of the academy are best placed to speak on behalf of Māori, Māori communities, hapu and iwi.

Urban traffic state estimation: Fusing point and zone based data

Loop detectors are the oldest and widely used traffic data source. On urban arterials, they are mainly installed for signal control. Recently state of the art Bluetooth MAC Scanners (BMS) has significantly captured the interest of stakeholders for exploiting it for area wide traffic monitoring. Loop detectors provide flow- a fundamental traffic parameter; whereas BMS provides individual vehicle travel time between BMS stations. Hence, these two data sources complement each other, and if integrated should increase the accuracy and reliability of the traffic state estimation. This paper proposed a model that integrates loops and BMS data for seamless travel time and density estimation for urban signalised network. The proposed model is validated using both real and simulated data and the results indicate that the accuracy of the proposed model is over 90%.

Zone based systems design framework for the realisation of efficient block cipher based message authentication code algorithms

A zone based systems design framework is described and utilised in the implementation of a message authentication code (MAC) algorithm based on symmetric key block ciphers. The resulting block cipher based MAC algorithm may be used to provide assurance of the authenticity and, hence, the integrity of binary data. Using software simulation to benchmark against the de facto cipher block chaining MAC (CBC-MAC) variant used in the TinySec security protocol for wireless sensor networks and the NIST cipher block chaining MAC standard, CMAC; we show that our zone based systems design framework can lead to block cipher based MAC constructs that point to improvements in message processing efficiency, processing throughput and processing latency.

Adaptive Measurement-Based Policy-Driven QoS Management with Fuzzy-Rule-based Resource Allocation

Fixed and wireless networks are increasingly converging towards common connectivity with IP-based core networks. Providing effective end-to-end resource and QoS management in such complex heterogeneous converged network scenarios requires unified, adaptive and scalable solutions to integrate and co-ordinate diverse QoS mechanisms of different access technologies with IP-based QoS. Policy-Based Network Management (PBNM) is one approach that could be employed to address this challenge. Hence, a policy-based framework for end-to-end QoS management in converged networks, CNQF (Converged Networks QoS Management Framework) has been proposed within our project. In this paper, the CNQF architecture, a Java implementation of its prototype and experimental validation of key elements are discussed. We then present a fuzzy-based CNQF resource management approach and study the performance of our implementation with real traffic flows on an experimental testbed. The results demonstrate the efficacy of our resource-adaptive approach for practical PBNM systems

Design and Implementation of a Measurement-Based Policy-Driven Resource Management Framework For Converged Networks

This paper presents the design and implementation of a measurement-based QoS and resource management framework, CNQF (Converged Networks’ QoS Management Framework). CNQF is designed to provide unified, scalable QoS control and resource management through the use of a policy-based network
management paradigm. It achieves this via distributed functional entities that are deployed to co-ordinate the resources of the transport network through centralized policy-driven decisions supported by measurement-based control architecture. We present the CNQF architecture, implementation of the
prototype and validation of various inbuilt QoS control mechanisms using real traffic flows on a Linux-based experimental test bed.

Measurement-based Policy-driven QoS Management in Converged Next Generation Networks

Policy-based management is considered an effective approach to address the challenges of resource management in large complex networks. Within the IU-ATC QoS Frameworks project, a policy-based network management framework, CNQF (Converged Networks QoS Framework) is being developed aimed at providing context-aware, end-to-end QoS control and resource management in converged next generation networks. CNQF is designed to provide homogeneous, transparent QoS control over heterogeneous access technologies by means of distributed functional entities that co-ordinate the resources of the transport network through policy-driven decisions. In this paper, we present a measurement-based evaluation of policy-driven QoS management based on CNQF architecture, with real traffic flows on an experimental testbed. A Java based implementation of the CNQF Resource Management Subsystem is deployed on the testbed and results of the experiments validate the framework operation for policy-based QoS management of real traffic flows.

Barriers of evidence based policy making in iran's health system

La formation des sociétés fondées sur la connaissance, le progrès de la technologie de communications et un meilleur échange d'informations au niveau mondial permet une meilleure utilisation des connaissances produites lors des décisions prises dans le système de santé. Dans des pays en voie de développement, quelques études sont menées sur des obstacles qui empêchent la prise des décisions fondées sur des preuves (PDFDP) alors que des études similaires dans le monde développé sont vraiment rares. L'Iran est le pays qui a connu la plus forte croissance dans les publications scientifiques au cours de ces dernières années, mais la question qui se pose est la suivante : quels sont les obstacles qui empêchent l'utilisation de ces connaissances de même que celle des données mondiales? Cette étude embrasse trois articles consécutifs. Le but du premier article a été de trouver un modèle pour évaluer l'état de l'utilisation des connaissances dans ces circonstances en Iran à l’aide d'un examen vaste et systématique des sources suivie par une étude qualitative basée sur la méthode de la Grounded Theory. Ensuite au cours du deuxième et troisième article, les obstacles aux décisions fondées sur des preuves en Iran, sont étudiés en interrogeant les directeurs, les décideurs du secteur de la santé et les chercheurs qui travaillent à produire des preuves scientifiques pour la PDFDP en Iran. Après avoir examiné les modèles disponibles existants et la réalisation d'une étude qualitative, le premier article est sorti sous le titre de «Conception d'un modèle d'application des connaissances». Ce premier article sert de cadre pour les deux autres articles qui évaluent les obstacles à «pull» et «push» pour des PDFDP dans le pays. En Iran, en tant que pays en développement, les problèmes se situent dans toutes les étapes du processus de production, de partage et d’utilisation de la preuve dans la prise de décision du système de santé. Les obstacles qui existent à la prise de décision fondée sur des preuves sont divers et cela aux différents niveaux; les solutions multi-dimensionnelles sont nécessaires pour renforcer l'impact de preuves scientifiques sur les prises de décision. Ces solutions devraient entraîner des changements dans la culture et le milieu de la prise de décision afin de valoriser la prise de décisions fondées sur des preuves. Les critères de sélection des gestionnaires et leur nomination inappropriée ainsi que leurs remplaçants rapides et les différences de paiement dans les secteurs public et privé peuvent affaiblir la PDFDP de deux façons : d’une part en influant sur la motivation des décideurs et d'autre part en détruisant la continuité du programme. De même, tandis que la sélection et le remplacement des chercheurs n'est pas comme ceux des gestionnaires, il n'y a aucun critère pour encourager ces deux groupes à soutenir le processus décisionnel fondés sur des preuves dans le secteur de la santé et les changements ultérieurs. La sélection et la promotion des décideurs politiques devraient être basées sur leur performance en matière de la PDFDP et les efforts des universitaires doivent être comptés lors de leurs promotions personnelles et celles du rang de leur institution. Les attitudes et les capacités des décideurs et des chercheurs devraient être encouragés en leur donnant assez de pouvoir et d’habiliter dans les différentes étapes du cycle de décision. Cette étude a révélé que les gestionnaires n'ont pas suffisamment accès à la fois aux preuves nationales et internationales. Réduire l’écart qui sépare les chercheurs des décideurs est une étape cruciale qui doit être réalisée en favorisant la communication réciproque. Cette question est très importante étant donné que l'utilisation des connaissances ne peut être renforcée que par l'étroite collaboration entre les décideurs politiques et le secteur de la recherche. Dans ce but des programmes à long terme doivent être conçus ; la création des réseaux de chercheurs et de décideurs pour le choix du sujet de recherche, le classement des priorités, et le fait de renforcer la confiance réciproque entre les chercheurs et les décideurs politiques semblent être efficace.

Preventing tobacco use and harm: what is evidence based policy?

The majority of tobacco users commence in early to mid-adolescence. Tobacco smoking can be characterised as a chronic, relapsing disorder. While risk increases with amount smoked, there is no safe level of use (i.e., all use is risky). Duration of use is the most important predictor of premature death with the majority of excess morbidity and mortality avoidable if people quit before middle age. Investment in initiatives that reduce smoking among pregnant women and those at risk of cardiovascular disease provide quickest returns -in reduced health care episodes and expenditure.  Measures that successfully reduce smoking among parents probably reduce smoking uptake by children, and high levels of smoking among both children and parents appear to be associated with higher levels of illicit drug use.
The evidence base for pharmcotherapies in the treatment of tobacco dependence is very strong. Population-level initiatives such as tax increases, mass media-led campaigns and smoke-free policies are all highly cost-effective in reducing population-smoking levels, including among children and young people.
Australian tobacco control initiatives have been based on "social ecology" conceptualisations of the problem, which acknowledge the pivotal role of the media in shaping social values, and public and political opinion.
Broad social change, as well as more focused prevention and cessation initiatives, has drawn heavily on research findings from the behavioural sciences. Considerable effort (mainly, in Australian, in the NGO sector) has gone into documenting policy inputs and monitoring impact and outcome measures.
This chapter discusses why conceptualising tobacco-related harm from legal, economic and social policy perspectives should also help build support for tobacco control policy among academic and practising economists and lawyers, and in the business, welfare and government sectors.