503 resultados para utilité


Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Objectifs: Une phase hyperalgique dans les 4 heures post-examen arthrographique est maintenant reconnue dans la littérature. Comment s'en amender ? Nous comparonsl'absence d'anesthésique à l'adjonction de deux différents anesthésiques locaux intra-articulaires(rapidocaïne/bupivacaïne) lors d'arthro-TDM/IRM. Matériels et méthodes: Après approbation du comité d'éthique, étude prospective chez 150 patients répartis aléatoirement en trois groupes : 1) sans anesthésique intra-articulaire, 2)rapidocaïne 1%, 3) bupivacaïne 0,25%. Recueil du score EVA (0-10) aux 5 temps suivants : avant injection (score de base), puis 20 minutes, 4 heures, 24 heureset 7 jours après la procédure. Résultats: Le pic douloureux maximal se trouve à 4h après la procédure (idem littérature). La douleur augmente en moyenne de 1,60 unités 4h après la procédure pour legroupe 1, de 1,22 unités pour le groupe 2 et de 0,29 unités pour le groupe 3. La différence entre les groupes 1 et 3 est statistiquement significative (p=0,002 -Tests ANOVA et de Sidak). Elle n'est pas significative entre les groupes 1 et 2 (p=0,536). La comparaison rapidocaïne et bupivacaïne est moins concluante(p=0,065). Conclusion: L'adjonction de bupivacaïne intra-articulaire devrait être réalisée lors d'examens arthrographiques, surtout afin d'améliorer le confort du patient mais aussi pourfavoriser son immobilité lors de l'acquisition des images TDM ou IRM .

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Introduction: L'utilisation de marqueurs de l'inflammation comme la CRP pour le diagnostic, le pronostic et le suivi lors de pneumonie acquise dans la communauté (PAC) est une méthode rapide et bon marché. Cependant son utilité reste controversée etles avis d'expert divergent. Au CHUV, la CRP est dosée systématiquement chez les patients hospitalisés avec une PAC. L'objectif de ce travail est double: 1) effectuer une revue systématique de la littérature; 2) mieux comprendre l'usage et la perception de l'utilité clinique de la CRP en analysant la pratique des médecins du CHUV. Méthode: Nous avons envoyé un questionnaire par email à 2 reprises à tous les médecins assistants et chefs de clinique du service de médecine interne (SMI) et du centre interdisciplinaire des urgences (CIU) du CHUV. Les questions portaient sur la pratique clinique et sur la perception de l'utilité de la CRP dans le diagnostic, le pronostic et le suivi de patients hospitalisés pour une PAC. Résultats: Les résultats de la revue systématique sont présentés et analysés en intégrant les réponses issues du questionnaire. Nous avons reçu 53 réponses sur les 125 questionnaires envoyés. 62% des médecins interrogés demandent un dosage de la CRP dans >90% des cas lors d'une suspicion de PAC basée sur la clinique contre 45% si en plus la radiologie parle en faveur d'une PAC. 75% des médecins répètent ce dosage 1 à 4 fois durant le suivi. La raison principale évoquée est la suspicion d'une évolution défavorable et, plus rarement, la présence de comorbidités. Quand on questionne les médecins sur l'utilité de la CRP,on observe que seulement 30% pensent que la CRP est utile pour le diagnostic de PAC et 28% pour exclure une PAC lors de suspicion clinique. De même, 25% des médecins pensent qu'elle est utile dans le suivi des patients et 9% pour évaluer le pronostic de la PAC. On ne trouve pas d'association entre le niveau de formation et l'usage ou l'appréciation de l'utilité de la CRP. Conclusion: Les médecins assistants et les chefs de clinique du SMI et du CIU du CHUV dosent très souvent la CRP chez les patients hospitalisés pour une PAC. Leur motivation n'est ni liée à l'éventuelle valeur diagnostique de cet examen biologique,ni à son hypothétique valeur pour le pronostic et le suivi.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

An attempt is made to define the usefulness and limitations of carcinoembryonic antigen (CEA) radioimmunoassay for evaluation of tumor resection and detection of tumor relapse in patients with large-bowel carcinoma. In 45 patients for whom complete tumor resection was reported, all but 5 showed a drop in CEA to normal values after surgery. The 5 patients whose CEA did not fall to below 5 ng/ml showed a subsequent rise in CEA level and later were all found to have a tumor relapse. The results indicate that an incomplete drop in circulating CEA level one month after surgery is a bad prognostic sign. Twenty-two of these patients were followed up by repeated CEA radioimmunoassay for several months after surgery; 8 showed a progressive increase in CEA levels preceding clinical diagnosis of tumor relapse by 2-10 months. The clinical history of these 8 patients is briefly described. The results demonstrate that relapses of colon and rectum carcinoma can be detected by increased CEA levels months before the appearance of any clinical evidence.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

In order to be effective, access to prehospital care must be integrated into a system described as "the chain of survival". This system is composed of 5 essential phases: 1) basic help by witnesses; 2) call for help; 3) basic life support; 4) professional rescue and transport to the appropriate institution and 5) access to emergency ward and hospital management. Each phase is characterized by a specific organization, dedicated skills and means in order to increase the level of care brought to the patient. This article describes the organization, the utility and the specificity of the chain of survival allowing access to prehospital medical care in the western part of Switzerland.