1000 resultados para traité de paix


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Collection : Problèmes de guerre et de paix

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Collection : Bibliothèque d'histoire contemporaine

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Référence bibliographique : Rol, 60430

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Contient : 1 Extraits « d'un livre escript de la main de feu monsieur le chancellier DE L'HOSPITAL ». Ce sont des notes sur divers sujets et principalement sur un certain nombre de traités de paix de la France avec les puissances étrangères ; 2 Proclamation du tournoi ordonné par le roi Henri II, à l'occasion du mariage d'Élisabeth, sa fille, avec Philippe II d'Espagne, et du mariage de Marguerite de France, sa soeur, avec Philibert-Emmanuel de Savoie, en 1559 ; 3 Lettres de LOUIS XI du 22 décembre 1476, pour la création de l'office de prévôt maître des cérémonies de l'ordre de Saint-Michel. Inachevées ; 4 Table des chapitres du livre de l'ordre de Saint-Michel ; 5 Lettres d'institution dudit ordre par LOUIS XI, sans la formule de date (ces lettres sont du 1er août 1469. Voy. Ordonnances, tome XVII, pages 236 à 251), avec les derniers (29 et s.) paragraphes des lettres de LOUIS XI du 22 décembre 1476 indiquées plus haut, art. 3 de la présente notice. (Ordonnances, tome XVIII, pages 222-223) ; 6 Traité de paix et alliance perpétuelle conclu à Londres, le 18-28 août 1604, entre le roi d'Angleterre Jacques Ier, le roi d'Espagne Philippe III et les archiducs d'Autriche, souverains des Pays-Bas, Albert et Isabelle-Claire-Eugénie. En latin ; 7 Lettre de CATHERINE DE MEDICIS à Henri III, « portant advertissement de ce qu'il doibt faire, et comment il se doibt gouverner ». Sans date ; 8 Résumé de la bulle de CLEMENT V, portant absolution de Philippe le Bel. Avignon, 25 février 1310

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À la fin du 19e siècle, le Japon inaugure une politique expansionniste qu’il mène avec succès contre la Chine, puis la Russie et enfin l’Allemagne. De 1895 à 1923, les forces armées japonaises cumulent les victoires militaires impressionnantes et indéniables. Contre toute attente, cependant, Tokyo peine à convertir ces triomphes en un capital politique qui lui assurerait le statut de puissance tant convoité et une paix durable, proche de l’hégémonie régionale. Pour expliquer cet échec politique, il n’est pas à regarder vers la mise en œuvre de guerres de revanche menées par les vaincus. Ce sont plutôt étonnamment des puissances étrangères au conflit qui viennent brimer les aspirations stratégiques du Japon. Parce qu’ils sont inquiets des impacts de la montée en puissance du Japon, des pays neutres comme des nations alliées à Tokyo font obstacles à la pleine exploitation des victoires. Mêlant menaces militaires et manœuvres diplomatiques, certains pays européens et les États-Unis réussissent à contrer les ambitions impériales japonaises, à refuser l’obtention du statut de puissance et à contester la reconnaissance de l’égalité raciale. Par le biais d’une analyse du premier impérialisme japonais, notre étude veut démontrer que l’intervention d’une tierce partie, non impliquée dans la guerre, peut obliger le vainqueur à reconsidérer comment il compte profiter de ses tributs de guerre. Pour qu’un traité de paix soit durable, celui-ci ne peut prendre naissance sans égard du contexte général, sans égard des intérêts des principaux acteurs internationaux de l’époque.