835 resultados para statut personnel musulman
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Ce mémoire traite du droit de l’adoption dans une perspective comparative entre régimes arabo-musulman, français et québécois. Dans un premier temps est abordée la place de l’enfant dans l’Islam : de sa conception au sein de la famille musulmane à l’ensemble de ses droits selon le droit religieux. Ce tour d’horizon permet d’aborder l’épineux problème de l’interdiction de l’adoption par le Coran et les alternatives qui ont été développées pour y remédier, plus particulièrement la kafala. La kafala sera expliquée et située dans l’ordre public international, puis examinée au regard de quatre législations arabes : le Maroc, la Tunisie, l’Algérie et le Liban. Dans un deuxième temps, la question sera examinée d’un point de vue occidental. Il y sera analysé la possibilité et les difficultés entourant l’application des règles musulmanes de statut personnel en France et au Québec. Finalement sera abordé l’accueil que ces deux sociétés ont réservé à la kafala dans leur système respectif.
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Introduction : Les résultats de recherches ont démontré que la cessation tabagique augmente là où des interventions professionnelles préventives sont appliquées avec constance. On rapporte qu’au Québec, 62 % des infirmières (toutes pratiques confondues) évaluent le statut tabagique de leurs clients et 38 % suggèrent la cessation tabagique. En milieu hospitalier, l’évaluation du statut tabagique diminue à 30 %. Or, le personnel infirmier hospitalier est présent dans les unités de soins 24 heures sur 24, ce qui laisse prévoir une influence potentielle non négligeable dans la décision des patients de cesser de fumer. Objectif : La présente recherche a pour objectif de comparer, avec un groupe contrôle, l’efficacité de stratégies (formation interactive, rappel, multiple) pour augmenter les interventions réalisées en cessation tabagique dans des unités de médecine et de chirurgie. Le choix de ces stratégies repose sur leur efficacité et leur potentiel d’implantation dans d’autres centres. Méthodologie : Un devis expérimental avec randomisation par groupe a été choisi. Le modèle factoriel permet d’évaluer l’effet de chacun des groupes expérimentaux en regard du groupe contrôle. Des mesures préstratégies et poststratégies (à 1 mois et à 3 mois) sont privilégiées. Plusieurs outils permettent de mesurer les effets des stratégies et ce, avec des sources diversifiées (personnel infirmier, patients, dossiers des patients, gestionnaires et responsables des centres d’abandon du tabac). Résultats : Au total, 156 infirmières et infirmières-auxiliaires ont répondu à des questionnaires au temps 1, 78 au temps 2 et 69 au temps 3. Parallèlement au personnel infirmier, 156 patients ont été rejoints au temps 1, 89 au temps 2 et 98 au temps 3. Les résultats démontrent que le personnel infirmier évalue le statut tabagique chez 35,7 % de la clientèle seulement et la motivation à cesser de fumer chez 17,6 % des patients. Au cours de notre recherche, peu d’interventions en cessation tabagique ont été réalisées dans les unités de médecine et de chirurgie; la présence de plusieurs obstacles de même qu’une perception d’inefficacité des interventions de la part du personnel infirmier semblent en être les causes. Les résultats de notre recherche ne nous a pas permis d’appuyer nos hypothèses. Cependant, des analyses complémentaires ont démontré que la stratégie de formation interactive a permis d’augmenter certaines pratiques cliniques à court terme et de diminuer la perception d’obstacles à l’intervention. Le rappel n’a pas fonctionné correctement et n’a pu être évalué. Conclusion : En considérant les résultats modestes des stratégies implantées, la formation interactive a eu un impact à très court terme sur les interventions courtes en cessation tabagique réalisées par le personnel infirmier d’unités de soins en médecine et en chirurgie. Les difficultés rencontrées lors de l’implantation des stratégies ont été expliquées, ce qui permettra une planification plus éclairée de futures recherches dans le domaine.
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Cette recherche qualitative a comme objectif de comprendre et d’analyser l’expérience pénale d’individus ayant été déclarés « délinquants dangereux » ou « délinquants à contrôler », en vertu des dispositions légales prévues à la Partie XXIV (articles 752 et suivantes) du Code criminel canadien. Plus spécifiquement, nous avons voulu mettre en lumière comment se vit l’apposition de ce statut « dangereux » au plan personnel et social au moment des procédures judiciaires, lors de l’exécution de leur peine d’incarcération et dans le cadre de leur liberté surveillée, le cas échéant. Pour ce faire, nous avons rencontré dix-neuf hommes visés par ces dispositions légales afin de restituer en profondeur leur expérience pénale par rapport à ce « statut » légalement imposé, et ce, à partir de leur point de vue. Il en ressort que les individus faisant l’objet d’une déclaration spéciale traversent un grand bouleversement émotif, d’une part, en lien avec les délits qu’ils ont commis et d’autre part, relativement à la peine leur ayant été imposée. Ces sentiments complexes semblent se positionner en paradoxe entre un sentiment de culpabilité pour les gestes commis et l’impression d’avoir été traités injustement. Les hommes rencontrés partagent également un parcours pénal difficile marqué par de l’exclusion, du rejet ainsi que des mauvais traitements physiques ou psychologiques. Ils rapportent beaucoup d’impuissance à pouvoir faire évoluer leur situation, soit de se défaire de leur statut « dangereux ». Enfin, l’analyse des propos rapportés montre que l’imposition d’une déclaration spéciale ne constitue pas une « simple » peine puisqu’elle induit un processus de stigmatisation immédiat, discréditant et permanent qui a des implications importantes au niveau social et personnel. Ces implications ont de fait, engendré une transformation à l’égard de la perception qu’ils ont d’eux-mêmes ainsi que dans leurs façons de se comporter socialement.
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Cette recherche qualitative a comme objectif de comprendre et d’analyser l’expérience pénale d’individus ayant été déclarés « délinquants dangereux » ou « délinquants à contrôler », en vertu des dispositions légales prévues à la Partie XXIV (articles 752 et suivantes) du Code criminel canadien. Plus spécifiquement, nous avons voulu mettre en lumière comment se vit l’apposition de ce statut « dangereux » au plan personnel et social au moment des procédures judiciaires, lors de l’exécution de leur peine d’incarcération et dans le cadre de leur liberté surveillée, le cas échéant. Pour ce faire, nous avons rencontré dix-neuf hommes visés par ces dispositions légales afin de restituer en profondeur leur expérience pénale par rapport à ce « statut » légalement imposé, et ce, à partir de leur point de vue. Il en ressort que les individus faisant l’objet d’une déclaration spéciale traversent un grand bouleversement émotif, d’une part, en lien avec les délits qu’ils ont commis et d’autre part, relativement à la peine leur ayant été imposée. Ces sentiments complexes semblent se positionner en paradoxe entre un sentiment de culpabilité pour les gestes commis et l’impression d’avoir été traités injustement. Les hommes rencontrés partagent également un parcours pénal difficile marqué par de l’exclusion, du rejet ainsi que des mauvais traitements physiques ou psychologiques. Ils rapportent beaucoup d’impuissance à pouvoir faire évoluer leur situation, soit de se défaire de leur statut « dangereux ». Enfin, l’analyse des propos rapportés montre que l’imposition d’une déclaration spéciale ne constitue pas une « simple » peine puisqu’elle induit un processus de stigmatisation immédiat, discréditant et permanent qui a des implications importantes au niveau social et personnel. Ces implications ont de fait, engendré une transformation à l’égard de la perception qu’ils ont d’eux-mêmes ainsi que dans leurs façons de se comporter socialement.
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Attending potentially dangerous and traumatic incidents is inherent in the role of emergency workers, yet there is a paucity of literature aimed at examining variables that impact on the outcomes of such exposure. Coping has been implicated in adjusting to trauma in other contexts, and this study explored the effectiveness of coping strategies in relation to positive and negative posttrauma outcomes in the emergency services environment. One hundred twenty-five paramedics completed a survey battery including the Posttraumatic Growth Inventory (PTGI; Tedeschi & Calhoun, 1996), the Impact of Events Scale–Revised (IES-R; Weiss & Marmar, 1997), and the Revised-COPE (Zuckerman & Gagne, 2003). Results from the regression analysis demonstrated that specific coping strategies were differentially associated with positive and negative posttrauma outcomes. The research contributes to a more comprehensive understanding regarding the effectiveness of coping strategies employed by paramedics in managing trauma, with implications for their psychological well-being as well as the training and support services available.
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Introduction: Little is known about the risk perceptions and attitudes of healthcare personnel, especially of emergency prehospital medical care personnel, regarding the possibility of an outbreak or epidemic event. Problem: This study was designed to investigate pre-event knowledge and attitudes of a national sample of the emergency prehospital medical care providers in relation to a potential human influenza pandemic, and to determine predictors of these attitudes. Methods: Surveys were distributed to a random, cross-sectional sample of 20% of the Australian emergency prehospital medical care workforce (n = 2,929), stratified by the nine services operating in Australia, as well as by gender and location. The surveys included: (1) demographic information; (2) knowledge of influenza; and (3) attitudes and perceptions related to working during influenza pandemic conditions. Multiple logistic regression models were constructed to identify predictors of pandemic-related risk perceptions. Results: Among the 725 Australian emergency prehospital medical care personnel who responded, 89% were very anxious about working during pandemic conditions, and 85% perceived a high personal risk associated with working in such conditions. In general, respondents demonstrated poor knowledge in relation to avian influenza, influenza generally, and infection transmission methods. Less than 5% of respondents perceived that they had adequate education/training about avian influenza. Logistic regression analyses indicate that, in managing the attitudes and risk perceptions of emergency prehospital medical care staff, particular attention should be directed toward the paid, male workforce (as opposed to volunteers), and on personnel whose relationship partners do not work in the health industry. Conclusions: These results highlight the potentially crucial role of education and training in pandemic preparedness. Organizations that provide emergency prehospital medical care must address this apparent lack of knowledge regarding infection transmission, and procedures for protection and decontamination. Careful management of the perceptions of emergency prehospital medical care personnel during a pandemic is likely to be critical in achieving an effective response to a widespread outbreak of infectious disease.
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BACKGROUND: Frequent illness and injury among workers with high body mass index (BMI) can raise the costs of employee healthcare and reduce workforce maintenance and productivity. These issues are particularly important in vocational settings such as the military, which require good physical health, regular attendance and teamwork to operate efficiently. The purpose of this study was to compare the incidence of injury and illness, absenteeism, productivity, healthcare usage and administrative outcomes among Australian Defence Force personnel with varying BMI. METHODS: Personnel were grouped into cohorts according to the following ranges for (BMI): normal (18.5-24.9 kg/m²; n = 197), overweight (25-29.9 kg/m²; n = 154) and obese (≥30 kg/m²) with restricted body fat (≤28 % for females, ≤24 % for males) (n = 148) and with no restriction on body fat (n = 180). Medical records for each individual were audited retrospectively to record the incidence of injury and illness, absenteeism, productivity, healthcare usage (i.e., consultation with medical specialists, hospital stays, medical investigations, prescriptions) and administrative outcomes (e.g., discharge from service) over one year. These data were then grouped and compared between the cohorts. RESULTS: The prevalence of injury and illness, cost of medical specialist consultations and cost of medical scans were all higher (p <0.05) in both obese cohorts compared with the normal cohort. The estimated productivity losses from restricted work days were also higher (p <0.05) in the obese cohort with no restriction on body fat compared with the normal cohort. Within the obese cohort, the prevalence of injury and illness, healthcare usage and productivity were not significantly greater in the obese cohort with no restriction on body fat compared with the cohort with restricted body fat. The number of restricted work days, the rate of re-classification of Medical Employment Classification and the rate of discharge from service were similar between all four cohorts. CONCLUSIONS: High BMI in the military increases healthcare usage, but does not disrupt workforce maintenance. The greater prevalence of injury and illness, greater healthcare usage and lower productivity in obese Australian Defence Force personnel is not related to higher levels of body fat.