2 resultados para scaphocephaly


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Background: The use of springs in cranial expansion has demonstrated to be effective for craniosynostosis treatment. The spring-exerted expansile action has been observed when springs are placed both in the sagittal and parasagittal regions, mainly in scaphocephaly. In this study, a variation in cephalometric measurements under expansible spring action on the skull base was analyzed. Methods: Thirteen 4-week-old New Zealand white rabbits were divided into 4 groups: group 1, in which only amalgam markers were used (control); group 2, in which amalgam markers were used, and a sagittal suturectomy was performed; group 3, in which amalgam markers were used, and a sagittal suturectomy was performed with placement of expansible springs in the interparietal region; and group 4, in which markers were used, and a linear parasagittal craniectomy was performed with spring placement. All animals were killed at weeks 2, 4, 8, and 12. Radiologic control with cephalometric study was performed. Results: Distraction of amalgam markers in the groups with springs was greater than in those without springs. A proportional change in the angles measured through craniometry was observed in these groups. Conclusions: The experimental rabbit model was shown to be adequate to the analysis proposed by the study. Under the action of springs, the groups with sagittal and parasagittal osteotomy were found to present a similar distraction of amalgam markers. A concomitant change in cephalometric measurements occurred, suggesting a change in the skull base mediated by expansible springs placed both in the sutural and nonsutural sites.

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Introduction : La scaphocéphalie est la craniosynostose monosuturaire la plus commune (1/2000). Celle-ci est causée par la fusion prématurée de la suture sagittale. Une chirurgie corrective de la voûte crânienne peut être effectuée dans la première année de vie de l’enfant. Il n’existe actuellement aucune donnée précise dans la littérature scientifique étudiant l’occlusion chez les patients scaphocéphales, ainsi que les impacts potentiels de la chirurgie de la voûte crânienne sur celle-ci. Objectifs : L’objectif primaire de cette étude est de décrire et comparer la malocclusion dento-squelettique d’un groupe de patients scaphocéphales à une population pédiatrique normale. L’objectif secondaire est d’évaluer la différence au niveau de l’occlusion entre un sous-groupe de patients scaphocéphales ayant eu une chirurgie corrective de la voûte crânienne et un sous-groupe ne l’ayant pas eu. Méthodologie : Quatre-vingt-onze patients scaphocéphales (2-11 ans; 71 garçons) de la banque de données de la Clinique de Craniofacial du CHU Ste-Justine ont formé le groupe expérimental. Tous les patients ont eu un examen orthodontique complet et ont été suivis. Parmi ceux-ci, quarante-quatre avaient eu une chirurgie corrective de la voûte crânienne et quarante-sept n’en avaient pas eu, mais étaient suivis régulièrement à la clinique. Trente-huit (33 garçons; 17 opérés) de ces patients ont eu des radiographies céphalométriques latérales et parmi ceux-ci, un certain nombre ont reçus des suivis de croissance radiologiques. Résultats : Les valeurs cliniques de la classification dentaire, ainsi que la mesure du surplomb horizontal, ont indiqué une augmentation de la prévalence de malocclusions de classe II chez les enfants scaphocéphales. Par contre, les valeurs céphalométriques indicatrices de malocclusion squelettique de classe II (ex. : N-A perp HP, N-B perp HP, N-Pog perp HP, Wits, N-A-Pog) sont demeurées dans les limites de la normale. Certaines valeurs céphalométriques présentent une différence statistiquement significative entre les patients opérés et non opérés (ANS-PNS t2, p=0.025; /1-FH t2, p=0.028), mais ces variations individuelles ne sont pas reliées à la scaphocéphalie. Conclusion : Les enfants scaphocéphales présentent cliniquement davantage de malocclusions de classe II que les enfants normaux. Par contre, les valeurs radiologiques antéro-postérieures et transverses demeurent dans les limites de la normale. La chirurgie corrective de la voûte crânienne n’affecte également pas l’occlusion chez ces patients.