1000 resultados para rape culture


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The epidemic of sexual assault on American university campuses that was first acknowledged by Mary P. Koss in 1987 has resulted in the centering of consent as a key way of distinguishing between acceptable, normal sex and unacceptable, punishable sex. Unfortunately, various experiences of sex that fit within the acceptable, normal sex category according to university policy frameworks can often have just as detrimental side effects on women as rape does. The need to investigate how simplistic notions of consent might be failing women in challenging rape culture then becomes paramount. This paper uses a mix of intersectional feminist theory and script theory to provide an analytical review of contemporary writings and studies derived from various books, journals, and news articles on sexual assault and consent movements available through the University of Washington library system and various online resources. The findings include how various forms of apparently consensual sex such as coerced sex, compliant sex, and even enthusiastic, pleasurable sex can play into upholding rape culture, harm women disproportionately, and uphold men’s systemic power. By becoming involved in the continued modern discussions of consent, this paper seeks to redirect the current discourse on sexual consent now common on university campuses in hopes of broadening our perception of consensual sex and more adequately challenge rape culture.

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Cette recherche-action participative s’inscrit dans un paradigme féministe intersectionnelle. Elle présente la façon dont sept jeunes femmes de la rue (18-23 ans) de Québec ont fait l’expérience de la violence structurelle et ont déployé des stratégies pour y faire face. Elle s’articule autour d’une définition de la violence structurelle inspirée de celle proposée par Farmer, Bourgois, Scheper-Hugues et al. (2004) qui la présentent comme étant le processus à la racine des inégalités sociales et de l’oppression vécue par différents groupes sociaux. Ce processus s’opère dans trois dimensions complémentaires soit : 1) la domination symbolique, 2) la violence institutionnelle et 3) la violence quotidienne. Une analyse de contenu thématique a permis de dégager l’expérience des participantes dans chacune de ces dimensions. L’analyse de la domination symbolique a montré que les participantes ont été perçues à travers le prisme de quatre visions ou préjugés : 1) l’image de la jeune délinquante (Bad girl), 2) le discours haineux envers les personnes assistées sociales, 3) la culture du viol et 4) l’hétéronormativité. Les différentes expériences de violence quotidienne et institutionnelle vécues par les participantes peuvent être mises en lien avec ces manifestations de la domination symbolique. Les participantes ont expérimenté la violence institutionnelle à travers leurs trajectoires au sein des services de protection de l’enfance, durant leurs démarches pour obtenir un emploi, un logement ou du soutien financier de la part des programmes offerts par l’État et pendant leurs demandes d’aide auprès d’organismes communautaires ou d’établissements du réseau de la santé et des services sociaux. L’analyse de l’expérience des participantes a permis de révéler deux processus imbriqués de façon cyclique de violence structurelle : l’exclusion et le contrôle social. La plupart des stratégies ii expérimentées par les participantes pour combler leurs besoins fondamentaux les ont exposées au contrôle social. Le contrôle social a exacerbé les difficultés financières des participantes et a accru leur crainte de subir de l’exclusion. Bien que la violence structurelle expérimentée par les participantes se situe à la croisée des rapports de pouvoir liée au genre, à la classe sociale, à l’âge et à l’orientation sexuelle, il se dégage que la domination masculine s’est traduite dans le quotidien des participantes, car l’exclusion et le contrôle social ont créé des contextes où elles ont été susceptibles de subir une agression sexuelle ou de vivre de la violence de la part d’un partenaire intime. L’analyse de la dimension intersubjective de la grille d’analyse de Yuval-Davis (2006) montre la présence de certains rapports de pouvoir liés à la classe sociale au sein même de la population des jeunes de la rue. Cette analyse souligne également la difficulté des participantes à définir les contours de la violence et d’adopter des rapports égalitaires avec les hommes. Enfin, le processus de recherche-action participative expérimenté dans le cadre de cette thèse a été analysé à partir des critères de scientificité présentés par Reason et Bradbury (2001). L’élaboration de deux projets photos, choisis par le groupe en guise de stratégie de lutte contre la violence structurelle, a contribué à ouvrir le dialogue avec différents acteurs concernés par la violence structurelle envers les jeunes femmes de la rue et s’est inscrit dans une perspective émancipatoire.

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The trivialisation of sexual violence through what passes as humour is much less common than it once was. Jokes about rape are not innocent, are not harmless fun, are not unconnected to the horrible crime they make light of. Their gradual marginalisation represents social change of real importance. But there is one last refuge of the rape joke in mainstream popular culture, and its continued presence reflects a shameful blind spot in our society. It is a joke which conceals a horrible and damaging reality which is somehow both a taboo topic and a truth universally acknowledged.

A picture that circulated widely on Facebook and other social media last year captures the horror in the humour. It is a picture of a man’s back, decorated with a huge image of an alluring, naked woman, with the man’s buttocks marked to look like breasts. The caption: This man had what he thought was the best tattoo in the world . . . until he went to prison. How can a gag about a man being anally raped while in prison be widely popular, seen as funny, a giggle to share? Were the prospective victim a child or a woman, or were the rape in almost any other setting, the reaction would surely be revulsion and anger. Jail rape, though, somehow remains funny.

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Oilseed rape (Brassica napus) is sensitive to low boron (B) supply, and its growth response to B may be influenced by soil temperature. To test the relationship between B and temperature, oilseed rape (cv. Hyola 42) seedlings were grown at 10 degrees C (low) root zone temperature (RZT) with B supply from deficient to adequate B levels until growth of low B plants just began to slow down. Half of the pots were then transferred to 20 degrees C (warm) RZT for 11 days before they were moved back to 10 degrees C RZT for the final 4 days. Both plant dry mass and B uptake increased after plants were exposed to warm RZT. However, plant B deficiency was exacerbated by warm RZT in low B plants because of increased relative growth rate and shoot-root ratio without a commensurate increase in B uptake rate. It is concluded that RZT above the critical threshold for chilling injury in oilseed rape can nevertheless affect the incidence of B deficiency by altering shoot-root ratio and hence the balance between shoot B demand and B uptake.