984 resultados para queer or questioning
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This project consists of a proposed curriculum for a semester-long, community-based workshop for LGBTQIA+ (lesbian, gay, bisexual, trans*, queer or questioning, intersex, asexual or ally, "+" indicating other identifications that deviate from heterosexual) youth ages 16-18. The workshop focuses on an exploration of LGBTQIA+ identity and community through discussion and collaborative rhetorical analysis of visual and social media. Informed by queer theory and history, studies on youth work, and visual media studies and incorporating rhetorical criticism as well as liberatory pedagogy and community literacy practices, the participation-based design of the workshop seeks to involve participants in selection of media texts, active analytical viewership, and multimodal response. The workshop is designed to engage participants in reflection on questions of individual and collective responsibility and agency as members and allies of various communities. The goal of the workshop is to strengthen participants' abilities to analyze the complex ways in which television, film, and social media influence their own and others’ perceptions of issues surrounding queer identities. As part of the reflective process, participants are challenged to consider how they can in turn actively and collaboratively respond to and potentially help to shape these perceptions. My project report details the theoretical framework, pedagogical rationale, methods of text selection and critical analysis, and guidelines for conduct that inform and structure the workshop.
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Thesis (Master's)--University of Washington, 2016-06
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Drawing on a growing literature on the interconnection of queer theory, sexuality and space, this thesis critically assesses the development, implementation and impact of a campus-based Positive Space Campaign aimed at raising the visibility and number of respectful, supportive, educational and welcoming spaces for lesbian, gay, bi, trans, two-spirited, queer and questioning (LGBTQ) students staff and faculty. The analysis, based on participatory action research (PAR), interrogates the extent to which the Positive Space Campaign challenges heteronormativity on campus. I contend that the Campaign, in its attempt to challenge dominant notions of sex, gender and sexuality, disrupts heterosexual space. Further, as I consider the meanings of 'queer', I consider the extent to which Positive Space Campaigns may be 'queering' space, by contributing to an 'imagined' campus space free of sexual and gender-based discrimination. The case study contributes to queer theory, the literature on sexuality and space, the literature on queer organizing in educational spaces and to broader queer organizing efforts in Canada.
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L’explosion récente du nombre de centenaires dans les pays à faible mortalité n’est pas étrangère à la multiplication des études portant sur la longévité, et plus spécifiquement sur ses déterminants et ses répercussions. Alors que certains tentent de découvrir les gènes pouvant être responsables de la longévité extrême, d’autres s’interrogent sur l’impact social, économique et politique du vieillissement de la population et de l’augmentation de l’espérance de vie ou encore, sur l’existence d’une limite biologique à la vie humaine. Dans le cadre de cette thèse, nous analysons la situation démographique des centenaires québécois depuis le début du 20e siècle à partir de données agrégées (données de recensement, statistiques de l’état civil, estimations de population). Dans un deuxième temps, nous évaluons la qualité des données québécoises aux grands âges à partir d’une liste nominative des décès de centenaires des générations 1870-1894. Nous nous intéressons entre autres aux trajectoires de mortalité au-delà de cent ans. Finalement, nous analysons la survie des frères, sœurs et parents d’un échantillon de semi-supercentenaires (105 ans et plus) nés entre 1890 et 1900 afin de se prononcer sur la composante familiale de la longévité. Cette thèse se compose de trois articles. Dans le cadre du premier, nous traitons de l’évolution du nombre de centenaires au Québec depuis les années 1920. Sur la base d’indicateurs démographiques tels le ratio de centenaires, les probabilités de survie et l’âge maximal moyen au décès, nous mettons en lumière les progrès remarquables qui ont été réalisés en matière de survie aux grands âges. Nous procédons également à la décomposition des facteurs responsables de l’augmentation du nombre de centenaires au Québec. Ainsi, au sein des facteurs identifiés, l’augmentation de la probabilité de survie de 80 à 100 ans s’inscrit comme principal déterminant de l’accroissement du nombre de centenaires québécois. Le deuxième article traite de la validation des âges au décès des centenaires des générations 1870-1894 d’origine canadienne-française et de confession catholique nés et décédés au Québec. Au terme de ce processus de validation, nous pouvons affirmer que les données québécoises aux grands âges sont d’excellente qualité. Les trajectoires de mortalité des centenaires basées sur les données brutes s’avèrent donc représentatives de la réalité. L’évolution des quotients de mortalité à partir de 100 ans témoigne de la décélération de la mortalité. Autant chez les hommes que chez les femmes, les quotients de mortalité plafonnent aux alentours de 45%. Finalement, dans le cadre du troisième article, nous nous intéressons à la composante familiale de la longévité. Nous comparons la survie des frères, sœurs et parents des semi-supercentenaires décédés entre 1995 et 2004 à celle de leurs cohortes de naissance respectives. Les différences de survie entre les frères, sœurs et parents des semi-supercentenaires sous observation et leur génération « contrôle » s’avèrent statistiquement significatives à un seuil de 0,01%. De plus, les frères, sœurs, pères et mères des semi-supercentenaires ont entre 1,7 (sœurs) et 3 fois (mères) plus de chance d’atteindre 90 ans que les membres de leur cohorte de naissance correspondante. Ainsi, au terme de ces analyses, il ne fait nul doute que la longévité se concentre au sein de certaines familles.
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De grandes enquêtes en milieu scolaire, au Québec comme ailleurs, ont documenté depuis les années 2000 la portée des violences homophobes, particulièrement à l’école secondaire, ainsi que leurs impacts négatifs sur les élèves qui en sont victimes, qu’ils s’identifient ou non comme lesbiennes, gais, bisexuel(le)s ou en questionnement (LGBQ). La diffusion des résultats de ces enquêtes, ainsi que les constats similaires d’acteurs sur le terrain, ont fait accroitre les appels à la vigilance des écoles quant aux discriminations homophobes pouvant prendre forme en leur enceinte. Plusieurs des responsabilités résultant de cette mobilisation ont échoué par défaut aux enseignants, notamment en raison de leur proximité avec leurs élèves. Cependant, malgré la panoplie de publications et de formations visant explicitement à les outiller à ce sujet, les enseignants rapportent de manière consistante manquer de formation, d’habiletés, de soutien et d’aise à l’idée d’intervenir contre l’homophobie ou de parler de diversité sexuelle en classe. Cette thèse de doctorat vise à comprendre les pratiques d’intervention et d’enseignement que rapportent avoir les enseignants de l’école secondaire québécoise, toutes orientations sexuelles confondues, par rapport à la diversité sexuelle et à l’homophobie. Dans une perspective interdisciplinaire, nous avons interrogé la sociologie de l’éducation, les études de genre (gender studies) et les études gaies et lesbiennes, ainsi qu’emprunté aux littératures sur les pratiques enseignantes et sur l’intervention sociale. Les données colligées consistent en des entrevues semi-structurées menées auprès de 22 enseignants du secondaire, validées auprès de 243 enseignants, par le biais d’un questionnaire en ligne. Étayés dans trois articles scientifiques, les résultats de notre recherche permettent de mieux saisir la nature des pratiques enseignantes liées à la diversité sexuelle, mais également les mécanismes par lesquels elles viennent ou non à être adoptées par les enseignants. Les témoignages des enseignants ont permis d’identifier que les enseignants sont globalement au fait des attentes dont ils font l’objet en termes d’intervention contre l’homophobie. Ceci dit, en ce qu’ils sont guidés dans leurs interventions par le concept limité d’homophobie, ils ne paraissent pas toujours à même de saisir les mécanismes parfois subtils par lesquels opèrent les discriminations sur la base de l’orientation sexuelle, mais aussi des expressions de genre atypiques. De même, si la plupart disent condamner vertement l’homophobie dont ils sont témoins, les enseignants peuvent néanmoins adopter malgré eux des pratiques contribuant à reconduire l’hétérosexisme et à alimenter les mêmes phénomènes d’infériorisation que ceux qu’ils cherchent à combattre. Sauf exception, les enseignants tendent à comprendre le genre et l’expression de genre davantage comme des déterminants de type essentialiste avec lesquels ils doivent composer que comme des normes scolaires et sociales sur lesquelles ils peuvent, comme enseignants, avoir une quelconque influence. Les stratégies de gestion identitaire des enseignants LGB influencent les pratiques qu’ils rapportent être en mesure d’adopter. Ceux qui optent pour la divulgation, totale ou partielle, de leur homosexualité ou bisexualité peuvent autant rapporter adopter des pratiques inclusives que choisir de se tenir à distance de telles pratiques, alors que ceux qui favorisent la dissimulation rapportent plutôt éviter autant que possible ces pratiques, de manière à se garder de faire face à des situations potentiellement délicates. Également, alors que les enseignants LGB étaient presque exclusivement vus jusqu’ici comme ceux chez qui et par qui se jouaient ces injonctions à la vie privée, les enseignants hétérosexuels estiment également être appelés à se positionner par rapport à leur orientation sexuelle lorsqu’ils mettent en œuvre de telles pratiques. Nos résultats révèlent un double standard dans l’évocation de la vie privée des enseignants. En effet, la divulgation d’une orientation hétérosexuelle, considérée comme normale, est vue comme conciliable avec la neutralité attendue des enseignants, alors qu’une révélation similaire par un enseignant LGB est comprise comme un geste politique qui n’a pas sa place dans une salle de classe, puisqu’elle se fait au prix du bris d’une présomption d’hétérosexualité. Nos résultats suggèrent qu’il existe de fortes prescriptions normatives relatives à la mise en genre et à la mise en orientation sexuelle à l’école. Les enseignants s’inscrivent malgré eux dans cet environnement hétéronormatif. Ils peuvent être amenés à y jouer un rôle important, que ce soit en contribuant à la reconduction de ces normes (par exemple, en taisant les informations relatives à la diversité sexuelle) ou en les contestant (par exemple, en expliquant que certains stéréotypes accolés à l’homosexualité relèvent d’aprioris non fondés). Les discours des enseignants suggèrent également qu’ils sont traversés par ces normes. Ils peuvent en effet choisir de se conformer aux attentes normatives dont ils font l’objet (par exemple, en affirmant leur hétérosexualité), ou encore d’y résister (par exemple, en divulguant leur homosexualité à leurs élèves, ou en évitant de conforter les attentes dont ils font l’objet) au risque d’être conséquemment pénalisés. Bien entendu, cette influence des normes de genre diffère d’un enseignant à l’autre, mais semble jouer autant sur les enseignants hétérosexuels que LGB. Les enseignants qui choisissent de contester, explicitement ou implicitement, certaines de ces normes dominantes rapportent chercher des appuis formels à leurs démarches. Dans ce contexte, une telle quête de légitimation (par exemple, la référence aux règlements contre l’homophobie, la mobilisation des similitudes entre l’homophobie et le racisme, ou encore le rapprochement de ces enseignements avec les apprentissages prescrits pour leur matière) est à comprendre comme un outillage à la contestation normative. La formation professionnelle des enseignants sur l’homophobie et sur la diversité sexuelle constitue un autre de ces outils. Alors que les enseignants québécois continuent d’être identifiés comme des acteurs clés dans la création et le maintien d’environnements scolaires non-discriminatoires et inclusifs aux réalités de la diversité sexuelle, il est impératif de les appuyer en multipliant les signes formels tangibles sur lesquelles leurs initiatives peuvent prendre appui (politiques explicites, curriculum scolaire inclusif de ces sujets, etc.). Nos résultats plaident en faveur d’une formation enseignante sur la diversité sexuelle, qui ferait partie du tronc commun de la formation initiale des maîtres. Chez les enseignants en exercice, il nous apparait préférable de miser sur une accessibilité accrue des formations et des outils disponibles. En réponse toutefois aux limites que pose à long terme une approche cumulative des formations spécifiques portant sur différents types d’oppressions (l’homophobie, le racisme, le sexisme, etc.), nous argumentons en faveur d’un modèle d’éducation anti-oppressive au sein duquel les élèves seraient invités à considérer, non seulement la multiplicité et le caractère situé des divers types d’oppressions, mais également les mécanismes d’attribution de privilège, de constitution de la normalité et de la marginalité, et de présentation de ces arbitraires culturels comme des ordres naturels.
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Die Dissertation Gender und Genre in melodramatischen Literaturverfilmungen der Gegenwart untersucht das Medium Film anhand von Todd Haynes’ Far from Heaven (2002), Stephen Daldrys The Hours (2002) und Tom Fords A Single Man (2009) als Quelle des Wissens über gesellschaftlich-normierte Geschlechterrollen und sozialkonstruierte Genderkonzepte. Die Arbeit versteht sich als eine nachhaltige Schnittstellenforschung zwischen Gender-, Literatur-, Film- und Medienwissenschaften und zeigt die Öffnung der Germanistik für den medial geprägten Kulturwandel, welcher den deutschen bzw. den deutschsprachigen Kulturraum betrifft. Gender und Geschlecht destabilisieren die Gesellschaft und die „heterosexuelle Matrix“ durch das individuelle Suchen, Finden, Konstruieren und Anerkennen einer eigenen, individuellen Genderidentität. Dieser Prozess kann unter Zuhilfenahme des Erzählens von Geschlecht im Film verdeutlicht werden, denn die audiovisuelle Fiktion modelliert Wirklichkeitsvorstellungen und das Wirklichkeitsverständnis der Rezipienten. Wobei offen bleibt, ob die Fiktion die Realität oder die Realität die Fiktion imitiert. Denn es gibt nicht nur eine Wahrheit, sondern mehrere, vielleicht unzählige Bedeutungszuschreibungen. Die drei paradigmatischen Literaturverfilmungen wurden jeweils in Bezug zu ihren Literaturvorlagen von Virginia Woolf, Michael Cunningham und Christopher Isherwood gesetzt. Sie können als Beispiele für ein wissendes, postmodernes Pastiche des Themen-Clusters Diskriminierung/Homophobie/Homosexualität/„Rasse“ gelten. Alle drei Filme verhandeln durch gemeinsame, melodramatische Motive (Spiegel, Telefon, Krieg, Familie) die Darstellbarkeit von Emotionen, Begehren, Sehnsüchten, Einsamkeit und dem Verlust der Liebe. Durch Verbindungslinien zu den Melodramen von Douglas Sirk und mittels den Theorien von u.a. Judith Butler, Stanley Cavell, Carolin Emcke, Thomas Elsaesser, Sigmund Freud, Hermann Kappelhoff und Laura Mulvey wurde das Begriffspaar Genre und Gender her-ausgestellt und im zeitgenössischen Geschlechter-Diskurs verortet. Das im Verlauf der Arbeit erarbeitete Wissen zu Gender, Sexualität, Körper und Geschlecht wurde als ein Gender-Genre-Hybrid verstanden und im Genre des queeren bzw. homosexuellen Melodrams (gay melodrama) neu verortet. Die drei Filme sind als ein Wiederbelebungsversuch bzw. ein Erweiterungsversuch des melodramatischen Genres unter dem Genderaspekt anzusehen. Die Analyse und Dekonstruktion feststehender Begriffe im Kontext der Gender- und Gay Studies und dem Queer Cinema lösen produktive Krisen und damit emanzipierte Verfahren aus. Diese müssen immer wieder neu beschrieben werden, damit sie wahrgenommen und verstanden werden. Daher sind die drei melodramatischen Literaturverfilmungen ein fiktionales Dokumentationsmodell gesellschaftlicher Konflikte, welches anhand individueller Schicksale verdeutlicht wird.
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Las prácticas de gimnasia en los gimnasios proponen-imponen, normalizan y naturalizan determinadas relaciones de poder-saber entre sus adeptos que, a partir de ellas, disciplinan y corrigen sus cuerpos pero no por ello necesariamente se hacen más libres y sapientes de sus prácticas y discursos corporales, de lo que hacen con sus propios cuerpos o de lo que piensan, sienten o dicen acerca de ellos. Cuando el poder se transforma en dominación, la educación corporal generada no permite resistencias ni cuestionamientos y lo que se adquiere no se transforma en herramienta crítica para gobernar las próximas elecciones corporales cotidianas. En este artículo se analizan, en primer lugar, algunos términos pertenecientes a Michel Foucault tales como sujeto, discurso, práctica, poder, dominación y disciplina; en segundo lugar, se examina el concepto de educación aportado por Inés Dussel y Marcelo Carusso. Por último se utilizarán todas estas aproximaciones conceptuales a modo de herramientas teóricas para establecer algunas conclusiones iniciales y provisorias que permitan la dinámica de algunas clases colectivas de gimnasia de un gimnasio de la ciudad de la Plata, en las cuales se recabaron datos empíricos con observación participante. Este trabajo forma parte de los estudios iniciales pertenecientes al proyecto de tesis perteneciente a la Maestría en Educación Corporal: "La gimnasia en los gimnasios, ni educación, ni física"
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Las prácticas de gimnasia en los gimnasios proponen-imponen, normalizan y naturalizan determinadas relaciones de poder-saber entre sus adeptos que, a partir de ellas, disciplinan y corrigen sus cuerpos pero no por ello necesariamente se hacen más libres y sapientes de sus prácticas y discursos corporales, de lo que hacen con sus propios cuerpos o de lo que piensan, sienten o dicen acerca de ellos. Cuando el poder se transforma en dominación, la educación corporal generada no permite resistencias ni cuestionamientos y lo que se adquiere no se transforma en herramienta crítica para gobernar las próximas elecciones corporales cotidianas. En este artículo se analizan, en primer lugar, algunos términos pertenecientes a Michel Foucault tales como sujeto, discurso, práctica, poder, dominación y disciplina; en segundo lugar, se examina el concepto de educación aportado por Inés Dussel y Marcelo Carusso. Por último se utilizarán todas estas aproximaciones conceptuales a modo de herramientas teóricas para establecer algunas conclusiones iniciales y provisorias que permitan la dinámica de algunas clases colectivas de gimnasia de un gimnasio de la ciudad de la Plata, en las cuales se recabaron datos empíricos con observación participante. Este trabajo forma parte de los estudios iniciales pertenecientes al proyecto de tesis perteneciente a la Maestría en Educación Corporal: "La gimnasia en los gimnasios, ni educación, ni física"
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Las prácticas de gimnasia en los gimnasios proponen-imponen, normalizan y naturalizan determinadas relaciones de poder-saber entre sus adeptos que, a partir de ellas, disciplinan y corrigen sus cuerpos pero no por ello necesariamente se hacen más libres y sapientes de sus prácticas y discursos corporales, de lo que hacen con sus propios cuerpos o de lo que piensan, sienten o dicen acerca de ellos. Cuando el poder se transforma en dominación, la educación corporal generada no permite resistencias ni cuestionamientos y lo que se adquiere no se transforma en herramienta crítica para gobernar las próximas elecciones corporales cotidianas. En este artículo se analizan, en primer lugar, algunos términos pertenecientes a Michel Foucault tales como sujeto, discurso, práctica, poder, dominación y disciplina; en segundo lugar, se examina el concepto de educación aportado por Inés Dussel y Marcelo Carusso. Por último se utilizarán todas estas aproximaciones conceptuales a modo de herramientas teóricas para establecer algunas conclusiones iniciales y provisorias que permitan la dinámica de algunas clases colectivas de gimnasia de un gimnasio de la ciudad de la Plata, en las cuales se recabaron datos empíricos con observación participante. Este trabajo forma parte de los estudios iniciales pertenecientes al proyecto de tesis perteneciente a la Maestría en Educación Corporal: "La gimnasia en los gimnasios, ni educación, ni física"
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Non-suicidal self-injury (NSSI), such as cutting and burning, is a widespread social problem among lesbian, gay, bisexual, transgender, queer, and questioning (LGBTQ) youth. Extant research indicates that this population is more than twice as likely to engage in NSSI than heterosexual and cisgender (non-transgender) youth. Despite the scope of this social problem, it remains relatively unexamined in the literature. Research on other risk behaviors among LGBTQ youth indicates that experiencing homophobia and transphobia in key social contexts such as families, schools, and peer relationships contributes to health disparities among this group. Consequently, the aims of this study were to examine: (1) the relationship between LGBTQ youth's social environments and their NSSI behavior, and (2) whether/how specific aspects of the social environment contribute to an understanding of NSSI among LGBTQ youth. This study was conducted using an exploratory, sequential mixed methods design with two phases. The first phase of the study involved analysis of transcripts from interviews conducted with 44 LGBTQ youth recruited from a community-based organization. In this phase, five qualitative themes were identified: (1) Violence; (2) Misconceptions, Stigma, and Shame; (3) Negotiating LGBTQ Identity; (4) Invisibility and Isolation; and (5) Peer Relationships. Results from the qualitative phase were used to identify key variables and specify statistical models in the second, quantitative, phase of the study, using secondary data from a survey of 252 LGBTQ youth. The qualitative phase revealed how LGBTQ youth, themselves, described the role of the social environment in their NSSI behavior, while the quantitative phase was used to determine whether the qualitative findings could be used to predict engagement in NSSI among a larger sample of LGBTQ youth. The quantitative analyses found that certain social-environmental factors such as experiencing physical abuse at home, feeling unsafe at school, and greater openness about sexual orientation significantly predicted the likelihood of engaging in NSSI among LGBTQ youth. Furthermore, depression partially mediated the relationships between family physical abuse and NSSI and feeling unsafe at school and NSSI. The qualitative and quantitative results were compared in the interpretation phase to explore areas of convergence and incongruence. Overall, this study's findings indicate that social-environmental factors are salient to understanding NSSI among LGBTQ youth. The particular social contexts in which LGBTQ youth live significantly influence their engagement in this risk behavior. These findings can inform the development of culturally relevant NSSI interventions that address the social realities of LGBTQ youth's lives.
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Background: The exploratory study is part of an evaluation of the pre-graduate teaching of communication skills (Lausanne Medical School). It is based on the data of a project highlighting the impact of individualized vs. group training for medicine students in breaking bad news to simulated patients who are diagnosed with cancer. The analysis of the video-taped interviews of the students (N=63) with the RIAS has shown a current usage of utterances such as I don't know if -you have any plans for the future / you have already heard about chemotherapy / ... or I don't know how -you are feeling today after this surgery / you like that all this stuff takes place / ...Aim: The present study questions the specificity of these assertive utterances used as questions (indirect), the specificity of their content, and their intentionality - specific vs. exploratory.Methods: The mentioned utterances are qualitatively analyzed (content analysis, intentionality analysis, etc).Results: 26 students (41%) used 1 to 6 times I don't know utterances during the interviews that contain 53 of such utterances in total. In contrast, they are atypical in an oncologist sample who conducted similar interviews (N=31; 4 oncologist used them 1 to 2 times). In more than half of the cases (29/53), simulated patients interpret I don't know questions as giving them a space to speak (open responses). Conclusions: The atypicality of the I don't know utterances in the oncologist sample may have linguistic explanations in terms of generational marker, but the specificity of the content suggests psychological explanations in terms of defense mechanism as well (marker of "toning down" or insecurity as regards the discussed topic).Keywords: Breaking bad news, communication skills, oncology, pre-graduate medical education, indirect questioning
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In this action research study of my sixth grade mathematics class, I investigated the influence a change in my questioning tactics would have on students’ ability to determine answer reasonability to mathematics problems. During the course of my research, students were asked to explain their problem solving and solutions. Students, amongst themselves, discussed solutions given by their peers and the reasonability of those solutions. They also completed daily questionnaires that inquired about my questioning practices, and 10 students were randomly chosen to be interviewed regarding their problem solving strategies. I discovered that by placing more emphasis on the process rather than the product, students became used to questioning problem solving strategies and explaining their reasoning. I plan to maintain this practice in the future while incorporating more visual and textual explanations to support verbal explanations.
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Mode of access: Internet.
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The definition and nomenclature used in queer theory have become distorted from their initial meanings and intents.
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Os séculos XX e XXI corresponderam ao agudizar de processos globalizantes potenciados pelas novas tecnologias, quer no âmbito comunicacional, quer industrial, sublinhando dinâmicas de desruralização e de construção de tecidos urbanos densos onde o anonimato se tornou possível na vivência de experiências, outrora reconduzidas ao silêncio do sujeito socialmente isolado. A diferença, enquanto experiência vivida, tornou-se comunitariamente possível, surgindo grupos que delimitam geograficamente determinadas áreas urbanas a que correspondem afinidades eróticas ou de práticas sexuais, inicialmente de gays e lésbicas. Quebra-se na prática a uni-direccionalidade entre sexo e género, entre sexo e sexualidade, questionando-se esquemas de relações assimétricas e modelos de pensamento enraizados (heterossexualidade, patriarcado, machismo, etc.). Rubin (1975 in Lewin 2006, in Vance, 1984) propõe a existência de dois sistemas diferenciados de sexo e género que tornam plausível, sob o ponto de vista analítico, a não correspondência entre sexo, género e sexualidade. O paradigma máximo desta autonomia sistémica alcança-se na construção de uma identidade travesti. Esta identidade mutante, mutável e instável parece acompanhar um mundo de fluxos intensos e interdependências múltiplas. É na sociedade global que as travestis encontram espaço para a vivência comunitária da sua experiência, constituindo-se como um grupo com práticas transnacionais, marcado pela mobilidade de género e geográfica, primeiramente dentro das fronteiras brasileiras e depois para a Europa. Cidade, prostituição e migração surgem como factores chave da disseminação geográfica e identitária desta comunidade. Este projecto tomado sob uma perspectiva global mantêm ou reinventa relações com a estrutura, que aparentemente as apaga enquanto actores sociais e da qual, aparentemente, se auto-excluem.