31 resultados para propiconazole
Resumo:
ABSTRACT Aspergillus fumigatus is one of the most prevalent airbone fungal pathogen and can cause severe fatal invasive aspergillosis in immunocompromised patients. Several antifungal agents are available to treat these infections but with limited success. These agents include polyenes (amphotericin B), echinocandins (caspofungin) and azoles, which constitute the most important class with itraconazole (ITC) and voriconazole as major active compounds. Azole-derived antifungal agents target the ergosterol biosynthesis pathway via the inhibition of the lanosterol 14α-demethylase (cyp51/ERG1 1), a cytochrome P450 responsible for the conversion of lanosterol to ergosterol, which is the main component of cell membrane in fungi. A. fumigatus is also found in the environment as a contaminant of rotting plant or present in composting of organic waste. Among antifungal agents used in the environment for crop protection, the class of azoles is also widely used with propiconazole or prochloraz as examples. However, other agents such as dicarboximide (iprodione), phenylamide (benalaxyl) or strobilurin (azoxystrobin) are also used. Emergence of clinical azole-resistant isolates has been described in several European countries. However the incidence of antifungal resistance has not been yet reported in details in Switzerland. In this study, the status of antifungal resistance was investigated on A. fumigatus isolates collected from Swiss hospitals and from different environmental sites and. tested for their susceptibility to several currently used antifungal agents. The data showed a low incidence of resistance for all tested agents among clinical and environmental isolates. Only two azole-resistant environmental isolates were detected and none among the clinical tested isolates. In general, A. fumigatus was susceptible to all antifungals tested in our study, except to azoxystrobin which was the less active agent against all isolates. Since mechanisms of antifungal resistance have been poorly investigated until now in A. fumigatus, this work was aimed 1) to identify A. fumigatus genes involved in antifungal resistance and 2) to test their involvement in the development of resistance in sampled isolates. Therefore, this work proposed to isolate A. fumigatus genes conferring resistance to a drug-hypersusceptible Saccharomyces cerevisiae strain due to a lack of multidrug transporter genes. Several genes were recovered including three distinct efflux transporters (atrF, atrH and mdrA) and a bZip transcription factor, yapA. The inactivation of each transporter in A. fumigatus indicated that the transporters were involved in the basal level of azole susceptibility. The inactivation of YapA led to a hypersusceptibility to H2O2, thus confirming the involvement of this gene in the oxidative stress response of A. fumigatus. The involvement of the abovementioned transporters genes and of other transporters genes identified by genome analysis in azole resistance was tested by probing their expression in some ITC-resistant isolates. Even if upregulation of some transporters genes was observed in some investigated isolates, the correlation between azole resistance and expression levels of all these transporters genes could not be clearly established for all tested isolates. Given these results, the present work addressed 1) alteration in the expression of cyp51A encoding for the azole target enzyme, and 2) mutation(s) in the cyp51A sequence as potential mechanisms of azote resistance in A. . However, overexpression of cyp51A in the investigated isolates was not linked with azote resistance. Since it was reported that mutation(s) in cyp51A were participating in azote resistance in A. fumigatus, a functional complementation of cyp51A cDNAs from ITC-resistant A. fumigatus strains in S. cerevisiae ergl 1 Δ mutant strain was attempted. Expression in S. cerevisiae allowed the testing of these cDNAs with regards to their functionality and involvement in resistance to specific azote compounds. We could demonstrate that Cyp51A protein with a G54E or M220K mutations conferred resistance to specific azoles in S. cerevisiae, therefore suggesting that these mutations were important for the development of azote resistance in A. fumigatus. In conclusion, this work showed a correlation between ITC resistance and mechanisms involving overexpression of transporters and cyp51A mutations in A. fumigatus isolates. However, azole resistance of some isolates has not been solved and thus it will be necessary to approach the study of resistance mechanisms in this fungal species using alternative methodologies. RESUME Aspergillus fumigatus est un champignon opportuniste répandu et est la cause d'aspergilloses invasives le plus souvent fatales chez des patients immunodéprimés. Plusieurs antifongiques sont disponibles afin de traiter ces infections, cependant avec un succès limité. Ces agents incluent les polyènes (amphotericin B), les échinocandines (caspofungin) et les azoles, qui représentent la plus importante classe d'antifongiques avec l'itraconazole (ITC) et le voriconazole comme principaux agents actifs. Les dérivés azolés ciblent la voie de biosynthèse de l'ergostérol via l'inhibition de la lanostérol 14α-demethylase (cyp51/ERG11), un cytochrome P450 impliqué dans la conversion du lanostérol en ergostérol, qui est un composant important de la membrane chez les champignons. A. fumigatus est également répandu dans l'environnement. Parmi les antifongiques employés en agriculture afin de protéger les cultures, les azoles sont aussi largement utilisés. Cependant, d'autres agents tels que les dicarboximides (iprodione), les phenylamides (benalaxyl) et les strobilurines (azoxystrobin) peuvent être également utilisés. L'émergence de souches cliniques résistantes aux azoles a été décrite dans différents pays européens. Cependant, l'incidence d'une telle résistance aux azoles n'a pas encore été reportée en détails en Suisse. Dans ce travail, l'émergence de la résistance aux antifongiques a été étudiée par analyse de souches d'A. fumigatus provenant de milieux hospitaliers en Suisse et de différents sites et leur susceptibilité testée envers plusieurs antifongiques couramment utilisés. Les données obtenues ont montré une faible incidence de la résistance parmi les souches cliniques et environnementales pour les agents testés. Seulement deux souches environnementales résistantes aux azoles ont été détectées et aucune parmi les souches cliniques. Les mécanismes de résistance aux antifongiques ayant été très peu étudiés jusqu'à présent chez A. fumigatus , ce travail a eu aussi pour but 1) d'identifier les gènes d' A. fumigatus impliqués dans la résistance aux antifongiques et 2) de tester leur implication dans la résistance de certaines souches. Ainsi, il a été proposé d'isoler les gènes d' A. fumigatus pouvant conférer une résistance aux antifongiques à une souche de Saccharomyces cerevisiae hypersensible aux antifongiques. Trois transporteurs à efflux (atrF, atrH et mdrA) et un facteur de transcription appartenant à la famille des bZip (YapA) ont ainsi été isolés. L'inactivation, dans une souche d'A. fumigatus, de chacun des ces transporteurs a permis de mettre en évidence leur implication dans la susceptibilité d'A. fumigatus aux antifongiques. L'inactivation de YapA a engendré une hypersusceptibilité à l' H2O2, confirmant ainsi le rôle de ce gène dans la réponse au stress oxydatif chez A . fumigatus. La participation dans la résistance aux antifongiques des gènes codant pour des transporteurs ainsi que d'autres gènes identifiés par analyse du génome a été déterminée en testant leur niveau d'expression dans des souches résistantes à l'ITC. Bien qu'une surexpression de transporteurs ait été observée dans certaines souches, une corrélation entre la résistance à l'ITC et les niveaux d'expression de ces transporteurs n'a pu être clairement établie. Ce présent travail s'est donc porté sur l'étude de 2 autres mécanismes potentiellement impliqués dans la résistance aux azoles : 1) la surexpression de cyp51A codant pour l'enzyme cible et 2) des mutations dans cyp51A. Cependant, la surexpression de cyp51A dans les souches étudiées n'a pas été constatée. L'effet des mutations de cyp51A dans la résistance aux azoles a été testée par complémentation fonctionnelle d'une souche S. cerevisiae déletée dans son gène ERG11. L'expression de ces gènes chez S. cerevisiae a permis de démontrer que les protéines Cyp51Ap contenant une mutation G54E ou M220K pouvaient conférer une résistance spécifique à certains azoles, ainsi suggérant que ces mutations pourraient être importantes dans le développement d'une résistance aux azoles chez A. fumigatus. En conclusion, ce travail a permis de mettre en évidence, dans des souches d'A. fumigatus , une corrélation entre leur résistance à l' ITC et les mécanismes impliquant une surexpression de transporteurs et des mutations dans cyp51A. Cependant, ces mécanismes n'ont pu expliquer la résistance aux azoles de certaines souches et c'est pourquoi de nouvelles approches doivent être envisagées afin d'étudier ces mécanismes.
Resumo:
A cultura do sorgo não enfrentava problemas sérios de doenças nas condições de cultivo no Brasil, até o ano de 1995, quando se registrou a ocorrência da doença-açucarada, causada por Claviceps africana, que afeta as panículas e reduz a quantidade e a qualidade dos grãos; os conídios constituem a principal fonte de inóculo fúngico. Este trabalho teve como objetivo estudar o efeito dos fungicidas tebuconazole, propiconazole, triadimenol, triadimefon, flutriafol e mancozeb na inibição in vitro da germinação dos conídios. Os fungicidas mancozeb, triadimenol e propiconazole foram os mais eficientes na inibição da germinação dos conídios.
Resumo:
O objetivo deste trabalho foi avaliar a interferência das doenças foliares na produtividade de duas cultivares de arroz irrigado, bem como determinar a interação entre ingredientes ativos e momento de aplicação, para o controle de escaldadura e mancha-marrom. Foram utilizados: tiofanato metílico, tebuconazole, azoxystrobin e trifloxystrobin + propiconazole, aplicados em cinco épocas, às cultivares IRGA 417 e El Passo L 144. Os parâmetros avaliados foram: severidade das doenças e rendimento de grãos. O controle químico proporcionou redução significativa na severidade das doenças, em ambas as cultivares, com reflexo no rendimento de grãos, e foi influenciado pelo produto e pela época de aplicação.
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Entre os problemas que afetam a bananicultura brasileira, a Sigatoka-amarela (Mycosphaerella musicola Leach) destaca-se como um dos mais graves, podendo causar perdas superiores a 50% na produção. O controle químico continua sendo uma das principais alternativas disponíveis. Por isto a utilização de um sistema de monitoramento que possa indicar o momento correto da aplicação dos fungicidas é uma alternativa importante para racionalizar seu uso. O objetivo deste trabalho foi definir o valor de soma bruta no sistema de pré-aviso biológico, que permita reduzir o número de aplicações anuais de defensivos capaz de controlar eficientemente a Sigatoka-amarela na região do Recôncavo Baiano. O ensaio foi conduzido na área experimental do Centro Nacional de Pesquisa de Mandioca e Fruticultura Tropical - Embrapa Mandioca e Fruticultura, da Empresa Brasileira de Pesquisa Agropecuária - EMBRAPA, no município de Cruz das Almas, BA. Testaram-se oito tratamentos, seis utilizando a soma bruta ( 1000; 1300; 1600; 1900; 2200 e 2500), o controle sistemático da doença a cada 21 dias e a testemunha controle. Esses tratamentos foram distribuídos em oito quadras de 48 plantas da cultivar Grande Naine, avaliando-se semanalmente dez plantas por tratamento, quanto à taxa de emissão foliar e incidência da doença nas folhas 2, 3 e 4, indicando a intensidade do estádio mais avançado da lesão presente nas mesmas. Os dados semanais foram usados para o cálculo das respectivas somas brutas, recomendando ou não a aplicação do fungicida (propiconazole 3mL mais 1L de óleo mineral) . Na colheita coletaram-se os dados de produção e severidade da doença. Apenas os tratamentos controle sistemático, soma bruta 1300 e soma bruta 1600 apresentaram produções estatisticamente diferentes da testemunha sem controle. Considerando a produtividade obtida e o número de aplicações de fungicidas, requeridas durante o ciclo, foi concluído que, para as condições do Recôncavo Baiano, a aplicação do sistema de pré-aviso biológico para o controle químico da Sigatoka-amarela, deve utilizar o valor de Soma Bruta 1600 como indicador da época correta de realização das pulverizações. Nesta condição, houve uma redução de treze para oito aplicações anuais, ou seja, 40% menos defensivos aplicados, sem perda na produtividade.
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Avaliou-se a eficácia de fungicidas para o controle da helmintosporiose (Bipolaris incurvata) do coqueiro, em condições de campo. O experimento foi conduzido em Ocauçu - SP, em plantas com 8 meses de idade. Foram realizadas três pulverizações com intervalo quinzenal, utilizando-se de 600 litros de calda/ha, com os ingredientes ativos: prothioconazole (0,100 e 0,150 L/ha), tebuconazole (0,150 e 0,200 L/ha) e propiconazole (0,125 e 0,250 L/ha). A primeira pulverização foi realizada em plantas com sintomas foliares da doença, de modo que todas as plantas avaliadas tinham as folhas velhas como fonte de inóculo. O controle proporcionado pelos ingredientes ativos, foi avaliado em folhas jovens que, sob condições climáticas favoráveis, foram suscetíveis ao ataque do patógeno. Constatou-se que todos os fungicidas e doses utilizados foram eficientes no controle da helmintosporiose (Bipolaris incurvata).
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O presente estudo objetivou avaliar a eficiência do ingrediente ativo difenoconazole, em diferentes doses, comparando-as com outros ingredientes ativos, no controle da podridão peduncular em manga 'Tommy Atkins'. O delineamento experimental utilizado foi o de blocos casualizados, com quatro repetições de nove plantas cada. Os tratamentos foram compostos pelos seguintes fungicidas e doses de princípio ativo: difenoconazole (75; 100; 125 mL.ha-1), azoxistrobina (80 g.ha-1), acrescido de 0,05% de nonifenol etoxilado, clorotalonil (1.237,5 g.ha-1), propiconazole (100 mL.ha-1); e testemunha, sem aplicação de fungicida. Foram realizadas seis aplicações, com intervalo de 15 dias, sendo a primeira na floração plena. Na colheita, foram amostrados aleatoriamente 25 frutos por parcela, os quais foram mantidos em condição ambiente por 15 dias. Não houve diferença significativa entre as doses testadas, porém todos os tratamentos diferiram da testemunha. O difenoconazole apresentou resultado satisfatório em todas as doses utilizadas, podendo ser recomendado no controle desta doença.
Resumo:
The development of analytical methods for determination of eight pesticides of different chemical classes (trichlorfon, propanil, fipronil, propiconazole, trifloxystrobin, permethrin, difenoconazole and azoxystrobin) in sediments with gas chromatography-micro-electron capture detector (GC/µECD) and comprehensive two-dimensional gas chromatography with micro-electron capture detector (GCxGC/µECD) is described. These methods were applied to real sediment samples, and the best results were obtained using a 5% diphenyl-methylpolysiloxane column for 1D-GC. For GCxGC the same column was employed in the first dimension and a 50%-phenyl-methylpolysiloxane stationary phase was placed in the second dimension. Due to the superior peak capacity and selectivity of GCxGC, interfering matrix peaks were separated from analytes, showing a better performance of GCxGC.
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Visando avaliar a eficiência de quatro fungicidas no controle monitorado da mancha preta (Cercosporidium personatum) e verrugose (Sphaceloma arachidis) do amendoim (Arachis hypogaea), cv.'Tatu', foram conduzidos quatro ensaios em Ribeirão Preto e Pindorama, SP (1996 e 1997. Os tratamentos foram: testemunha, sem controle químico; controle convencional, com quatro pulverizações de clorotalonil, a cada l4 dias, iniciando entre 41 e 43 dias do plantio; e controle monitorado, com clorotalonil e os triazóis tebuconazole, difenoconazole e propiconazole, nas doses recomendadas pelos fabricantes para a cultura. No controle monitorado a primeira pulverização foi realizada quando a incidência da mancha preta foi de 5 a 15% e as demais, com o intervalo mínimo de 14 dias entre as aplicações, após três dias, seguidos ou não, com ocorrências de precipitações pluviais superiores a 2,5 mm, durante períodos de sete dias. A intensidade da mancha preta (área sob a curva de progresso da doença) foi obtida por avaliações semanais com escalas diagramáticas de índice de área foliar infetada, durante o ciclo da cultura. A severidade da verrugose foi avaliada aos 84-92 dias do plantio, com escala específica de notas de um a quatro, em função dos sintomas exibidos nas hastes e pecíolos. No controle monitorado houve redução de uma a três pulverizações e os triazóis foram mais eficientes que o clorotalonil, resultando em rendimentos próximos aos do tratamento com quatro pulverizações fixas. O tebuconazole propiciou maior redução na intensidade da mancha preta, enquanto que o difenoconazole destacou-se pela eficiência no controle da verrugose.
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Onze fungicidas foram analisados in vitro e seus efeitos testados em campo para o controle de Colletotrichum acutatum, agente da flor-preta do morangueiro (Fragaria X ananassa). Os tratamentos (campo) foram (dosagens de i.a/100 l): iprodione (75 ml), benomil (100 g), tebuconazole (50 ml), tiofanato metílico (70 g), prochloraz (100 ml), propiconazole (50 ml), mancozeb (200 g), folpet (270 g), sulfato de cobre (200 g) e chlorotalonil (200 g), em pulverizações semanais (protetores) e quinzenais (sistêmicos). Foram avaliados a produção de frutos e o número de flores com sintoma de queima. Nos testes de fungitoxicidade in vitro, estudou-se o crescimento micelial, a germinação de conídios e a formação de apressórios. Nos testes in vitro foram utilizadas as concentrações de 1 e 10 ppm de i.a. para todos os fungicidas e posteriormente testadas as concentrações de 0,01, 0,1 e 1 ppm para os mais eficientes, e 10, 50 e 100 ppm para os menos eficazes. Os que resultaram em maior inibição micelial em baixas concentrações foram prochloraz e tebuconazole e os que menos inibiram o crescimento micelial foram sulfato de cobre, clorotalonil e folpet. Para inibir a germinação conidial mostraram-se mais eficientes chlorotalonil, tebuconazole, prochloraz e benomil, e para inibir a formação de apressórios, chlorotalonil e benomil. Os resultados de campo diferiram parcialmente dos testes in vitro: prochloraz e sulfato de cobre apresentaram os menores percentuais de flores doentes (53-55%), enquanto benomil apresentou 100% de ataque. Embora prochloraz, seguido de iprodione, folpet e mancozeb tenham resultado em maiores produções, nenhum fungicida controlou a doença satisfatoriamente.
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Dois experimentos foram conduzidos em Londrina/PR para avaliar a eficácia de fungicidas e suas misturas no controle do oídio (Microsphaera diffusa) da soja (Glycine max). Uma aplicação dos produtos foi feita no estádio R4 da soja cv. EMBRAPA 48. Os melhores resultados foram obtidos com os seguintes fungicidas: tebuconazol-1 e tebuconazol-2, carbendazim-1 e carbendazim-2 (produtos comerciais diferentes). Teste 1 - tebuconazol-2 (150 g i. a./ha), prochloraz + propiconazol (225 + 62,5), propiconazole + carbendazim-1 (50 + 175) e tebuconazol-1 + propiconazol (75 + 62,5); Teste 2 - carbendazim-1 (250), carbendazim-2 (250) e tebuconazol-2 (100).
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Este trabalho objetivou testar a eficiência da hidroterapia e de alguns fungicidas no controle da antracnose causada por Colletotrichum musae e verificar o seu efeito na evolução da cor de frutos de banana (Musa spp.) 'Prata'. Buquês foram atomizados com C. musae (2,5 x 10(6) esporos/ml em água) e imersos 24 h depois em água a 45 ºC, 50 ºC e 53 ºC, durante 0, 10, 15 e 20 min. Outros buquês foram imersos por 3 min nos fungicidas tebuconazole, procloraz, difenoconazole e propiconazole nas doses de 0, 62,5, 100, 125 e 250 mg.l-1. Nos frutos tratados a 45 ºC por 20 min (5, 10 ou 15 min foram ineficientes) a incidência da doença foi de um fruto infetado por buquê. A exposição dos frutos a 50 ºC por 20 min reduziu a área lesionada em 85% e a 53 ºC por 15 e 20 min, os frutos apresentaram uma área lesionada de aproximadamente 3% e 0%, respectivamente. Frutos não tratados apresentavam 53% da área lesionada aos 12 dias de armazenamento. Os fungicidas procloraz em doses de 100, 125 e 250 mg.l-1, e propiconazole a 250 mg.l-1 foram os mais eficientes no controle da doença. Os frutos estavam sadios após 15 dias de armazenamento, enquanto que a testemunha apresentava aproximadamente 60% da área do fruto lesionada. Em armazenamentos de até 12 dias, o fungicida tebuconazole a 250 mg.l-1, procloraz a 62,5 mg.l-1 e propiconazole a 62,5, 100 e 125 mg.l-1 reduziram a área lesionada dos frutos para 1 a 3%. O fungicida difenoconazole foi ineficiente no controle da antracnose.
Efeito da severidade de oídio e crestamento foliar de cercospora na produtividade da cultura da soja
Resumo:
Ensaios de campo foram conduzidos na safra 2002/03, com as cultivares de soja (Glycine max) BRS 133 e BR 16, visando quantificar o efeito das doenças foliares na produtividade da cultura. O delineamento experimental foi blocos ao acaso com seis tratamentos (diferentes níveis de doença) e quatro repetições, sendo cada repetição formada por parcelas de 18 m². Diferentes épocas e números de aplicações de fungicida (difenoconazole + propiconazole) foram utilizados para criar um gradiente de doença. Foram realizadas avaliações semanais da severidade de doenças e do índice de área foliar, utilizando o analisador de dossel (Li-Cor®). A produtividade foi quantificada nos 4 m² centrais das parcelas. As doenças predominantes no ensaio foram oídio e crestamento de cercospora. A severidade de doença, nos estádios R6 (vagens com sementes verdes que preenchem totalmente a cavidade), e R7 (início a 50% de amarelecimento de folhas e vagens) apresentou uma correlação negativa significativa com a produtividade, utilizando-se regressão linear. As variáveis integrais área abaixo da curva de progresso da doença (AACPD), obtida a partir da integração das curvas de progresso das doenças, e duração da área foliar sadia (DAFS), obtida a partir da integração do índice de área foliar sadia, foram relacionadas à produtividade, havendo correlação negativa com AACPD, utilizando-se regressão linear (R²=0,67 para BRS 133 e 0,69 para BR16) e positiva com DAFS, utilizando-se o modelo monomolecular (R²=0,76 para BRS 133 e 0,62 para BR 16).
Resumo:
A mancha-marrom (MM) e a mancha-reticular (MR), causadas pelos fungos Bipolaris sorokiniana e Pyrenophora teres, respectivamente, são as principais doenças foliares da cevada (Hordeum vulgare). A taxa de expansão da lesão pode ser um componente importante do progresso destas doenças. Em casa de vegetação e em campo, avaliou-se a expansão de lesão em cultivares de cevada, diante da aplicação preventiva ou curativa de um fungicida triazol (ciproconazole + propiconazole) e uma estrobilurina (azoxistrobim). O tamanho médio das lesões (MM) aumentou de 2,2 a 4,9 mm², com maior incremento entre 14 e 30 dias após a inoculação. As cultivares MN 698 e EMB 128 apresentaram taxas de expansão de lesão maiores que os demais. O tratamento preventivo com fungicida protegeu as plantas de infecção por B. sorokiniana por até 21 dias. Aplicações curativas, realizadas um, dois, quatro, seis, oito, dez ou 12 dias após a inoculação, determinaram lesões iniciais maiores (até 0,68 mm²) e mais numerosas (até 3,9 por folha), com ação apenas sobre a esporulação do fungo. Em campo, somente as primeiras aplicações, iniciadas entre 46 e 60 dias após a emergência das plantas, reduziram o tamanho das lesões de MR e a área abaixo da curva de progresso da doença (AACPD), com aumento no rendimento de grãos. Como os fungicidas apresentaram pouco ou nenhum efeito curativo sobre a expansão da lesão, sugere-se reavaliar as recomendações de controle baseadas em severidade de doença.
Resumo:
O objetivo deste trabalho foi estudar o efeito de fungicidas e da adubação de cobertura na severidade do crestamento gomoso do caule, em melancia (Citrullus lanatus). Foram conduzidos dois ensaios fatoriais em campo, no Projeto Formoso, Tocantins, em delineamento de blocos ao acaso com quatro repetições, e parcelas experimentais de 30 x 10 m. Para o ensaio I, os tratamentos (fator a) constaram dos seguintes ingredientes ativos de fungicidas/100 l de água ou ha: (1) mancozeb (MANC)-160,2 ml, (2) tiofanato metílico (TM)-49 g, (3) carbendazim-500 ml, (4) tebuconazole-20 g, (5) difenoconazole (DIFE)-75 ml, (6) tiofanato metílico-40 g + clorotalonil-100 g, (7) oxicloreto de cobre-168 g, (8) trifloxistrobina-87,5 g + propiconazole-87,5 g, (9) mancozeb-80 ml + difenoconazole-37,2 ml e (10) testemunha. No fator b, estudou-se a adubação de cobertura (N-K) nos níveis de 30-20 e 90-60 kg/ha. A severidade da doença nas folhas foi avaliada com uma escala de notas de 0 a 9. Para o ensaio II, repetiram-se os tratamentos do fator a, enquanto o fator b (níveis de adubação), foram: 60-40 e 120-80 kg/ha de N-K. Nos dois ensaios as menores Áreas Abaixo da Curva de Progresso de Doença (AACPD) foram obtidas com MANC + DIFE, TM + clorothalonil, MANC, trifloxistrobina + propiconazole e oxicloreto de cobre. A adubação de cobertura não influenciou a severidade da doença. As produtividades mais altas foram obtidas com TM + clorotalonil, MANC + DIFE e MANC que diferiram estatisticamente do DIFE, testemunha e trifloxistrobina + propiconazole.
Resumo:
O objetivo deste estudo foi avaliar o efeito da termoterapia (56 ºC por 6 min) e quimioterapia (propiconazole 250 ml.l-1) associado com temperatura de armazenamento (temperatura ambiente, 18 ºC e 13 ºC) no controle de podridões de bananas (Musa spp.) 'Prata-Anã' (AAB) em pós-colheita. Os tratamentos apresentaram diferenças significativas na percentagem de área lesionada por fruto, perda de peso e coloração externa da casca em todas as temperaturas de armazenamento. A quimioterapia e a combinação termoterapia e quimioterapia evitaram a manifestação de podridões nas três condições de armazenamento, enquanto a termoterapia reduziu a percentagem de área lesionada por fruto de 98% para 11% em temperatura ambiente, de 8% para 7% em 18 ºC e de 10% para 0% em 13 ºC, sendo mais eficiente sob a temperatura de 13 ºC. Frutos não tratados perderam 25%, 10% e 3% de peso e atingiram a cor 7, 5 e 1 em temperatura ambiente, 18 ºC e 13 ºC, respectivamente. Frutos tratados com termoterapia e quimioterapia perderam 24, 11 e 5% e 20, 10 e 3%, e atingiram índice médio de cor 4 e 3,5, respectivamente. O período de conservação foi estendido para 18, 24 e 45 dias em temperatura ambiente, 18 ºC e 13 ºC, respectivamente. A combinação dos métodos evitou a manifestação de podridões, reduziu a perda de peso e manteve a cor da casca e a qualidade dos frutos.