Iniciativas de mujeres gestoras de paz en Colombia

La búsqueda de alternativas que frenen eficazmente las consecuencias del conflicto armado en Colombia, es una labor que algunos ex mandatarios han liderado debido a los perjuicios que ocasionan no solo al núcleo familiar, sino en gran medida a la mujer. Ella es una de las víctimas de la violencia por ser líder comunitaria, por dirigir una fundación, ó por tener algún familiar vinculado a la Policía, el Ejército o a un grupo al margen de la ley. Todas estas condiciones, propias del conflicto armado, vulneran los derechos de la mujer pero, al mismo tiempo, impulsa a que ellas hagan uso de sus experiencias negativas con el fin de minimizar las problemáticas sociales y el impacto de la violencia en sus vidas. Este trabajo periodístico desarrolla cuatro reportajes mediante el uso de cuestionarios con preguntas a profundidad y es complementado con un video, con el propósito de destacar la lucha y la labor de cuatro gestoras de paz, quienes utilizan diferentes estrategias como la creación de movimientos sociales, la utilización de marchas o plantones, la divulgación de talleres sobre el perdón y reconciliación, o la construcción de un Banco del Trueque, para contrarrestar la violencia de la que son objeto. Se concluye que el papel de la mujer, como constructora de paz, no puede ser clasificado en un único objetivo, sino debe entenderse como la suma de múltiples prioridades debido a que el conflicto armado afecta de diferente manera a la mujer, a su familia, y a su comunidad. Su capacidad de liderazgo y de entrega hace que su labor sea de suma importancia pues su huella beneficia a toda la sociedad. Hay que destacar que el desafío de esta nueva gestora consiste en visibilizar su trabajo para ganar mayor reconocimiento político, promover su participación en acuerdos de paz, y minimizar las situaciones que ponen en riesgo su vida y la de sus organizaciones.

The Christmas shrine; or, The makers of peace

Mode of access: Internet.

Alternatives to peace keeping in Korea: the role of non-state actors and face-to-face encounters

Korea is one of the world's most volatile areas, not least because traditional UN mediation and peacekeeping missions are impossible. Having intervened in the Korean War on behalf of the southern side, the UN is a party to the conflict, rather than a neutral arbiter. The situation is particularly problematic because political interactions are characterized by a high degree of state-control over security policy. In both parts of the peninsula the state has, at least until recently, exercised the exclusive right to deal with the opponent on the other side of the hermetically divided peninsula. Given these domestic and international constrains, alternative approaches to conflict resolution are urgently needed. The recently proliferating literature on human security offers possible solutions, for it urges policy makers to view security beyond the conventional military-based defence of the state and its territory. Using such a conceptual framework, the essay assesses the potential significance non-state interactions between North and South, particularly those that promote communication, information exchange and face-to-face encounters. Even though these interactions remain limited, they are of crucial importance, for they provide an opportunity to reduce the stereotypical threat images that continue to fuel conflict on the peninsula.

Building peace by supporting post-conflict electoral processes

Les élections post-conflit ou élections de sortie de crise organisées sous l’égide de la communauté internationale en vue de rétablir la paix dans les pays sortant de violents conflits armés ont un bilan mixte caractérisé par le succès ou l’échec selon les cas. Ce bilan mitigé représente le problème principal auquel cette recherche tente de répondre à travers les questions suivantes : l’assistance électorale étrangère est-elle efficace comme outil de rétablissement de la paix dans les sociétés post-conflit? Qu’est ce qui détermine le succès ou l’échec des élections post-conflit à contribuer efficacement au rétablissement de la paix dans les sociétés déchirées par la guerre? Pour résoudre cette problématique, cette thèse développe une théorie de l’assistance électorale en période post-conflit centrée sur les parties prenantes à la fois du conflit armé et du processus électoral. Cette théorie affirme que l’élément clé pour le succès des élections post-conflit dans le rétablissement de la paix est le renforcement de la capacité de négociation des parties prenantes à la fois dans le processus de paix et dans le processus électoral post-conflit. Dans les situations post-conflit, une assistance électorale qui se voudrait complète et efficace devra combiner à la fois le processus électoral et le processus de paix. L’assistance électorale sera inefficace si elle se concentre uniquement sur les aspects techniques du processus électoral visant à garantir des élections libres, transparentes et équitables. Pour être efficace, l’accent devra également être mis sur les facteurs supplémentaires qui peuvent empêcher la récurrence de la guerre, tels que l’habilité des individus et des groupes à négocier et à faire des compromis sur les grandes questions qui peuvent menacer le processus de paix. De fait, même des élections transparentes comme celles de 1997 au Liberia saluées par la communauté internationale n’avaient pas réussi à établir des conditions suffisantes pour éviter la reprise des hostilités. C’est pourquoi, pour être efficace, l’assistance électorale dans les situations de post-conflit doit prendre une approche globale qui priorise l’éducation civique, la sensibilisation sur les droits et responsabilités des citoyens dans une société démocratique, le débat public sur les questions qui divisent, la participation politique, la formation au dialogue politique, et toute autre activité qui pourrait aider les différentes parties à renforcer leur capacité de négociation et de compromis. Une telle assistance électorale fera une contribution à la consolidation de la paix, même dans le contexte des élections imparfaites, comme celles qui se sont détenues en Sierra Leone en 2002 ou au Libéria en 2005. Bien que la littérature sur l’assistance électorale n’ignore guère l’importance des parties prenantes aux processus électoraux post-conflit (K. Kumar, 1998, 2005), elle a fortement mis l’accent sur les mécanismes institutionnels. En effet, la recherche académique et professionnelle est abondante sur la réforme des lois électorales, la reforme constitutionnelle, et le développement des administrations électorales tels que les commissions électorales, ainsi que l’observation électorale et autres mécanismes de prévention de la fraude électorale, etc. (Carothers & Gloppen, 2007). En d’autres termes, les décideurs et les chercheurs ont attribué jusqu’à présent plus d’importance à la conception et au fonctionnement du cadre institutionnel et des procédures électorales. Cette thèse affirme qu’il est désormais temps de prendre en compte les participants eux-mêmes au processus électoral à travers des types d’assistance électorale qui favoriseraient leur capacité à participer à un débat pacifique et à trouver des compromis aux questions litigieuses. Cette approche plus globale de l’assistance électorale qui replace l’élection post-conflit dans le contexte plus englobant du processus de paix a l’avantage de transformer le processus électoral non pas seulement en une expérience d’élection de dirigeants légitimes, mais aussi, et surtout, en un processus au cours duquel les participants apprennent à régler leurs points de vue contradictoires à travers le débat politique dans un cadre institutionnel avec des moyens légaux et légitimes. Car, si le cadre institutionnel électoral est important, il reste que le résultat du processus électoral dépendra essentiellement de la volonté des participants à se conformer au cadre institutionnel et aux règles électorales.

Women during Aldermaston Peace march 1965

Women with placards and banners during Aldermaston Peace march 1965. The march covered the distance between Ipswich and Brisbane, Australia, walked in relays covering approximately two miles each. Most relay sections were sponsored by one or more individual organisations.

Peace march 1964 Brisbane Australia

Marchers during the 1964 peace march, Brisbane, Australia, holding banners and placards

Bill Hayden at the Aldermaston Peace March in 1965

Bill Hayden at the Aldermaston Peace March in 1965. The march covered the distance between Ipswich and Brisbane, Australia. Marchers walked in relays covering approximately two miles each. Most relay sections were sponsored by one or more individual organisations.

Aldermaston Peace March April 5 1964 Brisbane Australia

Three men and a woman during Aldermaston Peace March, April 5 1964 in Brisbane Australia. The march covered the distance between Ipswich and Brisbane, Australia. Marchers walked in relays covering approximately two miles each. Most relay sections were sponsored by one or more individual organisations. Convoy of Volkswagon Beetles and FB Holdens can be seen following them. Facades of Elphinstones store, Masonic Centre and St Andrews can be seen on the left with the People's Palace in the distance and the Central Railway Station on the right.

Women during Aldermaston Peace March, Brisbane Australia 1964

Marchers with placards and aprons during Aldermaston Peace March, April 5 1964, Brisbane Australia. The march covered the distance between Ipswich and Brisbane, Australia. Marchers walked in relays covering approximately two miles each. Most relay sections were sponsored by one or more individual organisations.

Inala Darra Peace Committee during Hiroshima Day 1964, Brisbane

Members of the Inala Darra Peace Committee during Hiroshima Day 1964, Brisbane.

Graceville and District Peace Committee members with banner during Hiroshima Day 1964, Brisbane

Graceville and District Peace Committee members with banner during Hiroshima Day 1964, Brisbane, Australia.

Aldermaston Peace March participants 1965, Brisbane, Australia

Aldermaston Peace March participants 1965, Brisbane. The march covered the distance between Ipswich and Brisbane, Australia. Marchers walked in relays covering approximately two miles each. Most relay sections were sponsored by one or more individual organisations.

Women and children during Aldermaston Peace march 1965

Women and children with placards and banners during Aldermaston Peace march 1965. The march covered the distance between Ipswich and Brisbane, Australia, walked in relays covering approximately two miles each. Most relay sections were sponsored by one or more individual organisations.

Women wearing peace aprons during Peace march in Brisbane, Australia 1963

Women wearing peace aprons during Peace march in Brisbane, Australia 1963. Cars can be seen in the background.

Marchers holding banner declaring For their sake fight for peace during the 1963 Peace March, Brisbane, Australia

Marchers holding banner during Peace march in Brisbane, Australia 1963. Tram and car can be seen in the background. Banner declares For their sake fight for peace, their future is in your hands.