7 resultados para parentification
Resumo:
This chapter investigates counselling interactions where young clients talk about their experiences of taking on family responsibilities normatively associated with parental roles. In research counselling literature, practices where relationships in families operate so that there is a reversal of roles, with children managing the households and caring for parents and siblings, is described as parentification. Parentification is used in the counselling literature as a clinician/researcher term, which we ‘respecify’ (Garfinkel, 1991) the tem by beginning with an investigation of young clients’ own accounts of being an adult or parent and how counsellors orient to these accounts. As well as providing understandings of how young people propose accounts of their experiences of adult-child role reversal, the chapter contributes to understanding how children and young people use the resources of counselling helplines, and how counselors can communicate effectively with children and young people.
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Background: Children’s representations of mothers in doll-play are associated with child adjustment. Despite the importance of fathers for children’s adjustment, especially in the context of maternal psychopathology, few studies have considered children’s representations of their fathers. Method: We examined the portrayal of fathers by 5-year-old children of depressed (N = 55) and non-depressed (N = 39) mothers in a doll-play procedure concerning family experience. Results: Children gave equal prominence in their play to mothers and fathers. Representations of fathers were unrelated to maternal mood, but were associated with parental conflict. Representations of child care for the father that was unreciprocated predicted poor child adjustment in school, but only in children exposed to maternal postnatal depression. Conclusions: It may be clinically useful to consider children’s distinctive representations of their mother and father; but the concept of parentification in relation to risk and resilience effects requires refinement.
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This article explores how children see their relationships, particularly their sibling relationships, in families affected by domestic violence (DV) and how relationality emerges in their accounts as a resource to build an agentic sense of self. The ‘voice’ of children is largely absent from the DV literature, which typically portrays them as passive, damaged and relationally incompetent. Children’s own understandings of their relational worlds are often overlooked, and consequently, existing models of children’s social interactions give inadequate accounts of their meaning-making-in-context. Drawn from a larger study of children’s experiences of DV and abuse, this article uses two case studies of sibling relationships to explore young people’s use of relational resources, for coping with violence in the home. The article explores how relationality and coping intertwine in young people’s accounts and disrupts the taken-for-granted assumption that children’s ‘premature caring’ or ‘parentification’ is (only) pathological in children’s responses to DV. This has implications for understanding young people’s experiences in the present and supporting their capacity for relationship building in the future.
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L’exposition à la violence conjugale est une forme répandue de mauvais traitement psychologique envers l’enfant dont les conséquences néfastes sont maintenant bien connues. Les enfants ne sont pas tous affectés de la même manière par la violence conjugale et peuvent présenter différents profils d’adaptation. Des recherches de plus en plus nombreuses suggèrent l’importance de variables médiatrices qui permettent d’établir le lien entre l’exposition à la violence conjugale et l’adaptation de l’enfant. Toutefois, peu d’études permettent encore de préciser les relations entre ces variables, ni de connaître la pertinence de ces variables pour un profil d’adaptation particulier. Cette thèse, comprenant deux études empiriques, visait deux objectifs principaux. La première étude avait pour objectif d’examiner les liens entre le point de vue de l’enfant sur la violence conjugale et sur ses relations familiales, deux facteurs reconnus comme des médiateurs entre la violence conjugale et l’adaptation de l’enfant. Il était prévu que le point de vue de l’enfant sur la violence, pouvant se refléter par le blâme que l’enfant s’attribue pour la violence, sa perception de menace et sa peur d’être abandonné par ses parents, prédit son point de vue sur ses relations familiales, étudié sous l’angle de la parentification et des conflits de loyauté de l’enfant. Cette étude a été menée auprès de 79 enfants âgés de 8 à 12 ans et vivant avec leur mère dans un refuge pour femmes violentées. Les résultats révèlent que le blâme et la peur d’abandon prédisent la parentification et que la peur d’abandon prédit aussi les conflits de loyauté. L’objectif de la deuxième étude était de dégager des profils d’adaptation parmi les enfants exposés à la violence conjugale et d’identifier les facteurs qui leur sont associés. Ces facteurs renvoient à l’expérience de violence de l’enfant, à son point de vue sur la violence, à la qualité de la relation mère-enfant et à la parentification. Cette étude a été menée auprès de 116 enfants âgés entre 8 et 12 ans vivant en maison d’hébergement pour femmes victimes de violence conjugale ou fréquentant d’autres organismes offrant des services aux familles confrontées à la violence conjugale. Les résultats révèlent la présence de quatre profils d’adaptation : troubles extériorisés seulement, troubles intériorisés seulement, troubles à la fois extériorisés et intériorisés et absence de problème apparent. Ces quatre profils se distinguent selon la présence d’abus physique envers l’enfant, la qualité de la relation mère-enfant, le point de vue de l’enfant sur la violence et le degré de parentification de l’enfant. Les résultats sont discutés en fonction de l’apport respectif des parents et de l’enfant dans le développement de la parentification et des conflits de loyauté chez l’enfant exposé à la violence conjugale. La discussion souligne également la variabilité des manifestations de la détresse des enfants exposés à la violence conjugale. Les facteurs associés aux différents profils d’adaptation laissent entrevoir les besoins des enfants appartenant à un profil particulier et permettent de suggérer des liens entre ces facteurs.
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La relation mère-enfant est une variable déterminante de l’adaptation de l’enfant exposé à la violence conjugale. Toutefois, les rares études qui analysent simultanément le point de vue de la mère et celui de l’enfant au sujet de la qualité de leur relation révèlent peu de liens entre eux. La présente étude vise à identifier les variables associées à l’écart dans l’évaluation que la mère et l’enfant victimes de violence conjugale font de la qualité de leur relation. Au total, 117 mères victimes de violence conjugale et leur enfant âgé entre 8 et 12 ans ont participé à l’étude. Conformément aux hypothèses, plusieurs variables déjà liées à la qualité de la relation mère-enfant en contexte de violence conjugale sont associées aux différences de points de vue. C’est le cas pour les troubles extériorisés de l’enfant, son degré de parentification, la détresse de la mère et les troubles intériorisés de l’enfant. En revanche, l’intensité de la violence conjugale, la présence d’abus physique et le sexe de l’enfant ne prédisent pas de manière significative les écarts de point de vue entre la mère et l’enfant. La discussion montre l’intérêt de prendre en compte non seulement le point de vue de la mère et celui de l’enfant à propos de leur relation mais également leurs écarts de point de vue et les facteurs qui y contribuent.
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Im Mittelpunkt der Arbeit steht die Frage, ob bei psychogenen Störungen Geschwistererfahrungen klinische Relevanz haben und ob die erfahrene Geschwisterposition und –konstellation auch im Erwachsenenalter psychodynamisch wirksam ist. Die Arbeit gliedert sich in drei Teile. Im ersten Teil werden in einem metatheoretischen Vorgehen psychoanalytische Konzepte, psychoanalytische Entwicklungstheorien aus der Objekt- und Selbstpsychologie und empirische Forschungsergebnisse zur Geschwisterbeziehung vorgestellt. Darauf aufbauend werden Annahmen formuliert, welche psychodynamischen Konflikte sich in einer pathologischen Entwicklung als psychische Störungen im Erwachsenenalter manifestieren können.Im zweiten Teil der Arbeit werden acht Einzelfälle psychoanalytischer Behandlungen von erwachsenen Patienten unterschiedlicher Geschwisterpositionen und -konstellationen dargestellt, die die in Teil 1 beschriebenen pathogenen Geschwistereinflüsse illustrieren. In den untersuchten Einzelfällen ist die erfahrene Geschwisterposition der Patienten konfliktbesetzt und psychodynamisch wirksam gewesen. Dabei haben die Erfahrungen mit den primären Objekten die Basis für die pathologische Beziehungsdynamik der Geschwister gebildet. Den dritten extra-klinisch empirischen Teil der Arbeit stellt eine explorative Pilotstudie dar, die ebenfalls das Ziel verfolgt, persistierende Geschwisterkonflikte in ihren langandauernden Effekten zu explorieren. Es handelt sich um eine Dokumentenanalyse von 215 Patientenakten aus einer psychosomatischen Klinik. Aus den Akten werden als Variablen ICD - und OPD - Diagnosen als auch inhaltsanalytisch ermittelte psychodynamische Konflikte herausgefiltert und mit den Variablen Geschwisterposition und –konstellation korreliert. Dabei wird erstens der Frage nachgegangen, ob es in den Akten von psychisch erkrankten Patienten zwischen Einzel- und Geschwisterkindern Unterschiede in Bezug auf die Diagnosen und hinsichtlich der formulierten psychodynamischen Konflikte gibt. Zweitens geht es um eine weitergehende Exploration dieser Variablen in Bezug auf die erfahrene Geschwisterposition bzw. –konstellation. Es zeigt sich, dass die ICD-10 Diagnostik aufgrund ihres deskriptiven Charakters und ihrer psychiatrischen Orientierung wenig brauchbar ist, diesbezügliche Hypothesen zu formulieren. Im Unterschied zur ICD-10 ergibt sich in Bezug auf die OPD-Diagnostik, besonders aber in Hinsicht auf die psychodynamischen Konflikte ein differenzierteres Bild. So sind z.B. Parentifizierung am häufigsten von Einzelkindern und Erstgeborenen benannt worden. Gleichzeitig berichten Patienten, die mit Geschwistern aufgewachsen sind, am stärksten von erlebtem emotionalem Mangel in der Familie. Unter Dominanzkonflikten leiden die Patienten am meisten, die als jüngstes Kind aufgewachsen sind. Bei Patienten mit der jüngsten und mittleren Geschwisterposition ist als weiteres Beispiel auffallend oft Altruismus ermittelt worden. Fazit der Arbeit ist, dass ungelöste Geschwisterkonflikte langandauernde Effekte haben können und dass - im Gegensatz zur Birth-Order-Forschung - die Variable der Geschwisterposition unter Berücksichtigung geschlechtsspezifischer Aspekte als ein intra- und interpsychisches dynamisches Geschehen begriffen werden kann.