148 resultados para palatine fenestra


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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)

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Introduction : L’expansion palatine rapide assistée chirurgicalement (EPRAC) est une option de traitement privilégiée chez les patients ayant atteint la maturité squelettique et présentant une déficience transverse du maxillaire. L’effet bénéfique de l’EPRAC sur la fonction respiratoire est régulièrement mentionné, toutefois, encore peu d’études ont évalué son impact sur les voies aériennes supérieures. L’objectif de cette étude clinique prospective comparative consistait à évaluer les effets tridimensionnels de l’EPRAC sur la cavité nasale, le nasopharynx et l’oropharynx à l’aide de la tomodensitométrie. Méthodologie : L’échantillon était constitué de 14 patients (5 hommes, 9 femmes) dont l’âge moyen était de 23,0 ± 1,9 ans (16 ans 4 mois à 39 ans 7 mois). Tous ont été traités avec un appareil d’expansion de type Hyrax collé et l’expansion moyenne a été de 9,82 mm (7,5 - 12,0 mm). Tous ont eu une période de contention d’une année avant le début de tout autre traitement orthodontique. Une évaluation par tomodensitométrie volumique à faisceau conique a été réalisée aux temps T0 (initial), T1 (6 mois post-expansion) et T2 (1an post-expansion) et le volume des fosses nasales, du nasopharynx et de l’oropharynx ainsi que les dimensions de la zone de constriction maximale de l’oropharynx ont été mesurés sur les volumes tridimensionnels obtenus. Résultats : Les résultats radiologiques ont démontré une augmentation significative du volume des fosses nasales et du nasopharynx ainsi qu’une augmentation de la zone de constriction maximale de l’oropharynx à 6 mois post-expansion. Par la suite, une portion du gain enregistré pour ces trois paramètres était perdue à un an post-EPRAC sans toutefois retourner aux valeurs initiales. Aucun effet significatif sur le volume de l’oropharynx n’a été observé. De plus, aucune corrélation significative entre la quantité d’expansion réalisée et l’ensemble des données radiologiques n’a été observée. L’analyse de la corrélation intra-classe a démontré une excellente fiabilité intra-examinateur. Conclusions : L’EPRAC entraîne un changement significatif du volume de la cavité nasale et du nasopharynx. L’EPRAC ne modifie pas le volume de l’oropharynx, par contre, un effet significatif sur la zone de constriction maximale de l’oropharynx est noté. Les effets observés n’ont pas de corrélation avec le montant d’activation de la vis d’expansion.

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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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Introduction : Le bruxisme du sommeil est un désordre du mouvement décrit comme un mouvement involontaire de la mastication durant le sommeil. Cette parafonction est observée dans 14-38% de la population pédiatrique. Un lien a été trouvé entre les événements respiratoires et les épisodes de bruxisme. L’expansion palatine rapide (EPR) est un traitement orthopédique effectué chez les enfants en croissance pour régler un manque transverse squelettique du maxillaire supérieur. Quelques études ont observé que l’apnée obstructive du sommeil a été diminuée par un traitement d’expansion palatine rapide. Objectifs : Étant donné que le bruxisme est en lien avec des événements respiratoires et que l’expansion palatine rapide augmente la dimension des cavités nasales, l’objectif de la présente étude est d’évaluer la possible réduction du bruxisme après le traitement d’expansion rapide. Méthodes : Ce projet pilote est une étude clinique randomisée contrôlée de patients consécutifs qui a inclus 27 enfants (8-14 ans, 8 garçons et 19 filles) avec ou sans bruxisme du sommeil. Tous ces patients sont venus à la clinique d’orthodontie de l’Université de Montréal et présentaient un manque transverse du maxillaire supérieur (au moins 5 mm). Dans le cadre de l’étude, les patients devaient passer un enregistrement polysomnographique ambulatoire avant le traitement d’expansion palatine (T0) et après l’activation de l’appareil d’expansion (T1). Résultats : Les résultats démontrent une diminution du bruxisme chez 60% (9 patients) de nos patients bruxeurs. L’interaction entre le traitement et les groupes (Br et Ctl) s’est avérée significative (p=0,05 ANOVA mesures répétées), et démontre une diminution du bruxisme chez les bruxeurs (p=0,04, t-test paire). Les médianes (min, max) du groupe avec bruxisme sont passées de 3,11 (2,06; 7,68) à 2,85 (0,00; 9,51). Les paramètres de sommeil sont restés stables (Stade N1/N2/N3, REM, efficacité du sommeil), ainsi que les paramètres respiratoires et le ronflement. Conclusion : Une réduction du bruxisme a été observée lors de cette étude, mais un échantillonnage plus grand est nécessaire pour conclure.

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The median palatine cyst is a rare benign nonodontogenic lesion that attacks the median palatine suture. There is controversy about its pathogenesis; however, its origin is generally attributed to the enclavement of epithelial remnants within the palatine suture between the 2 lateral maxillary processes during their fusion in the origin of the hard palate. The purpose of this report was to relate a case of a median palatine cyst, discussing the rarity of the lesion, its pathogenesis, and the different modalities that could be used for the correct treatment of this pathologic entity.

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In order to examine the effects of alcohol on the hard palatine mucosa of rats, sixty adult female rats (Rattus norvegicus albinus) were divided into two experimental groups. The control group received solid diet (Purina rat chow) and tap water ad libitum. The alcoholic group received the same solid diet and was allowed to drink only sugar cane brandy dissolved in 30% Gay Lussac (v/v). At the end of periods of 90, 180 and 270 days of treatment, the animals at estro were sacrificed and the hard palatine mucosa were prepared for TEM and SEM methods. The basal cells of the alcoholic groups (90, 180 and 270 days of treatment) demonstrated some alterations: the intercellular spaces between these cells were higher, presented cytoplasmatic lipid droplets and autolysis. Also, the connective tissue showed intense lipid droplets accumulation in the alcoholic groups. These modifications suggested that chronic alcohol ingestion was able to modify the integrity of the cells in the rat hard palatine mucosa.

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Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico (CNPq)

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The three-dimensional structure of the lamina propria of the hard and soft palatine mucosa of the nine-banded armadillo was observed by scanning electron microscopy. Sodium hydroxide cell maceration method was applied to demonstrate the architecture of the connective tissue papillae. The palatine mucosa of the armadillo had a triangular shape and measured appr. 6.5 cm length. The hard palate showed 9 transverse palatine plicae while the soft palate was smooth. In the 10% NaOH treated specimens, the lamina propria of the hard palatine mucosa showed numerous connective tissue papillae with a general finger-like shape. These structures were composed by a meshwork of collagen fibers arranged in several directions. on the other hand, the connective tissue papillae of the soft palate mucosa were scattered and small. Numerous openings of glandular ducts with circular or elliptical shape were located in the interplicae area and in the soft palate.

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Solitary fibrous tumor (SFT) is an uncommon mesenchymal neoplasm that usually arises in the pleura. Although this tumor has been described in other sites, including the head and neck area, in the oropharynx it is extremely rare. We report the first case of a SFT arising from the palatine tonsil of a 62-year-old man. The tumor consisted of spindle-shaped cells distributed in a haphazard pattern and presented atypical histological features such as hypercellular areas and high mitotic count. Immunohistochemical studies showed strong positivity for CD34 and bcl-2, and weak positivity for desmin. Smooth muscle actin, S-100 protein and cytokeratines were negative. The patient was well without disease 1 year after surgery.

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The CL/P are the most common and easily recognizable craniofacial malformations with a complex etiology that requires the involvement of genetic and environmental components. The analysis of the genetic component shows more than 14 loci and genes involved in the onset of the disease. I’ve selected and investigated some of the possible candidate genes for CL/P. MYH14 gene, that maps on chromosome 19, on the OFC3 locus, and shows a strong homology with MYH9 gene. I’ve also investigated TP63 and MID1 genes, that are responsible respectively for EEC syndrome and Opitz syndrome, both of them presenting cleft. I’ve also decided to investigate JAG2 because TP63 product regulates the this gene, and both of them are component of the Notch signalling pathway. I’ve, also, studied the MKX and LMO4 genes. MKX is an important development regulator that is highly expressed in palatal mesenchyme, and map in the region responsible for Twirler mutation that cause cleft in mouse. LMO4 is necessary for neural tube development and cooperating with Grhl3, promotes cellular migration during morphogenetic events like “in utero” cleft healing. Low folate levels and high levels of homocysteine increase the risk of cleft, genes involved in their metabolism may be of interest in cleft occurrence. I’ve decided to investigate BHMT and CBS genes coding for enzymes involved in homocysteine metabolism. I’ve also investigated BHMT2 gene that maps close to BHMT and presents with him a 73% of homology. I’ve performed a linkage analysis using SNPs mapping in the genes and their boundaries, for each gene, for MKX and LMO4 I’ve also performed a sequencing analysis. My results for MID1 and CBS genes support the hypothesis of a possible role of these genes in cleft. I’ve found borderline association values for JAG2, MKX and LMO4 genes.