5 resultados para muséographie


Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Il y a aussi des chapitres en français. There are also chapters in English. Cap. 1. El complicado arte de exponer. Iñaki Arrieta Urtizberea. Cap. 2. “Esta exposición no es para este museo”. Las salas permanentes del Museu Valencià d’Etnologia. Joan Segui. Cap. 3. Debunking, Decentralizing and Dissonance: Cultural Jamming @ Museum of Vancouver. Viviane Gosselin. Cap. 4. L’exposition des objets de cultures autochtones aujourd’hui, gain ou perte de sens? Le cas de l’exposition « C’est notre histoire... » au Musée de la civilisation de Québec. Daniel Arsenault et Nadine Desbiens. Cap. 5. El Born de Barcelona: exposiciones conmemorativas, límites, problemas y desafíos. Francesc Xavier Hernàndez Cardona. Cap. 6. Silencios y omisiones: narrando y exhibiendo la historia nacional. Magdalena Mieri. Cap. 7. Exhibiting the Commons. The Case of Tensta konsthall. Haizea Barcenilla Garcia. Cap. 8. Interactividad y patrimonio. Retos, tendencias y líneas de futuro. Núria Serrat Antolí.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

L’objectif de ce mémoire est de porter un regard critique sur l’exposition du patrimoine culturel immatériel kanak, dernièrement proposée au musée du quai Branly. Ayant pour objet de corriger l’élitisme de l’eurocentrisme, le postcolonialisme est un courant de pensée qui vise à repositionner les acteurs et enjeux marginaux. Interdisciplinaire, le discours postcolonial suscite une pluralité de perspectives pour inclure la voix des « autres ». Dans notre étude, nous choisissons de traiter du propos dans un cadre singulier. Notre approche se consacrera à l’interprétation de l’ « autre » par le musée du quai Branly, de manière à comprendre comment, aujourd’hui, la particularité du patrimoine culturel kanak y est exposée. Ce mémoire se propose d’effectuer un retour sur la venue du quai Branly dans le cadre de quelques problèmes récurrents concernant la perception et le traitement de l’objet nonoccidental, retour qui semble nécessaire à l’établissement d’un bilan sur les pratiques expositionnelles du patrimoine culturel immatériel dans l’exposition « Kanak. L’art est une parole ». Pour ce faire, les enjeux soulevés seront abordés dans les perspectives de l’histoire de l’art, de l’anthropologie et de la muséologie. Par la muséographie qu’il met en place, le musée fait part au public de son parti-pris quant au discours didactique qu’il souhaite lui transmettre. Les choix effectués pour la mise en exposition et sa contextualisation expriment la définition que le musée donne aux objets qu’il contient. Le musée du quai Branly est un cas particulier. Promu au rang de musée d’ « art premier » à son ouverture, il expose des objets ethnographiques venus d’Afrique, d’Océanie, des Amériques ou encore d’Asie pour leurs qualités esthétiques. Loin de nos préceptes occidentaux, la difficulté de ce musée est de rendre compte de l’histoire de ces objets. L’exemple de l’expression artistique kanak soulève le fond du problème dans la mesure où elle prend forme à travers des ressources orales.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Cotutelle de thèse France-Québec : Université Paul-Valéry Montpellier 3 et Université de Montréal. Pour respecter les droits d’auteur, la version électronique de cette thèse a été dépouillée de certains documents visuels. La version intégrale de la thèse a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

La muséographie occidentale classique est remise en cause parce qu’elle n’est pas adaptée aux réalités africaines. Les musées africains se trouvent en déphasage avec leur public parce qu’ils sont trop accrochés à un passé sans rapport avec les réalités et les problèmes quotidiens comme la famine, la sécheresse, la pauvreté, l’éducation, la santé, etc.. Aussi les populations habituées à vivre et à ressentir leur culture ne fréquentent pas les musées en Afrique parce qu’elles pensent que ceux-ci ont "sclérosé" leur culture, "chloroformé" certaines de leurs valeurs patrimoniales. Face aux problèmes rencontrés par les musées en Afrique, nous assistons à l’émergence de nouveaux types de musées. C’est dans ce cadre que s’inscrit notre projet de construction de musées communautaires au Burkina Faso.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Une fois le mandat établi, l’entente contractuelle conclue sur la base du plan de travail, une évaluation sommaire de l’espace attribué, de la construction, de la localisation, de même que de la vocation du musée, des sources primaires de documentation et d’information, des objets disponibles, enfin de la taille et de la durée du projet, les professsionnels engagés pour préparer l’étude de programmation muséale soumettent, pour consultation, le Plan directeur. Le scénario thématique, le parcours muséographique prévisible, de même que les services se rattachant à l’accueil, permettent, dès le stade initial de l’étude, d’informer le milieu sur le parti adopté, d’apporter les corrections nécessaires avant l’étude détaillée des éléments proposés dans le plan de travail. Ce premier concensus sur le “ projet muséal” permettra, au besoin, d’appeler la collaboration du milieu par des mandats de recherché précis, confiés à des membres de la communauté, de préparer celui-ci à la gestion future du musée et de ses expositions (Portée formative de la démarche). Le Plan directeur, s’il est clairement énoncé, bien fondé, constitue le guide infailllible du processus de construction du projet, associant muséologie (Récit, thématique) et muséographie (Communication visuelle, didactique). Le Plan directeur a le grand avantage de réaliser une économie de temps, de cadrer le projet d’un coup d’oeil, de permettre de passer rapidement, sur des bases sûres et concensuelles, au stade de l’exécution, d’ en mesurer au préalable les coûts et les difficultés à résoudre. Le professionnel de musée, duement formé, en est le maître d’oeuvre privilégié.