886 resultados para mortality analysis
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Studies have demonstrated that public policies to support private firms’ investment have the ability to promote entrepreneurship, but the sustainability of subsidized firms has not often been analysed. This paper aims to examine this dimension specifically through evaluating the mortality of subsidized firms in the long-term. The analysis focuses on a case study of the LEADER+ Programme in the Alentejo region of Portugal. With this purpose, the paper examines the activity status (active or not active) of 154 private, rural, for-profit firms in Alentejo that had received a subsidy to support investment between 2002 and 2008 under the LEADER+ Programme. The methodology is based on binary choice models in order to study the probability of these firms still being active. The explanatory variables used are the following: (1) the characteristics of entrepreneurs and managers’ strategic decisions, (2) firm profile and characteristics, (3) regional economic environment. Data assessment showed that the cumulative mortality rate of firms on 31st December 2013 is over 20 %. Interpretation of the regression model revealed that he probability of firms’ survival increases with higher investment, firm age and regional business concentration, whereas the number of applications made by firms has a negative impact on their survival. So it seems that for subsidized firms the amount of investment is as important as its frequency.
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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BACKGROUND: In response to concerns expressed by workers at a public meeting, we analyzed the mortality experience of workers who were employed at the IBM plant in Endicott, New York and died between 1969-2001. An epidemiologic feasibility assessment indicated potential worker exposure to several known and suspected carcinogens at this plant. METHODS: We used the mortality and work history files produced under a court order and used in a previous mortality analysis. Using publicly available data for the state of New York as a standard of comparison, we conducted proportional cancer mortality (PCMR) analysis. RESULTS: The results showed significantly increased mortality due to melanoma (PCMR = 367; 95% CI: 119, 856) and lymphoma (PCMR = 220; 95% CI: 101, 419) in males and modestly increased mortality due to kidney cancer (PCMR = 165; 95% CI: 45, 421) and brain cancer (PCMR = 190; 95% CI: 52, 485) in males and breast cancer (PCMR = 126; 95% CI: 34, 321) in females. CONCLUSION: These results are similar to results from a previous IBM mortality study and support the need for a full cohort mortality analysis such as the one being planned by the National Institute for Occupational Safety and Health.
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Afin d'effectuer les classements et les analyses portant sur la mortalité selon la cause médicale de décès, il est d'usage d'utiliser uniquement la cause initiale de décès, qui représente la maladie ou le traumatisme ayant initié la séquence d'événements menant au décès. Cette méthode comporte plusieurs limites. L'analyse de causes multiples, qui a la qualité d'utiliser toutes les causes citées sur le certificat de décès, serait particulièrement indiquée pour mieux expliquer la mortalité puisque les décès sont souvent attribuables à plusieurs processus morbides concurrents. L'analyse des causes multiples de décès chez les personnes âgées au Québec pour les années 2000-2004 permet d'identifier plusieurs conditions ayant contribué au décès, mais n'ayant toutefois pas été sélectionnées comme cause ayant initié le processus morbide. C'est particulièrement le cas de l'hypertension, de l'athérosclérose, de la septicémie, de la grippe et pneumonie, du diabète sucré et de la néphrite, syndrome néphrotique et néphropathie. Cette recherche démontre donc l'importance de la prise en compte des causes multiples afin de dresser un portrait plus juste de la mortalité québécoise aux âges où se concentrent principalement les décès que le permet l'analyse de la cause initiale seule.
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Ce mémoire de recherche a pour objectif d’obtenir une mesure approximative de la mortalité des hommes médecins au Québec retenus dans l’étude. En plus d’analyser l’évolution de la mortalité de ces médecins pendant les périodes 1993-1998, 1999-2004 et 2005-2010, leur mortalité est comparée à celle de l’ensemble de la population masculine québécoise. Nous comparons également la mortalité des médecins omnipraticiens à celle des médecins spécialistes. Les données utilisées dans le cadre de ce mémoire proviennent d’un fichier administratif du Collège des médecins du Québec, qui contient des informations concernant un certain nombre de médecins qui ont obtenu un permis pour pratiquer la médecine au Québec, sans égard à leur statut au sein du Collège à la date de l’émission du fichier. Ces données n’ont pas été collectées à des fins statistiques et ainsi le fichier présente certaines limitations qui ont restreint nos analyses de mortalité, notamment le fait qu’elles ne nous fournissent pas la population à risque de décéder durant chacune des périodes étudiées. Cependant, même étant consciente que des biais se produiraient, nous avons calculé deux estimations de l’exposition au risque de mourir chez les médecins, en essayant de pallier le plus possible les limites du fichier. À partir de la première méthode de calcul, nous avons estimé les taux de mortalité par groupes quinquennaux d’âge entre 40 et 75 ans pour les médecins inscrits au tableau des membres. En contrepartie, à partir de la deuxième méthode de calcul, nous avons obtenu des taux de mortalité pour les mêmes groupes d’âge pour les médecins de tous statuts confondus et enregistrés dans le fichier de données. Nous croyons à des mesures acceptables de la mortalité des hommes médecins en autant qu’elle soit analysée en tenant compte de toutes les limites des données. Les résultats obtenus démontrent une diminution de la mortalité des hommes médecins d’une période à l’autre, mais les différences ne sont significatives que pour les groupes d’âge à partir d’environ 60 ans, surtout lorsque les taux des périodes 1993-1998 et 2005-2010 sont comparés. De plus, pour toutes les périodes analysées, la mortalité de l’ensemble de la population masculine québécoise s’avère plus élevée que celle des hommes médecins enregistrés dans le fichier de données et cela pour les deux méthodes de calcul de l’exposition au risque de décéder considérées. Finalement, cette étude ne montre pas de différence significative entre la mortalité des hommes médecins omnipraticiens et celle des hommes médecins spécialistes.
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The mite Varroa destructor (Anderson & Treuman 2000) has caused extensive damage to beekeeping worldwide. In Brazil, weather conditions and the strains of bees do not provide ideal conditions for mite parasitism, which is reflected in the low number of deaths of colonies caused by varroatosis well as the stability of infestation levels. The aim of this study was to evaluate the damage caused by the mite infestation in hives maintained in natural conditions. For this purpose the number of mites per bee was calculated and used to quantify the level of infestation in each colony. To record the mortality rates of parasitized bees during development daily checks were performed. The data were analyzed by G test of independence and a Test of Proportions. The results indicate that the rate of mortality of pupae and larvae was proportional to the degree of infestation in each colony, and all colonies showed mortality rates significantly higher than the control rate. A significant interaction among death rates recorded between the third and fourth days of larval life and the total death of larvae was found (G Test = 50.22; P < 0.0001). So, it can be concluded that bee inbreeding contributed significantly to the increase of the larval rate of mortality. In Africanized honeybee colonies infested by the mite Varroa destructor mortality rates in conditions of natural infestation varied from 6.65 to 9.89% in pupae (<(x)over bar>= 8.78%) and from 6.13 to 13.48% in larvae ((x) over bar = 9.91%), against 3.85% and 3.74% in the control colony, respectively. Therefore, in the infested colonies the average rates of mortality caused by the harmful effects of the mite were, respectively, 2.28 times and 2.65 times greater in those two developmental stages.
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Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico (CNPq)
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Mode of access: Internet.
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Pour chacun des cinq cancers, nous avons fait un rappel de l’épidémiologie en Amérique du Nord, des classifications et des facteurs pronostics, la description des études, l’étude commentée de la mortalité, et enfin la conclusion. L’étude du mélanome cutané a montré que les mélanomes sont assurables dès les premières années aux stades IA, IB, IIA et IIIA, aux stades IIB, IIC et IIIB après cinq ans et au stade IIIC après 15ans. L’étude du cancer broncho-pulmonaire a montré que le cancer à petites cellules n’est pas assurable et que les cancers broncho-pulmonaires non à petites cellules pourraient être assurables chez les moins de 65 ans aux stades IA à IIIA après dix ans, et chez les 65 ans et plus au stade IA dès les premières années, aux stades IB et IIA après cinq ans et aux stades IIB et IIIA après dix ans L’étude de la leucémie myéloïde chronique a montré l’assurabilité seulement des sujets de plus de 65 ans dès les premières années et des sujets de 60 à 65 ans après 5 ans. L’étude du lymphome de Hodgkin a montré que chez les sujets de moins de 45 ans le stade IA est assurable dès les premières années, les stades IB et IIA le sont après 5 ans et les stades IIB à IVA le sont après 10 ans. Les sujets de 45 à 64 ans aux stades IA et IIA sont assurables dès les premières années et autres stades après 5 ans. Les sujets de 65 ans et plus sont assurables dès les premières années aux stades IA à IIIA et après 5 ans aux autres stades. L’étude du cancer de l’endomètre montre qu’il n’est assurable les cinq premières années que pour le type I au stade I chez les femmes âgées de 45 ans et plus, au stade II chez les femmes de 55 ans et plus et au stade III chez les femmes de 65 ans et plus ; pour le type II au stade I chez les 65 ans et plus, et au stade II chez les 75 ans et plus ; et pour les tumeurs mullériennes malignes mixtes au stade I chez les 65 ans et plus.
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Pour chacun des cinq cancers, nous avons fait un rappel de l’épidémiologie en Amérique du Nord, des classifications et des facteurs pronostics, la description des études, l’étude commentée de la mortalité, et enfin la conclusion. L’étude du mélanome cutané a montré que les mélanomes sont assurables dès les premières années aux stades IA, IB, IIA et IIIA, aux stades IIB, IIC et IIIB après cinq ans et au stade IIIC après 15ans. L’étude du cancer broncho-pulmonaire a montré que le cancer à petites cellules n’est pas assurable et que les cancers broncho-pulmonaires non à petites cellules pourraient être assurables chez les moins de 65 ans aux stades IA à IIIA après dix ans, et chez les 65 ans et plus au stade IA dès les premières années, aux stades IB et IIA après cinq ans et aux stades IIB et IIIA après dix ans L’étude de la leucémie myéloïde chronique a montré l’assurabilité seulement des sujets de plus de 65 ans dès les premières années et des sujets de 60 à 65 ans après 5 ans. L’étude du lymphome de Hodgkin a montré que chez les sujets de moins de 45 ans le stade IA est assurable dès les premières années, les stades IB et IIA le sont après 5 ans et les stades IIB à IVA le sont après 10 ans. Les sujets de 45 à 64 ans aux stades IA et IIA sont assurables dès les premières années et autres stades après 5 ans. Les sujets de 65 ans et plus sont assurables dès les premières années aux stades IA à IIIA et après 5 ans aux autres stades. L’étude du cancer de l’endomètre montre qu’il n’est assurable les cinq premières années que pour le type I au stade I chez les femmes âgées de 45 ans et plus, au stade II chez les femmes de 55 ans et plus et au stade III chez les femmes de 65 ans et plus ; pour le type II au stade I chez les 65 ans et plus, et au stade II chez les 75 ans et plus ; et pour les tumeurs mullériennes malignes mixtes au stade I chez les 65 ans et plus.
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In this thesis, the relationship between air pollution and human health has been investigated utilising Geographic Information System (GIS) as an analysis tool. The research focused on how vehicular air pollution affects human health. The main objective of this study was to analyse the spatial variability of pollutants, taking Brisbane City in Australia as a case study, by the identification of the areas of high concentration of air pollutants and their relationship with the numbers of death caused by air pollutants. A correlation test was performed to establish the relationship between air pollution, number of deaths from respiratory disease, and total distance travelled by road vehicles in Brisbane. GIS was utilized to investigate the spatial distribution of the air pollutants. The main finding of this research is the comparison between spatial and non-spatial analysis approaches, which indicated that correlation analysis and simple buffer analysis of GIS using the average levels of air pollutants from a single monitoring station or by group of few monitoring stations is a relatively simple method for assessing the health effects of air pollution. There was a significant positive correlation between variable under consideration, and the research shows a decreasing trend of concentration of nitrogen dioxide at the Eagle Farm and Springwood sites and an increasing trend at CBD site. Statistical analysis shows that there exists a positive relationship between the level of emission and number of deaths, though the impact is not uniform as certain sections of the population are more vulnerable to exposure. Further statistical tests found that the elderly people of over 75 years age and children between 0-15 years of age are the more vulnerable people exposed to air pollution. A non-spatial approach alone may be insufficient for an appropriate evaluation of the impact of air pollutant variables and their inter-relationships. It is important to evaluate the spatial features of air pollutants before modeling the air pollution-health relationships.
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Catheter associated urinary tract infections (CAUTI) are a worldwide problem that may lead to increased patient morbidity, cost and mortality.1e3 The literature is divided on whether there are real effects from CAUTI on length of stay or mortality. Platt4 found the costs and mortality risks to be largeyetGraves et al found the opposite.5 A reviewof the published estimates of the extra length of stay showed results between zero and 30 days.6 The differences in estimates may have been caused by the different epidemiological methods applied. Accurately estimating the effects of CAUTI is difficult because it is a time-dependent exposure. This means that standard statistical techniques, such asmatched case-control studies, tend to overestimate the increased hospital stay and mortality risk due to infection. The aim of the study was to estimate excess length of stay andmortality in an intensive care unit (ICU) due to a CAUTI, using a statistical model that accounts for the timing of infection. Data collected from ICU units in lower and middle income countries were used for this analysis.7,8 There has been little research for these settings, hence the need for this paper.
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The impact of climate change on the health of vulnerable groups such as the elderly has been of increasing concern. However, to date there has been no meta-analysis of current literature relating to the effects of temperature fluctuations upon mortality amongst the elderly. We synthesised risk estimates of the overall impact of daily mean temperature on elderly mortality across different continents. A comprehensive literature search was conducted using MEDLINE and PubMed to identify papers published up to December 2010. Selection criteria including suitable temperature indicators, endpoints, study-designs and identification of threshold were used. A two-stage Bayesian hierarchical model was performed to summarise the percent increase in mortality with a 1°C temperature increase (or decrease) with 95% confidence intervals in hot (or cold) days, with lagged effects also measured. Fifteen studies met the eligibility criteria and almost 13 million elderly deaths were included in this meta-analysis. In total, there was a 2-5% increase for a 1°C increment during hot temperature intervals, and a 1-2 % increase in all-cause mortality for a 1°C decrease during cold temperature intervals. Lags of up to 9 days in exposure to cold temperature intervals were substantially associated with all-cause mortality, but no substantial lagged effects were observed for hot intervals. Thus, both hot and cold temperatures substantially increased mortality among the elderly, but the magnitude of heat-related effects seemed to be larger than that of cold effects within a global context.