927 resultados para mise en valeur
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Thèse réalisée dans le cadre d'une cotutelle avec l'Université Paul Cézanne Aix-Marseille III
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"Bibliographie": p. [xi]-xii.
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Les produits forestiers non ligneux (PFNL) rassemblent toutes exploitations sous couvert forestier. Ils excluent les produits issus de la fibre de bois et des produits de la faune. Le bleuet sauvage est un bon exemple de PFNL. Ces produits sont abondants au Québec. Le bleuet est un exemple de PFNL bien établi avec un niveau de commercialisation structurée de produits frais et de transformation. Au contraire, le marché des champignons forestiers tarde à se développer. À titre de produit agroforestier, les PFNL procurent des biens et services bénéfiques aux communautés productrices. La distribution des PFNL varie en fonction de facteurs géophysiques et bioclimatiques. Dans certaines régions du Québec, des groupes s'efforcent de développer des outils d’analyse et de modélisation spatiale conséquents. La géomatique procure des solutions pratiques pour l’identification et le suivi des PFNL. Entre autres, elle opère des données géospatiales spécialisées sur des systèmes d'information géographique (SIG). Ce projet de maîtrise repose sur la mise en place d’un portail participatif d’information géographique web. Il s'adresse à un large panel d’utilisateurs, notamment aux intervenants impliqués dans le développement durable des PFNL. Il offre la possibilité de visualiser et de manipuler des données spécialisées au cas des PFNL. Il propose de localiser les sites à fort potentiel de présence. Il cherche à intégrer des outils de validation de ces sites. Il tend aussi à procurer des outils qui accompagnent la production des utilisateurs. Le portail introduit des applications d’édition, d’analyse et de modélisations spatiales exclusives à la thématique des PFNL. Il abrite des couches de données interactives et interopérables. L'évaluation du portail passe par l’efficacité de ses applications et la convivialité de ses composantes. Ce rapport décrit et fait la démonstration de chacune d'elle.
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L’usine Niobec traite un minerai de pyrochlore porteur de niobium pour produire le ferro-niobium utilisé pour la fabrication d’acier. L’usine récupère environ 60% des minéraux de niobium. Les rejets contiennent du niobium et d’autres espèces minérales potentiellement valorisables. Les travaux présentés dans ce mémoire visent à identifier les espèces pouvant être valorisées dans les rejets de Niobec dont les plus prometteurs sont les éléments de terres rares, les minéraux de niobium et l’apatite. Dans le but de concentrer l’apatite des rejets de l’usine, une analyse chimique des rejets a permis de cibler comme flux d’intérêt les particules de dimension supérieure à 0,038mm dans le concentré de carbonates et les rejets du circuit de flottation du pyrochlore. La méthode utilisée pour valoriser les phosphates est la flottation. Les meilleurs résultats ont été obtenus par flottation directe des minéraux de phosphate du concentré de carbonates dans les rejets de Niobec. Le collecteur utilisé est un acide gras de type AERO 6493 avec un mélange d’amidon de tapioca et de NaOH utilisé comme déprimant pour les carbonates. Ces conditions ont permis de produire un concentré d’apatite titrant entre 30 à 32 % P2O5 avec un rendement de 50 à 60% du P2O5 contenue dans le concentré de carbonates. La teneur en MgO dans le concentré d’apatite est comprise entre 3 et 4% comparativement à 15% dans l’alimentation. Puisque le MgO est principalement associé à la dolomie ces résultats confirment une bonne dépression de ce minéral lors de la flottation de l’apatite du concentré de carbonates. La flottation de l’apatite à partir des rejets du pyrochlore n’a pas permis d’obtenir un concentré de valeur commerciale. Le meilleur résultat obtenu lors des essais de flottation sur les rejets pyrochlore correspond à une teneur de 14%avec un rendement de 53% P2O5. Les résultats obtenus montrent toutefois le potentiel associé à la récupération des minéraux de phosphates et justifient la poursuite des travaux, cette fois, moins exploratoires que les travaux rapportés dans ce mémoire.
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Cette recherche exploratoire examine le concept émergent de « paysage sous-marin » présenté sous la forme d’une étude cas — celui du jardin des Escoumins — situé dans le parc marin du Saguenay – Saint-Laurent, au Québec. On constate, depuis les dernières décennies, deux complications qui s’interposent au concept de paysage sous-marin puisque d’une part on examine un divorce entre les Québécois et le fleuve Saint-Laurent puis d’une autre on observe l’omission fréquente de sa reconnaissance dans la littérature géographique. En somme, deux questions de recherche en découlent, soit : Quels sont les procédés employés pendant le XXe et XXIe siècle dans la construction des paysages sous-marins au Québec ? et : Quel est le rôle des différents acteurs, et plus précisément celui des plongeurs, dans la mise en valeur et la reconnaissance du paysage sous-marin des Escoumins ? La recherche a été accomplie à travers une revue extensive de la littérature régionale et mondiale portant sur ce concept atypique. Par la suite, une enquête de 35 questions soumises à un échantillon de 73 plongeurs québécois a été analysée, ainsi que sept entrevues semi-dirigées avec des acteurs clefs du domaine. Puis, l’étude et la cartographie des relations spatiales entre les plongeurs et les lieux de prédilection de leur activité ont été réalisés. Les résultats démontrent des interrelations complexes entre les caractéristiques de construction de ces paysages sublimes (le territoire, la nordicité, la pratique d’une activité de loisir, la technologie, l’esthétisme ainsi que l’essor économique et touristique) et les acteurs clefs. Comme la « découverte » des paysages alpins au XVIIIe siècle en Europe, la lente mise en valeur des paysages sous-marins au Québec est causée par la marginalité des lieux. Ainsi, la reconnaissance des paysages subaquatiques est en pleine effervescence au Québec et l’intégration de ce concept en aménagement et en planification touristiques devient capitale.
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La Tunisie a été toujours considérée comme terre de rencontre de plusieurs civilisations, compte tenu de son emplacement stratégique et de son histoire très enracinée. En effet, depuis l’Antiquité ce pays a connu l’installation ou le passage de plusieurs ethnies, qui ont profondément marqué les trois milles ans de son Histoire en dépit de la période ou de la nature de l’occupation et dont les traces constituent aujourd’hui le patrimoine de ce pays. Cet héritage matériel et immatériel semble être parmi les plus riche de la Méditerranée, pour ce, plusieurs villes historiques et sites archéologiques ont été inscrites sur la liste du patrimoine mondial depuis plusieurs décennies. Plusieurs composantes de ce patrimoine furent l’objet de certains projets d’inventaire et d’études, de sauvegarde et de valorisation, tels les sites archéologiques libyques, puniques ou romains, ou même les villes arabo-islamiques. Plusieurs musées, circuits culturels et Parcs archéologiques furent crées. D’autres projets de mise en valeur sont en cours, tels ceux des villes et des villages andalous ou ceux des villages montagneux et des Ksours du sud tunisien… alors que le patrimoine architectural espagnol en Tunisie n’a pas eu jusqu’à présent l’intérêt qu’il mérite malgré son importance et son authenticité et doit être aujourd’hui sauvegardé, mis en valeur et intégré dans la vie patrimoniale et le les circuits culturels et touristiques de la région. Le présent travail réalisé dans le cadre du mémoire de master traite la problématique de la sauvegarde et la mise en valeur d’un monument de type défensif comme cas d’étude. Il s’agit de la Karraka, forteresse bâtie à la ville de la Goulette réagissant à son milieu comme un organisme vivant avec toutes ses variations et déformations de volumes et surtout dans cette typologie dite défensive en se concentrant sur le rôle magistral de la Karraka. L’objectif final de ce projet est de mettre en valeur la validité d’une perception dynamique du patrimoine à travers l’étude de ce monument défensif dans son contexte historique et géographique en particulier et l’essai sur l’histoire de la Goulette; ABSTRACT: Tunisia has always been considered as the meeting earth of several civilizations regarding its strategic position on its deep rooted history. Since the antiquity this country was known the installation or the passage of several ethnics which deeply marqued the three Milles years of its history despite the difficult period of the French occupation its traces are still the country's heritage. This tangible and intangible heritage seems to be among the richest in the Mediterranean in several historic towns and archaeological sites have been listed on the World Heritageas well List for several decades. Many components of this heritage were the object of some inventory projects and studies, Backup and recovery, such the archaeological sites Libyan, Punic, Roman, and even the Arab Islamic cities. Many museums created cultural tours and archaeological parks, we have also other development projects are on the way, such as the Andalusian villages and those of mountain villages and southern Tunisia Ksours….. While the heritage of Spanish architecture in Tunisia has no interest despite its importance and authenticity it must be saved, and it must integrated into the life and heritage and the cultural tours of the region. This work carried out under the master thesis deals with the problem of preservation and development of a defensive type of monument as a case study “ Karraka” This fortress was built in the city of « La Goulette » reacting to his environment as a living organism with all its variations and volume deformations and especially in this so-called defensive typology by focusing on the role of magisterial Karraka. The final objective of this project is to highlight the validity of a dynamic perception of heritage through the study of the defensive monument in its historical and geographical context in particular and the article on the history of « La Goulette ».
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A Associação da « Rachidi » trabalhou muito para preservar e valorizar a música Tunisiana desde o seu período de criação em 1934. Ela teve uma importante participação na educação musical, na disseminação do conhecimento musical e na organização de grandes concertos, assim como na elaboração de materiais escritos e na gravação das antigas canções. Nos dias de hoje, após 80 anos de trabalho, a Associação precisa que sua história e memória sejam preservadas. Desta forma, será apresentado um estudo sobre a "Rachidia", sua localização, seus personagens, sua música, seus instrumentos e sua orquestra, de um ponto de vista histórico capaz de colocar em evidência o patrimônio musical Tunisiano com ajuda da cenografia, museologia e da museografia. Na realidade será feito um programa científico para a elaboração de uma exposição temporária que destaque a música Tunisiana antiga em geral e em particular a « Rachidia ».