Maa, puut ja suku : maanomistus ja turismi Zanzibarin korallikivialueilla

Abstract

Frauen und AIDS in Tansania /// Arbeitspapiere / Institut für Ethnologie und Afrikastudien ; 60

Mehr als die Hälfte aller HIV-positiven Tansanier sind Frauen. Ihre schwächere gesellschaftliche Stellung ist einer der Faktoren, der dazu beiträgt, dass sie einem erhöhten Infektionsrisiko ausgesetzt sind. Aufgrund geringerer Bildungschancen und einer anhaltenden gesellschaftlichen Idealvorstellung von der Frau als Mutter sind Frauen auch auf dem Arbeitsmarkt benachteiligt. Im Kontext von HIV/AIDS werden afrikanische Frauen häufig als passive Opfer der Epidemie dargestellt und es wird zu selten aufgezeigt, wie sie als Akteure eigene Strategien im Kampf gegen die Krankheit entwickeln. In letzter Zeit gewinnen Frauenorganisationen an Bedeutung, denn viele Frauen wollen ausdrücklich eigenverantwortlich und ohne Männer arbeiten. Eine solche Organisation ist die in meiner Arbeit vorgestellte NGO KIWAMWAKU („Kikundi cha Wanawake Mwanga kupambana na Ukimwi“ – Vereinigung von Frauen aus Mwanga zum Kampf gegen AIDS). Meine Forschung hat gezeigt, dass Frauen ihre gesellschaftliche Stellung durch das Engagement in einer NGO verbessern können. Sie können ein eigenes Einkommen erwirtschaften und nützliche Kenntnisse etwa in der Führung einer Organisation erlangen. Allerdings profitieren nicht alle Beteiligten gleichermaßen. Die drei Leiterinnen der erforschten NGO verfügten über die meisten Vorteile; sie profitierten finanziell, aber auch ideell, denn sie genossen durch ihre Arbeit hohes Ansehen im gesamten Mwanga-Distrikt. Dagegen konnten einige der Klientinnen nur in sehr geringem Maße von Interventionen profitieren. Letztlich bin ich jedoch überzeugt davon, dass durch solche Frauenorganisationen ein wichtiger Prozess angestoßen worden ist, durch den Frauen mittel- oder langfristig eine stärkere Stellung innerhalb der tansanischen Gesellschaft erlangen können, was sich wiederum positiv auf die immer noch steigenden HIV/AIDS-Infektionsraten auswirken kann.

Auf Sansibar

Von Josef Scherer

Sansibar : ein ostafrikanisches Culturbild

von Karl Wilhelm Schmidt

Der Sansibar-Archipel : Ergebnisse einer ... 1895/96 ausgeführten Forschungsreise

von Oskar Baumann

Sansibar und das deutsche Ost-Afrika

von G. Westphal

Von Sansibar zum Tanganjika : Briefe aus Ostafrika

von Dr. Richard Böhm. Nach dem Tode des Reisenden mit einer biographischen Skizze herausgegeben von Herman Schalow

Dous phyllopodos, observados no Rio Grande do Norte

Le 19 juillet 1928 l'auteur trouva près de Natal, capitale de l'État de Rio Grande do Norte, a 5º 47' au sud de l'équateur, un nouveau Dendrocephalus qui portera le nom ornatus, dû a ses appendices caudales teints d'écarlate brillant. La femelle (Pl.1) atteint 12 mm. de longueur e contient des oeufs noirs dans sa cavité d'incubation. Le mâle, beaucoup plus robuste, atteint 16 mm. et montre, outre les caracteres sexuels, une modification extrémement compliquée des deuxièmes antennes (qui dans la planche II sont vues devant les premières). L'espèce est plus petite que les deux autres décrites de l'Amérique du Sud et se distingue facilement par les antennes du mâle. Elle fut trouvée au bord de la route dans une flaque large et profonde d'eau de pluie argileuse. Les exemplares rapportés moururent en quelques jours et la mare, lors d'une seconde visite, fut trouvé sèche. L'autre espèce, observée en 9. 7. 28 dans un étang naturel tout-près de la capitale, avait déjà été observée á Matto Grosso et en Paraguay et déterminée comme Cyclestheria hislopi BAIRD. THIELE pense que les individus de l'Amérique du Sud, pour cause de quelques petites différences, pour-raient nien former une autre espèce qu'il propose d'appeler sarsiana, mais la comparaison des desseins et descriptions avec mes exemplaires ne parait pas soutenir cette idée. Tout-de-mème la répartition connue de cette espèce est extrêmement curieuse et peut-être unique en zoologie. Elle a été signalée à Nagpur (Hindoustan), Ceylon, Queensland (Australie), Célèbes, Afrique orientale et Sansibar; seulement le premier lieu se trouve bien au nord de l'équateur, mais encore dans la zone tropicale, comme toutes les autres localités. L'explication de cette extension sur les deux mondes est tout ce qu'il a de plus difficile, puisque entre les localisations il n'y a pas seulement d'énormes distances sur terre (que l'on pourrait expliquer par un défaut d'observations), mais des espaces tres étendus, occupés par la mer. L'intervention de l'homme ne saurait expliquer ces faits et le transport par les oiseaux aquatiques ne pourrait être qu'un fait tout-a-fait excepcionnel pour les grands trajets océaniques. Le recours aux terres hypothétiques, qui formaient des ponts intercontinentaux dans des périodes géologiques extrêmement reculées, recontre des objections évidentes. En tous les cas on ne peut qu'admirer la constance avec laquelle le type de l'espèce s'est maintenu durant d'innombrales générations et a travers de telles distances quand les autres phyllopodes ont formé non seulement des variétés, mais même un grand nombre de genre et de familles.