998 resultados para literature modernity


Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

[EU]Liburuak erbesteratutako idazleen lanak aztertzen ditu, bereziki euskarazkoak. Gernika aldizkaria Gerra Zibiletik ihesi joandakoen biltokia izan zen Euskal Herrian. Aztertzen da modernitatea nola joan zen agertuz Gernika aldizkarian hiru belaunalditan, Octavio Pazen "Los hijos del limo" liburuko modernitatearen deskribapenaren laguntzaz. Horrez gain, aldizkariaren ibilbidea jasotzen da.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

A protagonista do presente trabalho, a Utopia, a arte do pensar-contra, foi apresentada e definida, nas sendas da Filosofia da Esperança de Ernst Bloch, como uma consciência antecipadora que não se conforma com o está-aí das coisas, com a realidade fática; e como um logos, linguagem-ação que cria furos no tempo saltando para-adiante, para o topos-outro. Negativa e Esperançosa, ela representa a verdade-de-fora: não é o irreal, pois existe. E a existência do topos de fora, o topos-outro, se justifica pelo fato de que a vida e o mundo não são sistemas fechados, porque seus horizontes estão em aberto: atravessados por possibilidades, ainda-não-são. Contra o que é estático, o que é fatal e fático, se posiciona o sonho utópico, abrindo espaços no fluxo do mesmo. Ao fazê-lo, cria duas frentes reciprocamente reais: o aqui-e-agora de quem sonha e o aqui-e-agora do sonho, o u-topos. Assim, tanto seu caráter de projeção ao porvir quanto, na sua base, o descontentamento com o atual, revelam seu comprometimento com o presente. Negando e afirmando a história, transformou-se em conteúdo e, sobretudo, forma, de Morus a Fourrier, de Marx a Orwell. E é por comprometer-se com o futuro, o presente e o passado, que, nos tempos sombrios do início do século XX, ela subverte a si mesma e faz vir ao mundo sua versão pessimista: a Distopia. Articulando e fazendo dialogarem as obras distópicas de Orwell, Aldous Huxley e Jerome K. Jerome com os pensamentos de Adorno, Marcuse, Horkheimer, Hannah Arendt, Karl Kraus e Walter Benjamin, tentamos encaminhar a pergunta originária da nossa pesquisa: é possível uma utopia pessimista? Será este pessimismo, ainda, uma Utopia?

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

Dans notre étude, nous cherchons à démontrer qu'Arthur Buies se présente comme le témoin d'une forme de modernité dans ses chroniques sur les régions qui sont publiées dans les années 1870 dans divers journaux puis rassemblées en trois recueils. En effet, nous nous appuyons sur l'idée qu'il observerait sensiblement les mêmes traits dans ses chroniques rurales que dans ses chroniques urbaines. Nous pensons aussi que les postures littéraires (Jérôme Meizoz) qu'il adopte permettent à Buies de transmettre - de manière formelle - sa vision de la modernité. Au terme de la recherche, il ressort que Buies, conscient de ce qu'est la modernité, juge qu'elle ne se trouve pas inéluctablement dans les villes. Pour lui, Paris et San Francisco sont modernes, alors que Québec ne l'est pas. De plus, pour lui, il existe bel et bien une forme de modernité dans les chroniques rurales, puisqu'il y observe sensiblement les mêmes traits que ceux qu'il relevait dans ses chroniques sur Paris et San Francisco. Aussi, Buies est-il convaincu que la colonisation au Québec stagne. Il en vient à ce constat lorsqu'il la compare à celle se produisant simultanément aux États-Unis. Toutefois, il remarque un certain progrès au cours de la décennie, insuffisant, selon lui, pour compenser l'absence de chemin de fer sur la rive nord du Saint-Laurent. Nous concluons, à partir de nos analyses, que les postures littéraires que Buies choisit - particulièrement celle du flâneur et celle du géographe - lui permettent de véhiculer les traits de la modernité dans l'écriture même de ses chroniques.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

L'objectif de cette recherche est de réfléchir à la notion de vrai dans l'économie discursive du témoignage. C'est-à-dire que ce mémoire se concentre sur le rapport entre le discours critique et académique d'une part, et le discours littéraire de l'autre. Une première partie s'attache à délimiter les contours de du problème, à partir notamment des notions de de vrai et de vraisemblable. Une étude comparative permet d'introduire trois auteurs qui serviront d'exemple tout au long de la recherche: Primo Levi, Jorge Semprun, et Charlotte Delbo. On fait un bref survol de l'évolution des deux économies discursives depuis les tout premiers témoignages (années 40-50) jusqu'au tournant narratif symbolisé par le procès Eichmann. Cela correspond aussi à la parution d'un témoignage à part: Le sang du ciel, de Piotr Rawicz. La seconde partie est un état de la question sur le roman de Rawicz. Comment le fait qu'il s'agisse d'une fiction, notamment, a été discuté par la critique et dans les contributions universitaires qui lui sont consacrées. Cette incursion dans l'herméneutique nous permet d'identifier trois vagues critiques distinctes, selon les époques et les pays. Enfin, la dernière partie s'attache à montrer que Le sang du ciel est un témoignage pensé comme un projet esthétique, dont la modernité ne cède pas à la facilité du refus de dire de quoi on parle, mais qui au contraire pose des questions de son temps et ose aborder les sujets que l'on doit taire selon la doxa.

Relevância:

40.00% 40.00%

Publicador:

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

This essay is an examination that, primarily comparativist in its approach, links publication materials from the temperance and Prohibition periods with the Big Book to show how AA's narrative antidotes to the traumas of modernity (sited in alcohol abuse) were as much the product of premodernist and turn-of-the-century hysteria as they were an attempt to write a new chapter in America's relationship with alcohol based on contemporary medical and social research.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

This thesis examines Death of a Ghost (1934), Flowers for the Judge (1935), Dancers in Mourning (1937), and The Fashion in Shrouds (1938), a group of detective novels by Margery Allingham that are differentiated from her other work by their generic hybridity. The thesis argues that the hybrid nature of this group of Campion novels enabled a highly skilled and insightful writer such as Allingham to negotiate the contradictory notions about the place of women that characterized the 1930s, and that in dOing so, she revealed the potential of one of the most popular and accessible genres, the detective novel of manners, to engage its readers in a serious cultural dialogue. The thesis also suggests that there is a connection between Allingham's exploration of modernity and femininity within these four novels and her personal circumstances. This argument is predicated upon the assumption that during the interwar period in England several social and cultural attitudes converged to challenge long-held beliefs about gender roles and class structure; that the real impact of this convergence was felt during the 1930s by the generation that had come of age in the previous decade-Margery Allingham's generation; and that that generation's ambivalence and confusion were reflected in the popular fiction of the decade. These attitudes were those of twentieth-century modernity--contradiction, discontinuity, fragmentation, contingency-and in the context of this study they are incorporated in a literary hybrid. Allingham uses this combination of the classical detective story and the novel of manners to examine the notion of femininity by juxtaposing the narrative of a longstanding patriarchal and hierarchical culture, embodied in the image of the Angel in the House, with that of the relatively recent rights and freedoms represented by the New Woman of the late nineteenth-century. Pierre Bourdieu's theory of social difference forms the theoretical foundation of the thesis's argument that through these conflicting narratives, as well as through the lives of her female characters, Allingham questioned the Hsocial myth" of the time, a prevailing view that, since the First World War, attitudes toward the appropriate role and sphere of women had changed.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

La présente étude conduit les traditions fragmentées de la culture littéraire de Trieste vers les préoccupations contemporaines de la littérature mondiale à l’époque actuelle où la mondialisation est largement perçue comme le paradigme historique prédominant de la modernité. Ce que j’appelle la « littérature globalisée » renvoie à la refonte de la Weltliteratur – envisagée par Goethe et traduite comme « world literature » ou la « littérature universelle » – par des discours sur la culture mondiale et le post-nationalisme. Cependant, lorsque les études littéraires posent les questions de la « littérature globalisée », elles sont confrontées à un problème : le passage de l’idée universelle inhérente au paradigme de Goethe entre le Scylla d’un internationalisme relativiste et occidental, et le Charybde d’un mondialisme atopique et déshumanisé. Les spécialistes de la littérature mondiale qui tendent vers la première position acquièrent un fondement institutionnel en travaillant avec l’hypothèse implicite selon laquelle les nations sont fondées sur les langues nationales, ce qui souscrit à la relation entre la littérature mondiale et les littératures nationales. L’universalité de cette hypothèse implicite est réfutée par l’écriture triestine. Dans cette étude, je soutiens que l’écriture triestine du début du XXe siècle agit comme un précurseur de la réflexion sur la culture littéraire globalisée du XXIe siècle. Elle dispose de sa propre économie de sens, de sorte qu’elle n’entre pas dans les nationalismes littéraires, mais elle ne tombe pas non plus dans le mondialisme atopique. Elle n’est pas catégoriquement opposée à la littérature nationale; mais elle ne permet pas aux traditions nationales de prendre racine. Les écrivains de Triestine exprimaient le désir d’un sentiment d’unité et d’appartenance, ainsi que celui d’une conscience critique qui dissout ce désir. Ils résistaient à l’idéalisation de ces particularismes et n’ont jamais réussi à réaliser la coalescence de ses écrits dans une tradition littéraire unifiée. Par conséquent, Trieste a souvent été considérée comme un non-lieu et sa littérature comme une anti-littérature. En contournant les impératifs territoriaux de la tradition nationale italienne – comme il est illustré par le cas de Italo Svevo – l’écriture triestine a été ultérieurement incluse dans les paramètres littéraires et culturels de la Mitteleuropa, où son expression a été imaginée comme un microcosme de la pluralité supranationale de l’ancien Empire des Habsbourg. Toutefois, le macrocosme projeté de Trieste n’est pas une image unifiée, comme le serait un globe; mais il est plutôt une nébuleuse planétaire – selon l’image de Svevo – où aucune idéalisation universalisante ne peut se réaliser. Cette étude interroge l’image de la ville comme un microcosme et comme un non-lieu, comme cela se rapporte au macrocosme des atopies de la mondialisation, afin de démontrer que l’écriture de Trieste est la littérature globalisée avant la lettre. La dialectique non résolue entre faire et défaire la langue littéraire et l’identité à travers l’écriture anime la culture littéraire de Trieste, et son dynamisme contribue aux débats sur la mondialisation et les questions de la culture en découlant. Cette étude de l’écriture triestine offre des perspectives critiques sur l’état des littératures canoniques dans un monde où les frontières disparaissent et les non-lieux se multiplient. L’image de la nébuleuse planétaire devient possiblement celle d’un archétype pour le monde globalisé d’aujourd’hui.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

In discussing the ideology of social inclusion, this paper demonstrates that the composition of community groups in a period of late modernity is worthy of consideration. Although it would appear, on the surface at least, that previously stable community institutions, such as family, organised religion, trade unions, occupation and residential stability, and so on, are being challenged by a broad rejection of the once powerful tool of tradition, society's attachment to a belief in the symbolic value of community remains strong. In an environment however, in which the interaction and interdependence of human activity is subject to continual re-evaluation as the current processes of industrialisation and globalisation unfold, the template of what constitutes 'community' may need to be re-defined. It is to this end that the present paper is concerned, in that it seeks to identify new community formations. Of particular interest, is the rise and reach of modern day 'social movements', and why, when analysing the subject from a macro-sociological perspective, they have come to assume such a pivotal role in occupying community spaces left vacant by the demise of traditional social institutions. The paper is exploratory in its focus, using relevant literature to posit some broad theoretical themes, with the aim of presenting such themes to encourage a shift in community debates away from traditional concerns about 'who' and 'how many', towards questions of why new community forms are emerging.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

This article retraces the “genealogy” of the fideist perspective in philosophy as well as literature, especially within the writings of Søren Kierkegaard and the novel Don Quixote. It contends that a demythologized perspective of the fideist-humanist sort, based upon Erasmian tolerance and intellectual creativity and updated with the insights of post-analytic theory (e.g., the work of Alasdair MacIntyre, Richard Rorty, and Jeffrey Stout), without revoking the vocabulary of transcendence, can reinforce the weathered but still valuable post-Enlightenment moral vocabulary, and can reiterate the humaneness of liberal hope without undue encumbrance from the dogmatic baggage of traditional theological jargon and metaphysics.