14 resultados para libertarianism
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This essay argues that libertarianism operates as a corporate ideology in the neoliberal age.
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The work of children’s liberationists have been long been critiqued for pushing the parameters of rights discourse too far; specifically, by suggesting that there are no significant differences between children and adults, including their ability for self-determination. John Holt’s 1974 text Escape from Childhood is one such work which was deemed highly controversial for its time. This article uses Holt’s Escape from Childhood as an overarching framework against which to examine the current state of play on children’s rights as explicated through the UN Convention on the Rights of the Child. It suggests that whilst Holt has often been critiqued for being too radical, in the context of current children’s rights discourse Holt’s visioning is not as radical as it might first appear.
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This article considers the idea of the ‘Big Society’ as part of a long-standing debate about the regulation of housing. Situating the concept within governance theory, the article considers how the idea of the Big Society was used by the UK coalition government to justify a radical restructuring of welfare provision. The fundamental rationale for this transformation was that the UK was forced to respond to a conjunction of crises in morality, the state, ideology and economics. Representing a fundamental departure from earlier attempts at welfare reform, the government has undertaken a reform programme which has had a severe effect on the social housing sector. The article argues that the result has been a combination of libertarianism and authoritarianism, alongside an intentionally more destructive combination of stigmatization and fatalism. The consequence is to undermine the principle of social housing which will not only prove detrimental for residents but raises significant dilemmas for those working in the housing sector.
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Ce mémoire étudie les conditions d’émergence du mouvement Tea Party. Nous cherchons à savoir si la mobilisation a été facilitée par la présence d’opportunités politiques, telles que proposées dans la littérature sur les mouvements sociaux. À l’aide d’une analyse de contenu, il a été possible d’observer trois opportunités dans une période comprise entre février 2009 et octobre 2010. Dans cette même période, il a été aussi possible d’identifier la fréquence et la nature de la mobilisation, qui prend la forme de protestations et de réunions informelles. Nous en arrivons à la conclusion que ces opportunités étaient présentes lors de l’émergence du mouvement social. En effet, la présence d’enjeux spécifiques, d’une division partisane ainsi que d’alliés coïncide avec une augmentation substantielle de la mobilisation. Les élections de mi-mandat semblent avoir transformé un mouvement axé sur les protestations vers une action politique conventionnelle.
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Dans ce mémoire, nous aborderons des questions portant sur la légitimité de la propriété privée, à quels moments est-ce que la propriété privée cesse d’être légitime ? Nous défendrons que chaque individu détient le droit inaliénable d’accéder aux ressources, et que cet accès aux ressources doit lui fournir tous les moyens nécessaires pour qu’il puisse se développer jusqu’à ce qu’il soit pleinement autonome. Ainsi, lorsque la propriété privée de certains individus bloque l’accès aux ressources, il doit y avoir des mécanismes de redistribution permettant de compenser la nuisance produite par la propriété privée. Par ailleurs, l’accès aux ressources peut être remplacé par une gamme d’opportunités de base : les opportunités de développement nécessaires à l’atteinte de l’autonomie en société. La redistribution n’a donc pas besoin de viser l’accès aux ressources, elle doit garantir que tous aient accès aux opportunités de base. Nous circonscrirons notre réflexion à un cadre de justice minimale dans le but d’attribuer une nécessité morale à chacune des conclusions de ce mémoire. Autrement dit, si les paramètres de redistribution développés au terme de ce mémoire représentent le strict minimum pour qu’une société se soucie de la justice, alors il est nécessaire que toutes les sociétés instituent au moins ces paramètres de redistribution. Pour démontrer le minimalisme de ces paramètres de justice, nous les déduirons à partir de la position des libertariens de droite. Considérant que leur position se veut la plus minimale possible, si nos paramètres de redistribution sont pleinement consistants avec leur position, alors ces paramètres relèvent de la justice minimale.
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L’inflation a diminué de façon importante dans les pays riches depuis le début des années 80. Cette baisse de l’inflation n’est pas un hasard et peut, en partie, être liée à la mise en place de nouvelles institutions et politiques monétaires. Ce mémoire examine la relation qui existe entre deux de ces institutions, l’indépendance politique et le conservatisme d’une banque centrale, et l’idéal d’égalité économique. Peut-on, demandons-nous, être égalitariste et défendre, à la fois, l’indépendance politique d’une banque centrale et la volonté «conservatrice» de faire de l’inflation une priorité relativement au chômage? Le mémoire se divise en trois grandes parties. Une version crédible de l’égalitarisme économique est d’abord présentée. La relation qui existe entre le phénomène d’inflation et l’égalitarisme est, ensuite, examinée. Une réflexion critique sur les fondements théoriques de l’indépendance politique et du conservatisme est, enfin, développée. Nous concluons que la théorie égalitariste ne permet pas, à elle seule, de déterminer si un modèle particulier de banque centrale est moralement désirable. Pour se porter à la défense d’une banque centrale indépendante et conservatrice, un égalitariste doit adhérer à des prémisses économiques contestées.
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Este trabalho propõe e avalia ex-ante uma política pública, denominada Sociedade de Participantes, para reduzir a desigualdade econômica no Brasil. Para tanto, inicialmente se discute os efeitos da desigualdade no tecido social e no desenvolvimento econômico de um país. Em seguida, apresenta os conceitos básicos de justiça distributiva, contrapondo os ideais da direita liberal e os da esquerda distributiva, e sustentando que a política proposta equilibra os desejos destas duas correntes. O passo seguinte é a quantificação do fenômeno econômico em pauta, a desigualdade, sendo então apresentada uma metodologia inédita no Brasil, que permite analisar a contribuição para a desigualdade de cada setor econômico e unidade geográfica da federação. Também são expostas medidas éticas de desigualdade, até agora não discutidas em nossa literatura, que possibilitam avaliar o bem-estar de uma população. A proposta é então discutida detalhadamente, sendo analisadas as políticas semelhantes que estão sendo implantadas em outros países, levantando-se os prós e contras em relação à política de renda mínima garantida e dialogando-se com as críticas contra a política proposta existentes na literatura. Para a avaliação ex-ante da Sociedade de Participantes é necessário um ferramental específico, que inclui conceitos de microssimulação e demografia, discutidos na etapa seguinte. Para sua implementação discute-se também uma mudança no sistema tributário nacional, fortemente embasado em tributos indiretos com características regressivas, e a adoção de um imposto sobre riquezas, que é quantificado no estudo. Finalmente, são apresentados os resultados, simulados entre 2008 e 2080, da avaliação ex-ante da Sociedade de Participantes, na qual se conclui que ela é altamente efetiva para combater a desigualdade e a pobreza endêmica no Brasil.
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El presente artículo examina las principales líneas de ataque lanzadas por el libertarismo de derecha -expresado fundamentalmente en la obra de Robert Nozick-, contra el igualitarismo liberal de John Rawls y el materialismo histórico. En particular, analiza el rechazo nozickeano a la justicia distributiva, a la deseabilidad (y posibilidad) de la cooperación social, y a los esquemas distributivos contrarios al principio de autopropiedad. Asimismo, explora el impacto de este principio libertarista sobre algunos postulados fundamentales del marxismo. Desde una perspectiva que se nutre de los principales debates de la filosofía política contemporánea, y con una opción teórica por el igualitarismo, este texto presenta y procura debilitar las más audaces tesis nozickeanas, las cuales siguen ejerciendo gran influencia en círculos académicos, en algunas instancias de formulación de políticas públicas y, sobre todo, en el sentido común forjado en tiempos de hegemonía neoliberal.
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El concepto “terrorismo", de presencia casi cotidiana debido al problema yihadista, suele ser utilizado por politólogos, sociólogos, periodistas e historiadores para cubrir un amplio espectro de acciones directas que poca relación tienen entre sí. De hecho, la violencia anarquista, desde su aparición en el Fin de Siècle europeo, fue caracterizada de esa forma, aunque principalmente por sus detractores. En este trabajo analizaremos el concepto “terrorismo anarquista" enunciando cuáles son sus principales límites a la hora de estudiar la violencia libertaria. Por otro lado, se cuestionarán las equiparaciones realizadas entre la violencia anarquista y la violencia yihadista, y las que se han hecho entre la primera y las acciones directas llevadas a cabo por hackers y movimientos de liberación animal, a los que cierta literatura suele asociar con lo libertario y lo terrorista.
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Le néolibéralisme, un terme qui désigne couramment la raison d’état contemporaine, est largement associé à un désinvestissement de l’État pour la cause sociale ainsi qu’à un discours de légitimation des disparités socio-économiques. Il s’agit, pour plusieurs, d’une idéologie qui ne considère pas la justice comme un idéal collectif à poursuivre. Un retour sur certains penseurs à qui l’on attribue la formulation des idées néolibérales permet toutefois de constater que la justice fut, au sein de leurs travaux, l’un des thèmes majeurs. L’objectif général de ce mémoire est donc de présenter la conception de la justice chez deux penseurs du néolibéralisme : le journaliste américain Walter Lippmann et l’économiste autrichien Friedrich A. von Hayek. Cette perspective comparée me permettra d’identifier ce que je nomme la «conception néolibérale» de la justice, conception qui s’articule à partir d’une compréhension singulière du marché. Dans le premier chapitre, je présente le problème central de la conception néolibérale de la justice, en abordant la posture épistémologique privilégiée par Hayek et Lippmann. Dans le deuxième chapitre, je présente certaines modalités de cette conception et soulève ses principales apories. Je soutiens aussi qu’une rupture survient entre Hayek et Lippmann autour de la notion de «responsabilité». Finalement, je compare la conception néolibérale de la justice avec la conception libertarienne présentée par Nozick. C’est à partir des critères de justice respectifs de chaque théorie que j’avance la distinction, au troisième chapitre, entre les deux conceptions pourtant similaires. Contrairement à une analyse courante qui fait du néolibéralisme un projet amoral, je soutiens que la reconnaissance de la dimension morale du discours néolibéral ouvre une fenêtre à partir de laquelle il devient possible de critiquer le projet sur des bases éthiques. C’est en identifiant la notion de justice à l’oeuvre dans le discours néolibéral contemporain et en l’inscrivant dans la tradition morale présentée dans le cadre de ce mémoire que nous sommes mieux à même de comprendre l’idéologie du néolibéralisme.
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Le néolibéralisme, un terme qui désigne couramment la raison d’état contemporaine, est largement associé à un désinvestissement de l’État pour la cause sociale ainsi qu’à un discours de légitimation des disparités socio-économiques. Il s’agit, pour plusieurs, d’une idéologie qui ne considère pas la justice comme un idéal collectif à poursuivre. Un retour sur certains penseurs à qui l’on attribue la formulation des idées néolibérales permet toutefois de constater que la justice fut, au sein de leurs travaux, l’un des thèmes majeurs. L’objectif général de ce mémoire est donc de présenter la conception de la justice chez deux penseurs du néolibéralisme : le journaliste américain Walter Lippmann et l’économiste autrichien Friedrich A. von Hayek. Cette perspective comparée me permettra d’identifier ce que je nomme la «conception néolibérale» de la justice, conception qui s’articule à partir d’une compréhension singulière du marché. Dans le premier chapitre, je présente le problème central de la conception néolibérale de la justice, en abordant la posture épistémologique privilégiée par Hayek et Lippmann. Dans le deuxième chapitre, je présente certaines modalités de cette conception et soulève ses principales apories. Je soutiens aussi qu’une rupture survient entre Hayek et Lippmann autour de la notion de «responsabilité». Finalement, je compare la conception néolibérale de la justice avec la conception libertarienne présentée par Nozick. C’est à partir des critères de justice respectifs de chaque théorie que j’avance la distinction, au troisième chapitre, entre les deux conceptions pourtant similaires. Contrairement à une analyse courante qui fait du néolibéralisme un projet amoral, je soutiens que la reconnaissance de la dimension morale du discours néolibéral ouvre une fenêtre à partir de laquelle il devient possible de critiquer le projet sur des bases éthiques. C’est en identifiant la notion de justice à l’oeuvre dans le discours néolibéral contemporain et en l’inscrivant dans la tradition morale présentée dans le cadre de ce mémoire que nous sommes mieux à même de comprendre l’idéologie du néolibéralisme.
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Suggesting that the political diversity of American science fiction during the 1960s and early 1970s constitutes a response to the dominance of social liberalism throughout the 1940s and 1950s, I argue in Making the Men of Tomorrow that the development of new hegemonic masculinities in science fiction is a consequence of political speculation. Focusing on four representative and influential texts from the 1960s and early 1970s, Philip K. Dick’s The Three Stigmata of Palmer Eldritch and Ubik, Robert A. Heinlein’s The Moon Is a Harsh Mistress, and Ursula K. Le Guin’s The Dispossessed, this thesis explores the relationship between different conceptions of hegemonic masculinity and three separate but related political ideologies: the social ethic, market libertarianism, and socialist libertarianism. In the first two chapters in which I discuss Dick’s novels, I argue that Dick interrogates organizational masculinity as part of a larger project that suggests the inevitable infeasibility of both the social ethic and its predecessor, social liberalism. In the next chapter, I shift my attention to Heinlein’s The Moon Is a Harsh Mistress as a way of showing how, unlike Dick, other authors of the 1960s and early 1970s sought to move beyond social liberalism by imagining how new political ideologies, in this case market libertarianism, might change the way men see themselves. Having demonstrated how the libertarian potential of Heinlein’s novel is ultimately undermined by its insistent and uncompromising biological determinism, I then discuss how Le Guin’s The Dispossessed uses the socialist libertarianism of the moon Anarres to suggest a more egalitarian form of masculinity, one that makes possible, to some extent at least, a future in which men might embrace not only the mutual aid of socialism, but also the primacy of individual rights that is at the heart of all forms of libertarianism and liberalism.