932 resultados para international aid organisations
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A Work Project, presented as part of the requirements for the Award of a Masters Degree in Economics from the NOVA – School of Business and Economics
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This paper has three principal objectives. First, to review the level of Official Development Assistance (ODA) to Tanzania over the last two to three decades, and to place this into an economic context. This review includes some comparisons with the experience of Ghana and Uganda. Second, to discuss three major issues for the Tanzanian aid: the position of ODA as budget support, corruption, and alignment with the principles of the Paris Declaration on Aid Effectiveness. Third, to review the literature on the Tanzanian aid experience, including a range of official evaluation reports produced by the Tanzanian government and by the donor community. The conclusions, broadly, are that ODA has been at a sustained high level for most of the period reviewed, funding a significant amount of government development expenditure, and that economic growth has been strong, with poverty reduction ‘flat-lining’ in Tanzania but being significant in Ghana and Uganda. Experience with budget support in Tanzania has been mixed, corruption continues as a major concern, and improvements to public finance management have been difficult to achieve. In this context governance adjustments come slowly, requiring patience on the part of both recipient governments and the ODA donor community.
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Incluye Bibliografía
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Le Canada consacre chaque année des milliards en aide internationale. Selon le Ministère des affaires étrangères, commerce et développement, l’aide déployée en 2013 s’est chiffrée à plus de 5,48 milliards de dollars. Dans chaque projet mis en œuvre dans les pays en développement, des ressources humaines donnent de leur temps et s’efforcent de contribuer au renforcement des capacités des organisations locales. Ces projets sont des initiatives de coopération technique ou renferment des composantes de coopération technique; les personnes qui y sont affectées doivent accomplir de multiples tâches, dont celle d’agent de partage de connaissances. Cette thèse explore ce phénomène en apportant un éclairage sur les processus relationnels sous-jacents aux échanges entre les personnes liées à ces initiatives, soient les conseillers volontaires expatriés et les membres des équipes locales qui accueillent de telles initiatives. Elle tend à appuyer l’influence marquée des relations interpersonnelles sur les résultats de partage de connaissances, sauf que la confiance, à elle seule, ne suffit pas pour atteindre des objectifs de développement durable. L’analyse des cas, s’appuyant principalement sur des entrevues semi-dirigées effectuées à Haïti et au Sénégal, nous permet d’affirmer l’importance de s’attarder à la capacité d’assimilation dynamique des parties au partage, mais également aux rôles des gestionnaires des organismes partenaires locaux dans leur engagement à réaliser des mandats visant le partage de connaissances.
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La présente thèse porte sur les acteurs au sein des organisations non gouvernementales locales (ONG) qui, dans la configuration actuelle de l’aide internationale au développement, jouent un rôle de relais ou d’intermédiaires entre donateurs internationaux et populations bénéficiaires en Afrique subsaharienne. En analysant les trajectoires professionnelles de 32 femmes et hommes « leaders » dans des ONG de Cotonou (Bénin) et de Lomé (Togo), la thèse se propose d’appréhender les processus sociaux à travers lesquels ces individus deviennent intermédiaires dans les activités de développement. La recherche s’inscrit dans une approche théorique construite à la rencontre entre la perspective orientée vers l’acteur en socioanthropologie du développement, la sociologie de l’individuation et le paradigme des parcours de vie. La thèse prend également une posture comparative en contrastant, d’une part, les trajectoires professionnelles des intermédiaires du Bénin et du Togo, deux pays ayant connu entre les années 1990 et début 2000 des « destinées » opposées en ce qui a trait à leurs rapports avec les bailleurs de fonds étrangers. D’autre part, l’analyse compare deux générations d’intermédiaires et contraste l’expérience des intermédiaires féminins et masculins. L’analyse montre qu’en premier lieu, les conférences nationales en 1990 au Bénin et en 1991 au Togo ont constitué un tournant important dans les trajectoires professionnelles des intermédiaires dans les deux pays, créant subséquemment, d’un côté, un contexte favorable aux intermédiaires du Bénin, et de l’autre, un environnement délétère pour ceux du Togo. Toutefois, au cours des dix dernières années, ces différences de conditions de travail se sont beaucoup atténuées et les défis relevés par les intermédiaires dans les deux pays sont à nouveau similaires; les contextes actuels sont caractérisés par un soutien étatique au minima, un champ d’activités très concurrentiel et politisé, une professionnalisation du champ, et une forte dépendance vis-à-vis des bailleurs de fonds extérieurs. En second lieu, l’analyse des récits de vie a permis de ressortir quatre types de profils des intermédiaires au moment où ils intègrent le champ des ONG : les « reconvertis », les « nouveaux diplômés des années 1990 », les « carriéristes », et les « activistes ». La comparaison générationnelle suggère en outre que les deux premiers types décrivent mieux les intermédiaires ayant commencé leurs activités avant les années 2000, alors que les « carriéristes » sont pour l’essentiel des intermédiaires de la jeune génération qui intègre le domaine de l’intermédiation après 2000. Aussi, la recherche montre que pour entrer, mais surtout « durer », dans le champ des ONG ces individus utilisent divers réseaux politiques et associatifs et savent « manœuvrer », notamment en choisissant une « thématique porteuse », en veillant à maintenir une constante « visibilité » ou en ayant recours à des formations continues pour acquérir ou consolider des compétences recherchées par les bailleurs de fonds. Par ailleurs, l’analyse des trajectoires professionnelles féminines a révélé qu’alors que le poids des responsabilités familiales a fait que les « pionnières » de l’intermédiation sont entrées de façon tardive dans une profession dominée par les hommes, et se sont toutes focalisées sur des thématiques liées directement aux droits des femmes, les parcours de leurs cadettes sont bien différents. Ces dernières ne travaillent pas dans le traditionnel domaine du « genre », et même si elles reconnaissent aussi leurs difficultés à concilier responsabilités professionnelles et devoir familial, elles ne sont pas prêtes à mettre de côté leur carrière et ont une perception très différente de leurs aînées des rôles genrés au sein de la famille.
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The current global development project appears to be premised on the assumption that underlying political debates over development have been settled. An upshot of this is that development is reduced to the theoretical, ideological and legal framework of a neo-liberal political order. However, implicit, and sometimes explicit, political dynamics of development can be rendered from a perspective that foregrounds social struggles. I offer a political analysis of the PRSP initiative by examining its evolution and implications considered within social and political contexts, and by specific reference to the 'poverty reduction' interventions that emerged in the 1980s. I argue that the PRSP initiative is best understood as the formation of a comprehensive extension of neo-liberal strategic responses that emerged in the 1980s. In this context, I discuss the example of microcredit schemes in relation to the PRSP process and demonstrate the analytical significance of micro-political social relations for political analyses of development. The approach I adopt reveals social struggles as relationally constitutive of formations of a hegemonic development discourse otherwise ostensibly rendered in de-contextualized terms. From the perspective of critical development analysis such struggles are the concrete expressions of the contradictions immanent to the dialectic of development through inequality and immiseration in the (re)production of social power.
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Institutional multilingualism is most often associated with large intergovernmental institutions such as the European Union and the United Nations. Institutional multilingualism in non-governmental organisations (NGOs), however, has remained invisible to a large extent. Like international governmental organisations (IGOs), NGOs operate across linguistic borders. This raises the question whether NGOs use language and translation in the same way as IGOs. The present article takes Amnesty International as a case study, and explores what institutional multilingualism means for this organisation, how it is reflected in its language policy, and how it is put into practice. By gaining insight into the particular case of Amnesty International, this article aims to make a contribution to institutional translation studies.
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This paper focuses on the higher order factors affecting successful adoption of technologies. Drawing on the "actor-oriented perspective" in rural sociology, it is argued that successful examples of adoption at this higher level result from a complex conjunction of people and events, with outcomes that may have been quite unanticipated at the outset. From this perspective, research and extension projects and programs are viewed as arenas in which social actors–village leaders, farmers, researchers (local and international), aid officials, municipal agents, extension workers, and traders–pursue their own short- and long-term objectives and strategies. To this end, they maneuver, negotiate, organize, cooperate, participate, coerce, obstruct, form coalitions, adopt, adapt, and reject, all within a specific geographical and historical context.