970 resultados para inflation cible


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This paper exploits the term structure of interest rates to develop testable economic restrictions on the joint process of long-term interest rates and inflation when the latter is subject to a targeting policy by the Central Bank. Two competing models that econometrically describe agents’ inferences about inflation targets are developed and shown to generate distinct predictions on the behavior of interest rates. In an empirical application to the Canadian inflation target zone, results indicate that agents perceive the band to be substantially narrower than officially announced and asymmetric around the stated mid-point. The latter result (i) suggests that the monetary authority attaches different weights to positive and negative deviations from the central target, and (ii) challenges on empirical grounds the assumption, frequently made in the literature, that the policy maker’s loss function is symmetric (usually a quadratic function) around a desired inflation value.

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Les questions abordées dans les deux premiers articles de ma thèse cherchent à comprendre les facteurs économiques qui affectent la structure à terme des taux d'intérêt et la prime de risque. Je construis des modèles non linéaires d'équilibre général en y intégrant des obligations de différentes échéances. Spécifiquement, le premier article a pour objectif de comprendre la relation entre les facteurs macroéconomiques et le niveau de prime de risque dans un cadre Néo-keynésien d'équilibre général avec incertitude. L'incertitude dans le modèle provient de trois sources : les chocs de productivité, les chocs monétaires et les chocs de préférences. Le modèle comporte deux types de rigidités réelles à savoir la formation des habitudes dans les préférences et les coûts d'ajustement du stock de capital. Le modèle est résolu par la méthode des perturbations à l'ordre deux et calibré à l'économie américaine. Puisque la prime de risque est par nature une compensation pour le risque, l'approximation d'ordre deux implique que la prime de risque est une combinaison linéaire des volatilités des trois chocs. Les résultats montrent qu'avec les paramètres calibrés, les chocs réels (productivité et préférences) jouent un rôle plus important dans la détermination du niveau de la prime de risque relativement aux chocs monétaires. Je montre que contrairement aux travaux précédents (dans lesquels le capital de production est fixe), l'effet du paramètre de la formation des habitudes sur la prime de risque dépend du degré des coûts d'ajustement du capital. Lorsque les coûts d'ajustement du capital sont élevés au point que le stock de capital est fixe à l'équilibre, une augmentation du paramètre de formation des habitudes entraine une augmentation de la prime de risque. Par contre, lorsque les agents peuvent librement ajuster le stock de capital sans coûts, l'effet du paramètre de la formation des habitudes sur la prime de risque est négligeable. Ce résultat s'explique par le fait que lorsque le stock de capital peut être ajusté sans coûts, cela ouvre un canal additionnel de lissage de consommation pour les agents. Par conséquent, l'effet de la formation des habitudes sur la prime de risque est amoindri. En outre, les résultats montrent que la façon dont la banque centrale conduit sa politique monétaire a un effet sur la prime de risque. Plus la banque centrale est agressive vis-à-vis de l'inflation, plus la prime de risque diminue et vice versa. Cela est due au fait que lorsque la banque centrale combat l'inflation cela entraine une baisse de la variance de l'inflation. Par suite, la prime de risque due au risque d'inflation diminue. Dans le deuxième article, je fais une extension du premier article en utilisant des préférences récursives de type Epstein -- Zin et en permettant aux volatilités conditionnelles des chocs de varier avec le temps. L'emploi de ce cadre est motivé par deux raisons. D'abord des études récentes (Doh, 2010, Rudebusch and Swanson, 2012) ont montré que ces préférences sont appropriées pour l'analyse du prix des actifs dans les modèles d'équilibre général. Ensuite, l'hétéroscedasticité est une caractéristique courante des données économiques et financières. Cela implique que contrairement au premier article, l'incertitude varie dans le temps. Le cadre dans cet article est donc plus général et plus réaliste que celui du premier article. L'objectif principal de cet article est d'examiner l'impact des chocs de volatilités conditionnelles sur le niveau et la dynamique des taux d'intérêt et de la prime de risque. Puisque la prime de risque est constante a l'approximation d'ordre deux, le modèle est résolu par la méthode des perturbations avec une approximation d'ordre trois. Ainsi on obtient une prime de risque qui varie dans le temps. L'avantage d'introduire des chocs de volatilités conditionnelles est que cela induit des variables d'état supplémentaires qui apportent une contribution additionnelle à la dynamique de la prime de risque. Je montre que l'approximation d'ordre trois implique que les primes de risque ont une représentation de type ARCH-M (Autoregressive Conditional Heteroscedasticty in Mean) comme celui introduit par Engle, Lilien et Robins (1987). La différence est que dans ce modèle les paramètres sont structurels et les volatilités sont des volatilités conditionnelles de chocs économiques et non celles des variables elles-mêmes. J'estime les paramètres du modèle par la méthode des moments simulés (SMM) en utilisant des données de l'économie américaine. Les résultats de l'estimation montrent qu'il y a une évidence de volatilité stochastique dans les trois chocs. De plus, la contribution des volatilités conditionnelles des chocs au niveau et à la dynamique de la prime de risque est significative. En particulier, les effets des volatilités conditionnelles des chocs de productivité et de préférences sont significatifs. La volatilité conditionnelle du choc de productivité contribue positivement aux moyennes et aux écart-types des primes de risque. Ces contributions varient avec la maturité des bonds. La volatilité conditionnelle du choc de préférences quant à elle contribue négativement aux moyennes et positivement aux variances des primes de risque. Quant au choc de volatilité de la politique monétaire, son impact sur les primes de risque est négligeable. Le troisième article (coécrit avec Eric Schaling, Alain Kabundi, révisé et resoumis au journal of Economic Modelling) traite de l'hétérogénéité dans la formation des attentes d'inflation de divers groupes économiques et de leur impact sur la politique monétaire en Afrique du sud. La question principale est d'examiner si différents groupes d'agents économiques forment leurs attentes d'inflation de la même façon et s'ils perçoivent de la même façon la politique monétaire de la banque centrale (South African Reserve Bank). Ainsi on spécifie un modèle de prédiction d'inflation qui nous permet de tester l'arrimage des attentes d'inflation à la bande d'inflation cible (3% - 6%) de la banque centrale. Les données utilisées sont des données d'enquête réalisée par la banque centrale auprès de trois groupes d'agents : les analystes financiers, les firmes et les syndicats. On exploite donc la structure de panel des données pour tester l'hétérogénéité dans les attentes d'inflation et déduire leur perception de la politique monétaire. Les résultats montrent qu'il y a évidence d'hétérogénéité dans la manière dont les différents groupes forment leurs attentes. Les attentes des analystes financiers sont arrimées à la bande d'inflation cible alors que celles des firmes et des syndicats ne sont pas arrimées. En effet, les firmes et les syndicats accordent un poids significatif à l'inflation retardée d'une période et leurs prédictions varient avec l'inflation réalisée (retardée). Ce qui dénote un manque de crédibilité parfaite de la banque centrale au vu de ces agents.

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This paper studies the proposition that an inflation bias can arise in a setup where a central banker with asymmetric preferences targets the natural unemployment rate. Preferences are asymmetric in the sense that positive unemployment deviations from the natural rate are weighted more (or less) severely than negative deviations in the central banker's loss function. The bias is proportional to the conditional variance of unemployment. The time-series predictions of the model are evaluated using data from G7 countries. Econometric estimates support the prediction that the conditional variance of unemployment and the rate of inflation are positively related.

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This paper examines the compatibility of inflation targeting with an economy that is Post Keynesian in character. We show that in a Post Keynesian environment, policymakers can both set and achieve an inflation target without adverse consequences for the real economy, as long as an appropriate policy mix is chosen. The latitude that policymakers have in making this choice is investigated. One of our key results is that orthodox policy regimes do not provide appropriate policy mixes. Indeed, the more orthodox the policy regime becomes, the less viable is inflation targeting in a Post Keynesian economy.

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Using data from OECD economies, we show that inflation targeters suffered smaller output losses during disinflations when compared to nontargeters. We also study why some countries choose to inflation target while others do not and find that higher average inflation and smaller debt levels render the adoption of the regime more likely. Applying Heckman`s procedure to control for selection bias does not alter the link between inflation targeting and less costly disinflations.

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In this article, we seek what are the factors behind a country`s decision to move to Inflation Targeting. We find that high past inflation, low debt levels and the absence of a nominal exchange rate anchor increase the probability that a country will end up opting for it. (C) 2007 Elsevier B.V. All rights reserved.

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In a recent thought-provoking paper, Ball and Sheridan [Ball, L., Sheridan, N., 2005. Does inflation targeting matter? In: Bernanke, B.S., Woodford, M. (Eds.), The Inflation-Targeting Debate, University of Chicago Press] show that the available evidence for a group of developed economies does not lend credence to the belief that adopting an inflation targeting regime (IT) was instrumental in bringing inflation and inflation volatility down. Here, we extend Ball and Sheridan`s analysis for a subset of 36 emerging market economies and find that, for them, the story is quite different. Compared to non-targeters, developing countries adopting the IT regime not only experienced greater drops in inflation, but also in growth volatility, thus corroborating the view that the regime`s ""constrained flexibility"" to deal with adverse shocks delivered concrete welfare gains. (c) 2006 Elsevier B.V. All rights reserved.

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This study tries to understand how Brazil and Argentina, two countries with chronically high inflation, achieved permanent stabilization by looking at political factors necessary for stabilization. It suggests that, although state autonomy or political unity may contribute to successful price stabilization, reconciling the interests of different stakeholders and thereby building a broad political support base is more essential for stabilization to succeed. Political skills of the leaders and compensatory policies may help raise such support and they are more crucial where other political conditions are less favorable. Also, rapid improvement in the economy is important for sustained political support, and thus, for successful stabilization.

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A Work Project, presented as part of the requirements for the Award of a Masters Degree in Economics from the NOVA – School of Business and Economics

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A Work Project, presented as part of the requirements for the Award of a Masters Degree in Finance from the NOVA – School of Business and Economics

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Cash-in-advance models usually require agents to reallocate money and bonds in fixed periods, every month or quarter, for example. I show that fixed periods underestimate the welfare cost of inflation. I use a model in which agents choose how often they exchange bonds for money. In the benchmark specification, the welfare cost of ten percent instead of zero inflation increases from 0.1 percent of income with fixed periods to one percent with optimal periods. The results are robust to different preferences, to different compositions of income in bonds or money, and to the introduction of capital and labor.

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Cash-in-advance models usually require agents to reallocate money and bonds in fixed periods. Every month or quarter, for example. I show that fixed periods underestimate the welfare cost of inflation. I use a model in which agents choose how often they exchange bonds for money. In the benchmark specification, the welfare cost of 10 percent instead of 0 inflation increases from 0.1 percent of income with fixed periods to 1 percent with optimal periods. The results are robust to different references, to different compositions of income in bonds or money, and to the introduction of capital and labor.

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This thesis examines the effects of macroeconomic factors on inflation level and volatility in the Euro Area to improve the accuracy of inflation forecasts with econometric modelling. Inflation aggregates for the EU as well as inflation levels of selected countries are analysed, and the difference between these inflation estimates and forecasts are documented. The research proposes alternative models depending on the focus and the scope of inflation forecasts. I find that models with a Generalized AutoRegressive Conditional Heteroskedasticity (GARCH) in mean process have better explanatory power for inflation variance compared to the regular GARCH models. The significant coefficients are different in EU countries in comparison to the aggregate EU-wide forecast of inflation. The presence of more pronounced GARCH components in certain countries with more stressed economies indicates that inflation volatility in these countries are likely to occur as a result of the stressed economy. In addition, other economies in the Euro Area are found to exhibit a relatively stable variance of inflation over time. Therefore, when analysing EU inflation one have to take into consideration the large differences on country level and focus on those one by one.

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OBJECTIVE:To verify the influence of moderate- or high-pressure balloon inflation during primary coronary stent implantation for acute myocardial infarction. METHODS: After successful coronary stent implantation, 82 patients were divided into 2 groups according to the last balloon inflation pressure: group 1 (³12 to <16 atm) and group 2 (³16 to 20 atm), each with 41 cases. All patients underwent late coronary angiography. RESULTS: In group 1, the mean stent deployment pressure was 13.58±0.92 atm, and in the group 2 it was 18.15±1.66 atm. Stents implanted with moderate pressures (³12 to <16 atm) had a significantly smaller postprocedural minimal lumen diameter, compared to with those with higher pressure, with lesser acute gain (2.7± 0.4 mm vs 2.9±04 mm; p=0.004), but the late lumen loss (0,9±0,8 mm vs 0,9±0,6 mm) and the restenosis (22% vs. 17.1%) and target-vessel revascularization rates (9.8% vs 7.3%) were similar between the groups. CONCLUSION: During AMI stenting, the use of high pressures (³16 atm) did not cause a measurable improvement in late outcome, either in the late loss, its index, and the net gain, or in clinical and angiographic restenosis rates.