982 resultados para hemispheric lateralization
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Resumen basado en el de la publicación
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Little is known about hemispheric lateralization of subcortical structures. Here, we show a higher expression of the subunit NR2A of the NMDA receptor mRNA in the striatum and of vGluT1 mRNA in the cingulate cortex, in the left hemisphere compared to the right one. This suggests a lateralization of the glutamatergic cortico-subcortical system, at the level of postsynaptic receptors as well as at the level of corticostriatal projections. Such lateralization could play a role in asymmetric diseases like Parkinson's disease.
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The hypothesis that psychotic experiences in healthy subjects are associated with a dysfunction of the right hemisphere is supported by some, but not all, available studies. Differences in gender composition of study samples may explain in part the divergent findings. The present study was carried out in 42 healthy, right-handed university students. Scores on the Schizophrenia and Paranoia scales of the Minnesota Multidimensional Personality Inventory-2 were used in correlation analyses and to define a High- and a Low-Psychotic group. Brain Electrical Microstates and Low Resolution Electromagnetic Tomography (LORETA) source analyses of the auditory P300 (P3a and P3b) components of the event-related potential, as well as a battery of neuropsychological tests, were used to assess hemispheric functioning. Scores on the Paranoia scale were positively associated with a leftward shift of the P3a topographic descriptors in females but not in males. When comparing High-Psychotic and Low-Psychotic females, a leftward shift of P3a descriptors and an increased cortical activation in left fronto-temporal areas were observed in the High-Psychotic group. Our results demonstrated gender-related differences in the pattern of hemispheric imbalance associated with psychotic experiences in healthy subjects.
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Hemispheric lateralization is well known in the cerebral cortex, but not in subcortical structures like basal ganglia. The goal of our study was to determine whether lateralization was present in the direct and indirect striatal pathways. We studied gene expression in the striatum of healthy rats, which was divided into two sectors, medial and lateral. Dynorphin (DYN) and enkephalin (ENK) mRNA were analyzed as markers of the direct and indirect striatal pathways, respectively and glutamic acid decarboxylase (GAD) mRNA was analyzed as a marker of all medium spiny neurons. DYN and GAD mRNA expression was higher on the left hemisphere in the medial sector of the striatum, but not in the lateral one. We did not observe any difference between sides with ENK mRNA expression. We suggest the presence of a lateralization in the medial striatum, which is specific for the direct striatal pathway.
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Evidências sugerem que a lateralização cerebral é uma característica fundamental dos vertebrados. Nos seres humanos, tem sido sugerido que o hemisfério direito é especializado no processamento de informação emocional negativa e o hemisfério esquerdo no controle da função motora. Em roedores, evidências de lateralização hemisférica são escassas. Diante disso, utilizamos a hemisferectomia para avaliar a importância relativa de cada hemisfério no controle emocional e na atividade motora espontânea em camundongos. Machos adultos foram submetidos à hemisferectomia direita (HD), hemisferectomia esquerda (HE) ou a simulação da cirurgia (SHAM). Para ajudar na interpretação dos resultados, uma amostra adicional de camundongos foi submetida à aspiração unilateral da área frontoparietal esquerda (FPE), da área frontoparietal direito (FPD) ou a simulação da cirurgia (CONT). Quinze dias após a cirurgia, a reatividade emocional e a ambulação foram avaliadas no teste de campo aberto durante 10 minutos (dividido em intervalos de 1 min). A arena de campo aberto consistiu em uma caixa de polipropileno, cujo fundo foi dividido em 16 retângulos do mesmo tamanho. O número total de retângulos cruzados pelo animal foi utilizado como a medida da atividade locomotora espontânea. Considerando-se que os camundongos evitam áreas abertas, a locomoção no centro e o tempo despendido nos retângulos centrais foram utilizados para avaliar a reatividade emocional. Em relação à atividade locomotora as duas técnicas cirúrgicas revelaram assimetrias na direção oposta. A atividade locomotora do grupo HE aumentou ao longo do período de teste e foi maior do que a dos grupos HD e SHAM. Em contraste, a atividade locomotora do grupo FPD diminuiu ao longo do período de teste e foi superior a ambos os grupos, FPE e CONT. Em relação à reatividade emocional, o grupo HE passou menos tempo na área central que os grupos HD e CONT. Não foram observadas diferenças entre FPD, FPE e o grupo CONT. Os nossos resultados sugerem que os dois hemisférios contribuem de forma assimétrica para controlar de reatividade emocional e para controlar de atividade motora em camundongos. De forma semelhante ao que é observado em humanos, o hemisfério direito dos camundongos foi mais associado com o processamento de informação emocional negativa. Em relação aos dados de hiperatividade, as diferenças observadas entre os animais hemisferectomizados e com lesão frontoparietal sugerem que mais de um circuito (ou sistema) lateralizado pode mediar a atividade locomotora espontânea.
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Il apparaît, suite aux résultats de plusieurs études comportementales et d’imagerie cérébrale, que les hormones gonadiques peuvent moduler le fonctionnement cérébral chez la femme. Les asymétries cérébrales fonctionnelles (ACFs), en particulier, changeraient en fonction du niveau de progestérone et d’œstrogène. On a également observé que lorsque le taux d’œstrogène est bas, les performances aux tâches impliquant l’hémisphère droit sont améliorées. Par contre, les preuves de l’action physiologique de ces deux hormones sur le cerveau ne sont pas très nombreuses. Le peu d’études d’électrophysiologie cognitive qui ont porté sur les effets du cycle menstruel ont rapporté que la composante P300 y serait sensible. Aucune n’a cependant utilisé une tâche d’habileté spatiale ou de rotation mentale qui sont connues pour impliquer davantage l’hémisphère droit. Le but de la présente étude est de documenter les changements électrocorticaux reliés aux variations hormonales lors d’une tâche de rotation mentale. Notre hypothèse de départ est que le taux d’œstrogène influencera l’activité électrocorticale et la latéralisation. Les potentiels évoqués cognitifs ont été comparés chez les mêmes femmes (n=12) lors d’une tâche de rotation mentale, répétée à deux périodes du cycle menstruel. Nos résultats démontrent que la condition de rotation induit une latéralisation de l’activité pariétale, vers l’hémisphère gauche, quand le niveau d’œstrogène est bas. Par contre, lorsque le niveau d’œstrogène est élevé, il n’y a aucune latéralisation. Par ailleurs, nous avons observé une augmentation de l’amplitude de la P300 lors du niveau oestrogénique élevé. En conclusion, les fluctuations oestrogéniques du cycle menstruel ont un impact sur la latéralisation de l’activité électrocorticale, lors d’un effort de rotation mentale.
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Dans le cadre de cette thèse, nous investiguons la capacité de chaque hémisphère cérébral à utiliser l’information visuelle disponible lors de la reconnaissance de mots. Il est généralement convenu que l’hémisphère gauche (HG) est mieux outillé pour la lecture que l’hémisphère droit (HD). De fait, les mécanismes visuoperceptifs utilisés en reconnaissance de mots se situent principalement dans l’HG (Cohen, Martinaud, Lemer et al., 2003). Puisque les lecteurs normaux utilisent optimalement des fréquences spatiales moyennes (environ 2,5 - 3 cycles par degré d’angle visuel) pour reconnaître les lettres, il est possible que l’HG les traite mieux que l’HD (Fiset, Gosselin, Blais et Arguin, 2006). Par ailleurs, les études portant sur la latéralisation hémisphérique utilisent habituellement un paradigme de présentation en périphérie visuelle. Il a été proposé que l’effet de l’excentricité visuelle sur la reconnaissance de mots soit inégal entre les hémichamps. Notamment, la première lettre est celle qui porte habituellement le plus d’information pour l’identification d’un mot. C’est aussi la plus excentrique lorsque le mot est présenté à l’hémichamp visuel gauche (HVG), ce qui peut nuire à son identification indépendamment des capacités de lecture de l’HD. L’objectif de la première étude est de déterminer le spectre de fréquences spatiales utilisé par l’HG et l’HD en reconnaissance de mots. Celui de la deuxième étude est d’explorer les biais créés par l’excentricité et la valeur informative des lettres lors de présentation en champs divisés. Premièrement, nous découvrons que le spectre de fréquences spatiales utilisé par les deux hémisphères en reconnaissance de mots est globalement similaire, même si l’HG requière moins d’information visuelle que l’HD pour atteindre le même niveau de performance. Étonnament toutefois, l’HD utilise de plus hautes fréquences spatiales pour identifier des mots plus longs. Deuxièmement, lors de présentation à l’HVG, nous trouvons que la 1re lettre, c’est à dire la plus excentrique, est parmi les mieux identifiées même lorsqu’elle a une plus grande valeur informative. Ceci est à l’encontre de l’hypothèse voulant que l’excentricité des lettres exerce un biais négatif pour les mots présentés à l’HVG. De façon intéressante, nos résultats suggèrent la présence d’une stratégie de traitement spécifique au lexique.
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Background Depression is a heterogeneous mental illness. Neurostimulation treatments, by targeting specific nodes within the brain’s emotion-regulation network, may be useful both as therapies and as probes for identifying clinically relevant depression subtypes. Methods Here, we applied 20 sessions of magnetic resonance imaging-guided repetitive transcranial magnetic stimulation (rTMS) to the dorsomedial prefrontal cortex in 47 unipolar or bipolar patients with a medication-resistant major depressive episode. Results Treatment response was strongly bimodal, with individual patients showing either minimal or marked improvement. Compared with responders, nonresponders showed markedly higher baseline anhedonia symptomatology (including pessimism, loss of pleasure, and loss of interest in previously enjoyed activities) on item-by-item examination of Beck Depression Inventory-II and Quick Inventory of Depressive Symptomatology ratings. Congruently, on baseline functional magnetic resonance imaging, nonresponders showed significantly lower connectivity through a classical reward pathway comprising ventral tegmental area, striatum, and a region in ventromedial prefrontal cortex. Responders and nonresponders also showed opposite patterns of hemispheric lateralization in the connectivity of dorsomedial and dorsolateral regions to this same ventromedial region. Conclusions The results suggest distinct depression subtypes, one with preserved hedonic function and responsive to dorsomedial rTMS and another with disrupted hedonic function, abnormally lateralized connectivity through ventromedial prefrontal cortex, and unresponsive to dorsomedial rTMS. Future research directly comparing the effects of rTMS at different targets, guided by neuroimaging and clinical presentation, may clarify whether hedonia/reward circuit integrity is a reliable marker for optimizing rTMS target selection.
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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)
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Pouvoir déterminer la provenance des sons est fondamental pour bien interagir avec notre environnement. La localisation auditive est une faculté importante et complexe du système auditif humain. Le cerveau doit décoder le signal acoustique pour en extraire les indices qui lui permettent de localiser une source sonore. Ces indices de localisation auditive dépendent en partie de propriétés morphologiques et environnementales qui ne peuvent être anticipées par l'encodage génétique. Le traitement de ces indices doit donc être ajusté par l'expérience durant la période de développement. À l’âge adulte, la plasticité en localisation auditive existe encore. Cette plasticité a été étudiée au niveau comportemental, mais on ne connaît que très peu ses corrélats et mécanismes neuronaux. La présente recherche avait pour objectif d'examiner cette plasticité, ainsi que les mécanismes d'encodage des indices de localisation auditive, tant sur le plan comportemental, qu'à travers les corrélats neuronaux du comportement observé. Dans les deux premières études, nous avons imposé un décalage perceptif de l’espace auditif horizontal à l’aide de bouchons d’oreille numériques. Nous avons montré que de jeunes adultes peuvent rapidement s’adapter à un décalage perceptif important. Au moyen de l’IRM fonctionnelle haute résolution, nous avons observé des changements de l’activité corticale auditive accompagnant cette adaptation, en termes de latéralisation hémisphérique. Nous avons également pu confirmer l’hypothèse de codage par hémichamp comme représentation de l'espace auditif horizontal. Dans une troisième étude, nous avons modifié l’indice auditif le plus important pour la perception de l’espace vertical à l’aide de moulages en silicone. Nous avons montré que l’adaptation à cette modification n’était suivie d’aucun effet consécutif au retrait des moulages, même lors de la toute première présentation d’un stimulus sonore. Ce résultat concorde avec l’hypothèse d’un mécanisme dit de many-to-one mapping, à travers lequel plusieurs profils spectraux peuvent être associés à une même position spatiale. Dans une quatrième étude, au moyen de l’IRM fonctionnelle et en tirant profit de l’adaptation aux moulages de silicone, nous avons révélé l’encodage de l’élévation sonore dans le cortex auditif humain.
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Pouvoir déterminer la provenance des sons est fondamental pour bien interagir avec notre environnement. La localisation auditive est une faculté importante et complexe du système auditif humain. Le cerveau doit décoder le signal acoustique pour en extraire les indices qui lui permettent de localiser une source sonore. Ces indices de localisation auditive dépendent en partie de propriétés morphologiques et environnementales qui ne peuvent être anticipées par l'encodage génétique. Le traitement de ces indices doit donc être ajusté par l'expérience durant la période de développement. À l’âge adulte, la plasticité en localisation auditive existe encore. Cette plasticité a été étudiée au niveau comportemental, mais on ne connaît que très peu ses corrélats et mécanismes neuronaux. La présente recherche avait pour objectif d'examiner cette plasticité, ainsi que les mécanismes d'encodage des indices de localisation auditive, tant sur le plan comportemental, qu'à travers les corrélats neuronaux du comportement observé. Dans les deux premières études, nous avons imposé un décalage perceptif de l’espace auditif horizontal à l’aide de bouchons d’oreille numériques. Nous avons montré que de jeunes adultes peuvent rapidement s’adapter à un décalage perceptif important. Au moyen de l’IRM fonctionnelle haute résolution, nous avons observé des changements de l’activité corticale auditive accompagnant cette adaptation, en termes de latéralisation hémisphérique. Nous avons également pu confirmer l’hypothèse de codage par hémichamp comme représentation de l'espace auditif horizontal. Dans une troisième étude, nous avons modifié l’indice auditif le plus important pour la perception de l’espace vertical à l’aide de moulages en silicone. Nous avons montré que l’adaptation à cette modification n’était suivie d’aucun effet consécutif au retrait des moulages, même lors de la toute première présentation d’un stimulus sonore. Ce résultat concorde avec l’hypothèse d’un mécanisme dit de many-to-one mapping, à travers lequel plusieurs profils spectraux peuvent être associés à une même position spatiale. Dans une quatrième étude, au moyen de l’IRM fonctionnelle et en tirant profit de l’adaptation aux moulages de silicone, nous avons révélé l’encodage de l’élévation sonore dans le cortex auditif humain.
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Infants' speech perception abilities change through the first year of life, from broad sensitivity to a wide range of speech contrasts to becoming more finely attuned to their native language. What remains unclear, however, is how this perceptual change relates to brain responses to native language contrasts in terms of the functional specialization of the left and right hemispheres. Here, to elucidate the developmental changes in functional lateralization accompanying this perceptual change, we conducted two experiments on Japanese infants using Japanese lexical pitch-accent, which changes word meanings with the pitch pattern within words. In the first behavioral experiment, using visual habituation, we confirmed that infants at both 4 and 10 months have sensitivities to the lexical pitch-accent pattern change embedded in disyllabic words. In the second experiment, near-infrared spectroscopy was used to measure cortical hemodynamic responses in the left and right hemispheres to the same lexical pitch-accent pattern changes and their pure tone counterparts. We found that brain responses to the pitch change within words differed between 4- and 10-month-old infants in terms of functional lateralization: Left hemisphere dominance for the perception of the pitch change embedded in words was seen only in the 10-month-olds. These results suggest that the perceptual change in Japanese lexical pitch-accent may be related to a shift in functional lateralization from bilateral to left hemisphere dominance.
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Among other auditory operations, the analysis of different sound levels received at both ears is fundamental for the localization of a sound source. These so-called interaural level differences, in animals, are coded by excitatory-inhibitory neurons yielding asymmetric hemispheric activity patterns with acoustic stimuli having maximal interaural level differences. In human auditory cortex, the temporal blood oxygen level-dependent (BOLD) response to auditory inputs, as measured by functional magnetic resonance imaging (fMRI), consists of at least two independent components: an initial transient and a subsequent sustained signal, which, on a different time scale, are consistent with electrophysiological human and animal response patterns. However, their specific functional role remains unclear. Animal studies suggest these temporal components being based on different neural networks and having specific roles in representing the external acoustic environment. Here we hypothesized that the transient and sustained response constituents are differentially involved in coding interaural level differences and therefore play different roles in spatial information processing. Healthy subjects underwent monaural and binaural acoustic stimulation and BOLD responses were measured using high signal-to-noise-ratio fMRI. In the anatomically segmented Heschl's gyrus the transient response was bilaterally balanced, independent of the side of stimulation, while in opposite the sustained response was contralateralized. This dissociation suggests a differential role at these two independent temporal response components, with an initial bilateral transient signal subserving rapid sound detection and a subsequent lateralized sustained signal subserving detailed sound characterization.
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Many cognitive neuroscience studies show that the ability to attend to and identify global or local information is lateralised between the two hemispheres in the human brain; the left hemisphere is biased towards the local level, whereas the right hemisphere is biased towards the global level. Results of two studies show attention-focused people with a right ear preference (biased towards the left hemisphere) are better at local tasks, whereas people with a left ear preference (biased towards the right hemisphere) are better at more global tasks. In a third study we determined if right hemisphere-biased followers who attend to global stimuli are likely to have a stronger relationship between attention and globally based supervisor ratings of performance. Results provide evidence in support of this hypothesis. Our research supports our model and suggests that the interaction between attention and lateral preference is an important and novel predictor of work-related outcomes.