756 resultados para health user fee exemption policies
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Acknowledgements This article was based on the first author’s PhD which was financed by the Malawi Health Research Capacity Strengthening Initiative. We thank Mr Patrick Naphini formerly of the Ministry of Health and Mrs Mafase Sesani at CHAM Secretariat for helping with the data. We also thank Mr Jacob Mazalale for useful comments on the article.
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L’évaluation de l’action humanitaire (ÉAH) est un outil valorisé pour soutenir l’imputabilité, la transparence et l’efficience de programmes humanitaires contribuant à diminuer les inéquités et à promouvoir la santé mondiale. L’EAH est incontournable pour les parties prenantes de programme, les bailleurs de fonds, décideurs et intervenants souhaitant intégrer les données probantes aux pratiques et à la prise de décisions. Cependant, l’utilisation de l’évaluation (UÉ) reste incertaine, l’ÉAH étant fréquemment menée, mais inutilisé. Aussi, les conditions influençant l’UÉ varient selon les contextes et leur présence et applicabilité au sein d’organisations non-gouvernementales (ONG) humanitaires restent peu documentées. Les évaluateurs, parties prenantes et décideurs en contexte humanitaire souhaitant assurer l’UÉ pérenne détiennent peu de repères puisque rares sont les études examinant l’UÉ et ses conditions à long terme. La présente thèse tend à clarifier ces enjeux en documentant sur une période de deux ans l’UÉ et les conditions qui la détermine, au sein d’une stratégie d’évaluation intégrée au programme d’exemption de paiement des soins de santé d’une ONG humanitaire. L’objectif de ce programme est de faciliter l’accès à la santé aux mères, aux enfants de moins de cinq ans et aux indigents de districts sanitaires au Niger et au Burkina Faso, régions du Sahel où des crises alimentaires et économiques ont engendré des taux élevés de malnutrition, de morbidité et de mortalité. Une première évaluation du programme d’exemption au Niger a mené au développement de la stratégie d’évaluation intégrée à ce même programme au Burkina Faso. La thèse se compose de trois articles. Le premier présente une étude d’évaluabilité, étape préliminaire à la thèse et permettant de juger de sa faisabilité. Les résultats démontrent une logique cohérente et plausible de la stratégie d’évaluation, l’accessibilité de données et l’utilité d’étudier l’UÉ par l’ONG. Le second article documente l’UÉ des parties prenantes de la stratégie et comment celle-ci servit le programme d’exemption. L’utilisation des résultats fut instrumentale, conceptuelle et persuasive, alors que l’utilisation des processus ne fut qu’instrumentale et conceptuelle. Le troisième article documente les conditions qui, selon les parties prenantes, ont progressivement influencé l’UÉ. L’attitude des utilisateurs, les relations et communications interpersonnelles et l’habileté des évaluateurs à mener et à partager les connaissances adaptées aux besoins des utilisateurs furent les conditions clés liées à l’UÉ. La thèse contribue à l’avancement des connaissances sur l’UÉ en milieu humanitaire et apporte des recommandations aux parties prenantes de l’ONG.
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L’évaluation de l’action humanitaire (ÉAH) est un outil valorisé pour soutenir l’imputabilité, la transparence et l’efficience de programmes humanitaires contribuant à diminuer les inéquités et à promouvoir la santé mondiale. L’EAH est incontournable pour les parties prenantes de programme, les bailleurs de fonds, décideurs et intervenants souhaitant intégrer les données probantes aux pratiques et à la prise de décisions. Cependant, l’utilisation de l’évaluation (UÉ) reste incertaine, l’ÉAH étant fréquemment menée, mais inutilisé. Aussi, les conditions influençant l’UÉ varient selon les contextes et leur présence et applicabilité au sein d’organisations non-gouvernementales (ONG) humanitaires restent peu documentées. Les évaluateurs, parties prenantes et décideurs en contexte humanitaire souhaitant assurer l’UÉ pérenne détiennent peu de repères puisque rares sont les études examinant l’UÉ et ses conditions à long terme. La présente thèse tend à clarifier ces enjeux en documentant sur une période de deux ans l’UÉ et les conditions qui la détermine, au sein d’une stratégie d’évaluation intégrée au programme d’exemption de paiement des soins de santé d’une ONG humanitaire. L’objectif de ce programme est de faciliter l’accès à la santé aux mères, aux enfants de moins de cinq ans et aux indigents de districts sanitaires au Niger et au Burkina Faso, régions du Sahel où des crises alimentaires et économiques ont engendré des taux élevés de malnutrition, de morbidité et de mortalité. Une première évaluation du programme d’exemption au Niger a mené au développement de la stratégie d’évaluation intégrée à ce même programme au Burkina Faso. La thèse se compose de trois articles. Le premier présente une étude d’évaluabilité, étape préliminaire à la thèse et permettant de juger de sa faisabilité. Les résultats démontrent une logique cohérente et plausible de la stratégie d’évaluation, l’accessibilité de données et l’utilité d’étudier l’UÉ par l’ONG. Le second article documente l’UÉ des parties prenantes de la stratégie et comment celle-ci servit le programme d’exemption. L’utilisation des résultats fut instrumentale, conceptuelle et persuasive, alors que l’utilisation des processus ne fut qu’instrumentale et conceptuelle. Le troisième article documente les conditions qui, selon les parties prenantes, ont progressivement influencé l’UÉ. L’attitude des utilisateurs, les relations et communications interpersonnelles et l’habileté des évaluateurs à mener et à partager les connaissances adaptées aux besoins des utilisateurs furent les conditions clés liées à l’UÉ. La thèse contribue à l’avancement des connaissances sur l’UÉ en milieu humanitaire et apporte des recommandations aux parties prenantes de l’ONG.
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Payer ses soins est une réalité coûteuse pour les usagers des services de santé en Afrique subsaharienne. Plusieurs pays suppriment donc certains types de paiements directs des soins au point de service, en instaurant des politiques d’exemption des paiements (PEP). Cette thèse explore trois enjeux majeurs soulevés par ces réformes. Le premier article analyse le positionnement des acteurs de la santé mondiale dans le débat sur les paiements directs des soins dans les pays à faible et moyen revenu. Cette étude documentaire montre que la majorité des acteurs s’exprime en défaveur des paiements directs en invoquant notamment leurs effets néfastes sur l’équité d’accès aux soins. Le second article met en lumière les effets perturbateurs des PEP sur les systèmes de santé des pays à faible et moyen revenu. Cette synthèse exploratoire indique que leur mise en œuvre perturbe les systèmes de santé de plusieurs manières : augmentation immédiate de l’utilisation des services gratuits, indisponibilité des médicaments, financement imprévisible et insuffisant, multiplicité des organes impliqués dans la mise en œuvre, et déficiences dans la planification et la communication. Le troisième article examine la manière dont les PEP influencent le recours aux soins des usagers. La revue réaliste a permis de développer une théorie qui explique ce processus, et de la mettre à l’épreuve d’études empiriques. Selon cette théorie, les PEP sont une ressource contribuant à renforcer le pouvoir d’agir des usagers. Ce pouvoir d’agir est également influencé par des facteurs structurels, locaux et individuels qui agissent sur la « capabilité » des usagers de se saisir de cette ressource, et de choisir de recourir aux services de santé gratuits. Trois mécanismes jouent un rôle essentiel dans ce choix : la confiance, l’acceptabilité, et la reconnaissance du risque. Cette thèse contribue au développement des connaissances empiriques sur une réforme majeure des systèmes de santé en Afrique subsaharienne. Elle apporte également des enseignements méthodologiques à la revue réaliste, et participe à la construction du champ de la recherche sur les politiques et systèmes de santé dans les pays à faible et moyen revenu.
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Mode of access: Internet.
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Public Health England (PHE) worked with the Association of Directors of Public Health (ADPH) and the Local Government Association (LGA) to develop a masterclass to understand what PHE could do to support directors and consultants of public health to embed health and health equity in all policies at a local level. These documents provide a full report and executive summary of 2 pilot masterclasses held on: 25 February 2015 in London 17 March 2015 in Manchester The masterclasses aimed to: frame public health challenges and use appropriate language within the context of overarching local authority priorities effectively position health and wellbeing in the context of competing (and sometimes conflicting) policy agendas engage wider service and policy areas in the pursuit of health and health equity within current economic and funding contexts
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Living with substance users negatively impacts upon family members in many ways, and distress is common. Despite these deep and wide-ranging impacts, supportive interventions for family members in their own right are rarely available. Thailand has substantial and growing problems with substance use, and there is very little support or family members of drug users, especially in community setting. The Thai Family Support (TFS) program was designed for implementation in primary health care units (PCUs) in Thailand. TFS was based on two approaches with existing empirical support in Western contexts—the 5-step method and CRAFT—with adaptations to a Thai setting that included integration with Buddhist practices. Its aims were to increase well-being of family members, reduce mental distress, improve family relationships between family members, and engage substance users in behaviour change. A small-scale randomised controlled trial on TFS with a Delayed Treatment control was conducted, with assessments at 8 weeks (Post 1) and 20-24 weeks (Post 2). Structured interviews with participants and PCU staff and an examination of five case studies augmented the quantitative results. Mixed Model Analyses were applied to quantitative outcomes, and thematic analysis was used for qualitative data. Thirty-six participants (18 in each of Immediate and Delayed Conditions) were recruited. A significant difference at Baseline between the two conditions was observed on the Thai GHQ-28 and Gender, but it was not possible to statistically control for these effects. There was a significant Time by Condition interaction on the Thai GHQ-28, WHOQOL-BREF-THAI and FAS, reflecting greater improvements in the Immediate condition by Post 1, but with the Delayed condition meeting or exceeding that effect by Post 2. On FES Cohesion and Conflict, there were falls across conditions at Post 2, but only Cohesion also showed a Time by Condition interaction, and that effect was consistent with a delayed impact of treatment. Overall, TFS by PCU staff in the Delayed Condition gave similar results to TFS conducted by the researcher, supporting the viability of its dissemination to standard health services. Qualitative data also confirmed the quantitative results. Most participants reported physiological and psychological improvements even though their substance-using relative did not change their drug use behaviour. After completing TFS, participants reported increased knowledge, group support and sharing feeling, having positive patient-professional relationship, having greater knowledge of substance abuse and social support. In particular, they changed their behaviour towards the substance user, resulting in improvements to family relationships. PCU staff gave similar responses on the efficacy of TFS, and saw it as feasible for routine use, although some implementation challenges were identified. The cultural adaptation and in particular the religious activities, were recognised by participants and PCU staff as an important component of TFS to support psychological health and well-being. Findings from this study showed the impact of substance use on family members and difficulties that they experienced when living with the substance users, resulting distresses and burden that may develop severe mental health disease. Drug use policies should be modified to support family members and response to their needs effectively for early prevention. This study also gave preliminary support for application of the TFS program in rural primary care settings and identified some policies that will be required for it to be disseminated more broadly.
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Investment treaties, and possibly the EU Treaty itself, are being used by multinational companies Penta and Eureko to try and force the Slovak government to pay compensation for reversing health privatisation and liberalisation policies. Similar action has been used against the Polish government by Eureko to win compensation worth nearly 2 billion Euros and a policy commitment to further privatisation.
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RESUMO - INTRODUÇÃO: A equidade em cuidados de saúde constitui uma prioridade das políticas de saúde, tendo vários estudos descrito uma iniquidade que geralmente favorece os indivíduos com maior rendimento e nível educacional. Este estudo visa caracterizar as desigualdades socioeconómicas na utilização de cuidados de saúde na população com 65 ou mais anos de idade, dadas as suas características, maior vulnerabilidade e crescente peso demográfico na população. METODOLOGIA: Através de dados do INS, procedeu-se à análise univariada e multivariada por regressão linear múltipla para avaliação das desigualdades socioeconómicas na utilização de cuidados de saúde em 8698 indivíduos. RESULTADOS: Identifica-se um padrão de desigualdade na utilização de cuidados de saúde – indivíduos com maior rendimento e nível de escolaridade utilizam em média mais consultas de especialidade; ocorrendo o inverso nas consultas de CSP. Com ajustamento pela necessidade, através do estado de saúde auto-reportado, observa-se um padrão de iniquidade no sexo masculino relativamente às consultas em geral e consultas de CSP. DISCUSSÃO E CONCLUSÕES: A iniquidade na utilização de cuidados de saúde, apesar de não constituir a única causa, pode determinar maior iniquidade em saúde, pelo que é relevante o seu estudo. Os resultados alcançados podem ser justificados pelas características do SNS, assim como pelas isenções de taxas moderadoras, rede social, outros indicadores económicos, ou ainda pelo próprio contexto de vida do individuo. Torna-se fundamental prosseguir a investigação acerca da equidade, assim como promover uma ampla reflexão sobre os desafios futuros do sistema de saúde, que permitam preservar a sua sustentabilidade e princípios fundadores.
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Introduction Chaque année, 289 000 femmes décèdent des complications reliées à la grossesse et à l’accouchement, et 2.9 millions de nouveau-nés décèdent avant d’atteindre 28 jours de vie. La quasi-totalité (99%) des décès maternels et néonataux ont cours dans les pays à revenu faible et intermédiaire (PRFI). L’utilisation des services obstétricaux essentiels, incluant l’assistance qualifiée à l’accouchement (AA) et les services postnataux, contribue largement à la réduction de la morbidité et de la mortalité maternelle et néonatale. Il est donc essentiel d’évaluer les déterminants et les inégalités de couverture de ces services, en vue d’informer l’élaboration de politiques et de programmes de santé dans les PRFI. Objectifs 1. Étudier systématiquement les déterminants et inégalités socioéconomiques, géographiques et démographiques dans l’utilisation des services de santé postnataux dans les PRFI. 2. Évaluer l’effet de la politique de subvention des frais aux usagers introduite au Burkina Faso en 2007 sur les taux d’utilisation de l’assistance qualifiée à l’accouchement, en fonction du statut socioéconomique (SSE). Méthodes 1. Nous avons réalisé une revue systématique sur l’utilisation des services postnataux dans les PRFI, en fonction des déterminants socioéconomiques, géographiques et démographiques. Notre étude incluait une méta-analyse de l’utilisation des services selon les quintiles de SSE et le milieu de vie (urbain vs. rural). 2. Nous avons utilisé un devis quasi-expérimental. Les sources de données consistaient en deux sondages représentatifs (n=1408 et n=1403), conduits respectivement en 2008 et 2010 auprès de femmes des districts sanitaires de Houndé et de Ziniaré au Burkina Faso, en plus d’une enquête sur la qualité structurelle des soins offerts dans les centres de santé primaire. Nous avons utilisé des modèles de régression de Poisson, multi-niveaux et segmentés, afin d’évaluer l’effet de la politique de subvention sur les taux d’AA. Nous avons estimé des ratios et différences de taux d’incidence ajustés, en fonction du SSE et du temps écoulé depuis l’introduction de la subvention. Résultats 1. Les estimés de ratio de cotes (RC) agrégés (IC 95%) pour les femmes de SSE élevé (5e quintile ou Q5), Q4, Q3 et Q2 (référence : quintile le plus pauvre, Q1) étaient respectivement : 2.27 (1.75 – 2.93); 1.60 (1.30-1.98); 1.32 (1.12-1.55); et 1.14 (0.96-1.34). La méta-analyse a aussi démontré un gradient d’utilisation des services postnataux entre les femmes urbaines et rurales : RC (IC 95%) = 1.36 (1.01-1.81). L’évaluation narrative a par ailleurs identifié une différence dans la couverture de services selon le niveau d’éducation. 2. Pour les femmes de faible SSE, le taux d’AA était 24% plus élevé (IC 95% : 4-46%) immédiatement après l’introduction de la subvention, en comparaison au taux attendu en l’absence de ladite subvention. L’ampleur de l’effet a diminué dans le temps, correspondant à des estimés (IC 95%) de 22% (3-45%) à 6 mois, 20% (1-43%) à 12 mois, et 17% (-4-42%) à 24 mois après l’introduction de la subvention. La force d’association variait selon les strates de SSE, l’effet le plus prononcé étant observé au sein du SSE le plus faible. Conclusions 1. L’utilisation des services postnataux demeure inéquitable selon le SSE et l’accessibilité géographique aux formations sanitaires dans les PRFI. 2. Notre étude suggère que l’introduction de la subvention des frais aux usagers au Burkina Faso résulte en une augmentation soutenue dans le taux d’assistance qualifiée à l’accouchement, particulièrement chez les femmes de faible SSE. Cette évidence scientifique devrait alimenter l’élaboration de programmes de santé materno-infantile, en plus de guider la planification de politiques et le renforcement des systèmes de santé des PRFI.
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The current policy decision making in Australia regarding non-health public investments (for example, transport/housing/social welfare programmes) does not quantify health benefits and costs systematically. To address this knowledge gap, this study proposes an economic model for quantifying health impacts of public policies in terms of dollar value. The intention is to enable policy-makers in conducting economic evaluation of health effects of non-health policies and in implementing policies those reduce health inequalities as well as enhance positive health gains of the target population. Health Impact Assessment (HIA) provides an appropriate framework for this study since HIA assesses the beneficial and adverse effects of a programme/policy on public health and on health inequalities through the distribution of those effects. However, HIA usually tries to influence the decision making process using its scientific findings, mostly epidemiological and toxicological evidence. In reality, this evidence can not establish causal links between policy and health impacts since it can not explain how an individual or a community reacts to changing circumstances. The proposed economic model addresses this health-policy linkage using a consumer choice approach that can explain changes in group and individual behaviour in a given economic set up. The economic model suggested in this paper links epidemiological findings with economic analysis to estimate the health costs and benefits of public investment policies. That is, estimating dollar impacts when health status of the exposed population group changes by public programmes – for example, transport initiatives to reduce congestion by building new roads/ highways/ tunnels etc. or by imposing congestion taxes. For policy evaluation purposes, the model is incorporated in the HIA framework by establishing association among identified factors, which drive changes in the behaviour of target population group and in turn, in the health outcomes. The economic variables identified to estimate the health inequality and health costs are levels of income, unemployment, education, age groups, disadvantaged population groups, mortality/morbidity etc. However, though the model validation using case studies and/or available database from Australian non-health policy (say, transport) arena is in the future tasks agenda, it is beyond the scope of this current paper.
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Two types of welfare states are compared in this article. Differences in procedural rights for young unemployed at the level of service delivery are analyzed. In Australia, rights are regulated through a rigid procedural justice system. The young unemployed within the social assistance system in Sweden encounter staff with high discretionary powers, which makes the legal status weak for the unemployed but, on the other hand, the system is more flexible. Despite the differences, there is striking convergence in how the young unemployed describe how discretionary power among street-level staff affects their procedural rights. This result can be understood as a result of similar professional norms, work customs and occupational cultures of street-level staff, and that there is a basic logic of conditionality in all developed welfare states where procedural rights are tightly coupled with responsibilities.
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This article explores the interactions between disabled forced migrants with care needs and professionals and the restrictive legal, policy and practice context that health and social care professionals have to confront, based on the findings of a qualitative study with 45 participants in the South-East of England. In-depth interviews were conducted with 15 forced migrants who had diverse impairments and chronic illnesses (8 women and 7 men), 13 family caregivers and 17 support workers and strategic professionals working in social care and the third sector in Slough, Reading and London. The legal status of forced migrants significantly affects their entitlements to health and social care provision, resulting in prolonged periods of destitution for many families. National asylum support policies, difficult working relationships with UK Border Agency, higher eligibility thresholds and reduced social care budgets of local authorities were identified as significant barriers in responding to the support needs of disabled forced migrants and family caregivers. In this context, social workers experienced considerable ethical dilemmas. The research raises profound questions about the potential and limitations of health and social care policies, provision, and practice as means of protection and support in fulfilling the human rights of forced migrants with care needs.
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This thesis contains three chapters. The first chapter uses a general equilibrium framework to simulate and compare the long run effects of the Patient Protection and Affordable Care Act (PPACA) and of health care costs reduction policies on macroeconomic variables, government budget, and welfare of individuals. We found that all policies were able to reduce uninsured population, with the PPACA being more effective than cost reductions. The PPACA increased public deficit mainly due to the Medicaid expansion, forcing tax hikes. On the other hand, cost reductions alleviated the fiscal burden of public insurance, reducing public deficit and taxes. Regarding welfare effects, the PPACA as a whole and cost reductions are welfare improving. High welfare gains would be achieved if the U.S. medical costs followed the same trend of OECD countries. Besides, feasible cost reductions are more welfare improving than most of the PPACA components, proving to be a good alternative. The second chapter documents that life cycle general equilibrium models with heterogeneous agents have a very hard time reproducing the American wealth distribution. A common assumption made in this literature is that all young adults enter the economy with no initial assets. In this chapter, we relax this assumption – not supported by the data – and evaluate the ability of an otherwise standard life cycle model to account for the U.S. wealth inequality. The new feature of the model is that agents enter the economy with assets drawn from an initial distribution of assets. We found that heterogeneity with respect to initial wealth is key for this class of models to replicate the data. According to our results, American inequality can be explained almost entirely by the fact that some individuals are lucky enough to be born into wealth, while others are born with few or no assets. The third chapter documents that a common assumption adopted in life cycle general equilibrium models is that the population is stable at steady state, that is, its relative age distribution becomes constant over time. An open question is whether the demographic assumptions commonly adopted in these models in fact imply that the population becomes stable. In this chapter we prove the existence of a stable population in a demographic environment where both the age-specific mortality rates and the population growth rate are constant over time, the setup commonly adopted in life cycle general equilibrium models. Hence, the stability of the population do not need to be taken as assumption in these models.