947 resultados para hate crimes


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The issue of bias-motivated crimes has attracted consderable attention in recent years. In this paper, we develop an economic framework to analyze penalty enhancements for bias-motivated crimes. We extend the standard model by introducing two different groups of potential victims of crime, and assume that a potential offender's benefits from a crime depend on the group to which the victim belongs. We begin with the assumption that the harm to an individual victim from a bias-motivated crime is identical to that from an equivalent non-hate crime. Nonetheless, we derive the result that a pattern of crimes disproportionately targeting an identifiable group leads to greater social harm. This conclusion follows both from a model where disparities in groups' victimization probabilities lead to social losses due to fairness concerns, as well as a model where potential victims have the opportunity to undertake socially costly victimization avoidance activities. In particular, penalty enhancements can reduce the incentives for avoidance activity, and thereby protect the networks of profitable interactions that link members of different groups. We also argue that those groups that are covered by hate crime statutes tend to be those whose characteristics make it especially likely that penalty enhancement is socially optimal. Finally, we consider a number of other issues related to hate crimes, including teh choice of sanctions from behind a Rawlsian 'veil of ignorance' concerning group identity.

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Drawing on data from UglyMugs.ie (a reporting mechanism for sex workers) this paper considers whether crimes against sex workers should be considered as hate crimes. In many ways, the debates around hate crime in the UK are more developed than in Ireland. As yet the Irish State has yet to criminalise the ‘hate’ element of crime and has been severely criticised for its relatively lacklustre approach to recording incidents of bias or hate crimes against certain social groups. The paper adopts the structural understanding of hate crime espoused by Barbara Perry (2001) who frames the dynamics of hate crime within a complex interplay of political, social and cultural factors. In our analysis we consider what is termed ‘whorephobia’ through the ambit of criminalisation and stigmatisation, gender and heteronormativity in Irish society, and the gendered nature of policing in both parts of Ireland.

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Racial and ethnic violence takes many forms. Genocides, ethnic cleansing, pogroms, civil wars, and violent separatist movements are the most obvious and extreme expressions, but less organized violence such as rioting, and hate crimes by individuals or small groups are products of racial and ethnic conflict as well. Also, the distribution of criminal violence within societies, which may or may not be aimed at members of another group, is in some places a by-product of ongoing conflicts between superior and subordinated racial or ethnic groups. Although estimates of the number of deaths attributable to ethnic violence vary widely, range of eleven to twenty million given for the period between 1945 and the early 1990s show the gravity of this type of conflict (Williams 1994, 50). So it comes as no surprise that scholars have paid increasing attention to such conflicts over the last decades.

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Verbal-textual hostility (VTH) plays a significant role in victims’ subjective perceptions of hatred and police officers’ assessment of a prejudice-related violence. Yet, to date, the role of VTH in ‘hate’ crime has been under-researched. The aim of this research has been to assess and evaluate the forensic possibilities contained in a closer reading of the words used in these crimes. Through a content analysis of incident characteristics and officers’ narratives of incidents, this report maps out how key speech-text indicators may assist to better evaluate the force and effects of prejudice-related violence. It is expected that this type of contextual analysis will lead to the development of more sophisticated risk assessment tools for use in frontline policing, and more targeted service enhancements for victims.

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Considérant la « nouveauté » du phénomène de dénonciation auprès des policiers et l’utilisation croissante du concept social de « crime motivé par la haine », peu d’études ont été réalisées au Canada sur l’incidence de ces crimes pour les personnes comme pour la société. Cette recherche exploratoire a comme objectif de comprendre la façon dont ce type de crime se distingue des autres manifestations de conflits ou d’incidents et de comprendre les impacts de ce type de victimisation pour les homosexuels en particulier. Plus spécifiquement, ce mémoire vise à approfondir la compréhension du stigmate homosexuel et son impact sur la reportabilité des événements de victimisation criminelle aux autorités judiciaires. Pour ce faire, cinq intervenants communautaires, deux policiers, un avocat et quatre victimes considérant avoir vécu des événements de violence homophobe ont été interviewés. Cet échantillon diversifié a permis de mieux comprendre le phénomène de sous-déclaration des incidents de violences homophobes de la part des victimes et d’obtenir une vue d’ensemble des perceptions des acteurs clés qui peuvent être confrontés au phénomène. L’analyse des entretiens suggère d’importantes lacunes sur le plan de la formation des divers intervenants qui entrainent des difficultés à reconnaître une violence homophobe. Les intervenants confient ne pas se sentir pas suffisamment outillés pour intervenir auprès d’une victime de violence homophobe, n’estiment pas tous posséder les compétences et une compréhension suffisante des réalités des minorités sexuelles, de l'homophobie et de l'hétérosexisme, en somme, l’ensemble des savoirs ultimement nécessaires à une assistance et un accompagnement efficaces pour la déclaration aux autorités d’une telle violence vécue par les victimes. Du côté des victimes de violence(s) homophobe(s), il ressort que la discrimination basée sur l’orientation sexuelle est encore prégnante dans leurs interactions quotidiennes. De leur point de vue, la banalisation et l’impunité de certains comportements homophobes par les instances judiciaires viennent renforcer l’idée chez les victimes et la société d’une forme d’infériorité de l’orientation homosexuelle. L’apposition d’une étiquette homosexuelle paraît ainsi avoir de multiples conséquences psychologiques et sociales sur les victimes, notamment sur leur développement identitaire et sexuel. L’intégration des stigmates homosexuels et l’autostigmatisation, qui les poussent à se déprécier, voire à déprécier l’ensemble de la communauté homosexuelle, surgissent de leur perception de la présence de forts stéréotypes homosexuels, d’une société majoritairement hétérosexiste et de l’opérationnalisation sociale d’une distanciation entre le « nous » hétérosexuel et le « eux » homosexuel. Par leur marginalisation, leur mise en infériorité historique, l’ambiguïté du concept de « crimes motivés par la haine », la noncompréhension de la violence et des répercussions qu’ont les intervenants communautaires et judiciaires de la situation et partant, dans bien des cas, de la prise en charge inadéquate qui en découle pour les victimes des violences homophobes, il est possible de comprendre les appréhensions mentales que les victimes entretiennent ainsi que leur réticence à solliciter de l’aide et encore plus à rapporter la victimisation vécue aux autorités judiciaires.

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Considérant la « nouveauté » du phénomène de dénonciation auprès des policiers et l’utilisation croissante du concept social de « crime motivé par la haine », peu d’études ont été réalisées au Canada sur l’incidence de ces crimes pour les personnes comme pour la société. Cette recherche exploratoire a comme objectif de comprendre la façon dont ce type de crime se distingue des autres manifestations de conflits ou d’incidents et de comprendre les impacts de ce type de victimisation pour les homosexuels en particulier. Plus spécifiquement, ce mémoire vise à approfondir la compréhension du stigmate homosexuel et son impact sur la reportabilité des événements de victimisation criminelle aux autorités judiciaires. Pour ce faire, cinq intervenants communautaires, deux policiers, un avocat et quatre victimes considérant avoir vécu des événements de violence homophobe ont été interviewés. Cet échantillon diversifié a permis de mieux comprendre le phénomène de sous-déclaration des incidents de violences homophobes de la part des victimes et d’obtenir une vue d’ensemble des perceptions des acteurs clés qui peuvent être confrontés au phénomène. L’analyse des entretiens suggère d’importantes lacunes sur le plan de la formation des divers intervenants qui entrainent des difficultés à reconnaître une violence homophobe. Les intervenants confient ne pas se sentir pas suffisamment outillés pour intervenir auprès d’une victime de violence homophobe, n’estiment pas tous posséder les compétences et une compréhension suffisante des réalités des minorités sexuelles, de l'homophobie et de l'hétérosexisme, en somme, l’ensemble des savoirs ultimement nécessaires à une assistance et un accompagnement efficaces pour la déclaration aux autorités d’une telle violence vécue par les victimes. Du côté des victimes de violence(s) homophobe(s), il ressort que la discrimination basée sur l’orientation sexuelle est encore prégnante dans leurs interactions quotidiennes. De leur point de vue, la banalisation et l’impunité de certains comportements homophobes par les instances judiciaires viennent renforcer l’idée chez les victimes et la société d’une forme d’infériorité de l’orientation homosexuelle. L’apposition d’une étiquette homosexuelle paraît ainsi avoir de multiples conséquences psychologiques et sociales sur les victimes, notamment sur leur développement identitaire et sexuel. L’intégration des stigmates homosexuels et l’autostigmatisation, qui les poussent à se déprécier, voire à déprécier l’ensemble de la communauté homosexuelle, surgissent de leur perception de la présence de forts stéréotypes homosexuels, d’une société majoritairement hétérosexiste et de l’opérationnalisation sociale d’une distanciation entre le « nous » hétérosexuel et le « eux » homosexuel. Par leur marginalisation, leur mise en infériorité historique, l’ambiguïté du concept de « crimes motivés par la haine », la noncompréhension de la violence et des répercussions qu’ont les intervenants communautaires et judiciaires de la situation et partant, dans bien des cas, de la prise en charge inadéquate qui en découle pour les victimes des violences homophobes, il est possible de comprendre les appréhensions mentales que les victimes entretiennent ainsi que leur réticence à solliciter de l’aide et encore plus à rapporter la victimisation vécue aux autorités judiciaires.

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The purpose of this chapter is to discuss the relationship between crime and morality, with a specific focus on crimes against morality. While we argue that all crimes have a general moral basis, condemned as wrong or bad and proscribed by society, there is a specific group of offences in modern democratic nations labelled crimes against morality. Included within this group are offences related to prostitution, pornography and homosexuality. What do these crimes have in common? Most clearly they tend to have a sexual basis and are often argued to do sexual harm, in both a moral and /or psychological sense, as well as physically. Conversely they are often argued to be victimless crimes, especially when the acts occur between consenting adults. Finally they are considered essentially private acts but they often occur, and are regulated, in the public domain. Most importantly, each of these crimes against morality has only relatively recently (ie in the past 150 years) become identified and regulated by the state as a criminal offence.

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Both William Shakespeare's play The Taming of the Shrew (1593) and the film 10 thing I hate About You (Gil Junger, 1999) contain tropes of gender and education and gendered education, and both represent and perform 'education'. That is, they depict characters undergoing a range of educational experiences and in turn educate their audience about what it means to be educated appropriately. It seems fitting then that these pairng of texts has been popular with high school teachers who, more often than not, use them as ways into teaching Shakespeare to contemporary adolescents. I suggest that the play-film pairing can be more productively introduced into the classroom as texts that offer critical readers the opportunity to contest the values of education and gender contatined within them, rather than as tools to reintroduce outdated notions of gendered agency and cultural authority. Indeed it is precisely because 10 Things is unequivocally a romantic comedy that aims to work within the audience's comfort zone that we must seriously interrogate the cultural politics of gender and education it promotes.