999 resultados para gestion, rendez-vous, pédiatres, type de consultation
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Introduction¦La gestion des rendez-vous (RDV) et des flux des consultations en médecine libérale sont¦primordiaux. Il n'existe actuellement que peu de données à ce sujet et chaque médecin gère ses RDV¦selon sa convenance. Le but de cette étude est de décrire de manière analytique et prospective la¦gestion des RDV chez un groupe de pédiatres généralistes installés en cabinet. Ainsi elle pourrait¦servir de base pour des formations post graduées, des cours sur la pratique libérale de médecine de¦premier recours ou encore lors d'ouvertures de cabinets médicaux.¦Méthode¦Tous les pédiatres généralistes avec activité de premier recours du canton de Neuchâtel ont été¦invités à participer à l'étude. Leurs parcours professionnels ont été recensés. Pour chaque¦consultation, le délai entre l'heure d'appel téléphonique par les parents et celle du RDV obtenu le jour¦même (RDV «du jour», RDVdJ), le temps d'attente au cabinet, sa durée, l'âge, le sexe et la nationalité du patient, les diagnostics et les traitements ont été consignés. Le nombre et la durée des¦consultations téléphoniques par les pédiatres ont été enregistrés. La période d'enquête a porté du¦lundi 7 au vendredi 11 février 2011. Parallèlement, l'activité pédiatrique aux urgences de l'Hôpital¦neuchâtelois (HNE) a été recensée du 7 au 14 février 2011, nuits et week-end inclus.¦Cette étude a été acceptée par la Commission cantonale vaudoise d'éthique de la recherche sur l'être¦humain.¦Résultats¦Sur les 24 pédiatres praticiens avec activité de premier recours installés dans le canton de Neuchâtel,¦18 ont accepté de collaborer. 1645 consultations ont été réalisées dans les cabinets, 271 au sein de¦l'HNE et 500 chez les pédiatres n'ayant pas participé à l'étude. Ainsi 2416 consultations pédiatriques¦ont été effectuées pendant les 7 jours d'analyse dans les principales structures neuchâteloises de¦soins pédiatriques.¦Sur 1645 consultations, 697 étaient des RDVdJ (médiane 42%, extrêmes 26%-57%), 880 (54%, 42%-¦69%) avaient un RDV prévu (RDVP), c'est-à dire fixé avant le jour de la consultation, 61 (4%, 0%-¦16%) étaient des RDV pressants (RDVpress), ce qui signifie que le patient s'était présenté¦directement au cabinet sans RDV préalable. 902/1645 consultations (55%) concerne des enfants de¦moins de 6 ans. Le recours parental à des RDVdJ ne dépendait pas de l'âge du patient. La plupart¦des consultations était due à un syndrome infectieux aigu (42%).¦La couverture par les pédiatres praticiens était très variable (5-14 actifs simultanément par ½¦journée), l'HNE permettant certainement d'assurer les prises en charge pédiatriques en l'absence des¦praticiens.¦Ce travail a montré une grande variabilité des différents paramètres d'activité entre les pédiatres. Il¦donne une image synthétique, quoi que partielle puisque le volet diagnostic et traitement n'ont pas été abordés, des soins pédiatriques ambulatoires dans un canton romand. Il n'a pas permis de définir un style univoque de gestion des RDV.
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Collection : Théâtre contemporain illustré ; 131e et 132e livraisons
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Collection : Théâtre contemporain illustré ; 131e et 132e livraisons
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BACKGROUND A caesarean scar defect is a late complication of caesarean birth with a wide range of prevalence between 56 and 84 % depending on which diagnostic tool and which definition is used [1]. The referred symptoms which include postmenstrual spotting and infertility are fortunately rare. Moreover, severe complications such as caesarean scar pregnancy and uterine rupture in the following pregnancy may occur. Given the increasing incidence of caesarean births, the potential morbidity associated with caesarean scars is likely to become more important. Recently, a few repair techniques were described in the literature including the hysteroscopic resection of scarred tissue or the laparoscopic repair with or without robotic assistance [2, 3]. METHODS Between June 2009 and February 2014, 21 women with caesarean scar defects were operated with the Rendez-vous technique, a minimally invasive surgery combining the laparoscopic and hysteroscopic approach. Data were retrospectively collected. The indications for this surgery included secondary infertility, previous caesarean scar pregnancy, recurrent miscarriage and postmenstrual spotting. Prior to operation, a transvaginal ultrasound was performed to examine the uterine wall defect. RESULTS The patient characteristics are provided in Table 1. In all cases, the operation was successfully completed laparoscopically. The median operation time was 125 min. One case was complicated by recurrence of the scar defect 6 weeks after the operation. No other intra- or post-operative complications were observed, and the median in-patient stay was 3 days. CONCLUSIONS The benefits of the technique include the feasibility and safety of the procedure, the "Halloween sign" (Fig. 1) which indicates the exact extent and localization of the scar defect and the immediate assessment of repair through the hysteroscopy at the end of the surgery. However, before further studies evaluate the efficacy of this method, the routine repair of caesarean scar defects cannot be recommended. A video of the technique is presented.
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Lesser Ury
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Signatur des Originals: S 36/F06126
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Signatur des Originals: S 36/G10183