904 resultados para gendered-based violence


Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Resumen tomado de la publicación

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Includes bibliography

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

This study represents a collaborative effort by the Economic Commission for Latin America and the Caribbean (ECLAC) Subregional Headquarters for the Caribbean and the United Nations Development Fund for Women (UNIFEM) to assess these actions with the aim of informing the future work of these agencies around gender-based violence. An important dimension of the mandate of the ECLAC Subregional Headquarters for the Caribbean is the provision of strategic thinking and information to governments for policy formulation. This is accomplished through technical assistance and through research activities. At the Third Economic Commission for Latin America and the Caribbean/Caribbean Development and Cooperation Committee (ECLAC/CDCC) Ministerial Conference on Women held in October 1999, violence against women was identified as a barrier to achieving gender equality. The recommendations spoke not only of the need to extend services to victims, but also to take actions based on an understanding of the root causes of violence. This study forms one component in a scope of work in which the ECLAC Subregional Headquarters for the Caribbean has been engaged since 1999.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

This study investigates the influence of neighbourhood socioeconomic conditions on women's likelihood of experiencing intimate partner violence (IPV) in Sao Paulo, Brazil. Data from 940 women who were interviewed as part of the WHO multi-country study on women's health and domestic violence against women, and census data for Sao Paulo City, were analyzed using multilevel regression techniques. A neighbourhood socioeconomic-level scale was created, and proxies for the socioeconomic positions of the couple were included. Other individual level variables included factors related to partner's behaviour and women's experiences and attitudes. Women's risk of IPV did not vary across neighbourhoods in Sao Paulo nor was it influenced by her individual socioeconomic characteristics. However, women in the middle range of the socioeconomic scale were significantly more likely to report having experienced violence by a partner. Partner behaviours such as excessive alcohol use, controlling behaviour and multiple sexual partnerships were important predictors of IPV. A women's likelihood of IPV also increased if either her mother had experienced IPV or if she used alcohol excessively. These findings suggest that although the characteristics of people living in deprived neighbourhoods may influence the probability that a woman will experience IPV, higher-order contextual dynamics do not seem to affect this risk. While poverty reduction will improve the lives of individuals in many ways, strategies to reduce IPV should prioritize shifting norms that reinforce certain negative male behaviours. (C) 2012 Elsevier Ltd. All rights reserved.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Research on the cognitive and decision-making processes of individuals who choose to engage in ideologically based violence is vital. Our research examines how abstract and concrete construal mindsets affect likelihood to engage in ideologically based violence. Construal Level Theory (CLT) states that an abstract mindset (high-level construal), as opposed to a concrete mindset (low-level construal), is associated with a greater likelihood of engaging in goal-oriented, value-motivated behaviors. Assuming that ideologically based violence is goal-oriented, we hypothesized that high-level construal should result in an increased likelihood of engaging in ideologically based violence. In the pilot study we developed and tested 24 vignettes covering controversial topics and assessed them on features such as relatability, emotional impact, and capacity to elicit a violent reaction. The ten most impactful vignettes were selected for use in the primary investigations. The two primary investigations examined the effect of high- and low-level construal manipulations on self-reported likelihood of engaging in ideologically based violence. Self-reported willingness was measured through an ideological violence assessment. Data trends implied that participants were engaged in the study, as they reported a higher willingness to engage in ideologically based violence when they had a higher passion for the vignette's social issue topic. Our results did not indicate a significant relationship between construal manipulations and level of passion for a topic.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Cette recherche constitue un essai de théorie critique féministe matérialiste et radicale. Elle poursuit principalement un objectif de dénonciation de la structure actuelle du droit du logement. À partir d’un cadre conceptuel fondé sur le féminisme matérialiste et radical, elle souhaite faire ressortir le point de vue de la classe des femmes dans l’habitation. Le droit du logement est ici utilisé dans un sens large, puisqu’il se réfère à la fois au logement comme phénomène juridique, mais aussi sociologique. À l’intérieur de la discipline juridique, il renvoie à l’ensemble des législations actuellement en vigueur au Québec en ce qui concerne la vie à domicile. Notre étude se concentre sur deux modes d’occupation des lieux, à travers le droit de propriété et le système locatif. Le droit au logement fait l’objet d’une reconnaissance internationale dans les textes portant sur les droits humains. Il est reconnu comme le « droit à un logement suffisant ». Au Canada et au Québec, il ne fait pas l’objet d’une reconnaissance explicite, malgré les engagements pris sur la scène internationale. Un portrait statistique, appuyé sur le critère du sexe, permet de mettre en évidence qu’il existe des écarts entre les hommes et les femmes en ce qui concerne la mise en application du droit du logement. Les femmes accèdent plus difficilement à un logement; elles y effectuent la majorité du travail domestique, de service et de « care » et elles sont les principales victimes des violences commises à domicile. Dans le système d’habitation, l’expérience des femmes se comprend comme une appropriation à la fois privée et collective par la classe des hommes, telle que réfléchie par Colette Guillaumin, qui se concentre autour de la division sexuelle du travail et des violences sexuées. Le droit du logement, dans sa forme actuelle, repose sur l’appropriation de la force de travail des femmes et de leur corps. Ces deux critères permettent de construire une grille d’analyse féministe matérialiste et radicale pour analyser la structure du droit du logement, tel que conçu en droit civil. Cette analyse féministe permet également de situer le droit étatique comme une pratique patriarcale. Cette dernière contribue à assurer le maintien du système d’habitation, qui est assimilable à un système hégémonique, au sens développé par Gramsci. Cette étude réfléchit sur le droit du logement dans le climat politique néolibéral. Le néolibéralisme est développé comme une idéologie qui impose une rationalité marchande à l’ensemble des politiques étatiques. À partir d’une méthode décrite comme métathéorique externe radicalement réflexive, puisqu’elle propose l’importation d’outils conceptuels étrangers à la discipline du droit moderne, nous réfléchissons de manière radicale la construction du droit civil et des institutions qui encadrent le droit du logement. La collecte des données s’effectue à partir de la recherche documentaire. Quatre institutions du droit civil seront examinées dans le détail, soit le sujet du droit, la dichotomie privé/public, la médiation du droit du logement par les biens immeubles, à travers le rapport contractuel et le droit de propriété, et finalement les notaires. L’analyse féministe du sujet du droit insiste sur un paradoxe. D’une part, l’universalité présumée de ce sujet, laquelle permet de poser l’égalité et la liberté pour toutes les personnes juridiques. Or, plutôt que d’être neutre sexuellement comme le prétend le droit positif, nous démontrons comment ce sujet est constamment un membre de la classe des hommes. D’autre part, nous analysons comment le droit reconnaît le sexe de ses sujets, mais surtout comment cette sexualité est construite sur l’idéologie naturaliste. Ce modèle de sujet masculin est fondamental dans la construction du droit du logement. L’étude féministe de la dichotomie privé/public en fait ressortir le caractère situé. En effet, si par essence aucun domaine ou enjeu n’est en soit privé ou public, le processus de qualification, lui, est un acte de pouvoir. Nous verrons comment le droit civil crée des zones de droit privé, comprises comme des zones de non-droit pour les femmes. La qualification de privé dévalue également le travail accompli par cette classe de sexe. Le droit du logement est pourtant centré sur le rapport contractuel et sur le droit de propriété. Il importe alors d’examiner la nature du consentement donné par les femmes comme groupe social dans les contrats de vente et de location. Ces contrats ne prennent pas en compte l’expérience des femmes dans leur formation. Les catégories qui y sont attachées, telles que vendeur.e ou locataire, représentent le point de vue de la classe des hommes. Bien que la popularité de la copropriété auprès de la classe des femmes semble porteuse d’un vent de changement, nous analysons comment le discours dominant qui l’entoure instrumentalise certaines revendications féministes, tout en laissant dans l’ombre la question du travail domestique et des violences sexuées. Finalement, nous nous intéressons aux notaires en les repensant comme des intellectuel.les organiques, tels que conçu.es par Gramsci, pour la classe des hommes. Cette fonction d’intellectuel.les permet de mettre en lumière comment chaque transaction immobilière favorise la reproduction des intérêts patriarcaux, remettant ainsi en question la nature des devoirs de conseil et d’impartialité du notariat. À la lumière de cette analyse, le Code civil du Québec est qualifié dans une perspective féministe matérialiste et radicale pour devenir un système qui institutionnalise l’appropriation des femmes par l’entremise du droit du logement. Ce travail de recherche permet d’envisager certaines pistes de réflexion pour des rénovations potentielles des pratiques juridiques entourant le droit du logement, notamment la pratique notariale, tournées vers des objectifs féministes de justice sociale.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Cette recherche constitue un essai de théorie critique féministe matérialiste et radicale. Elle poursuit principalement un objectif de dénonciation de la structure actuelle du droit du logement. À partir d’un cadre conceptuel fondé sur le féminisme matérialiste et radical, elle souhaite faire ressortir le point de vue de la classe des femmes dans l’habitation. Le droit du logement est ici utilisé dans un sens large, puisqu’il se réfère à la fois au logement comme phénomène juridique, mais aussi sociologique. À l’intérieur de la discipline juridique, il renvoie à l’ensemble des législations actuellement en vigueur au Québec en ce qui concerne la vie à domicile. Notre étude se concentre sur deux modes d’occupation des lieux, à travers le droit de propriété et le système locatif. Le droit au logement fait l’objet d’une reconnaissance internationale dans les textes portant sur les droits humains. Il est reconnu comme le « droit à un logement suffisant ». Au Canada et au Québec, il ne fait pas l’objet d’une reconnaissance explicite, malgré les engagements pris sur la scène internationale. Un portrait statistique, appuyé sur le critère du sexe, permet de mettre en évidence qu’il existe des écarts entre les hommes et les femmes en ce qui concerne la mise en application du droit du logement. Les femmes accèdent plus difficilement à un logement; elles y effectuent la majorité du travail domestique, de service et de « care » et elles sont les principales victimes des violences commises à domicile. Dans le système d’habitation, l’expérience des femmes se comprend comme une appropriation à la fois privée et collective par la classe des hommes, telle que réfléchie par Colette Guillaumin, qui se concentre autour de la division sexuelle du travail et des violences sexuées. Le droit du logement, dans sa forme actuelle, repose sur l’appropriation de la force de travail des femmes et de leur corps. Ces deux critères permettent de construire une grille d’analyse féministe matérialiste et radicale pour analyser la structure du droit du logement, tel que conçu en droit civil. Cette analyse féministe permet également de situer le droit étatique comme une pratique patriarcale. Cette dernière contribue à assurer le maintien du système d’habitation, qui est assimilable à un système hégémonique, au sens développé par Gramsci. Cette étude réfléchit sur le droit du logement dans le climat politique néolibéral. Le néolibéralisme est développé comme une idéologie qui impose une rationalité marchande à l’ensemble des politiques étatiques. À partir d’une méthode décrite comme métathéorique externe radicalement réflexive, puisqu’elle propose l’importation d’outils conceptuels étrangers à la discipline du droit moderne, nous réfléchissons de manière radicale la construction du droit civil et des institutions qui encadrent le droit du logement. La collecte des données s’effectue à partir de la recherche documentaire. Quatre institutions du droit civil seront examinées dans le détail, soit le sujet du droit, la dichotomie privé/public, la médiation du droit du logement par les biens immeubles, à travers le rapport contractuel et le droit de propriété, et finalement les notaires. L’analyse féministe du sujet du droit insiste sur un paradoxe. D’une part, l’universalité présumée de ce sujet, laquelle permet de poser l’égalité et la liberté pour toutes les personnes juridiques. Or, plutôt que d’être neutre sexuellement comme le prétend le droit positif, nous démontrons comment ce sujet est constamment un membre de la classe des hommes. D’autre part, nous analysons comment le droit reconnaît le sexe de ses sujets, mais surtout comment cette sexualité est construite sur l’idéologie naturaliste. Ce modèle de sujet masculin est fondamental dans la construction du droit du logement. L’étude féministe de la dichotomie privé/public en fait ressortir le caractère situé. En effet, si par essence aucun domaine ou enjeu n’est en soit privé ou public, le processus de qualification, lui, est un acte de pouvoir. Nous verrons comment le droit civil crée des zones de droit privé, comprises comme des zones de non-droit pour les femmes. La qualification de privé dévalue également le travail accompli par cette classe de sexe. Le droit du logement est pourtant centré sur le rapport contractuel et sur le droit de propriété. Il importe alors d’examiner la nature du consentement donné par les femmes comme groupe social dans les contrats de vente et de location. Ces contrats ne prennent pas en compte l’expérience des femmes dans leur formation. Les catégories qui y sont attachées, telles que vendeur.e ou locataire, représentent le point de vue de la classe des hommes. Bien que la popularité de la copropriété auprès de la classe des femmes semble porteuse d’un vent de changement, nous analysons comment le discours dominant qui l’entoure instrumentalise certaines revendications féministes, tout en laissant dans l’ombre la question du travail domestique et des violences sexuées. Finalement, nous nous intéressons aux notaires en les repensant comme des intellectuel.les organiques, tels que conçu.es par Gramsci, pour la classe des hommes. Cette fonction d’intellectuel.les permet de mettre en lumière comment chaque transaction immobilière favorise la reproduction des intérêts patriarcaux, remettant ainsi en question la nature des devoirs de conseil et d’impartialité du notariat. À la lumière de cette analyse, le Code civil du Québec est qualifié dans une perspective féministe matérialiste et radicale pour devenir un système qui institutionnalise l’appropriation des femmes par l’entremise du droit du logement. Ce travail de recherche permet d’envisager certaines pistes de réflexion pour des rénovations potentielles des pratiques juridiques entourant le droit du logement, notamment la pratique notariale, tournées vers des objectifs féministes de justice sociale.

Relevância:

90.00% 90.00%

Publicador:

Resumo:

Since the 1998 Rome Statute recognized widespread and systematic acts of sexual and gender-based violence (SGBV) as an act of genocide, a war crime and crime against humanity, the last decade has seen historic recognition that egregious acts of sexual violence merit international political and legal attention (UN General Assembly, 1998). Notably there are now no fewer than seven United Nations Security Council resolutions on the cross-cutting theme of Women, Peace and Security.

Relevância:

90.00% 90.00%

Publicador:

Resumo:

This paper addresses the question of totalising gender power relations that have led to and shaped the wars of the 1990s in Yugoslavia and the emerging ethno-national states on the ‘periphery’ of Europe. I argue that the same type of gender power relations continue to dominate the region, notably Serbia, and to perpetuate gender inequalities and gender based violence in its many everyday and structural forms, causing profound levels of human insecurity. My analysis aims to set in motion a debate on how to tackle these continuing gender inequalities and GBV in post-war societies. In so doing, I propose a shift from focusing on the hierarchy of victimisation that has characterised much of the feminist analyses, activism and scholarly work in relation to these (and other) conflicts, to a relational understanding of the gendered processes of victimisation in war and peace, that is - of both women and men. Such an approach holds a potential to undermine the power systems that engender these varied types of victimisation by ultimately reshaping the notions of masculinity and femininity, which are central to the gender power systems that generate gender unjust peace.

Relevância:

90.00% 90.00%

Publicador:

Resumo:

Les clients de TS sont considérés comme un groupe à risque de VIH et aussi agiraient comme un « pont de transmission » entre les TS et les femmes de la population générale. En dépit de leurs comportements sexuels à risque, les clients de TS ont été rarement étudiés. En conséquence, les objectifs spécifiques de cette thèse étaient : 1) estimer la prévalence du VIH, de la syphilis, du VHS-2 (virus de l’herpès simplex et 2) des facteurs de risque associés chez les clients de TS en Haïti, 2) examiner les déterminants de l’intention d’utilisation du condom, et 3) estimer la prévalence des comportements de violence et ses conséquences. Pour ce faire, une enquête transversale a été effectuée en 2006 auprès de 378 clients fréquentant les milieux de prostitution de St-Marc et de Gonaïves, en Haïti. Un questionnaire structuré ainsi que des échantillons de sang séché sur papier filtre ont été utilisés pour la collecte de données comportementales et biologiques. Notre premier article a montré une prévalence élevée du VIH et des ITS chez les clients. Ces hommes avaient plusieurs partenaires sexuelles avec lesquelles l’utilisation du condom variait. Les clients qui avaient déjà consommé de la marijuana, pratiquaient le vaudou, avaient des antécédents d’ITS ou étaient infectés par le VHS-2, avaient plus de chances d’être positifs au VIH. Le fait d’habiter Gonaïves, de ne pas être protestant, d’être employé et d’avoir déjà essayé la marijuana était associé à l’infection à la syphilis. Tandis que les clients plus vieux, ceux résidants à Gonaïves ainsi que ceux pratiquant le vaudou étaient plus souvent infectés par le VHS-2. Dans notre second article, nous avons démontré que les normes subjectives, le contrôle comportemental perçu et les attitudes étaient des déterminants importants de l’intention d’utilisation du condom. Les clients qui avaient des antécédents d’ITS ou avaient utilisé le condom lors de la dernière relation sexuelle avec la TS étaient aussi plus susceptibles d’avoir l’intention d’en faire usage dans le futur. Les résultats du dernier article ont montré que la prévalence des comportements de violence envers les partenaires intimes était élevée. De plus, la violence émotionnelle et physique était associée à l’utilisation inconstante du condom avec les différentes partenaires sexuelles. En conclusion, cette étude suggère que les clients de TS agiraient comme un pont de transmission facilitant la propagation du VIH/ITS dans la population générale en Haïti et que la violence semblerait également jouer un rôle dans la transmission de ces infections. Nos résultats soulignent le besoin d’interventions en prévention du VIH et des ITS ciblant cette population vulnérable, incluant la problématique de la violence.

Relevância:

90.00% 90.00%

Publicador:

Resumo:

Objective: To explore service providers’ perceptions in order to identify barriers and facilitators to effective coverage of Intimate Partner Violence (IPV) services for immigrant women in Spain, according to the different categories proposed in Tanahashi's model of effective coverage. Methods: A qualitative study based on 29 in-depth personal interviews and four group interviews with a total of 43 professionals working in public services (social and health-care services, women's refuges, the police force, the judiciary) and NGOs in Barcelona, Madrid, Valencia and Alicante (Spain) in 2011. Findings: Current IPV services in Spain partially fail in their coverage of abused immigrant women due to barriers of (i) availability, such as the inexistence of culturally appropriate services; (ii) accessibility, as having a residence permit is a prerequisite for women's access to different services and rights; (iii) acceptability, such as women's lack of confidence in the effectiveness of services; and (iv) effectiveness, for example, lack of specific training among professionals on the issues of IPV and immigration. However, interviewees also identified facilitators, such as the enabling environment promoted by the Spanish Law on Gender-Based Violence (1/2004), and the impetus it has provided for the development of other specific legislative tools to address IPV in immigrant populations in Spain (availability, accessibility and effectiveness). Conclusion: Whilst not dismissing cultural barriers, aspects related to service structure are identified by providers as the main barriers and facilitators to immigrant women use of IPV services. Despite noteworthy achievements, improvements are still required in terms of mainstreaming assistance tailored to immigrant women's needs in IPV policies and services.